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03 Réveillée à 4h30 je me suis levée et quand j’ai vu la pluie dehors, j’ai
laissé sortir les réactions de "ras le bol", de la victime qui accuse les "élites" de pulvériser leur merde…Puis peu à peu, ça s’est calmé à
mesure que j’écoutais une intervention de Magali sur facebook. Je l’ai encore
ratée en direct et n’ai donc pas pu poser de question mais finalement, c’est ce
qui m’a ramené au dialogue interne.
Sa vision de ce que nous sommes me parle tellement que ça m’a permis de passer de la vision de la victime à l’envie d’accueillir les aspects internes qui en ont marre de cette vie.
Sa vision de ce que nous sommes me parle tellement que ça m’a permis de passer de la vision de la victime à l’envie d’accueillir les aspects internes qui en ont marre de cette vie.
Je les trimbale depuis l’enfance et le contexte actuel est finalement une occasion de les inviter à se manifester. Ceci dit, je suppose que ça va se traduire par un ennui, une tristesse, profondes que le ciel gris plombé met en évidence.
Ressentir la peur est flippant parce que l’égrégore de cette énergie/vision/sensation/réaction est très nourrit en ce moment par l’ensemble des individus. C’est tellement puissant que c’est presque palpable et même si ça fait écho à ce qui se passe à l’intérieur, il est clair que ça vient aussi des mondes invisibles ou de la connexion qui existe entre tous les êtres via la vibration.
On
en revient encore au potentiel de chacun de revenir à la paix, juste à la
décrispation du corps, à l’observation des ressentis physiques.
J’ai
constaté hier que j’étais très tendue, contractée, les épaules comme en
suspens, et plusieurs fois, j’ai laissé la respiration profonde, ventrale,
dissoudre ces crispations généralisées. Et à chaque fois, je voyais que cela
influençait favorablement les pensées.
Accepter de voir, de ressentir la tristesse, me parait plus accessible que la peur. Finalement je suis assez familière avec cette sensation et c’est au moins un avantage. Puis comme il s’agit juste de ne pas nier et d’écouter l’élan porté par le désir pour passer à autre chose, se sera à nouveau l’occasion de tester. De sentir aussi l'ennui éventuellement mais comme j'ai pris l'habitude de vivre seule, de suivre l'élan du moment, si l'envie est d'aller siester, ça ne me pose pas de problème.
Accepter de voir, de ressentir la tristesse, me parait plus accessible que la peur. Finalement je suis assez familière avec cette sensation et c’est au moins un avantage. Puis comme il s’agit juste de ne pas nier et d’écouter l’élan porté par le désir pour passer à autre chose, se sera à nouveau l’occasion de tester. De sentir aussi l'ennui éventuellement mais comme j'ai pris l'habitude de vivre seule, de suivre l'élan du moment, si l'envie est d'aller siester, ça ne me pose pas de problème.
Il
me revient en tête l’idée que la peur ou le fait de bloquer le flux de
l’énergie de vie, du désir, de la joie, est très souvent à l’origine des autres
émotions…
Donc, accueillir la tristesse, c’est accueillir une des formes d’expression de la peur.
Parce que la tristesse vient souvent du fait qu’on est désespéré et ce désespoir surgit quand on ne voit plus d’issue positive à une situation. On peut dire qu’on est en plein dedans.
On verra bien, le truc, c’est de ne rien forcer mais d’être attentive à l’état du corps puis de ne pas se laisser embarquer par les pensées de jugement. Elles ont leur intérêt puisque c’est l’occasion d’être à l’écoute du corps physique, des sensations, parce que les pensées de jugement sont aussi l’expression de la peur. C’est quoi la peur à l’origine que la situation fait émerger ? Celle que ça ne change pas, qu’on reste bloqué dans la même projection psycho-émotionnelle de tristesse, d’ennui, de peur…que les choses s‘aggravent.
C’est dans ce genre de circonstances que je me félicite de ne pas avoir nourri le mental avec des films catastrophes. Le mental et le subconscient mais peu importe, ce qui est à retenir ici, c’est la force de focalisation sur le présent et donc sur le corps, son état, afin de revenir à la paix.
