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jeudi 23 mars 2017

« Accueillir l’émotion et comprendre son message »






21 03 Et bien pour un premier jour de printemps, on fait mieux. Au réveil, une grosse chape de plomb grise avec un mince filet de lumière à l’horizon aurait pu me miner le moral mais comme je prends de plus en plus la vie avec légèreté, je m’adapte. 

Et pour que la journée se passe dans la joie et la spontanéité, je suis à l’écoute des sensations, pensées, afin d’accueillir les émotions dans la neutralité, sans valider les pensées qui les accompagnent. Ensuite, je passe à l'action depuis cet espace de paix.
La connaissance intime de soi est essentielle parce que lorsqu’on connait, on peut mieux aimer et lorsqu’on aime, tout parait beaucoup plus facile, joyeux et possible.
Ce qui nous rend malheureux et dépendant de l’extérieur, c’est l’ignorance, le fait de s’identifier à la forme, à l’apparence et d’être étranger à soi-même. 

Les croyances invalidantes, les conditionnements, l’estime de soi basée sur la comparaison, sur les atouts définis par la société, tout cela nous maintient dans la peur et même la peur de la peur. 

Pourtant, on a étudié les émotions et on comprend enfin leur rôle, leur importance, leurs messages.

lundi 19 décembre 2016

« L’intention qui porte les choix, les actes, est déterminante, essencielle » & conférences Magali et Isabelle Padovani





18 12 Je continue d’être bien dans ma peau, dans l’accueil, la douceur et la paix. 
L’énergie de la lune est une invitation à sonder ses mondes intérieurs et une activation du féminin sacré, de ce pouvoir d’accueil, de cette capacité à prendre soin de la vie, de la chair, de l’élan à contribuer, à nourrir, à étendre sa compassion sur les aspects de l’être, à ouvrir son cœur à la tendresse…
Quand on considère les choses d’un point de vue énergétique, vibratoire, on abandonne les images et les représentations ( saints, maitres ascensionnés, modèles) pour entrer dans le monde des sensations. Les émotions deviennent des guides et leur vibration nous relie à des fréquences, des êtres, des dimensions, en résonance.
On a moins besoin des images, des modèles, des interprétations, parce que la sensation parle d’elle-même et l’ouverture de cœur, la capacité d’accueillir c’est aussi celle de recevoir l’intuition, l’inspiration, d’être à l’écoute, d’observer de façon neutre et ainsi de pouvoir percevoir ce qui est au-delà de l’image, de l’apparence. 

Cela n’enlève rien à l’image ou à la représentation mais de ce point de vue, depuis la paix et l'unité intérieures, on voit avec clarté, en profondeur, et plus seulement de façon superficielle selon des croyances limitantes et les conditionnements humains. 
La vision est élargie et approfondie parce que le ressenti s’y ajoute et comme dans un esprit d’unité, les corps sont alignés, ils perçoivent ensemble et simultanément, la situation, la personne, les aspects internes ou l’environnement.

dimanche 19 juin 2016

« La profusion d’info au sujet du divin peut-être une chance et révéler la singularité de chacun » & vidéos de guides humains





La diversité des enseignements peut amener beaucoup de confusion mais elle a sa raison d’être comme l’explique Jérôme Mantanaël dans une de ces métaclefs, plus bas. 
La première, c’est de justement nous pousser à sonder notre propre cœur et à y trouver la vérité de Qui nous sommes

Il est clair que nous n’avons pas tous les mêmes prises de conscience à faire, ni la même personnalité, ni la même intensité de souffrance ou d’identification à notre vécu, nos pensées, ni encore les mêmes croyances et illusions à lâcher, même si la plupart d’entre elles sont collectives.
Les mondes subtils sont vastes, nombreux et si on considère que chaque pensée, chaque croyance a son image/énergie dans l’invisible, on trouve toute une palette d’égrégores plus ou moins puissants et prégnants.

