mardi 18 juin 2013

Cours 6/9 sur la prospérité, Métatron avec Reniyah Wolf, transmis par Joéliah


Image trouvée sur "The sacred of geometry" Facebook


Dans le message qui suit, l’accent est mis sur la nécessité d’aligner ses émotions sur la fréquence de l’amour. Ce qui revient à envisager les choses sous l’angle amoureux, de trouver les pensées qui feront d’un geste commun, quelque chose d’agréable. De trouver l’angle mental qui permette d’envisager les choses de façon positives afin que les émotions s’alignent sur les pensées et soit exprimées sincèrement. Enfin, c’est comme ça que je l’entends et c’est en parfait accord avec ce que j’expérimente quand je déclare : « Je suis Amour ». J’ai vu que j’avais affirmé cela, il y a cinq jours. En le répétant à chaque contrainte ou désagrément, c’est devenu presque automatique et j’en goûte réellement les fruits concrètement. Je ne peux que vous conseiller de tenter l’expérience et je le fais avec assurance puisque comme je l’ai dit ce matin, ça marche !

C’est magique, ça marche !!!!




Aujourd’hui, malgré le ciel gris et les traînées d’avions dans le ciel d’hier, j’ai un sentiment de puissance, la sensation d’être portée et guidée, plus que jamais. Ce n’est pas le fruit du hasard. C’est la conséquence logique de la proclamation que j’ai faite, il y a quelques jours. Depuis, c’est comme si tout était devenu relatif et les moments passés dans les basses fréquences sont très rares.
J’ai commencé la journée en lisant le passage d’un article du docteur Hamer, qui parle de la vaccination de masse qui permet d’implanter des puces électroniques.
En ouvrant le blog à la page statistique, j’ai vu qu’un lecteur venait du site « on devrait en parler », je vous recommande d’y faire un tour, si vous voulez avoir des infos plus honnêtes que celles données par les médias traditionnels.
16 juin 2013 (cliquez sur le titre ci-dessus pour accéder à la page)

Ce qui me fait parler de puissance intérieure, c’est qu’avant d’avoir dit clairement « Je veux servir l’amour et la lumière », de telles lectures suscitaient de la colère, du dégoût et de l’amertume mais aujourd’hui, ça n’est plus le cas. « Même pas mal ! »