Donc, accueillir la tristesse, c’est accueillir une des formes d’expression de la peur.
Parce que la tristesse vient souvent du fait qu’on est désespéré et ce désespoir surgit quand on ne voit plus d’issue positive à une situation. On peut dire qu’on est en plein dedans.
On verra bien, le truc, c’est de ne rien forcer mais d’être attentive à l’état du corps puis de ne pas se laisser embarquer par les pensées de jugement. Elles ont leur intérêt puisque c’est l’occasion d’être à l’écoute du corps physique, des sensations, parce que les pensées de jugement sont aussi l’expression de la peur. C’est quoi la peur à l’origine que la situation fait émerger ? Celle que ça ne change pas, qu’on reste bloqué dans la même projection psycho-émotionnelle de tristesse, d’ennui, de peur…que les choses s‘aggravent.
C’est dans ce genre de circonstances que je me félicite de ne pas avoir nourri le mental avec des films catastrophes. Le mental et le subconscient mais peu importe, ce qui est à retenir ici, c’est la force de focalisation sur le présent et donc sur le corps, son état, afin de revenir à la paix.
Bon, on ne peut pas changer le regard que les autres ont sur les faits mais on peut changer le sien et on peut s’écouter pour suivre la joie. J’ai eu envie de redessiner les chakras mais elle est partie comme elle est venue. J’ai passé ma vie à tuer le temps enfin ça c’était la vision du mental parce qu’en fait le corps physique a maintenu la vie, l’équilibre entre souffrance et plaisir par le circuit de punition/récompense et même si je peux comprendre que j’aie maintenant les moyens, les connaissances, permettant de changer la vibration, ça peine à se mettre en place tant que je focalise mon attention sur l’extérieur, sur ceux dont le comportement parait coupable.
Je dis parait parce que selon le point de vue où je me place, je vois autant les stratégies liées aux rôles victime/bourreau/sauveur que le potentiel qui selon la dualité montre l’effet de l’état d’esprit sur la vision, l’état d’être.
Ce qui peut sembler insignifiant, minuscule est essentiel tout comme chaque cellule a son rôle spécifique et important dans l’ensemble que forme le corps physique.
En effet, on a l’occasion de reconnaitre notre pouvoir créateur, celui qui dépend de la vibration qu’on émane. La sensation, l’intention derrière les mots, les émotions qui accompagnent les pensées d’amour (non jugement), la sincérité, la transparence, tous ces facteurs essentiels dans la vie d’un humain, la relation à soi et aux autres, peuvent être magnifiés dans cette situation de confinement.
J’ai hésité à partager mes réflexions à propos de l’abandon du jugement dans la situation avec les voisins mais en fait ça apporte un changement de vibration tel que l’envie de transmettre cela passe au-dessus des résistances intérieures qui vues et accueillies influenceront les réactions extérieures.
Et ce sera l’occasion d’avoir un retour, de savoir ce que j’émane en sous-sol. Parce qu’il y a la sensation superficielle, l’état d’être qui peut être modifié en surface par un changement de pensées, l’apport chimique de médicaments, la focalisation sur quelque chose de positif, le fait d’écouter de la musique joyeuse…et ce qui se passe en profondeur. Et il y a 7 milliards d'individus qui émanent sans arrêt des fréquences alors autant apprendre à se centrer, s'ancrer dans le corps.
Le non jugement correspond à la vibration de l’amour sans conditions ou à l’absence de lutte interne et en ce sens, lorsqu’il est sincère ou lorsqu’on ne nie pas les réactions que ça suscite et qu’on les laisse passer, on a un retour plutôt positif. Ne serait-ce que parce que la vision du ciel gris n’est plus perçue comme un problème.
Bon
le sujet est vaste et j’arrête là pour le moment…
Je viens de lire et de publier un commentaire, un retour qui me fait du bien et confirme la relation entre ce qui se vit à l’intérieur et comment je perçois l’extérieur, ce qui me revient, sa forme et sa vibration.