La personne qui est née dans les années soixante n’a pas vécu les mêmes choses que celle qui est née vingt ans plus tard. Le contexte et donc les croyances n’étaient pas les mêmes, les modes, les interactions et les expériences sont différentes pour chacun. 

Celui qui est né dans une famille catholique, qui est timide, qui a été choyé n’aura pas du tout la même vie d’adulte que celle qui nait dans une famille libre ou monoparentale. 
Les circonstances de l’enfance vont imprégner des codes, des comportements et le milieu culturel y participera aussi. 
Et ce qu'on fait généralement pour se définir, c'est de se comparer aux autres au lieu de s'accepter en totalité et ainsi d'honorer notre singularité.

vendredi 15 avril 2016

« Culpabilité et attachement » les EDL* via Monique Mathieu & vidéo d'Isabelle Padovani






"Les êtres humains, depuis leur plus tendre enfance, fonctionnent avec la culpabilité, parce qu'elle leur est inculquée par leurs parents ou grands-parents qui leur disent en permanence : « Ne fais pas ça, ne parle pas comme ça, n'agis pas comme cela ». 
Ils sont ainsi enfermés dans une énergie de culpabilité.

Celle-ci peut être générée par des peurs, mais elle est pratiquement toujours générée par une souffrance. Au lieu de vous départir de cette souffrance, vous nourrissez la culpabilité.

Imaginez tout simplement que la culpabilité est une vibration et non ce que vous pourriez appeler "défaut" dans votre langage.
La culpabilité est présente chez pratiquement tous les êtres humains, sauf chez ceux qui ont compris et qui ont suffisamment lâché prise par rapport à leurs comportements, à leurs émotions et à leurs ressentis. 

Dans votre société, il est fait en sorte que vous puissiez nourrir cette culpabilité en permanence, que ce soit au niveau affectif, dans le monde du travail ou dans le monde relationnel.
Il est très facile de culpabiliser un humain, et encore plus facile de se culpabiliser soi-même.

mercredi 30 mars 2016

« La voie de l’autoguérison » : « Accueillir nos limites » vidéos d’Isabelle Padovani






Aujourd'hui 29 mars, est un jour particulier pour moi puisque je venais au monde. Cinquante et un an après ce jour important, je renais littéralement. Même si les contractions ont été douloureuses, étalées sur un demi siècle, ça valait vraiment la peine.
La chienne m’a offert un étron dans le salon et j’ai pu mesurer ma capacité à lâcher prise, à ne pas entrer en réaction face à une situation que j’aurais pu considérer comme l’expression de la vision de l’ado intérieure qui voyait la vie comme une épreuve et pour le dire carrément comme de la merde! 
Je sais que l’ajustement intérieur, l’unification des corps et les libérations énergétiques se manifestent dans la matière au travers de symptômes physiques, et contrairement à ce qu’on pourrait croire, c’est pour aller vers le meilleur. 

La manifestation dans la matière est le résultat final, la suite logique du travail interne et la période de pâques, le printemps propice à la renaissance sont des processus de mort qui mène à la résurrection.
Le christ a symbolisé ce processus au moment de la crucifixion qui représente à mon sens, l’abandon à l’amour lumière, le centrage, l’ancrage et la connexion (la conscience d’être une étincelle de la source, reliée à elle et en même temps, cette source elle-même), simultanés, au ciel, à la terre, au cœur. 
Le fait de se positionner au centre de l’être, dans la communion, l’unification corps-âme-esprit, au carrefour de la verticalité et de l’horizontalité, c’est choisir d’agir selon l’intelligence du cœur.

lundi 25 janvier 2016

« Une autre vie pendant le sommeil » les êtres de lumière via Monique Mathieu & « Accéder au corps-conscience » Isabelle Padovani





« Pendant votre sommeil, il se passe beaucoup plus de choses que vous ne le pensez. 
Ce n'est pas le néant, c'est une autre vie qui commence, une autre vie tellement plus dense au niveau de tout ce que vous expérimentez bien au-delà de la matière, et souvent riche dans l'Amour et le partage.

