mercredi 11 février 2015

« L’amour une force surnaturelle » par Virginie Gomez






L’amour est-il sécrété par notre cerveau, comme la bile est sécrétée par le foie ? Bien qu’il continue de nourrir notre imaginaire, c’est l’image qui lui est souvent associée. Mais une toute autre réalité est possible.
Qui aime quand je t’aime ? Quand j’aime mon mari, ma femme, mon fils, mon compagnon, ma mère, mon père, mon frère, ma sœur…
Est-ce le marteau en moi ? Le névrosé qui a besoin d’être rassuré sur lui-même, de savoir qu’il n’est pas seul, ou ce besoin d’admirer et d’être admiré ?
Nous voulons aimer. Nous voulons donner de l’amour.
Nous voulons aussi tout contrôler. Et nous voulons des résultats.
Nous voulons être heureux. Nous sommes un jour euphoriques, le lendemain déçus. Dans son livre Et si de l’amour on ne savait rien, le philosophe et méditant Fabrice Midal décrit ce dessin de Voutch, montrant une femme qui dit à l’homme en face d’elle : « Sache que je suis prête à t’accepter tel que tu es, Julian. Mais d’abord, il faut que tu deviennes quelqu’un de complètement différent. »

À moins que ce ne soit l’excitation, le besoin d’aimer qui nous poussent dans l’étreinte. Amabam amare, « j’aimais aimer » dit saint Augustin évoquant un état précédant la marche vers Dieu. Marc Marronnier alias Frédéric Beigbeder s’interroge dans « L’Amour dure trois ans » : « Je l’ai lu dans un magazine féminin : l’amour est une poussée éphémère de dopamine, de noradrénaline, de lulibérine, et d’ocytocine [...]. La société vous trompe : elle vous vend le grand amour alors qu’il est scientifiquement prouvé que ces hormones cessent d’agir après trois ans. »

Entre vision matérialiste du monde et société de consommation, nous avons développé une vision à la fois naïve et désespérée de l’amour : nous lui demandons tout et n’en espérons finalement plus rien.

« Se rappeler comment centrer son énergie » par Steve Rother





Le fait que vous ayez « besoin » que d’autres personnes d’une vibration identique valident régulièrement votre point de vue, produit des résultats autres que ceux que vous escomptez. 
C’est là un effet de la dualité sur le terrain de jeux et rien d’autre qu’une illusion. 
Quand vous parlez à Dieu, y a-t-il quelqu’un d’autre avec vous? 
Lorsque vous faites face à vos propres responsabilités, êtes-vous accompagnés ?
Quand vous vous retirez dans l’intimité pour vous ressourcer, y a-t-il quelqu’un auprès de vous ? 
Ce sont autant d’espaces sacrés intérieurs qui n’ont pas de polarités et dans lesquels personne d’autre n’a besoin d’approuver vos décisions.
Ce sont des refuges sûrs qui vous permettent de vous rappeler votre véritable essence, cette essence qui n’appartient qu’à vous.
Dans toutes les matières, ayez le courage de vous donner la première place car, ce n’est que dans ces conditions qu’il est possible de marcher vraiment à l’unisson avec autrui. Il n’existe qu’une seule vraie relation : la relation que vous entretenez avec Vous-même.

« La puissance de la pureté et du pardon » par Joéliah





Tout comme la neige recouvre un paysage et le transforme spectaculairement, lorsque le rayon blanc s'installe dans notre vie, il nous permet de voir la vie différemment.
Non pas que l'ancien soit effacé et oublié, mais il donne une nouvelle vibration, une envie de passer à autre chose.
Et en voyant que tout peut être différent avec la même base, il nous ouvre l'esprit sur des opportunités.
Ici, dans la région, les enfants n'ont pas l'habitude de faire un bonhomme de neige et la première idée qui leur vient est de jouer avec cette neige. C'est la découverte d'un nouveau monde pourtant très commun à d'autres et même lassant pour d'autres.
 
Dans notre vie, mettre en action le rayon blanc de l'honnêteté dans son quotidien et de la justesse, et aussi le pardon sincère, peut faire l'effet d'un manteau de neige et donner une nouvelle vision des choses, basée sur la pureté.
 
Pardonner, c'est accepter de passer à autre chose. C'est donner la priorité à son bien-être au détriment d'un événement involutif. C'est libérer une ou des personnes, de son champ d'action et ne plus laisser le pouvoir à l'ancien, mais choisir en son âme et conscience de passer à autre chose d'évolutif.

« Savoir trouver la Paix en soi » par Ginette Desrosiers





Message reçu le 01 février 2015
Savoir trouver la paix en soi marque le départ vers une autre aventure de devenir, plus au cœur et plus actualisée dans la manifestation de vos désirs. Profondément en vous, vous avez activé ce processus de mise en place de la nouvelle Terre de Lumière. De lumière elle sera, certes, mais avec votre approbation à devenir ce monde manifesté de la lumière.
Être au cœur permet de revenir à cette essence de votre être de pureté, ‘’Être primordial’’ nous dirons. Voyez-vous, vous avez octroyé beaucoup plus de temps à manifester votre observation de la noirceur pour aujourd’hui épurer et prendre conscience de ce besoin de vous investir en lumière de votre être. Si, au fond de vous, vous avez sombré de nombreuses fois en vos pensées de manifestation non clarifiées et modulées par vos ombres, vous avez octroyé plus de puissance à cette force de non évolution. Vous avez obtenu vos réponses à travers ce mouvement de vos vies par vos propres moyens d’observation, consternation, distorsion et controverse, de vos moindres doutes et vous êtes à vous affranchir.
Êtes-vous à l’écoute de votre manifestation divine ?