L’écoute
des conférences et le blog me permettent en ce moment de réaliser beaucoup de
prises de conscience et la réalité de la guidance permanente de l'âme. On dirait que le fait d’associer un événement à
priori pas traumatisant de l’enfance, à un comportement limitant ou négatif, d’aujourd’hui,
permet de trouver un genre d’équilibre intérieur. En tous cas c’est un
mieux être certain qui en découle. C’est ce qu’on appelle conscientiser.
Certainement qu’il se produit un soulagement intérieur du fait de voir
clairement quelque chose en soi et de le faire avec compassion. En répondant à
un commentaire de Maa, hier, j’ai revu une scène très souvent vécue dans mon
passé et j’ai compris que c’est là que j’ai associé l’idée que de montrer son
amour par des gestes, l’exprimer sans retenue, amenait à être ridiculisé. Je
vais réécrire ce que j’ai mis dans le commentaire pour simplifier les choses. Je
précise que je ne cherche pas à nourrir la victime, à me faire plaindre...je
témoigne simplement de la façon dont nous créons des croyances dans notre
enfance et comment celles-ci forment peu à peu notre ego. Nous sommes si
fragiles entre 0 et 7 ans et incapables de gérer nos émotions, de les traiter
avec sagesse, que notre intellect conclue bien vite ce qui constituera des
vérités qui nous guideront toute notre vie d’adulte. Et à moins d’en prendre
conscience, nous agirons à partir de ce personnage intérieur et de ses
convictions. C’est marrant mais en écrivant le personnage, j’ai fait une faute
de frappe et l’ai écrit ainsi : personnange ! Il n’y a pas de hasard,
mon âme tient à ce que je précise aussi quelque chose de fondamental ;