C’est assez marrant d’être l’observatrice de soi-même tout
en étant l’actrice !
Même si ça frise le dédoublement de la personnalité, il y a un côté ludique dans cette piste aux trésors, cette découverte de l'intérieur, qui me plait bien.
Tout m’apparait beaucoup plus clairement depuis que j’ai accordé mes corps sur la même fréquence, en réalité, dans la pratique et plus seulement comme une belle intention affirmée avec conviction, sans passer à l’action.
La conversation avec ma mère hier soir a été très instructive. J’aime sa lucidité, sa sincérité, même si très longtemps ça me semblait être de la dureté de cœur, un manque de respect pour mon enfant intérieur.
Tant que je continuais de souffrir de mon passé, tant que je ne prenais pas en charge mes blessures, que je fuyais mes émotions, je ne pouvais voir les choses telles qu’elles sont en vérité. J’interprétais tout au travers de ma douleur, avec le système de croyance de mon enfant intérieur, de toutes ces parts restées figées à l’époque du trauma. Même si mon corps physique avait l’apparence d’une adulte, mon monde intérieur avait 4 ans ! Mon corps émotionnel restait bloqué à cet âge tant que toutes les émotions imprimées alors, demeuraient en moi.
Comme le corps émotionnel est étroitement lié au corps mental, les croyances liées au trauma restaient des vérités que seule la conscience pouvait extraire, libérer. Quand une émotion similaire à celles enfouies dans l’ombre, surgissait, la charge énergétique était démesurément amplifiée et j’avais le comportement d’un enfant de quatre ans, la vision de cette époque qui enclenchait naturellement les mécanismes de survie d’alors.
Même si ça frise le dédoublement de la personnalité, il y a un côté ludique dans cette piste aux trésors, cette découverte de l'intérieur, qui me plait bien.
Tout m’apparait beaucoup plus clairement depuis que j’ai accordé mes corps sur la même fréquence, en réalité, dans la pratique et plus seulement comme une belle intention affirmée avec conviction, sans passer à l’action.
La conversation avec ma mère hier soir a été très instructive. J’aime sa lucidité, sa sincérité, même si très longtemps ça me semblait être de la dureté de cœur, un manque de respect pour mon enfant intérieur.
Tant que je continuais de souffrir de mon passé, tant que je ne prenais pas en charge mes blessures, que je fuyais mes émotions, je ne pouvais voir les choses telles qu’elles sont en vérité. J’interprétais tout au travers de ma douleur, avec le système de croyance de mon enfant intérieur, de toutes ces parts restées figées à l’époque du trauma. Même si mon corps physique avait l’apparence d’une adulte, mon monde intérieur avait 4 ans ! Mon corps émotionnel restait bloqué à cet âge tant que toutes les émotions imprimées alors, demeuraient en moi.
Comme le corps émotionnel est étroitement lié au corps mental, les croyances liées au trauma restaient des vérités que seule la conscience pouvait extraire, libérer. Quand une émotion similaire à celles enfouies dans l’ombre, surgissait, la charge énergétique était démesurément amplifiée et j’avais le comportement d’un enfant de quatre ans, la vision de cette époque qui enclenchait naturellement les mécanismes de survie d’alors.