On parle beaucoup de cette notion d’authenticité dans
les enseignements "spirituels" mais on a du mal à savoir ce que ça veut dire
parce qu’on est formaté.
On dit aussi qu’en contactant l’enfant en soi, on retrouve
cette authenticité.
Et c’est tout à fait vrai parce que l’enfant sait ce qui
est juste, il n’a pas besoin d’être éduqué parce qu’il écoute et suit son cœur,
agit de façon spontanée, sans se soucier du regard extérieur. Avant sept ans, il
est vrai, lui-même, innocent, pas encore uniformisé ni conditionné par la peur.
Il n’a pas besoin qu’on lui dise ce qui est juste, il le sait instinctivement
parce qu’il est connecté à son cœur et connait l’empathie. Les enfants de
certaines tribus savent que le bonheur d’un individu ne peut pas être complet
si les autres ne sont pas heureux.
Les enseignements au sujet de la flamme violette,
des enfants indigos, ont suscité de l’intérêt mais c’est encore perçu par le
biais du mental. Comme les gens qui se sont reconnu dans le descriptif, on eut
l’impression de prendre une revanche sur la vie en étant enfin considérés pour leur valeur
spécifique, ils se sont enfermés dans une case, se sont comparés et nommés « travailleurs
de lumière ».
Enfin reconnus pour leur différence, ils se sont situés en
dehors de la masse très souvent en s’estimant supérieurs aux autres : « nous,
on sait ».
La lumière montre ce qui est sans tricher et lorsqu’on décide
de suivre son cœur, d’œuvrer pour la lumière, il ne s’agit pas de briller, d’éblouir
les autres par quelques dons qui relèvent plus de la magie, de l’illusion, qu’autre
chose, de devenir un superhéros d'afficher ses connaissances ; il est question d’être vrai, transparent.
De s’accepter tel qu’on
est, puis de reconnaitre au-delà des couches superficielles de la personnalité, le cœur
qui vibre sur la fréquence de l’amour inconditionnel.
Et c’est en accueillant
librement ces parts qu’on a jugé, tenté d’enfouir dans les profondeurs de notre
inconscient, simplement parce que ça ne correspondait pas à l’idée qu’on se
fait de soi, du divin, de ce que devrait être un travailleur de lumière.
Le travailleur
de lumière, à mon sens est celui qui se laisse dépouiller humblement de ses
peurs, des conditionnements, des programmes involutifs et des faux semblants.
Il
ose remettre en question les croyances qui le définissent pour plonger au cœur de
l’être et permettre à l’amour lumière de faire son œuvre.
Le rayon violet agit
en ce sens, il va dissoudre ce qui est faux, ce qui relève du personnage
préfabriqué, conditionné.
La chanson de Pink Floyd extraite de l’album The
Wall, résonne en moi fortement ce matin.
Pink Floyd - Another Brick In The Wall (HQ)
Beaucoup de personnes qui se sentent différents, attirés par la spiritualité et qui se sont reconnus dans la description des indigos, se sentent proches du
rayon ou de la flamme violette, se sont marginalisés et fac au constat navrant de l’état
du monde se sont perdus dans les addictions mais en même temps elles ont amené
une vibration de liberté qui est souvent assimilée à la destruction. C’est
juste d’une certaine manière puisque l’effet du rayon violet est de transmuter
mais ça peut se faire dans la douceur. La vraie révolution consiste à mon sens,
à briser les murs qui empêchent le cœur de vibrer intensément ou d’en ressentir
la puissance. On devra faire face à ses peurs, ses limites, ses blocages et quand on prend confiance dans le lâcher prise, l'intelligence du cœur, l'acceptation/observation de ce qui se manifeste en soi, on s’allège considérablement.
Certainement que le fait que j’ai décidé d’acheter
de l’herbe y est pour quelque chose. L’envie est venue et comme je n’ai rien
anticipé, j’ai dit "oui" à ce désir spontané sachant que tout ce qui est encore
jugé en soi, tout ce qui demeure dans des cases, a besoin d’être vu sous un angle nouveau et
harmonisé.
L’idée est venue la semaine dernière et je n’ai fait que commander
la chose que je vais chercher tout à l’heure. Déjà, toutes sortes de pensées
sont venues telles que "tu régresses", "tu en as fait le tour, déjà!"...des pensées critiques, de
jugement, de peur aussi d’être à nouveau piégée, de ne pas savoir doser et d’avoir
le cerveau ramolli.
Puis, en offrant tout cela à la source, peu à peu, j’ai vu
les choses autrement.
