samedi 28 mars 2020

« Équilibre » & vidéos de Magali au sujet de l'âme




27 03 Je continue d’avoir des vertiges vers dix heures du matin depuis quelques jours mais ce matin, j’ai carrément failli tomber en sortant du lit tellement ça tanguait. 
Non seulement ça fait peur mais ça vient amplifier l’idée que la nuit, il se passe beaucoup de choses ! Symboliquement, ces vertiges peuvent avoir un sens puisque la sensation de vivre des mises à jour à plusieurs niveaux semble de plus en plus réelle. 
Autant pendant la journée en conscience, par les choix qui influencent la vibration, que pendant la nuit qui comporte différentes phases de sommeil.

Logiquement, le fait de changer son positionnement intérieur a un impact sur plusieurs aspects de l’être, sur différentes dimensions autant physiques que vibratoire. 
Déjà, les réactions en chaine ne sont plus les mêmes, l’énergie emprunte d’autres voies et cela crée des alignements de fréquences, d’énergies, de vibration plus proche de la signature de l’âme et les sécrétions hormonales changent aussi impactant l’état physique. 

C’est encore flou pour moi mais intuitivement ça parait être le sujet d’étude actuel ou le thème a étudier. J’ai demandé à Magali de parler de ce qui se passe la nuit puisqu’elle a accès à ces mondes, lors de son prochain direct sur facebook. On verra bien ce qu’elle en dit mais déjà les choses se mettent en place pour y regarder de plus près.

Le seul fait de constater la profusion d’informations parfois complètement contradictoires émanant de "spécialistes" m’amène à penser que c’est encore une invitation à apprendre à se faire confiance, à s’écouter. 
Le conflit entre ces experts ou le seul fait qu’ils soient en conflit reflète autant la peur, les jeux de rôle, les réactions liées aux angoisses existentielles, l’instinct de survie, que le besoin d’un sauveur. 
En prenant un peu de recul on peut constater que c’est la panique partout et que chacun, quelle que soit sa position sociale, ses connaissances, son degré de conscience est démuni face à l’idée de la mort.

Je parle d’idée de la mort déjà parce que c’est venu spontanément et parce que de mon point de vue, elle est un changement de dimension ou un état de conscience élargit. 
Je ne doute pas que cette conscience soit éternelle et que nous en soyons tous issus mais je n’échappe pas pour autant aux angoisses face à l’inconnu, la perte de connaissance. 

C’est encore ce qui est mis en évidence avec les vertiges que je vis. Je constate que l’effet cachet les calme et pour le moment, je me contente d’observer comment ça réagit si je me détends physiquement. Il semble que ça diminue la sensation mais comme je suis encore très impressionnée par la puissance de l’énergie, ça manque de clarté.

Notre mental capte beaucoup d’infos émanant de l’intérieur et limiter le nombre de celles qui proviennent de l’extérieur, c’est une façon de l’aider, d’éviter la saturation. 
Mais c’est clair qu’avec Internet, il est difficile de ne pas céder à la tentation de ‘savoir’, de s’informer. 
On cherche à être rassuré dans nos croyances, nos certitudes et c’est légitime mais on se fait du mal sans s’en rendre compte. 
Et le fait qu’on trouve tout et son contraire sur le net devrait nous apparaitre comme une invitation à se tourner vers l’intérieur. 

C’est clair qu’on est habitué justement dans le mode de fonctionnement des rôles victime/bourreau/sauveur, à réagir et à penser en mode automatique. On va vers des infos qui nous rassurent dans notre système de croyances en s’imaginant qu’on est lucide, conscient et actifs dans nos choix. 
On croit que plus on emmagasine d’infos et plus on est intelligent, on croit que plus on a de connaissance et plus on est sage, cultivé, même éveillé. 

C’est un mode de fonctionnement inconscient, automatique, basé sur la survie. 
On ne se rend pas compte la plupart du temps que nos croyances, qu’on pense justes, sont des modes de pensées archaïques basés sur l’idée de séparation. 