Pendant que votre corps de matière dort tranquillement, vous pouvez rester sur le plan de la Terre, vous pouvez même visiter vos amis, vous pouvez aussi accomplir un travail important au niveau du plan de la Terre, et certains d'entre vous ont aussi la possibilité de rejoindre leurs frères galactiques et de travailler sur les vaisseaux.

Au niveau du temps, que peuvent représenter une heure ou deux de sommeil, alors que le temps n'est qu'une notion terrestre, une notion de troisième dimension ?

Lorsque vous êtes hors de votre corps, le temps n'a plus d'importance, il n'a plus aucune réalité ; vous pouvez aller aussi bien dans le passé que dans le futur ; cependant, si vous allez dans le futur, vous n'en aurez pas la mémoire, sauf cas exceptionnel ou initiation exceptionnelle.

dimanche 8 novembre 2015

« Le plus grand obstacle à notre bien-être, c’est le rejet de soi ».





7 novembre; Finalement le plus grand obstacle à notre bien-être, c’est le rejet de soi qui nous coupe de notre cœur et pousse à se replier sur soi-même.
La peur est une dynamique, une énergie qui peut nous amener à grandir, à acquérir plus d’audace, de force, de confiance en soi, si nous la considérons de cette façon et laissons l’amour l’embrasser, l’équilibrer.

Ce qui fait souffrir, c’est l’excès, le déséquilibre, mais surtout le manque d’amour et quand nous renions une part de ce que nous sommes, nous nous coupons de cet amour, de notre être divin, unifié. 

Quand nous rejetons un aspect interne, généralement le plus fragile ou ignorant, nous nous interdisons de ressentir l’amour et la paix qui viennent de l’acceptation, de la reliance à l’amour lumière en nous-même.

En mettant en ligne l'article précédent, j’ai écouté à nouveau la vidéo d’Isabelle Padovani, que je remets plus bas, « Souffrir ou s’ouvrir ». C’est un rappel essentiel et tout à fait logique des bienfaits de l’acceptation. 
On parle beaucoup de la connaissance de soi dans le milieu du développement personnel et spirituel mais en fait qu’est-ce que ça veut vraiment dire ?

samedi 7 novembre 2015

« Apprendre à accepter ses émotions » & « Nier ou accepter » nospensées.com & vidéo Isabelle Padovani





« La sagesse c’est l’art d’accepter ce qui ne peut être changé, de changer ce qui peut l’être et, surtout, de connaître la différence »

« Ça ne sert à rien de s’inquiéter pour ça ». « Ça n’en vaut pas la peine ». « Tu n’as pas de raison d’être triste ». « Allez, arrête de pleurer ». « Tu dois te relever ».

Combien de fois avons-nous déjà entendu ce genre de phrases, prononcées avec la meilleure des intentions ?
On nous a donné ces conseils et nous les avons donnés également à d’autres, car ils paraissent bons et sensés. 
Cependant, lorsque nous tentons de les mettre en pratique,  nous ne parvenons pas à trouver la formule magique.

Malheureusement, nos émotions ne sont pas régies par des normes et ne suivent pas toujours notre volonté. 
Il ne suffit pas de vouloir changer les émotions que l’on ressent, car les sentiments sont là, bien présents, et ne disparaissent pas aussi facilement.
De plus, il est très fréquent que nous nous sentions frustré. 
Le fait de se sentir bien devient une sorte d’obligation, et si nous ne parvenons pas à atteindre ce but, nous finissons encore plus mal qu’au départ, c’est à dire maladroit, coupable, et nous croyons que n’importe qui est capable de gérer ses émotions, sauf nous.