C’est clair que c’est une stratégie de l’ego, une façon
de trouver une compensation aux frustrations et même si je peux voir cela, le
fait de suivre l’envie et d’observer au-delà de tout jugement, tout ce qui émerge
dans cette situation, est une façon de lâcher la dualité, le jugement, de faire face aux
revendications de l’ado intérieure, et de faire confiance à cet élan spontané. Le résultat sera soit désagréable parce qu'empli de culpabilité soit léger en considérant que l'attention à ce qui émerge et l'abandon du jugement, favorisera la dissolution de certains programmes internes.
J’ai
encore du stress vis-à-vis de certains comportements et celui-ci bien qu’il ne
soit pas le top, démontre un besoin de relâchement, de libérer la pression et
le stress. Même si l’objectif n’est pas de se déculpabiliser ou de faire l’apologie
de la drogue, je sens que cela va me permettre de lâcher prise et d’intégrer
plus de liberté d’être.
Il est évident que le fait de contraindre une envie ne
permet pas de faire face à ce qui la déclenche et ce serait encore vouloir
contrôler les choses, suivre un modèle de perfection élaboré par le mental, un
autre conditionnement. Ceci dit, je ne me leurre pas non plus, c’est une
stratégie qui vise à aplanir les frustrations et une fausse réponse au besoin
non nourri de communion.
Le fait d’être amoureuse a toujours éveillé en moi
les plus grandes peurs et généralement je me jetais sur les drogues pour ne pas
devenir dépendante affectivement de la personne vers laquelle cet amour se
dirigeait. Il fallait anesthésier les émotions, annihiler les pensées de peur, devenir
neutre, dénuée de sentiment et exprimer de la tendresse uniquement dans la
relation sexuelle. Comme si tout ceci pouvait éviter l’attachement.
D’une
certaine manière comme je n’étais pas présente à mon corps physique, il est
clair que la relation se nourrissait du plaisir sexuel, de cette forme de
communion qui créé un attachement mais je gardais la tête froide même s'il y avait des sentiments amoureux.
Je ne pouvais
pas m’épanouir dans la relation puisque je voyais tous les pièges du couple tel
qu’il est vécu sur terre et comme je ne connaissais pas d’autre modèle, je
bricolais avec mes mondes intérieurs.
Le problème c’est toujours de vouloir
palier les peurs par des stratégies parce qu’on n’est plus soi-même. Qu’on
prenne des drogues ou non. J’ai opté pour cette stratégie parce que je ne sais
pas jouer la comédie, mentir ou porter un masque volontairement.
Être vrai, c’est
déjà se connaitre intimement et je savais qui je n’étais pas, qui je ne voulais
pas être. Les drogues me permettaient d’oser être moi-même, d’agir selon ma
vision personnelle de la vie, du monde et des valeurs humaines.
Cette longue période m’a permise de ne pas être formatée par le système mais malgré tout, je n’étais qu’une part infime de ce que je suis en vérité et en plus, conditionnée par l’effet du produit. Je tournais en rond mais en prenant le temps de me regarder en face, d’observer mes comportements réflexes, j’ai pu comprendre qu’en abandonnant toute forme de jugement, en me positionnant dans le cœur, les conditionnements vus, les limites acceptées, je pourrais trouver la véritable liberté d’être.
Au-delà des stratégies, des raisonnements du mental construits
sur l’idée de division, de séparation.
On s’enferme dans une vision
dichotomique des choses et le monde nous apparait alors en noir et blanc. Or la
vie est multicolore, la nature et les éléments sont colorés, diversifiés. On s’étonne
d’être malheureux mais c’est tout simplement parce qu’on s’enferme dans des
jugements, des à priori qui nous voilent notre amplitude, limitent notre horizon et
font de nous des robots, des automates qui se sentent reconnus et acceptés par
la société parce qu’ils possèdent le dernier modèle d’Ipad, le dernier Iphone,
parce qu’ils disposent d’un portefeuille rempli et s'estiment heureux de vivre dans un pays parmi les plus riches du monde. On pense encore que la liberté
est liée au pouvoir d’achat mais c’est un état d’esprit, une façon de
considérer la vie.
Trop de gens pensent qu’on doit gagner sa vie, que ce doit être une combat, une lutte, il pensent qu'il faut en
baver pour économiser quelques sous afin de devenir propriétaire, d’être en
sécurité.
Tout ce qui est élaboré à partir de la peur ou qui vise à la nier, n’apporte
aucune sécurité et tôt ou tard, on en fera l’expérience.
