mercredi 30 octobre 2013

Un jour nouveau de plus...vidéos Isabelle Padovani et Caroline Leroux




Féliz "dérangé"en séance minutieuse de toilettage

« Meo », Voilà le son qui m’a sortie de mon sommeil à trois heures du mat’ ! « Poufion de Pouton » (un des nombreux noms de ce chat, l'amoureux reflet de mon cœur) à été ma réponse. La journée commençait bien, dans la spontanéité, sans complexes ni culpabilité, même pas honte d’en parler ! Je n’avais pas remis le radio réveil à l’heure après la coupure électrique d’hier et du coup, je me suis levée comme je me sentais suffisamment reposée. Il faut dire que j’étais couchée à 21h hier soir. Je ne me fie plus du tout au temps de la société préférant suivre les mouvements intérieurs, les envies et besoins de mes corps. Bien que je réponde encore, en premier, à celui qui s’exprime le plus fortement, j’apprends à pacifier tous ces aspects invisibles mais néanmoins réels, de ma personnalité. Enfin de mon être puisque tout ce que je suis est l’humain divin et que je me considère entière, intègre dans l’unité de ce qui me compose. Comme mes intentions sont l’amour, la paix et la joie, je m’exerce à accueillir ce qui est, dans la neutralité, disons plutôt dans l’acceptation. La neutralité peut être confondue avec l’indifférence, l’insensibilité or la sensation émotionnelle de la tendresse est essentielle. Les côtés fragiles de l’humain permettant la connexion aux forces divines intérieures par le cœur, dans cet espace où tout s’unifie, je ne m’en prive surtout pas. Disons plutôt que j'apprends à laisser cette vulnérabilité exister en moi, peu à peu, par la désagrégation de la carapace chimique . Je suis heureuse d’avoir retrouvé l’assurance née de la clarté et mon « discours » d’hier avec « l’invisible » a porté ses fruits amenant détente, calme et sensation d’être enfin moi-même. Je reste convaincue de m'être adressée à des entités égarées puisque je fais le même constat à chaque fois. La différence de mon état d'esprit avant et après le "contact", est indéniable. Toutefois, ça reste une expérience et une "méthode" dont le seul but est de retrouver la paix intérieure et l'intégrité. En même temps, ça conforte ma foi en l'humain divin éternel et en la mort qui est juste une porte d'accès à une autre dimension, une transformation comme une autre, faisant partie du cycle évolutif de la création.


"Cra", au printemps dernier

Depuis quelques temps, la chienne se gratte au point de s’arracher des touffes de poils. J’ai hésité à aller chez le véto puis comme je me méfie des prescripteurs de médicaments, et que je fais confiance en premier lieu à ma guidance, j’ai préféré être plus attentive, douce avec elle et utiliser les rayons sacrés pour la calmer, la soulager. D’un autre côté, j’ai cherché ce qui pouvait lui donner ce qui semblait être une allergie aux puces mais comme elle a un collier efficace et que je ne lui en ai trouvé qu’une, il restait la nourriture. Ses croquettes qu’elle aime, mais dont l’odeur me fait suspecter quelque chose de malsain, me semblent inadaptées, trop riches ou je ne sais quoi. Puis, un mail de Caroline Leroux, spécialiste en communication animale, était dans ma boîte ce matin. Comme par « hasard », une des vidéos qu’elle partage aborde le thème de la nourriture animale. Elle conseille ce qu’il y a de meilleur pour éviter quoi ? Les allergies alimentaires ! Je partage cette vidéo puis publierais d’autres messages reçus par channeling, du monde animal.

"La nourriture pour animaux" Pas moyen de mettre la vidéo sur cette page! En cliquant sur le lien, vous serez redirigés sur You Tube

http://youtu.be/MD7Cuba4R2Y


J’ai toujours été très proche de ce règne qui porte les qualités divines telles que l’amour inconditionnel, la sagesse et le contact intime avec la nature... Ils sont pour moi des maîtres enseignants plus sûrs que les humains, par leur capacité à vivre en harmonie avec ce qui les entourent. Madame Cra, la chienne, va donc changer d’alimentation et nous allons essayer un régime constitué aux trois quarts de légumes sec et le reste de viande ou pas, ça va dépendre de ma capacité à acheter du cadavre. Je n’ai toujours pas envie de viande et rien que l’idée de manipuler ce truc à l’odeur fétide, me rebute. J’essaierais tout de même de lui acheter du poulet sur le marché, à un petit producteur, histoire de l’habituer progressivement au changement. Je ferais « au feeling » comme d’habitude. 