lundi 8 juin 2015

1er jour de la série de méditations guidées par Deepak Chopra & vibraconférence Isabelle Padovani, ce soir, 20h






La sérénité s’installe de plus en plus et ça rend la vie facile, fluide ! C’est tellement plus simple, gratifiant et libérateur de ne plus se faire la guerre ! 
Pourtant, j’ai combattu toute ma vie ce que j’appelais mon ombre ; mon passé, mon corps physique, la vie elle-même, mes défauts, mes imperfections, mes peurs, mes doutes…puis en découvrant la foi en Jésus Christ, en lisant un livre offert par des missionnaires Mormon, en 1996, je me suis mise à lutter contre ma passion, ma liberté, ma personnalité, afin d’être un membre digne de l’église, digne de Dieu, digne de son amour ! 
J’ai combattu mes pulsions, mes désirs, en essayant de correspondre à un modèle soi-disant inspiré par Dieu lui-même, ordonné, commandé même !
Pendant l’enfance des croyances inculquées par mes parents ont été adoptées mais comme le comportement de mon père était totalement déviant, je n’ai pas pu y adhérer en totalité et c’est une chance ! 
A l’adolescence, je me suis rebellée contre ce passé et j’ai fait ma route selon mon cœur, l’élan, le désir qu’il m’inspirait et j’ai goûté les joies d’être libre. 
Libre d’aimer, libre d’avoir des relations sexuelles choisies et plus imposées, libre de faire ce qui me passait par la tête, de vivre selon ce que me disait mon cœur, mon corps enfin apaisé par ce pouvoir de choisir. Puis il y a eu une première déception amoureuse qui a failli me coûter la vie et une autre rencontre épanouissante qui a rétablit l’équilibre. 
J’ai vu les dangers de l’amour, de l’attachement amoureux, par le caractère impermanent des sentiments, de la vie et me suis réfugiée dans la drogue qui me permettait d’asseoir ma liberté en n’étant plus assujettie à mes émotions, donc à mes sentiments amoureux non plus. 

mardi 19 mai 2015

« S’abandonner à l’Amour de la Mère Divine et se laisser guider par sa grâce, vers le Père Divin » & vidéo Isabelle Padovani






Ce matin, je retrouve un peu de paix et donc de clarté. La journée d’hier a été éprouvante et mitigée comme très souvent lorsqu’on veut réaliser, ou plutôt, prendre conscience de l’unité en soi, par l’acceptation de ce qui bouscule à l’intérieur et à l’extérieur. 
Les deux sont intimement liés et en cela, on peut reconnaitre les lois universelles d’attraction, de résonance et surtout la puissance de l’Amour, de notre être tout entier. 
Je l’écris avec un ‘A’ majuscule pour le ‘distinguer’ de l’amour conditionné, limité que chacun vit sur la planète. 
A quelques rares exceptions, nous avons une vision rétrécie de l’amour et lorsque cette vision s’élargit, dans des moments de lucidité extrême et trop succincts, à mon goût, on peut en percevoir toute l’ampleur, la magie, le merveilleux. 
N’en déplaise à certains, les superlatifs, bien qu’ils fassent pâle figure à côté de la Vérité de l’Amour inconditionnel, sont de rigueur même si je l’admets, ils peuvent nourrir des fantasmes et dévier de la réalité. Parce que cet amour est loin de se rencontrer dans la facilité tant qu’on y résiste!
Nous sommes tellement habitués et conditionnés à vivre dans la peur, selon l’instinct de survie, l’incrédulité et l’ignorance que la sensation d’être séparé de la Source, du tout, et complètement insignifiants, se heurte à notre intuition qui nous dit pourtant que nous venons de ‘loin’ et de sphères extrêmement ‘lumineuses’ (dans le sens de dualité transcendée, ombre et lumière unifiées), divines et amoureuses.