Et quand on perçoit qu’il existe des mondes invisibles, que notre vision est limitée on pense que ce sont nos sens qui le sont, sans se rendre compte que c’est plutôt le logiciel de traitement de l’info qui est inadapté ou inconscient, automatique.

En ce sens, l’observation neutre ou la capacité à prendre du recul sur les pensées, sans même parler des émotions qui sont associées de façon systématique aux pensées, à la façon de traiter l’info, permet de prendre conscience de cela. 
Et c’est énorme parce qu’on va voir qu’on est en mode automatique quasiment en permanence.

Depuis quelques temps, près de six mois, j’ai la forte sensation que mes nuits sont très agitées et qu’elles n’ont pas pour unique fonction de régénérer le corps physique. Je le constate par des réveils nocturnes où je me retrouve en sueur et limite en panique, comme si je revenais de très loin. Mais je n'ai pas bloqué sur ses sensations, je ne les ai pas interprété de suite via le logiciel; bouffées de chaleur, réveils nocturnes=symptôme de vieillissement, fatalité. Ces pensées sont arrivées mais ont été jetées au panier immédiatement. Non par peur mais parce que je sentais qu'il y avait un sens plus profond à cela. L0 encore juste observer en se rappelant que le corps et ce qui le compose, est hautement intelligent. 
J’ai eu plusieurs fois la sensation de voyager durant la nuit, de faire des rencontres et de constater le phénomène de projection psycho-émotionnel qu’on appelle les rêves. De mon point de vue, ce sont des mises à jours du mental et de l’émotionnel, des projections des moments forts de la journée qui sont passés inaperçus pour le mental mais qui ont eu un impact sur la mémoire traumatique.
Vouloir interpréter les rêves sans être capable de prendre du recul et surtout sans avoir l'humilité ou la lucidité de constater que le corps physique dans son ensemble est un ensemble d'intelligences parfaitement synchronisées et qu'il est autonome, qu'il s'autorégule, c'est comme aborder les équations mathématiques complexes avec des tables de multiplication.

C’est un sujet très complexe mais nous pouvons justement utiliser cette capacité à prendre du recul sur nos modes de fonctionnement sans chercher à les interpréter, sans attendre de réponses. De toute façon, ces réponses seront liées aux croyances, aux conditionnements qui régissent nos vies en sous-sol et parfois avec notre consentement dans le sens où on y adhère. En ce sens, observer comment fonctionne ce magnifique corps, c'est prendre conscience à la fois de ses capacités et des interconnexions qui existent avec tous les plans, toutes les dimensions. 
Une sensation de peur, de vertige se manifeste à nouveau. Déjà, le reconnaitre apaise le mental et en revenant à la respiration ventrale, ça se calme ou pas. Cette peur, c’est celle de basculer dans le néant
 
Je viens d’avoir le réflexe d’allumer une bougie sans savoir pourquoi et sans résister à cette envie soudaine. C’est clair que la sensation d’être en équilibre précaire est de plus en plus palpable et ces manifestations physiques semblent en être l’illustration.

C’est à chaque fois l’occasion de revenir à l’observation du corps physique, aux points de crispations juste pour ressentir comment ça se détend naturellement et de quelle façon. D’une part, ça évite au mental de tourner en boucle, de cultiver la peur et d’autre part, ça apprend à revenir à l’essentiel, au centre de soi. C’est ce retour vers soi qui aide à se familiariser avec le corps physique, à lui faire confiance.

Je gueulais hier envers l’âme que j’accusais d’indifférence de froideur mais là encore, c’est un point de vue conditionné. Les croyances nourries par les religions pendant des siècles sont inscrites dans notre adn et en ce sens, incriminer ces dernières ne sert qu’à nourrir l’énergie de la victime manipulée et impuissante.