Linzi Lynn

J’ai retrouvée mon assurance à écrire avec le cœur, sans douter de moi, avec une envie de partager ce qui fait sens pour moi et qui m’anime, amplifiant la joie de vivre et l’amour. Je risque d’utiliser ce mot et même d’en abuser encore et encore, tant il est l’essence vital et primordial de toute vie, le moteur de toute action, la raison d’être de tous... Sa circulation est nécessaire et permet un élargissement de conscience en même temps que la guérison et le bien-être. C’est mon énergie favorite, ma raison d’être et même si pour certain la répétition pourra souler, faites en l’occasion d’y voir l’écho de votre difficulté à accueillir votre véritable nature. Je sais ce que c’est que d’avoir peur d’aimer et par comparaison comment l’acceptation de cette énergie essentielle peut bouleverser une vie, un être, lui rendant toute sa noblesse, son intégrité et ces attributs divins.

J’ai regardé à nouveau la vidéo qui suit et des larmes sont sorties en même temps que j’ai compris quelque chose d’essentiel. Bien que je tourne autour du pot depuis quelques jours, il m’est apparu comme évident qu’il me fallait pardonner à ma présence divine de s’être « éclipsée » ou plutôt le fait de ne pas arriver à ressentir l’amour immense, la connexion flagrante à l’amour que je suis, comme lorsque j’ai pris conscience de mes origines divines, par la rencontre avec le Christ. Comme l’explique très bien Isabelle Padovani dans son enseignement, l’expérience d’éveil est temporaire, elle a un début et une fin, comme toute expérience, et c’est une très bonne chose. Comme elle dit, si c’est pour rester scotché à l’arrière plan et ressembler à du papier peint, quel intérêt de savoir qui on est. Je copie-colle, par flemme de réécrire, ce que j’ai écris tout de suite après avoir regardé la vidéo suivante : 
« Sans l’expérience de l’arrière plan je n’arriverais à rien »  Isabelle Padovani



En regardant cette vidéo, je me suis rendue compte que j’avais la nostalgie de ces moments fabuleux où je ressentais l’amour divin avec une forte intensité. Il y a eu le premier « choc » de la rencontre avec mes origines divines où mon cœur s’est ouvert à l’amour. Cette expérience n’avait d’autre but que de me permette de retrouver ma véritable nature et ma mission d’âme, incarner l’amour que je suis. J’ai compris beaucoup plus tard que ce que j’avais vécu n’avait pas d’autre intérêt, à cet instant précis, que de maintenir mon envie de vivre, par cet espoir que l’amour peut se ressentir en soi et à travers l’autre. Mais maintenant, après maintes tentatives pour retrouver cet état en étant seule, dans une méditation, dans la connexion à l’âme et n’ayant pas retrouvé la même intensité, je prends de plus en plus conscience que les moments forts qui ont été vécu étaient le résultat de l’interaction bienveillante avec d’autres humains. L’amour en soi n’est pas fait pour être gardé, enfermé, il est là pour être partagé et c’est lorsque je me tourne vers l’extérieur et que je l’exprime que je peux en sentir son mouvement et donc son amplification. La connexion à l’âme bien que réelle est plutôt subtile, la sensation n’est pas aussi forte que lorsque je suis dans une relation à l’autre où les pensées se rejoignent où les émotions sont échangés où cet amour circule en tous mes corps et en tous les corps de l’autre. Ce qui en détermine la puissance c’est lorsqu’il y a connexion avec l’autre dans tous les dimensions de l’être. Quand la vibration passe de corps mental à corps mental puis de corps émotionnel à corps émotionnel, jusqu’au cœur où elle est magnifiée. Le « plus » c’est quand les chakras du bas sont aussi de la fête. Et le summum, c’est lorsque la présence divine des deux humains est en reliance, en interconnexion. 
Même si je peux fusionner avec la présence à certains moments c’est quand elle se manifeste dans d’autres de ses expressions et qu’on est en relation que la « sensation » d’amour est décuplée. 
L’extase permanente éloignerait du monde or il s’agit maintenant de réunir le monde par l’amour, la fraternité et non chacun de son côté, il est question de réunion. Ceux qui l’on vécu comme certains saints ou des gens qui ont été idolâtrés comme des maitres, étaient des témoins de cette connexion pour amener les autres à croire à leurs origines divines. Même si réunir tous ses corps procure une sensation de paix, et permet de guérir, par la réconciliation avec le divin, ça reste limité dans le temps et une fois de plus c’est tant mieux parce que l’expansion réelle passe par la relation à l’autre. 
Maintenant que je sais que je ne risque pas de me perdre dans celle-ci puisqu’elle ne représente plus le seul moyen d’être, d’exister, je n’ai plus de raison de craindre la rencontre, au contraire en y amenant les qualités de la présence, elle n’en sera que sublimée. Il me reste à m’habituer à contacter mon essence divine, en conscience dès que je me sens séparée d’elle et je n’aurai plus de raison d’avoir peur de manquer de l’amour de l’autre puisque je sais qu’il est en moi. C’est encore une question d’équilibre entre aller vers l’extérieur et se tourner vers l’intérieur. 

