dimanche 2 juin 2013

"On ne peut pas nier le changement" Sarah-Jane Grace et compilation "Playing for change"



Émission solaire


Voici un petit message trouvé sur Facebook TransLight dont le contenu a confirmé mon ressenti de ces derniers jours. Puis la compilation des chanteurs de rue de « Playing for change ». Ce sont des reprises de chansons populaires de tous pays qui parlent d’amour, de paix et de fraternité.
« On ne peut pas nier le changement, il est tout autour de nous. C’est peut-être la seule constante dans la vie. Changements, fins et commencements, commencements et fins. Le cycle se poursuit désormais avec une certaine intensité alors qu’il nous est demandé de faire face à nos peurs, de prendre conscience de nos dons et d’aller vers l’inconnu.

Dernier message reçu par Monique Mathieu : « Les vrais chamanes »


signature illisible


Je viens de faire un tour sur le site de Monique Mathieu et ce message m’a particulièrement touchée puisqu’il m’éclaire dans le désir d’aider. Il me confirme ce que je crois concernant le soutien qu’on peut apporter à ceux qui sont en demande. 
Je reste assez frustrée d’avoir laissé tomber l’idée de proposer un accompagnement parce que je suis convaincue que c’est ma voie. C’est une conviction au niveau du cœur, de l’âme. Personne ne peut se vanter de ne pas avoir à apprendre encore et toujours et comme nous ne sommes pas tous au même stade de progression, nous pouvons faire en sorte que ce qui est acquis puisse servir à d’autres. Evidemment ça demande une certaine assurance mais là encore, il n’est pas question de se vendre mais de trouver le juste équilibre entre donner et recevoir. De ne pas s’oublier puisque le temps dont chacun dispose doit être partagé entre le soin que l’on s’accorde et celui qu’on accorde aux autres. Je n’étais pas prête à affronter la critique mais mon désir de partager ce que j’ai compris et surmonté, reste intact. 
Je continue de faire confiance à mon ressenti et à la vie qui saura me dire quand le moment sera venu. Les aspects matériels d’une telle entreprise me gonflaient un peu mais il est nécessaire de savoir cadrer, poser des limites afin de ne pas se laisser manipuler ni absorber l’énergie. Il faut être capable de libérer les charges émotionnelles reçues, les éventuelles entités parasites qui « vampirisent » ceux qui sont dans des vibrations basses par la déprime ou le désespoir et de ce fait sont dans une demande d’aide. Cela demande d’avoir beaucoup d’amour pour soi-même et pour toute vie, quelle qu’elle soit et de savoir se libérer de celles qui nous « collent ». 
Certainement que je n’avais pas atteint ce degré d’estime de soi. D’un autre côte, cette expérience a eu l’avantage de m’obliger à faire le tri et à libérer des peurs qui continuaient de m’habiter sans que j’en sois consciente. Je reste convaincue qu’il n’est pas nécessaire de fixer un tarif et que c’est celui qui demande l’aide qui doit décider ce qu’il veut donner en échange. C’est aussi un moyen de considérer le demandeur comme quelqu’un de mature capable de s’investir dans sa propre guérison. Enfin, j’ai confiance en ma capacité d’être intègre et de faire les choses comme je les sens.

Pourquoi moi ?

Steve Hanks


C’est une des questions que l’on se pose lorsqu’on est victime d’injustice dans son enfance. La réponse bien souvent est la même : Parce que tu peux le transcender, le surmonter, en faire un tremplin pour t’élever vers la source de ta véritable identité. Parce que ton âme est arrivée à un stade de sagesse suffisamment grand pour appréhender les situations, avec l’amour et la lumière de ton être divin. Parce que tu as sondé les profondeurs et connu la lumière qui s’y trouve que tu peux te libérer de la notion de bien et de mal et voir qu’en toute chose, il y a son contraire. Parce que tu peux être capable de voir ton frère comme un égal, de pardonner et même de comprendre que le pardon est encore un fruit de la conscience dualitaire. Ayant goûté la vie dans tous les sens, tu en connais la substance et la valeur de l’amour inconditionnel. Tu peux maintenant choisir d’être qui tu es, un humain divin dont le plus grand pouvoir est celui d’aimer, de t’aimer entièrement afin d’être libre de toute attache et de goûter à ta souveraineté, dans un monde uni et en paix.
Bien que je croie en la loi de cause à effet, ma vision du karma n’est pas celle que l’on a généralement. Je ne croie pas du tout que nous payions pour nos erreurs. Je suis totalement convaincue que nous venons ici pour apprendre et comprendre.
Chaque incarnation est décidée à partir de notre conscience la plus élevée, celle qui est en connexion directe avec la source, celle qui est la source elle-même. Elle ne veut qu’une chose : se connaître en profondeur, entièrement. Savoir ce qu’elle est, savoir ce qu’est cette énergie d’amour qui lui donne la vie.
Elle n’a aucun sens du bien et du mal et ne s’effraie pas de ce que nous qualifions de mauvais puisqu’elle est consciente d’être l’amour et la lumière que rien ne peut détruire puisqu’elle est, de toute éternité.

Les secrets



 
Jack Keruak
Depuis hier soir, des douleurs vives aux poignets me montrent que la libération du passé s’effectue en profondeur. Une lectrice m’avait parlé du sens des mots et ça m’avait semblé très juste. « Les poids niés », ça n’est pas par hasard si la douleur venue de nulle part, puisque je n’ai pas sollicité spécialement ces parties de mon corps, s’est localisée à ces endroits. Le fait de laisser la tristesse puis la colère s’exprimer, ont eu pour effet de libérer cette charge émotionnelle trop longtemps contenue.  Le travail de nettoyage du mental est une première étape nécessaire mais la libération des émotions est indispensable. C’est sûr que ça n’est pas réjouissant mais quand on sait que tout ce qui sort est libéré et n’aura donc plus d’impact, ça peut être motivant. De toute façon, tant que ça reste en soi, notre enfant intérieur qui a soif de liberté, jouera les troubles fête en influençant notre comportement.
Hier, j’avais préparé un texte que j’ai lu sur un site qui parle du problème de l’inceste mais comme il aborde le problème relationnel familial et définit tout abus, toute dominance même affective, je n’ai pas osé le publier de peur que l’on croie que je cherche à "accuser" tout le monde de déviance. Pourtant, il est clair que beaucoup de relations filiales et même humaines, sont abusives même si la sexualité n’est pas directement exprimée. Personne n’est à blâmer puisque c’est l’ignorance qui amène l’incompréhension et les comportements distorsionnés. Si notre société est si mal en point, c’est par manque de connaissance. Nous avons une idée de l’amour si faussée qu’il est logique de voir tous les excès et les abus qui proviennent du besoin insatiable d’aimer. C’est en chacun, le besoin d’amour est vital, il est ce qui donne une raison d’être à l’humain qui est constitué de cette énergie, cette essence qui anime toute vie.  
Son mode d’expression diffère selon le règne, selon qu’il soit animal, végétal...ou humain. Selon les cultures, l’éducation, la façon dont chacun le conçoit. La sexualité est une forme d’expression de l’amour qui peut être sacrée si celle-ci est vécue à partir du cœur, par un être qui est dans l’unité, l’harmonie intérieure. Tant que nous n’atteignons pas ce niveau de compréhension et cette maîtrise, on continue de croire par exemple, qu’être jaloux est un signe fort d’amour pour l’autre.