Ce qui se passe en ce
moment dans les stations services est la manifestation de cette façon de réagir
à la peur du manque. Plus on veut répondre à la peur par une stratégie d’évitement,
de refoulement ou de compensation et plus on la nourrit.
De plus on pense qu’en
luttant contre elle, on fait preuve de courage et le mental va la minimiser et
nier le fait qu’elle soit omniprésente.
Elle est à l’origine de la plupart de
nos actes, de nos croyances. Elle se manifeste à travers toute la palette des
émotions. Que ce soit une émotion positive ou négative, elle vient toujours en
réponse à la peur. En plus, on veut un résultat immédiat alors on doute de la puissance
de l’amour lumière parce que leur mode de fonctionnement n’a rien à voir avec
les stratégies mentales.
Les croyances au sujet de l’amour nous amènent à
penser que celui-ci est un sentiment assorti d’émotions et de pensées
correspondantes. Mais c’est une vibration, un ensemble d’énergies qui
manifestent les qualités de cet amour et qui les sous-tend.
Cette chronique de
Sophie Riehl parle de l’authenticité, de la vibration à travers le langage et
elle met en relief les modes d’expression de l’humain afin de comprendre ce qu’est
l’authenticité.
Elle se manifeste dans l’alignement des corps, de l’intention
de l’attention et de l’action qui en découle. L’action ici étant la parole mais
le principe est celui de la cocréation qui commence toujours par le ressenti
qui lui ne triche jamais.
« Le langage verbal et le langage vibratoire »
par
Sophie Riehl
Il
est important de différencier ces deux modes d’expression car ils participent à
la libération de l’être.
Le
langage verbal est celui qui est conditionné par le paraître, les croyances,
les idéologies et les codes moraux.
Le langage vibratoire est celui que dégage l’être depuis son intériorité et ses schémas émotionnels, qu’ils soient conscients ou inconscients.
Le langage vibratoire est celui que dégage l’être depuis son intériorité et ses schémas émotionnels, qu’ils soient conscients ou inconscients.
L’idéal est
effectivement que les deux correspondent, ils démontrent l’authenticité de la
personne ainsi que sa clarté intérieure.
Cependant,
surtout pour les personnes qui ne sont pas dans la conscience de l’éveil, les
deux sont souvent en décalage. Même dans notre quotidien, nous pouvons dire aux
autres que tout va bien alors que nous nous sentons fatigué ou déprimé. C’est
certes léger, mais c’est un décalage entre notre vécu et nos affirmations.
S’honorer
en tant qu’être c’est apprendre à exprimer sa vérité quelque soient les
circonstances, bien au-delà des codes moraux ou sociaux. Et nous n’avons pas
forcément l’habitude d’écouter la vibration ; ainsi, lors de certaines
rencontres, nous pouvons avoir l’impression d’être jugé ou mal accueilli, mais
nous nous disons que « nous nous faisons un film » car la personne semble
aimable.
En fait, nous avons capté la vibration issue de ses premières pensées
à notre égard, avant qu’elle ne s’exprime depuis son conditionnement, son
paraître.
Cela
est souvent anodin, mais c’est une accumulation de petits faits, de petites
réactions qui sur le long terme nous amènent à douter de nous, à ne plus faire
confiance à nos perceptions intérieures puisqu’elles ne correspondent pas aux
signaux extérieurs.
Ce
qui est encore plus déstructurant, c’est lorsque ce décalage s’est mis en place
dans l’enfance par un comportement parental ambivalent. Il peut y avoir
plusieurs cas de figure lorsque le parent utilise par exemple des mots doux
alors qu’il contient une violence refoulée, lorsqu’il sourit alors qu’il pleure
intérieurement, lorsqu’il exprime aussi un amour de manque, c’est-à-dire qu’il
vous demande inconsciemment de remplir son vide intérieur au lieu de vous
offrir sa présence.
Il
est donc important d’examiner tout cela, et de rester fixé sur ses propres
impressions.
C’est un apprentissage qui ne s’acquiert pas du jour au lendemain,
il s’agit d’apprendre à se valider intérieurement, de ne pas remettre en cause
son ressenti intérieur.
Pour cela, il faut d’abord savoir exprimer une
neutralité bienveillante qui permet de ne pas projeter sur l’autre ses propres schémas
et croyances, d’être dans l’accueil tout simplement de ce qui se présente.
C’est ensuite comprendre que l’autre fonctionne depuis son propre univers
intérieur et que ses comportements n’ont pas vraiment de rapport avec nous.
