jeudi 8 janvier 2015

« Je choisis d’être l’amour, de vibrer, de rayonner l’amour divin »






Les dernières 24 heures ont marqué un tournant décisif dans l’histoire du pays mais aussi en chaque individu. Je me sens touchée en plein cœur, jusque dans les tripes par cet attentat qui m’a définitivement permis de faire le deuil de la victime intérieure.

Parce que le sens de cet événement, au niveau de l’âme, est purement spirituel, avant d’être mondain, comme tout ce qui se passe en chacun et dans ce monde. Chacun a dû se positionner face à ce choc, choisir d’entrer en réaction ou bien d’intérioriser la nouvelle cinglante.
L’humanité dans son ensemble est tellement endormie, bercée par les médias, au gré des divertissements, submergée par les émotions, qu’il faut des évènements de la sorte pour que chacun s’éveille à sa vraie nature. 
Celle qui est cachée par nos blessures, nos peurs et qu’on peut connaitre seulement en venant en son cœur. 
Les crises nous poussent dans nos retranchements, nous plongent dans nos profondeurs, elles nous révèlent l’état de notre inconscient, de notre corps émotionnel et mental puis de nos croyances et plus que tout notre capacité à aimer, notre pouvoir d’aimer.

Tout humain vient apprendre sur cette planète, ce que c’est que d’aimer depuis un corps multidimensionnel, aux multiples perceptions, dans un monde de dualité où les forces ombre/lumière s’opposent. 
Le truc, c’est d’arriver à reconnaitre sa nature divine malgré les apparences et les conditions spécifiques de la densité, de la dualité. Je devrais plutôt dire: grâce à ce conflit permanent entre l’ombre et la lumière, nous pouvons nous reconnaitre.