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mercredi 8 avril 2020

« Le bien-être n’est autre que l’absence de toute forme de lutte » Nassrine Reza





Bonjour à toutes et à tous,
Je reçois d’innombrables messages emplis de peurs concernant la situation actuelle. Étant dans l’impossibilité de vous répondre individuellement, je vous invite humblement à expérimenter ce qui suit, en vous munissant d’un verre d’eau plate, et d’observer ce qui se produit lorsque la peur vient frapper à la porte de votre for intérieur …

OBSERVER LE CORPS : Afin de nous immerger directement dans l’expérience, je vous invite à prendre contact avec la peur qui prédomine actuellement, en vous imaginant la pire situation qui pourrait survenir dans votre vie. Il peut s’agir d’une situation actuelle, d’un traumatisme passé ou d’un état purement imaginaire. 
Face à cette peur qui se manifeste à vous maintenant, observez comme le corps a tendance à se crisper. Prenez simplement note des symptômes qui prennent forme au sein de ce merveilleux véhicule terrestre.

Contrairement à ce qu’on pourrait croire, ces symptômes ne sont pas générés par la peur elle-même, mais par l’idée négative que nous avons d’elle et qui suscite instantanément un état de lutte intérieur. 
Durant votre vie quotidienne, je vous suggère de porter votre attention sur le corps de manière régulière. 
Il est notre fidèle allié et nous permet de connaître l’attitude que nous adoptons face à une information qui nous parvient. 
Dès l’instant où une tension se manifeste, il nous indique un état de combativité. 
Il s’en suit de la souffrance physique, psychique ou émotionnelle parce que nous ne permettons pas à l’information d’entrer en contact avec nous. 
En effet, dans cet état de lutte, l’information se heurte littéralement à nous et a priori au corps. Un cercle vicieux se met ainsi en place…

mercredi 1 avril 2020

« La peur, qu’est-ce que c’est ? » & vidéo Nassrine Reza




31 03 Je suis encore inspirée à écrire ce qui suit parce que je trouve intéressant de parler de l’importance de l’idée qu’on se fait des choses et la façon dont ça modifie notre vision du monde, de nous-même et notre état d’être.

Au début, je considérais la peur comme le contraire de l’amour. 
Alors j’ai tout fait pour m’accrocher à l’amour, j’ai cherché à le comprendre et j’ai fini par savoir/sentir qu’il est à l’intérieur, que c’est notre essence primordiale et qu’il a un grand pouvoir.
Puis comme le fait de cultiver l’amour m’a amenée à relativiser la notion de bien et de mal, j’ai commencé à chercher à comprendre la peur.

A ce stade, elle n’était déjà plus perçue comme une ennemie mais devenait une révélatrice par effet contraste. Il y avait encore de l’appréhension et je commençais à comprendre les mécanismes de survie, à voir et sentir l’effet de la peur de la peur, du fait d’y résister.

J’ai donc constaté comment elle me paralysait, comment cela me troublait la vue, comment je me faisais des films, comment je ne pouvais plus raisonner et comment l’inconscient avait développé des réflexes pour l’éviter, la rejeter, la fuir ou la nier. 
J’y ai vu les stratégies qui en découlaient et la façon dont le personnage de victime s’était formé. 
J’ai appris à ressentir les effets extérieurs, les sensations physiques, les réactions psychiques à cette émotion, à en mesurer l’intensité, à m’en approcher peu à peu et à percevoir sa puissance énergétique de transformation.

samedi 28 mars 2020

« Équilibre » & vidéos de Magali au sujet de l'âme




27 03 Je continue d’avoir des vertiges vers dix heures du matin depuis quelques jours mais ce matin, j’ai carrément failli tomber en sortant du lit tellement ça tanguait. 
Non seulement ça fait peur mais ça vient amplifier l’idée que la nuit, il se passe beaucoup de choses ! Symboliquement, ces vertiges peuvent avoir un sens puisque la sensation de vivre des mises à jour à plusieurs niveaux semble de plus en plus réelle. 
Autant pendant la journée en conscience, par les choix qui influencent la vibration, que pendant la nuit qui comporte différentes phases de sommeil.

Logiquement, le fait de changer son positionnement intérieur a un impact sur plusieurs aspects de l’être, sur différentes dimensions autant physiques que vibratoire. 
Déjà, les réactions en chaine ne sont plus les mêmes, l’énergie emprunte d’autres voies et cela crée des alignements de fréquences, d’énergies, de vibration plus proche de la signature de l’âme et les sécrétions hormonales changent aussi impactant l’état physique. 