mardi 10 mars 2015

« L’élan du cœur, de l'instant, est toujours le ‘bon’ » & vidéos Eckhart Tolle, Yann Thibaut, Isabelle Padovani, Nature et Frédéric Lopez






C’est incontestable, les gens deviennent de plus en plus conscients, tout va de plus en plus vite ! J’ai suivi mon élan, comme d’habitude et sans forcer, la vie m’a amenée à revenir à l’essentiel, non seulement la maitrise émotionnelle mais aussi la recherche de silence intérieur. 
L’heure est à la méditation et cette fois-ci, le mental étant plus apaisé, les émotions moins violentes, le lâcher prise total semble à portée de main. 
Après avoir exploré le monde astral, par le biais des lectures, des rêves, de l’émotion, puis repéré son côté illusoire, vient le temps d’être plus attentive au vide intérieur. 
Sans pour autant le rechercher, mais en pratiquant l’attention conscient à soi-même, par la respiration consciente, sans que ce soit une vague émotionnelle qui m’y invite. 

En parallèle, vient l’envie de faire le ménage de printemps, comme pour relier le corps physique, le mental et les énergies du père, de la mère et de l’enfant. Prendre soin de soi, de sa maison intérieure et extérieure devient ma priorité. J’ai regroupé quelques infos à ce sujet, enfin, « le hasard » m’y a amené. 

mardi 27 janvier 2015

« La famille intérieure » & vidéo d'Isabelle Padovani « de l’ego à l’eneis »





J’ai passé la journée d’hier, dans la tendresse et la complicité joyeuse avec mon enfant intérieur. Je lui ai parlé spontanément quand une pensée de peur se manifestait et un dialogue s’en est suivi, tout au long de la journée. 
J’ai vu le voisin sortir son chien et ça m’a étonnée puisque je n’entends plus de bruit là-haut. Dans la semaine, j’ai entendu des éclats de voix et j’ai reconnu celle de sa mère qui a un timbre des plus désagréable à mon oreille mais j’ai pu sentir que quelque chose d’important se passait ; enfin elle osait se rebiffer, dire stop ! L’année dernière, elle était déchirée entre l’obligation de servir son fils et le besoin de vivre dans le respect mutuel avec le voisinage. 
Les portes claquaient et témoignaient de sa colère impossible à verbaliser. 
J’avais essayé de lui expliquer qu’elle nourrissait l’inconscience de son fils, son comportement égocentrique, en jouant les mères/femme de ménage/cuisinière/blanchisseuse/repasseuse…Je lui avais aussi posé la question suivante, avez-vous le même comportement vis-à-vis de vos filles ? Pouvez-vous voir que vous nourrissez le machisme, méprisez les droits des femmes en servant votre fils comme un roi ? Puis démontré que la culpabilité parentale vis-à-vis de cet enfant/adulte, en mal de reconnaissance, dictait son comportement, qu’ainsi, elle amplifiait le mal-être de son fils mais aussi son propre mal-être tout en le déresponsabilisant.

jeudi 21 août 2014

" Je ne suis pas ici pour prouver quoi que ce soit mais pour être ce que je suis." vidéos Isabelle Padovani



Coule belle rivière (le Tech)!


Il y a bien longtemps que je n’étais pas tombée du lit aussi tôt ! Je me suis levée comme poussée à profiter du silence. La chienne est allée faire son tour et ça me réconforte de pouvoir la laisser libre d’aller et venir à sa guise ! 
Les choses évoluent doucement, je retrouve mes repères quotidiens et peut constater à quel point c’est vivifiant de vivre selon ses choix, ses préférences, sans avoir à tenir compte de l’avis de quelqu’un d’autre. La conversation d'hier, avec mon compagnon, m’a confortée dans mon choix de revenir ici. On ne se comprend pas et il va me falloir travailler la CNV pour essayer de mieux me faire entendre, du moins pour arriver à dialoguer sans tomber dans une impasse !  Je me suis tout de même épatée à être capable d’affirmer mes besoins, sans culpabilité, sans honte, sans gêne…et surtout sans crier, sans critiquer, accuser ou rabaisser !
Mon point de vue devient plus clair et ainsi je sais de mieux en mieux, ce que je veux réellement. Les rapports de force, l’esprit de compétition, la comparaison, les jeux de pouvoir, de séduction ne sont définitivement pas pour moi ! Tant pis si je reste seule. 
De toute façon, je le vis très bien ce célibat choisit. Les peurs qui pourraient surgir sont tout à fait gérables. La peur de l’ennui par exemple, il me suffit de sortir un peu plus. Je vais facilement vers les gens puis je peux recommencer à jouer de l’accordéon dans les rues. 

