Il
est maintenant clairement établi, grâce à Boris Cyrulnik, entre autres, que les
premiers mois de la vie d’un humain déterminent sa capacité à réagir face aux
difficultés de la vie mais aussi que celui-ci peut se reconstruire et acquérir
la confiance et l’estime de soi, en trouvant des substituts affectifs et en
exprimant ses souffrances, ça s’appelle la résilience.
Les facteurs de
résilience sont donc la capacité de dire ce qui a été traumatique, de l’écrire,
de le chanter, de le peindre, le dessiner ou encore de l’exprimer au travers de
personnages de roman, de théâtre…puis de trouver des êtres qui comblerons le manque
affectif.
L’écriture,
la tenue de ce journal, les animaux qui m’accompagnent ont été les moyens de
reconstruire ma vie tout comme la lecture des messages d’êtres de lumière qui m’ont
aidé à prendre conscience du divin intérieur.
La confiance en soi se construit
normalement dès l’état de fœtus comme le décrit Boris Cyrulnik dans les deux
vidéos ci-dessous, mais la capacité de résilience de l’humain est bien réelle.
Ce
constat est pour moi, une preuve de la multidimensionnalité de l’humain divin.
De
l’intelligence tant émotionnelle, affective que mentale et spirituelle.
La
preuve indéniable que chacun est constitué d’amour et de lumière qui je le
répète inlassablement sur ce blog, sont la capacité d’aimer et la sagesse innée, intérieure.