Déjà, l’âme est le mouvement de la vie en soi, l’amour inconditionnel, la manifestation du vivant ou comme le dit Magali, une matrice qui offre le contexte d’incarnation. 
Elle est à la fois le lien entre le corps et le cosmos, celui qui relie la conscience de la terre au corps physique et à la conscience Une. 
Elle est ce qui permet l’émergence et le mouvement de la vie en soi au travers des émotions, du ressenti. Elle est l’aspect chaud de la conscience individualisée en un corps physique. Ou l’aspect maternant, réconfortant, sécurisant. 

Gueuler contre elle est un réflexe naturel issu du sentiment d’impuissance face à la mort, une sensation émanant de la peur qui enclenche des réactions basés sur la survie. C'est aussi ce qu'on fait quand on est ado et qu'on apprend à s'émanciper vis à vis de nos parents terrestres. C'est un processus naturel basé sur la notion de rejet et d'attraction. 

Je ne vais pas élaborer là-dessus parce que ma perception est sensorielle et symbolique mais je vous renvoie à ces deux vidéos de Magali

« L'âme » Magali Magdara son blog où elle publie les messages du "groupe Miriadan" reçus en canalisation, avec une partie questions/réponses : http://groupemiriadan.blogspot.com/


https://youtu.be/1IGLV7HMf9I

« L'âme – suite » Magali Magdara, son site où elle propose des soins, et des transmissions où elle reçoit les messages de votre âme: https://www.magalimagdara.fr/


https://youtu.be/KmFPctGiHes


L'âme nous guide à chaque instant au travers de signes discrets mais multiples et cela passe par le corps physique, les sens, tout autant que par le mental, les images mentales, symboliques. Mais ça vient comme je l’ai dit plusieurs fois par images ressenties comme une évidence.  Et quand on n'a pas confiance en cette capacité innée, il y a des gens comme Magali qui transmettent des messages, servent de canal entre l'âme et soi. Je l'ai contactée une seule fois pour être l'intermédiaire entre l'âme et ma personnalité mais je l'ai gavée de questions dont je ne me souviens plus trop des réponses. Là aussi, je me suis tournée vers elle il y a deux ou trois ans parce que j'en ai senti l'élan.

Quand ça vient de l'intérieur, ce n’est pas nécessairement une révélation énorme mais ça vient toujours au bon moment lorsqu’on est dans un moment de détente, lorsqu’on se décrispe autant mentalement que physiquement. La décrispation mentale, c’est le fait de lâcher les modes de pensées habituels binaires. Le jugement qui renvoie à l’auto-jugement et qui nous enferme dans les cycles de prédation, vengeance, violence…

Percevoir le jugement comme un phénomène qui bloque la libre circulation de l’énergie évite de se noyer dans les pensées qui tentent de comprendre un principe qui est hors de son mode de fonctionnement habituel. 
Les critiques envers l’âme étaient du genre, comme souvent : « tu pourrais assumer l’aspect énergétique, vibratoire et préserver l’intégrité du corps physique », « j’en ai marre d’être une éponge émotionnelle, depuis l’enfance ». 
Alors ça, ce terme « depuis l’enfance » est l’expression typique de la victime, l’activation de la mémoire traumatique légitime, normale, quand on apprend à devenir responsable de ses pensées, émotions, de son monde intérieur.

Là aussi, c’est bien normal que le mental exprime ce genre de pensées de peur parce qu’il y a beaucoup d’associations d’idées imprimées dans la mémoire. Toujours instillées par les religions, juste parce qu’elles étaient là pour répondre à l’angoisse de la mort et l’ignorance, l’incapacité du mental à trouver les réponses par lui-même. Non pas parce qu'ils n'avait pas les capacités d'analyses mais parce qu'il lui manquait des infos essentielles.

La peur de la mort, le fait qu’elle tombe sur tout le monde quel que soit son âge, son sexe, sa position sociale, son savoir, remet les pendules à l’heure. 
Cela montre que nous sommes tous égaux, que nous avons tous la même vulnérabilité et que les stratégies qui visent à lutter, nier, avancer même le jour de sa mort ne change rien à cette "fin". 
C’est cette peur qui amène le besoin de contrôle et qui maintient dans l’ignorance de notre nature véritable, essentielle. Mais c’est aussi cette peur qui a amené l’humain à évoluer, à développer la raison, la capacité de raisonner, de comprendre, de développer des techniques afin d’améliorer sa qualité de vie. 

