vendredi 8 novembre 2013

S'AIMER VRAIMENT, ENTIEREMENT



A Andrew Gonzales


Bien que je me sois dit au réveil que je n’écrirai pas aujourd’hui, impulsivement, je m’y colle. Même si la question suivante émerge : que peux-ton avoir à dire chaque jour ? Je me mets au clavier sans complexe et même enthousiaste à l’idée de diffuser de l’énergie d’amour véritable de soi, de confiance en soi, de joie et d’abondance. Je ne sais plus qui disait dans « Les guignols de l’info », je crois, « on nous aurait menti ? » Et bien oui ! Et le plus gros mensonge auquel nous avons cru et que nous nous plaisons à nourrir avec le plus grand masochisme, c’est l’idée de la séparation, du bien et du mal, de la nécessité de servir l’autre pour gagner le ciel...On va me dire, et c'est la réaction première de tous, "Oui mais s'il n'y a plus de mal, c'est la porte ouverte à tous les excès...." Et je répondrais une porte ouverte, c'est la possibilité de changer. Puis l'humain n'est pas fou!
Toutes ces croyances n’amènent que souffrances, division, distance, bref nous éloignent de nos aspects divin, de notre cœur et de la vérité de la source ; elle est AMOUR INFINI. Les notions de devoir, de mérite, de récompense, de privilège ne font que nourrir la jalousie, la haine, l’amertume et les regrets. Or nous sommes l’amour et nous avons pour seule responsabilité, celle de nous aimer en totalité. Je proclame ceci avec une certaine assurance parce que mon expérience quotidienne en est la preuve flagrante. Je n’ai jamais autant progressé que depuis que j’ai balayé les fausses croyances de 3D. C’est le plus bel acte d’amour que je me sois donné et qui m’ouvre sur tant de potentiels, de perspectives que je ne cesserais jamais d’en témoigner, même si parfois mon mental se fatigue dans la répétition, si mon ego se « choque »...
J’en suis à un stade où mon cœur grandit au point de couvrir mon enveloppe corporelle. C’est une image mais pas seulement. Comment peut-on amplifier l’amour de soi si ce n’est en s’autorisant à répondre à toutes les demandes d’amour de nos différents corps. A ce propos voici une citation de Marshal Rosenberg, trouvée sur Facebook :