mercredi 20 février 2013

Gratitude pour la terre mère, pardon à soi-même, et "comment arrêter de râler" Vidéo



 
Fleur dont je ne connais pas le nom
 Je bénis la terre mère pour les quelques moments passés au jardin. Pour le privilège d’avoir ce petit coin de terre où je peux m’éclater, jouer avec la matière, créer avec les éléments. Où chaque fois que j’y suis, je m’exprime telle que je suis, où je suis moi-même, fidèle à ma nature. Connectée à la mère, la conscience de la terre qui m’offre ce corps physique pour jouir de tous mes sens, sentir le sang qui coule dans mes artères sans plus aucun blocage, où l’énergie de vie s’écoule librement. 

Le printemps s'approche doucement mais sûrement!



 Comme on le dit si bien, la nuit porte conseil d’autant que je lis en ce moment les messages du collectif Ashtar où il est proposé de faire appel  à eux pour conscientiser, enfin prendre conscience de la véracité de ce qu’ils enseignent...J'ai dû les rencontrer cette nuit parce que mon réveil a été joyeux malgré les larmes versées hier.

Finalement, je me dis que si je veux réellement sortir définitivement du rôle de la victime, il faut que j’adapte totalement le regard que je porte sur moi, à ma foi en l’humain divin. Je peux considérer l’épisode d’hier, autrement. Me dire que certes j’ai libéré des restes de culpabilité, mais l’âme de l’autre personne a aussi appelé cette situation pour que sa personnalité puisse être éclairée et cet aspect là ne me regarde pas.
Mais le fait de le savoir, m'aide à ne pas me sentir seule concernée dans l'histoire et donc à minimiser le sentiment de culpabilité. Je fais trop souvent la connerie de prendre les agressions comme des attaques personnelles alors qu'il s'agit pour chacun d'avancer, de voir à travers l'autre ce qui reste caché, refoulé dans inconscient. Ce qui compte, c’est que j’en tire la conclusion que je doive continuer à accepter mes émotions, à ne pas les rejeter mais au contraire à aimer encore plus tout ce que je suis.