C’est encore flou pour moi mais intuitivement ça parait être le sujet d’étude actuel ou le thème a étudier. J’ai demandé à Magali de parler de ce qui se passe la nuit puisqu’elle a accès à ces mondes, lors de son prochain direct sur facebook. On verra bien ce qu’elle en dit mais déjà les choses se mettent en place pour y regarder de plus près.

Le seul fait de constater la profusion d’informations parfois complètement contradictoires émanant de "spécialistes" m’amène à penser que c’est encore une invitation à apprendre à se faire confiance, à s’écouter. 
Le conflit entre ces experts ou le seul fait qu’ils soient en conflit reflète autant la peur, les jeux de rôle, les réactions liées aux angoisses existentielles, l’instinct de survie, que le besoin d’un sauveur. 
En prenant un peu de recul on peut constater que c’est la panique partout et que chacun, quelle que soit sa position sociale, ses connaissances, son degré de conscience est démuni face à l’idée de la mort.

vendredi 27 mars 2020

« Amour vibration » & Vidéo Magali



26 03 Réveillée à 4h30 je me suis levée et quand j’ai vu la pluie dehors, j’ai laissé sortir les réactions de "ras le bol", de la victime qui accuse les "élites" de pulvériser leur merde…Puis peu à peu, ça s’est calmé à mesure que j’écoutais une intervention de Magali sur facebook. Je l’ai encore ratée en direct et n’ai donc pas pu poser de question mais finalement, c’est ce qui m’a ramené au dialogue interne. 
Sa vision de ce que nous sommes me parle tellement que ça m’a permis de passer de la vision de la victime à l’envie d’accueillir les aspects internes qui en ont marre de cette vie.

Je les trimbale depuis l’enfance et le contexte actuel est finalement une occasion de les inviter à se manifester. Ceci dit, je suppose que ça va se traduire par un ennui, une tristesse, profondes que le ciel gris plombé met en évidence.

Ressentir la peur est flippant parce que l’égrégore de cette énergie/vision/sensation/réaction est très nourrit en ce moment par l’ensemble des individus. C’est tellement puissant que c’est presque palpable et même si ça fait écho à ce qui se passe à l’intérieur, il est clair que ça vient aussi des mondes invisibles ou de la connexion qui existe entre tous les êtres via la vibration.
On en revient encore au potentiel de chacun de revenir à la paix, juste à la décrispation du corps, à l’observation des ressentis physiques.
J’ai constaté hier que j’étais très tendue, contractée, les épaules comme en suspens, et plusieurs fois, j’ai laissé la respiration profonde, ventrale, dissoudre ces crispations généralisées. Et à chaque fois, je voyais que cela influençait favorablement les pensées.

mercredi 25 mars 2020

« Apprends à faire totalement confiance à ton corps physique » & vidéos




24 03 Ce matin, après une longue nuit de sommeil, c’est l’explosion. La colère envers la façon criminelle et inconsciente du gouvernement de ‘gérer’ cette crise me renvoie invariablement à mes propres élans destructeurs. 
Même si je peux voir les choses d’un autre point de vue par moments, il est important que toute cette colère, que ce sentiment d’impuissance et d’incompréhension face aux multiples incohérences intérieures et extérieures se manifestent librement. 
Et je constate que le calme revient enfin lorsque les larmes coulent. 

Ce qui m’amène dans tous mes états, c’est de voir chaque matin depuis 5 jours, le ciel complètement gris. Cela amène tant de frustrations, de colère, qu’elle finit par exploser enfin après que j’aie pu voir les stratégies d’évitement, les nombreuses façons de s’accommoder à la situation plus proche du déni que de la réalité intérieure. 

Oui, il y a cet espace de paix, ce sentiment de sécurité mais pour l’atteindre, ça demande d’extérioriser tout ce qui est relatif aux anciens modes de fonctionnement. Les pensées de colère face à la façon de fuir, de nier la réalité, de feindre l’acceptation et la sensation que non seulement le monde est insensée mais que j’y participe allégrement par mon comportement. 
Là, c’est la culpabilité qui est à voir et accueillir au travers de larmes. J’ai demandé pardon à mon corps physique de le traiter avec tant de violence par l’usage de clopes et de médicaments mais à chaque fois, je reviens à l’idée que c’est le moyen choisi par l’âme pour justement apprendre à amplifier l’amour.  

C’est clair que ce comportement suscite beaucoup de colère, de frustration, de tristesse et même si c’est insensé pour le mental rationnel, il finit par admettre que cette situation l’empêche de demeurer en mode jugement, lui permet d’avoir plus de compassion pour ceux qui rament, plus d’humilité en  général.