Le danger est dans l’extrême, la radicalité, le manque d’équilibre et on peut voir où ça mène le monde aujourd’hui. Comment les excès sont destructeurs. On dirait que les pulsions d’autodestructions sont comme des formes de réponses apportées à cette peur de perdre le contrôle. Comme si le mental/inconscient croyait qu’en décidant de tuer le corps à petit feu, il n’était pas aussi manipulé par la vie, l’âme.

Je reviens à ces vertiges qui me ramènent à la stratégie automatique qui se mettait en place lorsque mon père abusait de moi, celle du décollage mental. A cette époque, je ne craignais pas de me déconnecter de mon corps, c’était même un réflexe de survie bénéfique puisque sur le moment je ne souffrais pas et cela a évité au mental d’imprimer des images qui auraient été difficiles à ignorer. 
La souffrance physique et la souffrance psychique sont très liées et l’impact des images qu’on intègre dans le paysage du mental est immense parce que l’énergie s’infiltre jusque dans les profondeurs. 

A propos d’images, hier alors que je cliquais sur la guidance de l'instant via Lulumineuse, j’ai lu ceci. « Regarde à droite » J’ai tourné la tête malgré une petite résistance légitime au niveau du mental et j’aie joué le jeu. L’image est celle de la vierge tenant un bébé dans ses bras. Je l’ai reçu comme une invitation à embrasser l’enfant que j’étais ou au moins à lui parler, à la rassurer, à juste lui dire que j’étais là pour elle. 
Même si ça peut sembler bizarre, insensé, (autant de parler à l'enfant en soi, que d'avoir une image de la vierge à l'enfant, pour quelqu'un qui voit les religions comme des trucs obsolètes) comme je l’ai fait spontanément, sans me demander si c’était juste ou pas, le soulagement a été progressif mais réel.



Autant par le fait de me sentir soutenue par les êtres de l’invisible : par l’âme puisqu'elle est matrice, mère, les âmes puisque là, il y a l’idée+le ressenti donc le corps et l’esprit et comme le mental, expression de la conscience était d’accord, la résonance a amplifié la vibration tendresse, soutien, présence à sois. Il m'apparait évident que la Terre ait une conscience et une âme tout comme le corps physique. Puis cette image a un sens particulier pour moi, c'est aussi cela qui fait tilt à l'intérieur. Elle représente la guérison de l'enfant en soi ou ce désir de transparence, de spontanéité, d'authenticité, propre aux enfants. Qui plus est aux bébés pas encore trop formatés par les conditionnements.

Cela peut sembler bien compliqué mais nous sommes des êtres hypercomplexes. Je repense à ma colère panique envers l’âme et aux réponses qui venaient comme des évidences : « tu as ce qu’il faut pour réguler les sensations alors utilise ce moyen » ; « ce ne sont que tes jugements au sujet des cachets, de leur usage, qui maintiennent la souffrance, la lutte et ça, c’est ton choix ». 
Ce n’était pas ressenti comme une critique, une culpabilisation mais plutôt comme une réalité évidente. 

On croit être manipulé mais on ne se rend pas compte qu’on a toujours le choix de vibrer sur l’amour, l’accueil, le non jugement ou de résister, lutter, se faire violence. 
Là encore, les croyances au sujet de la souffrance associée au mérite faussent la réalité et nous conditionnent. 
On croit qu’il faut mériter l’amour, qu’il faut souffrir pour obtenir un résultat alors que nous sommes à la fois l’amour et le résultat, tout est en soi, c’est une question de choix de positionnement. 
Soit on cultive la dualité, le conflit, la lutte soit on apprend à se détacher des pensées issues des croyances, du mode duel conflictuel.