vendredi 15 août 2014

"Médiation intérieure" et vidéos Isabelle Padovani ; gestion des aspects de l’enfant moi




Depuis l’enfance on nous bassine avec cette croyance qu’il faille en baver pour obtenir ce que l’on veut. A priori ça peut sembler logique puisque le monde fonctionne de cette façon, par la « carotte », le mérite, la récompense et la punition. Mais si on observe la nature, on voit que le seul effort à fournir, c’est d’être soi-même, de se tourner vers la lumière et de capter la nourriture par les racines. 
Je suis rentrée chez moi pour me retrouver, pour y voir clair et suivre mon élan de l’instant sans avoir besoin de me justifier, d’expliquer. Il est certain que je réagis encore selon les croyances basées sur la peur et le non amour de soi mais je ne désespère pas, je sais que j’arriverais à me libérer du poids du passé et à m’élever par l’amour vrai de soi. 
Mon cœur est en suspends et même si j’ai pris la décision de partir, je n’ai rien décidé de définitif, ni dans un sens ni dans l’autre, je me laisse porter par l’élan du moment, par mon âme qui me pressait de retrouver mon centre, mon ancrage. 
J’ai besoin d’une certaine intimité pour réaliser ce retournement qui se vit seul, en soi. Même si quelque part au fond de moi, j’ai reconnu en cette rencontre, une âme très proche, voire jumelle, j’essaie de libérer les fausse croyances, les attentes et me contente de suivre mon intuition. Le « hasard » m’a encore mis face à des textes à propos des flammes jumelles. Je les publierai donc sur ce blog, pour honorer l’élan intérieur, mon cœur et ma foi. Même si mon mental ou quelques voix en dedans crient que c’est du blabla, du romantisme, du rêve, de l’illusion…

jeudi 20 mars 2014

"Revenir à la raison du coeur, à la maison"..."Faire retour" vidéo Isabelle Padovani





Ce matin, je suis émue par une vidéo que j’ai trouvée dans ma boîte. Elle aborde le thème de l’amour évidemment. J'aime sentir la tendresse qui m'envahit, commencer la journée en ouvrant mon cœur à l'amour qui est en lui. 
Une part de moi continue d’être agacée, quand je tombe sur des articles à sensation, qui parlent de divulgation, d’une arrivée massive d’extra-terrestres. Difficile de passer à côté tellement ça pullule ! On est en pleine manipulation de masse et j’avoue que mon ressenti tout comme mon intellect sont navrés par ce constat. Je ne doute pas de l’existence d’êtres dont l’origine n’est pas terrestre, par définition, Jésus Christ, les archanges, les anges, l’âme…sont extra-terrestres. Croire que nous sommes la seule manifestation de la vie "intelligente", dans l’univers est quelque chose de très égocentrique. 
Mais plusieurs chosent m’amènent à croire que ça pue l’arnaque ! Premièrement, le fait que la peur gagne de plus en plus d’humains, à cause de l’incertitude du lendemain qui amplifie à mesure qu’on découvre comment les gens de pouvoir n’ont rien des héros servant la patrie, comme la majorité se l’imaginait.

