vendredi 2 janvier 2015

« Osez aller vers votre liberté » les guides de Sylvie





Dans la continuité, d’un enseignement renouvelé jusqu’à une prise de conscience du plus grand nombre d’enfants décidés à avancer, nous formulons et formulons encore nos plus importants conseils susceptibles de vous venir en aide.
Vous savez que la répétition finit par imprégner tous vos sens.
Cet éclairage, ainsi apporté, stimule vos perceptions, vos réflexions, afin d’amener jusqu’à vous, un nombre de plus en plus important d’idées à mettre en pratique, au plus vite, par l’action.
Il vous est, bien souvent, demandé de faire ceci ou cela ? L’accomplir sans un consentement total et profond ; c’est-à-dire mis en pratique, uniquement, parce que suggéré, ne peut avoir l’impact suffisant sur votre développement.
A présent, même si cela a pu vous aider un moment, il est, maintenant, implicitement demandé de vous écouter et de laisser jaillir vos propres idées, vos intentions liées à vos émanations afin d’en élever les vibrations.

« Pense juste à respirer »





Ces deux derniers jours au ralenti m’ont permis de constater encore une fois l’intelligence du corps physique et la solidarité qui se met en place quand une partie de ce corps est défaillante ou souffrante. 
Habiter son corps est une chose nouvelle pour moi et comme celui-ci a été géré à coup d’excitants et de calmants, je ne le connais pas vraiment. 
Il faut que j’aie mal quelque part pour être obligée de focaliser mon attention sur le corps physique, dans le présent ! Et cette observation montre que tous les muscles de la ceinture abdominale sont inter-reliés et interdépendants. Comme tout le bas de mon dos est fragilisé, ce sont les muscles du ventre qui prennent le relais. Mais comme ça n’est pas leur fonction initiale, ça perturbe l’ensemble de la zone. La faim est imperceptible à cause de la contraction musculaire, des abdominaux tendus. Comme je suis du genre à positiver, je me dis que ça n’est pas si mal de retrouver la ligne !
Puis en examinant mon monde intérieur, j’ai constaté que la raideur était généralisée. 
Je croyais détendre le corps physique en fumant de l’herbe mais en fait, ça me crispe encore plus. J’en suis au stade où je constate mes « erreurs », où je vois que j’ai confié ma vie à mon intellect et ça créé un genre de ras le bol. J’ai toujours agit de façon extrémiste, avec violence et je me rends compte que c’est cette façon d’être qui créé des souffrances.