C'est la situation de victime donc la perception négative de l’extérieur qui a renforcé à la fois l'intuition dans la relation authentique avec l'âme, la transparence et le dialogue avec les corps subtils, dimensions...Enfant, je n'en avais pas conscience mais la sensation était bien réelle puis l'intimité avec le mental était forte, complice, cela m'a préparé à ce que je vis maintenant. J'apprends juste à aimer ces nouveaux amis, le corps physique et l'émotionnel. Enfin là encore je prends conscience qu'ils le sont vraiment.
L'effet de la dualité est de révéler par effet contraste à la fois la valeur des fréquences de chaque pensée/émotion/intention mais aussi l’effet de l’abandon du mode jugement, de la dualité, la voie du milieu. Cela révèle la puissance des vibrations et comment elles influencent directement notre état d’être. On peut le mesurer, le ressentir directement en notre corps selon notre focus, selon l’objet de notre attention.
Ne pas ajouter à l’ensemble des vibrations lourdes et relativiser les situations par cet abandon de toute forme de jugement, apparaît de plus en plus fortement comme la solution ultime. Ce n’est pas facile c’est sûr mais c’est vérifiable immédiatement.
Puis ce désir d’abandonner la lutte permet de se détacher de la notion de manque et de besoin. Les signes de la tristesse apparaissent mais déjà le bruit d’en haut s’est calmé. Je ne sais pas comment ça s’est traduit sur place, par quels moyens l’enfant s’est calmé et ça ne me regarde pas. Ce que je note, c’est l’effet direct à la fois en moi et à l’extérieur. Il ne s’agit plus de théorie intuitive mais d’expérience directe.
J’ai laissé le mental exprimer les jugements sans l’interrompre et lui ai juste rappelé qu’on n’est plus dans le cadre du raisonnement logique habituel mais dans l’élargissement de point de vue et l’abandon de la lutte.
Ce
n’est pas parce qu’on ne perçoit pas le sens des choses qu’il n’y a pas de
logique tout de même et celle qui est accessible, qui m’intéresse dans
l’instant, c’est la relation entre intérieur et extérieur.
Des images reviennent comme celle d’un cercle dont le centre émet des radiations qui elles-mêmes sont la somme des centre nerveux de la tête, du cœur et du ventre.
Ce
n’est peut-être pas par hasard que je ne sois pas allée au bout de l’idée de
dessiner des chakras puisque pour le moment je vois plutôt cela comme un cercle
englobant l’ensemble et non comme 7 ou 13 (selon les infos extérieures)
éléments séparés.
C’est marrant parce que je me rappelle qu’enfant, je n’aimais pas les mathématiques mais je me souviens d’une formule de ce genre ; A incluant B, qui m’avait marquée à l’époque, ça avait eu un effet de résonance. Ce dont parle d’ailleurs Magali dans la vidéo sur facebook. Je vais voir si en mettant le lien c’est possible d’y accéder. Je n’ai pas l’habitude de cet outil à double tranchant. Quand j’y vais, il y a beaucoup de réactions, de confusions et ça n’élève pas toujours ma vibration. Cela dit, je n’oublie pas l’effet miroir mais préfère tout de même limiter mon usage de ce réseau. https://www.facebook.com/magali.guerisseuse
C’est marrant parce que je me rappelle qu’enfant, je n’aimais pas les mathématiques mais je me souviens d’une formule de ce genre ; A incluant B, qui m’avait marquée à l’époque, ça avait eu un effet de résonance. Ce dont parle d’ailleurs Magali dans la vidéo sur facebook. Je vais voir si en mettant le lien c’est possible d’y accéder. Je n’ai pas l’habitude de cet outil à double tranchant. Quand j’y vais, il y a beaucoup de réactions, de confusions et ça n’élève pas toujours ma vibration. Cela dit, je n’oublie pas l’effet miroir mais préfère tout de même limiter mon usage de ce réseau. https://www.facebook.com/magali.guerisseuse
Je viens d'aller sur facebook et la première chose que je vois, la viédo de Magali "sortie" du flux de la page d'accueil. C'est encore parlant.