mercredi 4 décembre 2013

Illusions..."Etre avec ce qui est " Isabelle Padovani


Facebook "Love Animaux"


La journée d’hier a été très troublante, j’ai été face à moi-même, mes rêves, mes doutes, mes illusions. J’ai l’impression d’être amenée à devenir de plus en plus lucide. Bien que je croie que l’on crée son monde selon sa foi, ses croyances, une nuance importante m’est venue en pleine poire. Il y a la réalité du monde puis chacun l’interprète selon ses désirs, selon ses croyances, sa façon de penser. Chacun projette sa vision sur la réalité et celle-ci change du tout au tout selon la culture, les filtres du mental, le vécu... Entre la réalité visible et ce que l’on voudrait qu’elle soit, il peut y avoir une énorme différence. La force des croyances est immense. Le besoin de clarté, de discernement, de voir les choses de façon objective tout en maintenant vivants ses rêves, voilà un exercice bien périlleux. Le désir d'être dans le juste milieu nous amène très souvent à jouer les équilibristes et heureusement qu’il y a un filet en dessous...D’un autre côté, c’est par tâtonnement qu’on avance. Tant qu’on ne se fabrique pas une guillotine sous laquelle on glisse la tête à la moindre prise de conscience, on peut même aller jusqu’à en rire ! Une vidéo m'a montrée que j'étais encore à chercher le spectaculaire, l’extraordinaire, le sensationnel. Puis, en la regardant, je me suis rendue compte, après avoir éclaté de rire, le côté ridicule et infantile de ma démarche. Je n'en ai pas fait une occasion de me critiquer c'est plus la stupéfaction face à mon "innocence" qui s'est manifestée. Puis finalement un sentiment de tendresse pour ces parts naïves qui portent aussi ma capacité à rêver a remplacé l'étonnement.

samedi 30 novembre 2013

Rêve et réalité...vidéo Isabelle Padovani


"Les mains de l'Or en soi" Facebook


Tiens, il est 3h33 ! Le réveil a été plutôt "gai", me sortant d’un rêve où je m’exclamais ; Les sangliers ! Il n’y avait pas de peur dans ma voix mais plutôt de l’humour, genre on n’a pas tenu compte de leur présence et on va peut-être les déranger. Je ne sais pas ce que je faisais dans cette forêt ni avec qui j’étais mais le ressenti était plutôt celui de deux gamins complices, allant à l'aventure.  
Je suis assez satisfaite de constater que ma douleur au ventre s’est envolée. J’ai été au petit soin avec cette partie du corps qui se détend à mesure que je me relaxe, respire profondément et calmement tout en parlant à l’enfant intérieur et en m’adressant à ma présence divine, lui demandant de faire en sorte que l’énergie de la source s’écoule en douceur.
Ces deux ou trois jours, je ne sais plus, j’ai un peu perdu la notion du temps à me lever dans la nuit et à me recoucher quand le besoin s’en fait sentir, on été plutôt intenses ! J’ai été mise en face de mes contradictions et bien que ça n'ait pas créé un conflit violent, ça n’a pas été facile de trouver le juste milieu.  J’ai tellement envie de voir le monde évoluer dans le sens de la paix, de l’amour, que parfois, je me demande si mes aspirations amplifiées par mes lectures spirituelles, ne sont pas une forme d’utopie que je nourris à cause de ma difficulté à accepter la réalité du monde, de ces guerres, ces injustices...
Puis comme je reste finalement très influençable, chaque fois que je me tourne vers l’extérieur pour connaître le point de vue de ceux qui sont sur un parcours similaire, ça me déstabilise. L’effet miroir me renvoie le conflit intérieur entre mes parts qui rêvent et celles qui sont plutôt lucides, qui me préservent de l’illusion de l’ego.

dimanche 24 novembre 2013

C’est vraiment très simple en fait la vie...poème Isabelle Padovani, citations Jeff Foster



