Nous
ne souffrons que lorsque nous croyons une pensée qui conteste ce qui est.
Lorsque l’esprit est parfaitement clair, ce qui est, est ce que nous voulons.
Si vous voulez que la réalité soit différente de ce qu’elle est, vous pourriez
tout aussi bien essayer d’apprendre à un chat à aboyer. Vous pourriez essayer
et réessayer, et le chat finira par vous regarder en faisant « Miaou ».
Vouloir
que la réalité soit différente de ce qu’elle est, est futile.
Et
pourtant, si vous y faites attention, vous remarquerez que vous avez ce genre
de pensées des douzaines de fois par jour. « Les gens devraient être plus
aimables. » « Les enfants devraient être sages. » « Mon mari (ma femme) devrait
être d’accord avec moi. » « Je devrais être plus maigre, ou plus beau (belle),
ou avoir plus de succès. »
Ces pensées sont des façons de vouloir que la
réalité soit différente de ce qu’elle est.
Si vous trouvez cela déprimant, vous
avez raison.
Tout le stress que nous ressentons est dû au fait de contester ce
qui est.