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mercredi 8 février 2017

« Reconnaitre les jeux de rôles afin de s’en détacher et en reconnaitre le sens, l'essence »





7 02 Avec un peu de recul et par le fait que je n’arrive pas à publier un texte des guides de l’unité canalisés par Daniel Desjardins qui nous invitent à s’ouvrir à eux, à tendre nos mains en leur direction, je me rends compte qu’on est en pleine déstructuration des croyances. 
Ce que je voyais au départ comme un manque d’ouverture de ma part, est encore une limitation qui m’invite à me tourner vers l’intérieur, afin de trouver ma propre maitrise, de m’ouvrir à ce que je suis en totalité. A me tourner vers le cœur, l’intelligence de l’amour, la force de l’unité et du lâcher prise. La fermeture vis à vis de l'extérieur invite toujours à s'ouvrir à soi-même, à considérer les blocages internes.

Les révélations tant attendues, la poursuite d’un modèle, la recherche d’un sauveur, humain ou extra-terrestre, angélique…tout cela appartient à l’illusion, à l’ancien monde où les individus sont identifiés au personnage, aux rôles de victime, de bourreau et de sauveur.
On projette nos peurs, nos doutes, nos espérances, nos croyances sur l’environnement, sur l’extérieur, sur le monde mais au lieu d’y voir le reflet de nos pensées, émotions, on s’y attache en croyant que c’est la réalité. Pourtant en reconnaissant ce phénomène de projection, on a les clefs de notre propre libération, on y voit notre plein potentiel de cocréateur.

On confond maitrise et contrôle, on prend nos croyances pour des réalités, on accuse l’extérieur de notre mal-être alors que tout se passe à l’intérieur. On vit dans l’illusion d’être une victime simplement parce qu’on s'identifie aux pensées aux émotions qui émanent des programmes inconscients.

lundi 6 février 2017

« C’est juste de l’énergie bloquée qui a besoin de circuler, l'énergie de vie qui veut se déployer »





Je peux mesurer ma capacité à lâcher prise, en constatant que c’est seulement au bout de quelques minutes que j'ai laissé émerger les émotions, sans retenue, sans chercher à les bloquer par des raisonnements et des questions. 
Le fait d'avoir participer à l'atelier clown m'a lessivée et pendant près de 24h, j'étais ailleurs, comme si le mental avait décollé. Il est tellement habitué à bloquer l'émotion parce que ce processus de survie s'enclenche lors d'un trauma, à un moment où il est impossible d'exprimer les émotions, que la peur d'affronter ce monde l'a déconnecté. 
Pas étonnant qu'il se sente perdu puisqu'il a toujours associé l'expression d'une émotion à la mort. Il fallait garder le silence, le secret et c'est imprimé en profondeur. C'est donc logique presque mécanique même, qu'il y ait encore de la résistance.

Pendant un bon moment hier, je me suis demandée ce qui clochait en moi, pourquoi je revivais encore le même scénario, la même promesse non tenue, le mécano qui donne un rendez-vous mais qui ne vient pas. C'est une autre personne mais le scénario se répète.
Je suis passée par toutes les hypothèses possibles, je me suis remise en question puis j’ai lâche les pourquoi et comment en me contentant de renouveler mon désir de changement. Changement d’attitude qui consiste à accueillir tout ce qui émerge. Enfin plutôt à laisser sortir ce qui veut sortir.

C’est souvent "l’erreur" que je fais, de bloquer au niveau de la tête, quelque chose qui ne demande qu’à s’exprimer dans la matière, dans l’émotion. Ce n’est pas faute d’avoir rabâché toute la semaine l’importance de l’accueil ! 
Mais là encore, c’est un rappel, un conditionnement mental qui est sensé me préparer à lâcher prise et si la tendance est encore à chercher un sens, une explication quand je suis face à une situation incompréhensible, ça me ramène à l'évidence que ce réflexe est "normal", inconscient, que c'est l'expression de la peur, du besoin de contrôle 

Le savoir, c'est déjà s'en détacher et ça permet de comprendre qu'on ne surmonte pas une peur en trouvant des réponses mais en la reconnaissant et en la laissant s'exprimer émotionnellement. Elle va se transformer en colère quand le mental se sent dépassé, contrarié, en pleurs quand on lâche la résistance et finalement la paix revient toujours. 

dimanche 5 février 2017

« Reconnecter le vivant en soi »





4 04 Je reviens de l’atelier clown et comme la dernière fois, je suis éreintée, vidée, ailleurs. Le monde des émotions m’est tellement inconnu du moins comme je n’ai jamais fait attention à ces sensations puisque la peur couvrait l’ensemble, le mental est largué. Enfin je devrais dire que j'ai abordé ce monde par le mental, les croyances, en les sélectionnant, en leur collant des étiquettes et en les dénaturant. 
D’un certain côté, c’est très bien que je n'aie pas anticipé puisqu’il s’agit d’improviser et je peux déjà voir les progrès par rapport à la dernière fois. Je n’ai pas appréhendé, je n’y ai même pas pensé, c’était inscrit dans mon agenda et je savais que je devais y aller. 