Conscientiser
tout cela permet de retrouver confiance en Soi ainsi qu’un authentique respect
car c’est une écoute profonde de notre guidance intérieure, qui nous mène
toujours vers davantage de paix, de sérénité, de construction et d’autonomie.
Sophie Riehl
Le
"hasard" m’a amené sur cette vidéo qui est assez instructive, bien construite et
le concept est bien vu puisque la majorité du temps, on cherche des infos qui
soient claires, argumentées et qui ne durent pas longtemps.
L’attention soutenue
est difficile à maintenir quand on n’a pas appris à être présent à soi. La durée moyenne de
la capacité de fournir un effort de concentration a été mesuré et ne
dépasse pas 20 minutes.
Ceci dit, avec les technologies actuelles, les réseaux
sociaux et l’instantanéité, cette mesure qui n’est pas récente, risque d’être
amenée à la baisse. C’est normal puisque nous recevons aussi d'énormes quantités d’infos
dont la plupart sont inutiles.
D’un certain côté, la nouvelle technologie et le
web ont changés énormément de choses et ce qui peut sembler comme illusoire,
superficiel et virtuel, c'est aussi une formidable occasion d’apprendre à
développer son ressenti, sa guidance et sa capacité de discernement.
La
spontanéité est une façon d’être qui exige la transparence et comme tout
commence en soi-même, là aussi, la connaissance intime et véritable de soi est
indispensable.
C’est ce qui permet d’avoir confiance en soi parce qu’on peut
être authentique.
La spontanéité et l’authenticité sont intimement liées.
« Le top 5 des techniques pour déceler un
mensonge »
Quand
on parle d’être centré en son cœur, d’être présent à son corps, c’est dans ce
sens, c’est ainsi qu’on va apprendre à se connaitre, à se reconnaitre et à
pouvoir être vrai.
Il ne faut pas se leurrer, nous avons accumulé des couches
superficielles autour de notre cœur, de notre être véritable dont le
comportement est celui de l’enfant par ses qualités naturelles, la spontanéité,
la vérité de l’instant, des pensées, des émotions, le non jugement ou l’innocence, l’amour
vrai de soi. Et c'est notre cœur qui peut rétablir l'équilibre et l'harmonie qui saura utiliser la dynamique des polarités, le mental n'a pas la capacité de rétablir l'ordre en nous. Seule la Source, la vibration d'unification, de l'union et des principes masculins et féminins complémentaires, associés, peut unifier les aspects internes, la personnalité et ses nombreuses sous-personnalités, l'âme et La Conscience ou le corps, l'esprit et l'âme.
Retrouver
qui nous sommes en vérité est un parcours intérieur, un face à face en toute
transparence et c’est ce qui nous permet
de lâcher tout autant les conditionnements que l’habitude de juger, c’est à dire
de ranger dans des cases. Il ne s'agit pas de se forcer à faire des bons choix, de coller au modèle supposé d'un humain divin mais d'accueillir ce qui vient et de laisser le cœur faire son travail.
C’est
en se regardant avec les yeux du cœur qu’on va retrouver l’enfant en soi et que
l’amour vibration va grandir en nous.
L’introspection est un voyage au cœur de
soi-même qui révèle l’amour lumière mais ça n’est pas un concept, c’est quelque
chose de vivant.
Les yeux sont le miroir de l’âme, l’expression de notre vérité
dans l’instant et lorsqu’on peut regarder quelqu’un dans les yeux, c’est le
signe qu’on a déjà bien clarifié la relation à soi.
Pouvoir se regarder dans
une glace sans détourner le regard est aussi révélateur du degré d’amour vrai
de soi. Je ne parle pas de l’apparence mais de la vibration qui s’exprime dans
le regard. Lorsqu’on a accueilli ce qu’on appelait défaut, accepté les limites
et le paradoxe de l’humain, lâché les jugements et à priori, le personnage
exprime jusque dans la chair, cet alignement à l’amour, à la source, l'harmonie des corps.
Cette
expérience réalisée par Amnesty international, montre bien la puissance de l’amour,
du regard, la communion qui se créée dans l’intimité de cet échange non verbal
qui pourtant est rempli de compassion. La reconnaissance de cœur à cœur se
révèle au fur et mesure.
« Il
y a vingt ans, le psychologue américain Arthur Aron démontrait qu’un
rapprochement s’opérait entre deux inconnus s’ils se regardaient quatre minutes
dans les yeux.
Partant de là, Amnesty International a réalisé un film
d’expérimentation pour rappeler, particulièrement en ces temps qui semblent
dominés par les conflits et la division, que "voir le monde à travers les yeux
d’une autre personne" est toujours bénéfique.
