Affichage des articles dont le libellé est Christiane Singer. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Christiane Singer. Afficher tous les articles

vendredi 30 octobre 2015

« La compassion nécessaire envers soi-même » & conférence Christiane Singer






28 octobre; Depuis bientôt dix jours, je suis face à mes incohérences, incompréhensions et peu à peu je commence à comprendre ce qui en moi se manifeste derrière les gestes addicts. J’applique l’alchimie émotionnelle à ce penchant morbide qui révèle la nécessité de lâcher prise à propos de "l’évolution spirituelle". 
Comme je ne m’autorise pas à agir dans la facilité, la pression que je me colle finit par créer des frustrations qui se traduisent par l’envie de fumer de l’herbe.

Je pensais avoir fait le tour de la question mais apparemment, je n’ai pas compris que derrière le geste de fumer se cache le besoin de légèreté, de lâcher prise. 
Je pensais que la situation avec la machine à laver en panne ne posait pas de problèmes mais en fait, l’ego a mis en place une stratégie de fuite qui révèle les peurs que ça soulève.

Ce n’est pas vraiment une peur mais le fait de se trouver face à une situation qui génère du stress que je n’ai pas repéré. Comme le mental a fixé une ligne de conduite relative aux lois universelles, il continue d’agir dans la défensive, de modeler le comportement afin d’éviter de voir la réalité intérieure et surtout d'avoir la sensation de contrôler les choses. 

Les parades habituelles sont mises en place est c’est là qu’il est important de ne pas juger ou critiquer la situation. Comme il a compris que le lâcher prise était quelque chose d’important, de nécessaire, il agit comme il a toujours fait, en utilisant le produit qui permet de ne plus s’en faire. 
Le souci, c’est que la part adulte de ce que je suis, s’agace de cette forme de régression. C’est là où je dois être vigilante et ne pas créer de conflit interne. 
Pour le moment, je me contente d’être en mode réceptif.

mardi 28 octobre 2014

« Au fil de mes lectures… » Ulysse de banlieue, Joéliah et Christiane Singer (conférence)






J’ai envie de partager ces points de vue avec vous. J’ai trouvé ces textes en me promenant sur la toile et je les ai copié-collé pour les lire tellement ça résonne. C’est tellement intéressant de partager des infos avec les « amis » Facebook, puisqu’on a la même foi en l’amour divin en soi, que je pouvais y passer des heures ! 
Heureusement, pour mon équilibre, enfin pour le maintenir, je me plonge avec enthousiasme dans le monde réel, celui de la nature. Le jardin refait partie de mon emploi du temps amenant une forme de dynamisme qui me correspond bien. 

L’activité physique permet de décrocher naturellement du mental et c’est très reposant en ce sens ! Il est vrai que la respiration consciente et calme favorise les libérations et donc amène un mieux être mais ça reste avant tout un moyen rapide de calmer la personnalité afin de se centrer, de venir en son cœur où l’interprétation des faits sera beaucoup plus réaliste, juste, sage puisque le cœur voit à travers l’amour. 
C’est une technique qui prépare à passer à l’action, à interagir avec d’autres humains en virtuel mais surtout en réel. 
C’est sur le terrain qu’on peut vérifier l’état de notre maitrise émotionnelle et mentale. 
Il va de soi que le travail intérieur se vit seul, mais c’est une préparation à la vie sociale tout autant qu’un moyen de trouver l’équilibre et l’harmonie.

samedi 15 février 2014

Victime ou créateur?






Une nuit de pleine lune plutôt spéciale ! J’ai déjà publié un premier texte, cette nuit,  auquel j’ai ajouté un message d’Aurélie Pech, entre autres. Je ne cite qu’elle parce que je voudrais relater une expérience vécue ensembles, -enfin chacune de son côté au niveau de l'humain-, qui illustre ma foi en la puissance de guérison de l’amour par l’accueil de tout ce qui se manifeste en soi. Nous avions eu un premier contact l’année dernière qui avait fini en queue de poisson, chacune ayant ses peurs, ses croyances à libérer. Je sens que nous avons un contrat d’âme et peut-être partagé au moins une incarnation passée mais je ne cherche pas à en savoir plus puisque la situation présente suffit à travailler sur ce qui bloque maintenant.
J’essayais maladroitement ,de temps en temps, de reprendre contact avec elle parce qu’il me restait un goût amer de cette histoire courte et étrange. Je sentais que quelque chose avait été réveillé mais je n’arrivais pas à le libérer. Puis, mardi matin, j’ai senti comme un allégement, comme si, durant la nuit, nous avions parlé de cœur à cœur, au niveau de l'âme. Enfin ça, c’est en lisant ce que j’ai écris le matin et que je n’ai pas publié parce que des problèmes techniques m’ont montré qu’il restait des doutes. Je copie colle donc la suite du texte du 11 février :
 


Femmes d'exception; Christiane Singer, Isabelle Jeandot, Aurélie Pech...et tant d'autres


"Élan vital"



3h du matin, réveillée et levée depuis une demi-heure pour aller aux toilettes, je continue jour et nuit de libérer l’ancien, avec de plus en plus de motivation à marcher sur ce chemin où la liberté m’embrasse de jour en jour. Renaitre, redécouvrir son cœur d’enfant, qui tâtonne, qui essaie, qui goûte, qui rit de ses bourdes, et qui épris de la vie, se laisse porter par le courant de celle-ci. Le printemps arrive à grands pas et la nature le chante un peu plus fort chaque jour. Hier soir, deux oiseaux se répondaient, produisant une mélodie des plus rares. J’ai même enregistré ses sons aussi riches de créativité. Je suis allée voir mon ami Nicolas le chêne qui s’est déjà revêtu de ses bourgeons. Pendant une méditation cette semaine, j’ai senti dans l’air, l’arrivée de cette saison que j’adore et le fait que mon âme ait choisi de naître en cette période est tout à fait logique. C’est un parfum spécial qui est certainement dû à l’éclosion de la vie pétillante qui sort de sa léthargie. Chaque jour une nouvelle fleur pousse dans les pieds de fraisiers, les boutons de violette, à la fenêtre, sont tous ouverts, l’énergie du printemps me porte et m’aide à renaitre avec fluidité, légèreté, enthousiasme et l’amour, la passion coule à nouveau dans mes veines. Je laisse le poêle s’éteindre depuis quelques jours et l’allume seulement pour le plaisir de voir la flamme amplifier la mienne. C’est un des privilèges de vivre dans le sud.