dimanche 31 mai 2015

« Si la vie est un jeu, en voici les règles » Chérie Carter-Scott Règle n°4 Une leçon se représente tant qu’elle n’est pas apprise







« Les leçons se répètent sous des formes variées tant qu’elles n’ont pas été assimilées. Une fois qu’une leçon est apprise, on peut passer à la suivante ».



Avez-vous remarqué que les mêmes leçons se répètent ? 
N’avez-vous pas constaté que vous avez aimé ou épousé plusieurs fois la même personne sous des apparences et des noms divers ? 
Ne vous êtes-vous pas heurté encore et encore au même patron ? 
Ne rencontrez-vous pas des problèmes relationnels similaires avec des collègues différents ?

Dans le film intitulé "Un jour sans fin", Bill Murray interprète un personnage qui se réveille tous les matins à la même date (le jour de la fête de la marmotte) et qui revit la même journée jusqu’à ce qu’il ait assimilé les leçons qu’elle lui réserve. 
Les mêmes évènements se répètent jusqu’à qu’il trouve la bonne façon de les gérer. 
Est-ce que cela vous rappelle quelque chose ?

Les leçons se répètent à l’infini, jusqu’à ce qu’elles soient apprises.
La même leçon, encore et encore, viendra frapper à votre porte. 
Vous susciterez autour de vous des « professeurs » qui vous répèteront la leçon jusqu’à ce que vous l’ayez assimilée. La seule façon d’y échapper, c’est de changer votre façon de voir les choses et de tenir compte de cet enseignement. Inutile de chercher à éluder, la leçon vous rattrapera un jour ou l’autre.

« La face sombre des chercheurs de lumière » résumé-traduction (fin) du livre de Debbie Ford par Geneviève Lebouteux





Complément n° 2 Une belle histoire indienne...
Un porteur d'eau indien avait deux grandes jarres, suspendues aux deux extrémités d'une pièce de bois qui épousait la forme de ses épaules. L'une des jarres avait un éclat, et, alors que l'autre jarre conservait parfaitement toute son eau de source jusqu'a la maison du maître, l'autre jarre perdait presque la moitié de sa précieuse cargaison en cours de route.
 
Cela dura deux ans, pendant lesquels, chaque jour, le porteur d'eau ne livrait qu'une jarre et demi d'eau a chacun de ses voyages.
 
Bien sur, la jarre parfaite était fière d'elle, puisqu'elle parvenait à remplir sa fonction du début à la fin sans faille. Mais la jarre abimée avait honte de son imperfection et se sentait déprimée parce qu'elle ne parvenait à accomplir que la moitié de ce dont elle était censée être capable.
 
Au bout de 2 ans de ce qu'elle considérait comme un échec permanent, la jarre endommagée s'adressa au porteur d'eau, au moment où celui-ci la remplissait à la source :
"Je me sens coupable, et je te prie de m'excuser."
"Pourquoi ?" demanda le porteur d'eau. "De quoi as-tu honte ?"