Chi Tung Chiang

En attendant, je continue d’accueillir les émotions intérieures de l’enfant blessé qui heureusement guérit, s’ouvre de plus en plus et me donne l’espoir d’être totalement libéré de traumas pour oser à nouveau aimer sans avoir peur de souffrir. Le simple fait que l’élan d’aimer, d’aller vers l’autre, sans appréhension, se manifeste à nouveau est la preuve que les parts blessées, celles qui ont souffert du manque d’amour, guérissent vraiment. Puis même si une rupture survient, tant que l’amour de soi est vibrant, perçu, vécu, il n’y aura pas de perte insurmontable. Je peux donc aimer sans peur de perdre, sans me sentir obligée de retenir l’autre, de l’enfermer...
Merci encore Isabelle Padovani ! Merci de partager ton expérience avec autant d’humilité et de simplicité malgré tes capacités mentales, intellectuelles indiscutables. Je doute qu'elle lise ce blog mais l'intention est émise. Personnellement, j’ai choisi de favoriser le ressenti, de développer les qualités du cœur plutôt que celle du mental qui bien qu’il puisse être source d’épanouissement par son côté créatif, imaginatif et par le pouvoir de la pensée, il est aussi capable d’éloigner de l’essentiel s’il n’est pas associé au cœur. L’idéal, c’est de pouvoir harmoniser tous nos corps et ainsi goûter pleinement notre potentiel immense d’humain divin. J’y crois et persévère dans ce sens. Déjà, délester ce corps de toutes ses fausses croyances, dans l’amour, la tendresse envers lui, permet de trouver la voie du juste milieu. 
Reprendre contact avec ses émotions après avoir libéré la notion de dualité est une redécouverte de soi-même, de la connexion permanente à l’âme, au divin intérieur qui les utilise comme indicateurs en même temps que moteur. 
C’est quand même bien foutu un humain divin ! 
Chaque jour, je suis en admiration devant les découvertes extraordinaires que je fais au travers du ressenti, et par-dessus tout la magie qui se vit dans l’acceptation, la sensation de paix et de bien-être qui en découlent, est un baume pour le cœur et une ouverture immense sur tous les potentiels, une sensation de liberté, de souveraineté magnifique ! 
Voyons si j’ai le « courage » aujourd’hui, de contacter Isabelle Padovani, juste pour la remercier et Joéliah pour lui proposer des illustrations « made home », des rayons. Depuis plus de six mois, ça me trotte dans la tête mais des peurs m’empêchaient d’oser. Peur d’être rejetée, peur d’exprimer ce que je suis à travers ce que je fais, peur que ça ne lui plaise pas. Maintenant que je suis enfin en amour avec ce que je suis, le risque d’un refus est moindre mais il semble qu’il y ait encore quelques blocages. On verra bien au feeling, comme d’hab’.
Pour ceux qui trouveraient mon langage trop familier ou pas assez « propret », sachez que je favorise l’expression directe et spontanée puisqu’elle est, selon ce que je crois celle de l’être qui ne s’encombre pas de belles formules mais va plutôt droit au but, au cœur. Pour ce qui est des mots que j’invente, ça fait partie de qui je suis. C’est une chose que j’ai toujours faite, peut-être une façon de vouloir personnaliser la relation, la rendre plus intime. Enfin en tous cas, je l’ai toujours fait avec les animaux qui comprennent le sens de mon langage à travers les énergies qu’il porte. C’est une façon de rendre la relation exclusive, spéciale une forme d’intimité qu’il me plairait de vivre avec les humains. Sans le côté, "je m'approprie". 