Tout est question d’équilibre et le champion en la matière, c'est le cas de le dire, est dans le corps physique, le cœur qui régule le souffle, le rythme cardiaque, les centres nerveux. Lien direct avec l’amour de la source, avec l’énergie de vie et avec l’âme qui orchestre au niveau cosmique, qui donne le rythme du battement vital à l’humain.
Tout est question d’équilibre et le champion en la matière, c'est le cas de le dire, est dans le corps physique, le cœur qui régule le souffle, le rythme cardiaque, les centres nerveux. Lien direct avec l’amour de la source, avec l’énergie de vie et avec l’âme qui orchestre au niveau cosmique, qui donne le rythme du battement vital à l’humain.
L’idée récurrente aujourd’hui, c’est la puissance de l’amour, du non jugement et donc l’abandon volontaire du cycle de la vengeance.
Il est ‘normal’ ou logique que des pensées telles que « j’espère que tous ces manipulateurs vont crever, que les méchants seront punis… » parviennent dans le canal du mental puisque c’est ce mode de pensée qui régit l’humanité depuis l’ancien testament.
Les rejeter, les nier, les incriminer ou les croire, revient à leur donner du pouvoir, à en faire une vérité pour soi et la vibration qu’on émanera sera celle de la violence, de la vengeance, de la lutte. On entrera en résonance avec les personnes qui émanent les mêmes énergies, vibrations, autant sur terre que dans les mondes invisibles.
C’est inscrit dans la mémoire génétique, dans les mondes des égrégores, dans ceux que l’humain projette par sa vibration depuis des siècles.
Le christ ou son énergie, ce qu’il représente, est la voie royale de l’amour.
Tant dans les mondes invisibles que sur terre même si les religions ont utilisés la vérité de la puissance d’amour pour asservir les populations. Mais maintenant que nous savons que l’amour est notre essence et qu’elle s’exprime par la vibration, nous pouvons en ressentir et percevoir les effets directs en notre corps, notre entourage proche et lointain.
Lointain par le fait que nous soyons connectés à plusieurs niveaux.
Il ne s’agit pas de vouloir rayonner l’amour dans le sens de penser fort à l’amour et le diriger vers quelqu’un mais de juste lâcher les pensées liées au jugement, au désir de vengeance.
S’il est question de sacrifice, il s’agit d’abandonner les schémas réactionnaires de la dualité mais ça n’est pas nécessairement douloureux. Quand on en comprend la valeur, quand on en constate les effets, surtout dans des situations extrêmes, la douceur et le sentiment de sécurité s’installent rapidement. Et ça fait toute la différence. Tiens le soleil apparait, profitons en…
Ce
fut bref mais tout de même appréciable d’autant qu’il est venu éclairer l’écran
et le clavier au moment où je parlais du Christ/logos. Je le vois comme une portée
vibratoire associant la paix, l’unité, l’harmonie, l’ouverture, le lâcher
prise, la liberté. Toutes ces valeurs que la terre, la nature, incarnent
naturellement. Mais pour voir les choses dans cette perspective, il faut aller
au-delà des conditionnements et donc au-delà du jugement bien/mal.
J’ai encore la sensation d’être allée dans des dimensions proches de celle de l’âme pendant la nuit et que dans d’autres phases de sommeil des nuits passées, l’aspect psycho-émotionnel a procédé à des projections/mises à jour afin que je puisse revenir à l’amour sans conditions. En faire à nouveau mon point de focus et lâcher définitivement l’identification aux rôles, au personnage, aux systèmes de pensées binaires. Il n’y a pas non plus de sentiment d’être au-dessus des autres mais plutôt une compassion qui s’étale de plus en plus.
Dans l’après midi alors que je repensais au fait qu’ouvrir son cœur ou accueillir les vagues de tristesse en soi nous connecte aussi aux égrégores correspondants et donne parfois l’impression qu’on est un canal qui absorbe des énergies venues « d’ailleurs », puis l’idée que lorsqu’on se connecte en son cœur, il se produit le même phénomène, est venu équilibrer les choses. Une simple idée qui a crée comme un sourire intérieur subtil.