C’est le genre d’intuition qui vient directement de l’âme, une impulsion, une certitude d’avoir fait le bon choix, d’être au bon endroit, au bon moment alors qu’on ne sait pas ce qui va se passer ou encore "à quoi sa sert". Du moins, le mental n'a pas encore toutes les données pour comprendre la portée du choix, pour savoir tout ce que ça va engendrer.

Je sens que c’est exactement ce qu’il me faut en ce moment, que ça fait partie du processus de libération, de maitrise et que le fait d’être en groupe est essentiel.
On peut comprendre comment fonctionne le mental et l’inconscient, comment les croyances se forment, comment on est conditionné, les rôles qu’on joue et celui qui correspond le plus à notre personnalité, à notre âme mais quand il s’agit de l’émotionnel, c’est sur le terrain que ça se passe et on entre en territoire inconnu. 

Le fait de savoir accueillir des montées émotionnelles seul à seul ou avec notre âme, est parfait pour libérer les émotions refoulées et ainsi déconstruire les associations pensées/émotions qui ont élaboré les croyances. 

mercredi 1 février 2017

« Observer en silence »





31 01 Je ressens encore des mouvements internes d’afflux de lumière, de montée d’énergie, qui viennent stimuler le corps émotionnel afin qu’il puisse extérioriser ce qui est encore refoulé dans l’inconscient, la mémoire. Enfin je devrais plutôt dire afin de me familiariser avec l’émotion, avec le fait que la seule chose à faire, c’est de la laisser passer en toute confiance, sans vouloir la nommer, la retenir, l’enfermer dans le mental, les raisonnements. 
Maintenant que j’apprends à observer cela, à ressentir comment les sensations émergeant d’une contrariété, s’expriment et se meuvent, je vois les limites du système de survie. 
Le fait d’avoir bloqué et classer, étiqueté, les émotions, en a falsifié le goût. 
C’est tout un apprentissage qui est à accomplir, une redéfinition de la sensation non plus en termes de bien ou de mal mais en termes de fréquence, de texture, de mouvement.

Déjà le fait de savoir que ce sont des messages du corps, de l’âme, des énergies, des infos, ça calme considérablement le mental qui a moins tendance à les bloquer ou à cogiter.

Le regard qu’on porte sur ce qui est, en modèle la forme, y ajoute une note particulière qui peut aller jusqu’à une totale transformation. 
Ainsi le jugement, les à priori enfermement l’objet ou le sujet dans une forme définie qui entraine des réflexes conditionnés. 
Par exemple si je crois que les étrangers sont des ennemis, dès que j’aperçois un humain de couleur, je vais lui coller l’étiquette correspondante et je serais sur la défensive voire même agressive. Je ne verrais pas la personne telle qu'elle est mais j'y verrais ma propre peur et mes croyances.

dimanche 29 janvier 2017

« Résoudre l’équation: besoin vital et satisfaction de celui-ci, par le mouvement intérieur » & vidéos EFT





28 01 Quand on entend dans les milieux spirituels ou ceux du développement personnel, qu’il faut s’aimer en totalité, on se trouve souvent dérouté parce qu’on peine à savoir comment faire concrètement.

Pourtant on peut le savoir de façon simple en considérant notre comportement avec les autres, avec les enfants lorsqu’on est parent, avec nos amis, ceux en qui nous avons totalement confiance ou encore lorsqu’on fait preuve d’empathie envers les animaux. 

Avoir ce même regard sur soi, pouvoir entrer en compassion envers les aspects intérieurs qu’on a tendance à voir comme inférieurs, c’est manifester de l’amour pour soi.
Évidemment cela demande à être installé en profondeur en soi, jusque dans l'inconscient et à s’appliquer chaque fois qu’on se critique, qu’on se juge. 