La peur de perdre la vie est aussi liée au fait que je commence à aimer vraiment ce que je suis, ce corps physique dont je perçois de plus en plus l’intelligence, les intelligences associées, les capacités, la patience parce que j’ai longtemps lutté contre lui, l’amour sans conditions parce qu’il a supporté patiemment mes jugements à son égard, ma violence et la façon de le mépriser, de le rejeter. 
Cette nouvelle façon de le considérer fait que je m’attache de plus en plus à lui mais quand j’exprime cette peur verbalement, l’idée de la terre qui recycle tout me vient à l’esprit et ça me calme. 
Puis le fait de reconnaitre sa valeur, de voir qu’il s’auto-gère, qu’il est connecté à la source, à l’âme, la conscience Une en permanence, à la terre aussi, qu’il en provient et que nous sommes une rencontre à un instant précis au regard de l’éternité me laisse dans un sentiment de gratitude, d’acceptation de ce qui est.
Bon je vais écouter une conférence interview de Lilou Macé

Je dois aller chercher de l’eau à la source, c’est la seule "mission du jour" mais comme je n’en sens pas encore l’élan, je laisse venir l’envie. Là aussi, cette situation de confinement généralisé m’aide à reconnaitre la valeur de la guidance et m’empêche de me sentir éventuellement coupable de suivre ces élans et parfois de ne rien faire de la journée ou presque. Disons de ne rien faire dans la matière parce qu'au niveau psycho-émotionnel, dialogue interne, observation, ça déménage! Et c'est le cas de le dire, dans les deux sens du terme, ça brasse et ça change de place, de vibration, de dimension...

Je viens de voir une image qui m’a stupéfaite et rire mais je n’ai pas eu le temps de prendre une photo. Elle a une vertu initiatique qui montre comment la nature, l’âme, la vie, sont des enseignants parfaits qui ne manquent pas d’humour, de légèreté. Un exemple à suivre. Le chat d’un des voisins était étalé de tout son long sur la route narguant le chien malinois hyper agressif.  La clôture fragile les séparait et le caractère initiatique se situe ici à plusieurs niveaux. 
On pourrait dire que le chat est inconscient voire suicidaire puisqu’il aurait suffit que le chien saute le grillage qui ne tient qu’à un fil par endroit, et le tue. Mais sa nonchalance face au danger n’est pas inconsciente, il sait que la barrière le protège et qu’il peut courir et grimper dans un arbre à tous moments. 
Il sait aussi que la maitresse du chien et que son maitre à proximité veillent afin d’éviter tout accident. 
Enfin je dis "il sait", disons plutôt qu’il sent et c'est tout un savoir. 

C’est maintenant une certitude pour moi que les animaux perçoivent les énergies, leurs fréquences et mon chat me le montre souvent. Quand j’observe ses réactions, je sais à peu près sur quelle fréquence je vibre et disons pour résumer que je sais si je suis en harmonie ou en conflit à l’intérieur. 
Idem quand j’observe le corps physique et les crispations qui témoignent de mon état vibratoire du moment. 

Une autre chose intéressante, c’est la personnalité de la maitresse du chien et celle du maitre du chat. La femme est agent de sécurité et a tout intérêt à ce que ces chiens, parce qu’elle en a deux, soit agressifs. C’est une réponse à la peur et l’utilisation de la stratégie d’attaque, une des réponses automatiques enregistrée autant chez le cerveau, le tronc cérébral, de l’animal que chez celui de l’humain. Elle les sort deux fois par jour en prenant soin qu’il n’y ait personne au jardin et de mon côté, je vérifie l’heure avant de laisser sortir le chat pour ne pas cultiver la peur. 
Même si je sens que parfois je pourrais prendre sur moi et utiliser le contexte pour justement apprendre à accueillir et lâcher la peur, je n’en fais pas non plus une obligation. Je suis dans la phase observation neutre ce qui en soi est tout un truc. Et bien évidemment aucune notion d’obligation n’entre dans cette approche.