Image trouvée sur Facebook, sans le nom du photographe


Je ne sais pas la température qu’il fait dehors mais le vent qui continue de souffler en de violentes rafales, a dû sérieusement rafraîchir l’atmosphère ! D’ailleurs, le poêle a bien du mal à chauffer ce matin. C’est tout un art de faire du feu, autant c’est facile dehors mais dans un poêle qui plus est, avec un conduit de dix mètres, ça devient complexe. Là encore, la confiance en la bienveillance de la Terre Mère qui pourvoit aux besoins de tous ses enfants, tout comme mon affirmation de recevoir l’abondance dans ma vie, m’évite de tomber dans la peur et le doute.
Finalement, c’est un vent de Sud et la fenêtre ouverte me montre la douceur extérieure. Je me suis fiée à mes croyances au lieu de vérifier directement ! Un vent violent n’est pas synonyme de froid ! C'est donc "normal" que le tirage du poêle soit mauvais. Je commençais à nourrir la paranoïa inutilement! Petit rappel « en live » de la nécessité de sortir du mental...et de se fier totalement au cœur!
Aujourd’hui, poussée par l’élan, je suis allée sur la presse galactique et quand je suis tombée sur l’article de Murielle Robert, j’ai compris le pourquoi de ce geste malgré que j’aie décidé de faire une pause niveau lectures spirituelles. C’est la mission de vie « 8 », celle de ma date de naissance ! Je publierais le texte tout à l’heure ainsi que ceux parus précédemment, d’ici quelques jours. J’apprends à doser le temps passé sur Internet parce que depuis que je publie sur Facebook, les heures devant l’écran s’accumulent.

jeudi 14 novembre 2013

Facettes...multiples


Image trouvée sur Facebook "Cœurs d'Anges"


Une longue nuit de huit heures, contrairement à l’habitude, m’a redonné force et vitalité. A mesure que j’accepte ce que je suis en totalité, que je cesse de m’en vouloir d’être dépendante des médicaments et de la cigarette, une nette progression s’effectue en coulisse. Je parle ici de l’inconscient qui s’ajuste à mes nouveaux choix de vie, d’état d’esprit, répétés régulièrement. Bien que le côté répétitif des choses m’ait toujours agacée, j’accepte le fait qu’une nouvelle croyance ait besoin d’être imprimée en profondeur et donc imprégner les nombreuses strates de l’humain, afin d’être pleinement intégrée jusque dans les profondeurs de l’inconscient, qui permettra une application « réflexe » de ces nouvelles données. Nous sommes ainsi constitués de plusieurs corps dont chacun possède son « langage », son degré de conscience spécifique. Il ne s’agit pas d’échelle de valeur, c'est-à-dire qu’aucun d’eux n’est mieux ou pire mais il est plutôt question de façons différentes d’appréhender le monde, de le percevoir, de le comprendre et d’en restituer une « image ». Nous disposons de sens qui restituent leur vision de la vie, chacun dans une gamme de sensation des plus diverses. Elles sont ensuite traduites par notre cerveau et filtrées au travers de nos croyances, de notre cœur. 
Je suis toujours épatée de constater la perfection de ce que nous sommes. Ainsi, l’objectif de tous nos corps est de trouver l’harmonie et ce que notre mental qualifie de bon ou mauvais est en fait un moyen de trouver l’équilibre intérieur. Il n’y a donc rien de mal dans ce que nous faisons mais simplement des comportements adaptés à nos croyances. La meilleure façon de changer, sans créer le chaos, c’est donc d’agir au niveau du mental. Celui-ci étant composé d’une conscience, d’une part réagissant par « réflexe » ; l’inconscient et d’une forme de sagesse émanant de la « super-conscience » ou subconscient, bref de notre aspect divin. L’harmonie se créé donc naturellement entre ces différents aspects et en modifiant nos croyances conscientes, un nouvel équilibre se met en place.