Ce film, “Look Beyond Borders”, produit à Berlin, part d’une rencontre symbolique d’Européens avec des réfugiés pour devenir une métaphore universelle.
Le
point de départ a été l’expérience d’Arthur Aron, qui a prouvé que le fait de
se regarder dans les yeux pendant quatre minutes pouvait significativement
rapprocher deux personnes. Les organisateurs ont décidé d’utiliser ce concept
dans le contexte de l’arrivée en Europe de milliers de réfugiés chaque année.
Ils ont mené cette expérience à Berlin, près du Checkpoint Charlie, pendant
deux jours. D’un côté, il y avait des réfugiés (surtout de Syrie) ; de l’autre,
des Européens (des Polonais, des Italiens, des Allemands et des Belges) - tous
des gens “ordinaires”.
Les
scènes n’ont pas été pré-arrangées et les personnes qui se sont assises les
unes en face des autres ne se sont jamais rencontrées auparavant.
L’expérience
est entièrement basée sur la spontanéité et le caractère naturel des réactions.
Les réfugiés viennent principalement de Syrie et vivent en Europe depuis moins
d’un an.
Grâce à cette expérience, il a été possible de montrer qu’une
rencontre entre des gens qui sont en théorie étrangers l’un à l’autre et issus
de cultures différentes peut devenir particulière et profondément inspirante.
Les frontières existent entre les pays, pas entre les êtres humains.
L’idée
de réaliser ce film est née en Pologne. Le Secrétariat international d’Amnesty
International à Londres, ainsi que les sections d’autres pays européens ont
participé à l’initiative de la section polonaise d’Amnesty International.
Ce
film se veut un message européen collectif adressé à tous et toutes à travers
le monde. Le projet a été lancé au même moment dans plusieurs pays, par-delà
les frontières et par-delà de la situation spécifique de chaque pays.
« Look
behind borders » amnesty inter
Au premier visionnage, mes poils se sont dressés et des larmes ont coulé parce que même si on peut imaginer que chacun était influencé par le contexte spécifique de l'expérience, le cœur de l'humain vibre et on ne peut pas rester indifférent à cela.
Tout passe par le regard puis le sourire qui montre l'ouverture, l'approbation, la reconnaissance d'un frère, d'une sœur en l'autre, d'un autre soi.
Lorsqu’on
parle des dons de l’esprit, de l’âme, il ne s’agit pas de voir des êtres de
lumière ou encore des énergies mais d’oser regarder en profondeur, au-delà de
la peur et des jugements. C'est derrière ces jugements et conditionnement, qu'on peut voir la lumière dans les yeux de l'autre.
Cette expérience m’a émue parce que ça nourrit l’espoir de voir l’humanité réunie, en
conscience, dans la paix, la sincérité du cœur, depuis et dans cet espace sacré.
Les
images se passent de paroles et ce langage de l’âme, du cœur, est connu de tous.
J'ai écris cet article hier mis au moment de le publier, une âmie a frappé à la porte.
C'est rare que j'aie de la visite et comme elle est en train de créer son entreprise, cette rencontre m'a fait du bien.
C'est toujours un plaisir de voir les gens réaliser leurs rêves et ça m'a aussi confortée dans ma propre vision des choses, la façon de mettre mon projet en place.
Il me manque encore un peu d'audace mais je suis ma propre guidance.
Quand à l'usage de l'herbe, j'ai pu constater que je n'en avait plus besoin pour oser être moi-même mais j'ai tout de même apprécié de pouvoir dormir sans me relever cette nuit. Puis j'ai noté que ça m'obligeait à être plus ancrée, présente et que j'étais plus sensible aux sensations physiques.
J'ai écris cet article hier mis au moment de le publier, une âmie a frappé à la porte.
C'est rare que j'aie de la visite et comme elle est en train de créer son entreprise, cette rencontre m'a fait du bien.
C'est toujours un plaisir de voir les gens réaliser leurs rêves et ça m'a aussi confortée dans ma propre vision des choses, la façon de mettre mon projet en place.
Il me manque encore un peu d'audace mais je suis ma propre guidance.
Quand à l'usage de l'herbe, j'ai pu constater que je n'en avait plus besoin pour oser être moi-même mais j'ai tout de même apprécié de pouvoir dormir sans me relever cette nuit. Puis j'ai noté que ça m'obligeait à être plus ancrée, présente et que j'étais plus sensible aux sensations physiques.
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr