mercredi 30 octobre 2013

Message du Peuple des Chiens reçu par Caroline Leroux






Nous voilà enfin! C’est à notre tour de vous parler! Nous sommes si heureux de partager notre joie avec vous. Pourquoi sommes-nous si heureux? Mais parce que la vie est un grand jeu, voyons donc! Voulez-vous venir dehors avec nous? Il y a tant d’odeurs à humer, de courses folles à faire, de balles bondissantes à attraper, de gazon frais à fouler, d’amis canins qui nous attendent, et quoi dire de l’air frais, du vent qui nous chatouille, nous pousse, nous freine et joue avec nous...
Qu’attendez-vous donc, l’air renfrogné? Il n’y a pas un instant à perdre. Il nous faut aller de l’avant dans le redécouverte constante du moment présent qui nous appelle. Il n’y a jamais un moment pareil à l’autre, il n’y a qu’une suite d’instants remplis de sensations affriolantes. Venez jouer, chers amis humains. Sortez de votre inquiétude et vous découvrirez un nouveau monde. C’est là que nous vivons, nous les chiens, et c’est là que nous tentons de vous amener le plus souvent possible! Au diable les soucis, allons faire un tour. La vie n’est pas soucis, elle est. Point. Pour la capter dans sa plus grande beauté, il vous faut jouer. Les enfants l’ont bien compris, et c’est pourquoi nous aimons bien leur compagnie! Tous deux -chiens et enfant- nous savons partager la magie du moment présent. Ceux d’entre vous qui avez eu la compagnie d’un Être canin dans l’enfance savent bien qu’il n’est pas facile de retrouver une telle complicité!
Nous les chiens, nous nous ancrons dans le jeu, la joie du moment présent, la conscience du corps et l’amour inconditionnel ou, si vous préférez, l’acceptation. Nous sommes incapables de juger les humains qui se présentent à nous car nous n’avons pas de barème de jugement du bien ou du mal. Nous vivons à l’extérieur de cette conscience qui est d’abord sociale.

Un jour nouveau de plus...vidéos Isabelle Padovani et Caroline Leroux




Féliz "dérangé"en séance minutieuse de toilettage

« Meo », Voilà le son qui m’a sortie de mon sommeil à trois heures du mat’ ! « Poufion de Pouton » (un des nombreux noms de ce chat, l'amoureux reflet de mon cœur) à été ma réponse. La journée commençait bien, dans la spontanéité, sans complexes ni culpabilité, même pas honte d’en parler ! Je n’avais pas remis le radio réveil à l’heure après la coupure électrique d’hier et du coup, je me suis levée comme je me sentais suffisamment reposée. Il faut dire que j’étais couchée à 21h hier soir. Je ne me fie plus du tout au temps de la société préférant suivre les mouvements intérieurs, les envies et besoins de mes corps. Bien que je réponde encore, en premier, à celui qui s’exprime le plus fortement, j’apprends à pacifier tous ces aspects invisibles mais néanmoins réels, de ma personnalité. Enfin de mon être puisque tout ce que je suis est l’humain divin et que je me considère entière, intègre dans l’unité de ce qui me compose. Comme mes intentions sont l’amour, la paix et la joie, je m’exerce à accueillir ce qui est, dans la neutralité, disons plutôt dans l’acceptation. La neutralité peut être confondue avec l’indifférence, l’insensibilité or la sensation émotionnelle de la tendresse est essentielle. Les côtés fragiles de l’humain permettant la connexion aux forces divines intérieures par le cœur, dans cet espace où tout s’unifie, je ne m’en prive surtout pas. Disons plutôt que j'apprends à laisser cette vulnérabilité exister en moi, peu à peu, par la désagrégation de la carapace chimique . Je suis heureuse d’avoir retrouvé l’assurance née de la clarté et mon « discours » d’hier avec « l’invisible » a porté ses fruits amenant détente, calme et sensation d’être enfin moi-même. Je reste convaincue de m'être adressée à des entités égarées puisque je fais le même constat à chaque fois. La différence de mon état d'esprit avant et après le "contact", est indéniable. Toutefois, ça reste une expérience et une "méthode" dont le seul but est de retrouver la paix intérieure et l'intégrité. En même temps, ça conforte ma foi en l'humain divin éternel et en la mort qui est juste une porte d'accès à une autre dimension, une transformation comme une autre, faisant partie du cycle évolutif de la création.