mardi 3 février 2015

« Paix, gratitude et joie ; les fruits de l’acceptation de ce qui est »






Les choses changent vraiment, c’est une certitude que je suis incapable d’expliquer. 
On peut, par les sites alternatifs d’infos, constater tous les bouleversements géo-politiques, économiques, scientifiques…
Tant à l’échelle mondiale qu’à l’échelle individuelle, les connaissances spirituelles reçues ces dernières années et appliquées au quotidien, nous révèlent à nous-même d’une façon extraordinaire.
C’est vrai que la perte de repères peut engendrer des problèmes psychologiques mineurs mais la libération des croyances, qu’on devrait plutôt appeler superstitions puisqu’elles sont fondées sur la peur et le manque, créé un espace mental permettant la réception de révélations personnelles, divines. 
Je dis « divine » parce que c’est une nouvelle façon de voir, de percevoir, qui se met en place, depuis le cœur. 
Le cœur étant la porte sur toutes les dimensions de l’être, il est indispensable de dissoudre la carapace faussement protectrice qui l’entoure. 
C’est ce qui peut donner l’impression d’insécurité, de devoir lutter, forcer. 

Naturellement, la lumière étant l’essence divine de l’être, elle va tout révéler de soi. 
Elle ne choisit pas d’éclairer, ni sa « cible », c’est son état d’être. Ce qui veut dire qu’il n’y a pas de jugement de valeur, de notion de bien et de mal, d’intention même, dans sa rayonnance.

« Manuscrit de Marie Madeleine » Initiation à la magie sexuelle d’Isis via Tom Kenyon et Judi Sion



 


UN 
« J’ai été élevée dans une famille pour qui la magie était familière. Mon père venait de Mésopotamie et ma mère était égyptienne. Avant ma naissance, elle avait adressé des prières à Isis pour avoir un enfant. Cet enfant, c’est moi. On me connaissait sous le nom de Marie Madeline.
Lorsque j’ai eu douze ans, on m’a envoyée étudier dans une communauté secrète d’initiés protégés par Isis. J’ai reçu les enseignements secrets de l’Égypte, les alchimies d’Horus et la magie sexuelle du culte d’Isis. 
Lorsque j’ai rencontré celui que vous appelez Yeshua, j’avais déjà reçu toutes les initiations. Je m’étais préparée à faire sa rencontre au puits. 
Les Évangiles font de moi une prostituée, car tous les initiés de mon ordre portaient un bracelet en or représentant un serpent ; cela signifiait que nous pratiquions la magie sexuelle, par conséquent, aux yeux des Hébreux nous étions des prostituées.

Lorsque j’ai vu Yeshua et que nos regards se sont rencontrés, j’ai su que nous étions destinés l’un à l’autre. Ce que je m’apprête à vous dire n’est connu que de ceux qui étaient avec moi. Bien des légendes ont couru concernant ce qui est arrivé. Mais pour moi c’est l’histoire d’un très grand amour. Que Yeshua ait eu une vision du monde, cela ne me concerne pas. Mon histoire est une histoire d’amour. Beaucoup de gens ont suivi Yeshua. Et les occasions que nous avons eues d’être ensemble n’ont pas été nombreuses. Les Évangiles n’évoquent pas ces faits, car seuls ceux qui étaient avec nous le savaient. Avant que Yeshua se rendre au jardin de Gethsémani, nous avons conçu un enfant, dont le nom devait être Sarh.