Et la personnalité du maitre du chat, classé par les spécialistes et les gens en général dans la catégorie "d'idiot du village", est dans un autre vibration, celle de la légèreté, de l'insouciance et le fait que ces deux styles soient mis en scène à travers leurs animaux est assez fort symboliquement. Là encore, on pense que l'âme communique avec nous au travers des anges, des êtres de lumière mais dans la matière, chacun est un guide pour l'autre, quel que soit son règne. 
Cette mise en scène m'a parlé parce qu'elle est venue à propos. Et parce que je suis sensible aux signes, parce que j'apprends à être à l'écoute, ce qui veut dire de voir au-delà des schémas de pensée habituels. Ce n'est pas plus mal que je n'aie pas eu le temps de prendre une photo parce que cette vision ne vous aurait pas parlé comme elle m'a touchée parce que c'est le côté "timing" qui importe tout autant que le contenu, message.




J’ai laissé tomber l’écoute de la vidéo au bout de quelques minutes parce que ça ne m’apportait rien de bon disons que ça parlait de karma d’un point de vue qui ne peux qu’amener à baigner dans la culpabilité. La vibration état lourde même s'il y avait quelques idées qui me semblaient justes comme la loi de cause à effet. 
Je sens que me tourner vers l’extérieur pour avoir des réponses m’éloigne de ma propre vérité. 
Et je viens de recevoir la réponse à la question ou à la colère envers l’âme qui appelait au secours ou qui demandait comment ne pas être une éponge émotionnelle, c’est trop simple mais ça apparait maintenant comme une évidence, être au présent

Sur le plan vibratoire, ça permet de ne pas être relié aux énergies qui pourraient résonner avec la peur qui par ailleurs se manifeste par des crispations. 
Revenir juste à ça, c’est préserver son espace vibratoire, l’intégrité ou l’équilibre du corps physique, mental et émotionnel dans leur aspect énergétique. 
C’est peut-être ça la sensation de vertige qui m’invite à justement le trouver sur les plans mental, émotionnel et physique.
Le mental : non jugement= paix, amour en libre circulation
L’émotionnel : quand le mental est libre de toute forme de jugement, l’énergie ne vient pas le secouer, elle va directement au cœur, au centre où elle est équilibrée et ça augmente la vibration amour
Le physique : en suivant l’élan du moment, je suis dans l’équilibre entre envie et action, entre intérieur et extérieur, au centre de l'espace et du temps.

Pouah c’est encore puissant à l’intérieur ! Par moments je flippe en me disant que j’ai peut-être chopé le virus puis je reviens à la raison en me disant que rien n’est certain à ce sujet. En effet on lit tout et son contraire. Et pour le coup, ce constat devient positif. L’idée de la manipulation par la peur et la culpabilisation revient et me ramène à la solution, lâcher toutes les interprétations à ce sujet. 

Tout vient de la même énergie et quand on la laisse circuler librement elle se manifeste dans les gammes de fréquence de l’amour. Souvent on s’attache aux apparences sans voir les principes qui régissent les choses, les lois universelles liées à l’énergie, la façon dont l’énergie circule en soi et les effets que ça produit. 

Je pense que la loi de cause à effet est ici et qu’en étant dans le présent on crée selon ce qu’on vibre dans l’instant sans être parasité par des énergies venues d’ailleurs, d’autres êtres, dimensions, temps…et être au présent c’est suivre l’élan du moment, l’envie du moment puis quand on sent que ça bloque, juste revenir à la détente physique en se contentant d’observer sans ajouter de commentaires, jugements, sans interpréter. 

L’effet positif de l’herbe, c’est de ne pas se focaliser sur quelque chose en particulier et je constate que c’est faisable consciemment...je dis ça parce que je bloque mon jugement au sujet des voisins par rapport à leur façon de fumer des pétards sous le nez de leur enfant et bien entendu en allant en profondeur, je vois que ça éveille des frustrations en moi. D'où l'idée d'observer encore et toujours comment je me sens quand je ramène le mental au présent, quand je ramène son attention sur le corps physique, la détente...

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr  Photos privées