Jantina Peperkamp

Finalement, quand nous parlons en nous-même, à part les voix des gardiens, celles de l’aspect de nous qui croit devoir être, ressembler à...de celui qui croit en la force de la volonté, celui qui pense qu’il faut à tout prix plaire...A part donc ces parts figées, notre aspect le plus proche de qui nous sommes en toute sincérité, la part qui sait exprimer les émotions sans retenue, et sans complexe, utilise un langage familier. Notre aspect aimant, « peace and love » aura lui un langage plus poétique, chantant. Je m’amuse à les découvrir et à les personnifier comme le préconise Isabelle Padovani. Oui, je sais je la cite beaucoup mais c’est juste par honnêteté. J’ai eu peu de guides dans ma vie, peu de personnes m’ont réellement enseigné quelque chose d’utile, du moins de vérités de façon complète, reliant l’humain et le divin. Lise Bourbeau m’a fait le même effet mais la différence d’âge et de génération font que je n’ai pas autant d’affinités qu’avec Isabelle Padovani. Je me retrouve dans le côté rentre dedans, spontané, le goût pour le rire et l’affection pour l’enfant intérieur, ou l’enfant moi, comme elle dit, le besoin insatiable de chercher, de comprendre, de trouver le bien-être. Bref, encore merci ! Je serais assez tentée de faire une formation à la communication non violente mais vu mes moyens financiers...De toute façon si c’est le désir de mon âme, mon chemin, ça viendra naturellement et facilement. C’est la première fois que je suis tentée par ce genre d’expérience, que je me sens capable d’entendre quelqu’un m’enseigner des choses en toute confiance, avec la certitude que je ne perdrais pas mon temps et que j’en sortirais grandie. Je n’ai toujours pas réussi à déterminer si mon refus d’écouter les « conseils » des autres était lié à la peur ou à la connaissance certaine que la sagesse est en tout être. Il doit y avoir un peu des deux.
Bon, déjà 7h « Bouge ton corps, essaye encore ! » Phrase citée par Gustave Parking dans un de ces sketchs, que je me plais à me rappeler de temps en temps histoire de me décoller du fauteuil devant l’ordi !
En pensant à mon chat qui me boudait depuis un mois, préférant dormir dehors, je me dis que sa réapparition doit avoir un lien avec la nécessité de pacifier, d’équilibrer le masculin intérieur. Je crois vraiment que les chats me soutiennent en transmutant les énergies denses et selon que c’est le mâle ou la femelle qui passe du temps près de moi, je vois quelle énergie a besoin d’équilibre, d'accueil ou d’allégement. Là encore, bien que cette croyance soit partagée par Caroline Leroux, ça reste un point de vue personnel né de mon observation et de mon ressenti, au fil du temps. 
Merci les chatons de me montrer la voie de l’authenticité, d’être simplement ce que vous êtes, sans justification ! Respect, Rabbounis ! (Je ne suis pas sûre de l’orthographe de ce mot qui signifie «maître »)
Belle jour-née à tous, sous le signe de l’harmonie selon le calendrier Maya dont je publierai le texte bientôt. Et surtout, que l’énergie d’amour vous inonde, vous guérisse et vous ouvre à la beauté divine qui existe en vous et dans tout ce qui est. 
Petite précision, je parle de guérir parce que je suis convaincue que tout le monde souffre de quelque chose à divers degré, essentiellement du manque d’amour et le reconnaître, c’est déjà faire un pas en direction de son cœur qui permet d’accéder au divin intérieur et ainsi de s’offrir la guérison.