Pas le sourire du gagnant mais celui du sentiment de sécurité qu’apporte l’équilibre. Ceci dit, l’identification au rôle du sauveur n’est pas loin non plus. C’est un équilibre délicat à maintenir dans l’attention aux pensées qu’on nourrit. Ou celles auxquelles on s’accroche. Ce qui là encore est tout à fait humain.
L’essentiel est d’en prendre conscience et de s’en détacher. Je dis essentiel parce que mon objectif étant de me détacher des rôles et conditionnements, cela va de soi.
Autant l’année dernière, nous prenions collectivement conscience du rôle de victime, autant maintenant, c’est celui du sauveur qui est incarné par ceux qu’on a considéré comme des élites, des autorités supérieures. Là encore, on s’en détache progressivement en apprenant à reconnaitre les schémas de pensée qui les nourrissent. Encore un petit rayon de soleil que j’accueille avec gratitude.
La caractéristique du rôle de victime est d’être très attachée à l’attente d’un sauveur dans lequel elle place toutes ses espérances. Elle est en mode jugement comme les autres mais comme elle a vécu l’état de victime concrètement, il est difficile de ne pas se sentir légitime quand elle accuse d’autant plus qu’elle attire invariablement les bourreaux puisqu’elle vibre sur ces fréquences de la peur d’être abusée, traitée injustement.
Elle émane aussi les fréquences de la peur d’être jugée, accusée, rejetée et attire aussi des sauveurs qui vont obtenir une forme de reconnaissance par l’aide qu’ils apporteront.
Le mode de fonctionnement de ces rôles est basé sur la notion de bien et de mal, de méchants et de gentils, de justes et d’injustes. On comprend donc que pour en sortir, il faut se détacher de ce mode de pensée binaire.
Nous sommes soutenus en ce sens par les énergies de l’âme, de la source, par les êtres qui vibrent sur ces fréquences, où qu’ils soient. C’est peut-être plus aisé de faire appel à des guides parce que le risque d’attachement au rôle de sauveur est moindre. Mais une fois qu’on sent l’effet de l’amour, de l’abandon du jugement sur notre état d’être, l’appel à l’aide est moins nécessaire même s’il peut être utile et quand ça vient spontanément c’est que c’est juste.
De même qu’aider, agir dans la matière, être solidaire, n’est pas interdit quand on veut lâcher les rôles.
Il ne s’agit pas de vivre dans une bulle, déconnecté du monde, mais d’apprendre à prendre du recul sur ce qu’on pense, sur ce qu’on dit, sur nos réactions et de sentir ce qui porte l’intention, sur quelle fréquence on agit.
Juste pour apprendre à se connaitre, à reconnaitre le pouvoir de l’amour, ses modes d’expression, ses effets dans la matière. A sentir que cette vibration émane de l’intérieur et qu’elle n’a pas besoin d’objet extérieur pour être, vibrer.
Elle s’expanse lorsqu’on l’émane en conscience dans la relation à soi et aux autres mais il n’y a alors plus d’attente, de besoin, ni de manque. Ou disons plus d'attachement douloureux à ces concepts.
Finalement, lâcher les pensées de jugement revient à permettre à l’énergie de se diriger vers le cœur au lieu qu’elle passe par le circuit de la punition récompense (tête/mode binaire) et se manifeste par des émotions extrêmes (ventre: colère/excitation, peur/amour conditionné).
Comme
les pensées sont de l’énergie, parler, dire ce qu’on ressent, se dire ce qu’on
ressent, c’est permettre à l’énergie de circuler librement…bon ça reste à
observer de près. Il suffit de sentir l'effet de l'écriture parce que c'est aussi extérioriser l'énergie, il y a un effet chez l'auteur et chez le lecteur. Les choses qui semblent insignifiantes portent en elles des connaissances relatives aux lois universelles...
C’est vraiment du jour le jour, je découvre un peu plus
comment ça marche concrètement ou vibratoirement, pas à pas…
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter
l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr Photos privées