mercredi 25 mai 2016

« Confiance, reconnaissance et gratitude; des clefs majeures » & vidéos Jérôme Matanaël





Et bien je peux dire que la journée d’hier a été très instructive ! 
Quand on change son regard sur les choses, quand on lâche le jugement, l’auto-critique on élargit alors considérablement sa vision. Le taux vibratoire s’élève et on peut constater que tout a sa raison d’être, que nous sommes aimés sans conditions par l’âme et guidés en tout temps. Ce sont toujours nos jugements qui faussent les choses, qui les réduisent aux cases bien/mal.
J’ai observé de façon neutre l’effet de la beu et déjà le fait qu’il n’y avait pas la quantité promise, m’a rassurée quant au fait que je ne risque pas de réitérer l’expérience. 
C’est d’ailleurs souvent ça qui m’a empêché de surconsommer parce que je ne supporte pas l’hypocrisie ou l’arnaque. 
Plutôt que de m’en vouloir pour ça en me disant que j’attire encore des gens manipulateurs ou que je suis l’éternelle victime, je vois l’occasion de ne pas m’égarer. 
C’est souvent les gens qui s’indignent contre les injustices du monde qui les perpétuent eux-mêmes, ceux qui critiquent les magouilles des politiques qui agissent de la même façon. Ça me rappelle un employeur quand j’étais dans la vingtaine, qui déjà me tutoyait, ce qui fausse souvent les rapports employeurs/employés à moins d’être conscient de qui on est, et il s’offusquait d’une loi qui réduisait les droits des travailleurs à l’époque déjà, alors qu’il me payait 10 Francs de l’heure. C’était le bon temps des SIVP…j’étais payée comme un apprenti alors que j’avais les qualifications requises et produisais en conséquence...
Je n’ai pas trop percuté quand mon âmie m’a parlé hier, d’une offre d’emploi dans l’entreprise qu’elle est en train de créer. J’étais tellement enthousiaste de constater qu’elle réalise ses rêves et comme j’avais commencé à fumer, l’info est passée à la trappe. Ce matin, ça me parle plus que jamais !

« Être libre et authentique, qu’est-ce que ça veut dire ? », puis un texte de Sophie Riehl & vidéos





On parle beaucoup de cette notion d’authenticité dans les enseignements "spirituels" mais on a du mal à savoir ce que ça veut dire parce qu’on est formaté. 
On dit aussi qu’en contactant l’enfant en soi, on retrouve cette authenticité. 
Et c’est tout à fait vrai parce que l’enfant sait ce qui est juste, il n’a pas besoin d’être éduqué parce qu’il écoute et suit son cœur, agit de façon spontanée, sans se soucier du regard extérieur. Avant sept ans, il est vrai, lui-même, innocent, pas encore uniformisé ni conditionné par la peur. Il n’a pas besoin qu’on lui dise ce qui est juste, il le sait instinctivement parce qu’il est connecté à son cœur et connait l’empathie. Les enfants de certaines tribus savent que le bonheur d’un individu ne peut pas être complet si les autres ne sont pas heureux.
Les enseignements au sujet de la flamme violette, des enfants indigos, ont suscité de l’intérêt mais c’est encore perçu par le biais du mental. Comme les gens qui se sont reconnu dans le descriptif, on eut l’impression de prendre une revanche sur la vie  en étant enfin considérés pour leur valeur spécifique, ils se sont enfermés dans une case, se sont comparés et nommés « travailleurs de lumière ». 
Enfin reconnus pour leur différence, ils se sont situés en dehors de la masse très souvent en s’estimant supérieurs aux autres : « nous, on sait ». 

La lumière montre ce qui est sans tricher et lorsqu’on décide de suivre son cœur, d’œuvrer pour la lumière, il ne s’agit pas de briller, d’éblouir les autres par quelques dons qui relèvent plus de la magie, de l’illusion, qu’autre chose, de devenir un superhéros d'afficher ses connaissances ; il est question d’être vrai, transparent. 
De s’accepter tel qu’on est, puis de reconnaitre au-delà des couches superficielles de la personnalité, le cœur qui vibre sur la fréquence de l’amour inconditionnel.