En s’écoutant penser lorsqu’on sent un malaise intérieur ou simplement en faisant attention à nos pensées et en reconnaissant que lorsqu’on ressasse, lorsqu’on se juge, cela signifie que le besoin de paix et d’amour se fait sentir, on va peu à peu lâcher cette habitude très ancrée de se martyriser.

mardi 22 novembre 2016

« Le Pouvoir de l’Accueil » Nassrine Reza





Ce matin (mardi), la pluie remet en question l’idée d’aller faire des courses puisque la voiture est en panne et je n’ai pas de parapluie. Je n’ai jamais pensé à acheter cet engin qui dans la région n’a pas de raison d’être tant les pluies sont rares. J’ai pris l’habitude d’adapter mon emploi du temps à la météo comme je n’ai pas d’obligations sociales, de contraintes horaires.
Je mesure combien j’ai été attachée à la lutte, la résistance, à l’intensité des sensations. 
En relisant ce que j’ai écris hier et que je n’ai pas publié de suite parce que j’ai préféré agir plutôt que de rester dans le mental, j’ai pris conscience que j’ai tellement été habituée à vivre la peur au ventre étant enfant, que j’y ai pris goût. Pas à la peur mais à son intensité. Puis comme c’était douloureux et handicapant, j’ai cherché l’inverse, les plaisirs intenses, la joie provoquée par des substances sans jamais me demander si cette quête n’était pas la cause de mon mal-être.

Malgré tout, il fallait passer par là pour connaitre la palette des émotions et décider enfin de vivre dans la paix. Cette paix qui devient vitale au point que le désir de l’obtenir amène à s’attacher à toutes sortes de croyances qui même si elles ne permettent pas de trouver la quiétude, aident à sortir la tête de l’eau. 
Mais cet équilibre est précaire puisqu’il demande une attention soutenue à ces pensées, un contrôle permanent qui finit par créer encore plus de trouble, d’anxiété. 
Je viens encore de vérifier la puissance libératrice de l’abandon de la lutte.

On est tellement habitué à résister à ce qui se manifeste en soi qu’on vit dans un stress permanent qui génère des crises, des explosions émotionnelles, de la confusion mentale et un sentiment de dévalorisation croissant.
Plus on s’accroche aux raisonnements du mental, plus on tente de contrôler et plus l’énergie peine à circuler.

lundi 31 octobre 2016

« Les rôles du triangle dramatique ou triangle de Karpman »





30 10 La nature pour s’épanouir, a tout autant besoin de la fraicheur de la nuit que de la chaleur du jour. Cela illustre les besoins essentiels de l’humain, ce besoin d’équilibre, de complétude qui se nourrit dans le centrage, la communion avec l’âme. Puis c'est aussi le reflet de la nécessité d'honorer le besoin de sommeil, de détente, de régénération. Savoir répondre au besoin fondamental de sommeil et de repos semble évident cependant, on se laisse facilement distraire et très souvent, c'est le mental qui est stressé et qui mène la danse selon ses stratégies. Rien d'autre que la paix du cœur ne peut le calmer vraiment et en ce sens, la médiation, la relaxation, sont des outils concrets très utiles. Utiles si on se contente de respirer calmement, de se détendre physiquement sans rien chercher d'autre que cela.

On a tellement ajouté d’étiquettes, de concepts à la vie, au divin en nous, que lorsqu’on se rend compte que ce sont des interprétations illusoires de la réalité, on peut se sentir perdu. La première illusion c'est de s'identifier au rôle, au personnage, à la souffrance, aux pensées et aux émotions troublées. On le fait sans arrêt, sans même s'en rendre compte et tout naturellement, on a l'impression de subir.
Et ce qui peut sembler déroutant finalement nous libère des attachements, du besoin même de s’attacher à ces rôles, ces croyances, qui nourrissent la souffrance. 
Plus on tente de définir et de saisir le sens de la vie et plus il nous échappe. Et c’est tout naturel parce qu’il ne s’agit pas de se figer, de s’accrocher à la vie mais de se positionner dans le cœur afin de se laisser porter par son flux, son mouvement. 

Rien de tel que d’être face à la peur pour la démystifier. La peur de la peur, de la mort, la peur de la perte, du manque, apparaissent peu de choses finalement quand on voit que c’est éphémère, que tout passe et se transforme continuellement. 
Le temps devient un allié quand on s’abandonne en confiance à la paix du cœur, en ce lieu où tout s’équilibre et s’harmonise. 
On perçoit difficilement la paix lorsque les pensées émotions sont confuses pourtant, elle est toujours là. 
Si déjà on sait cela par expérience, on s’accrochera moins aux pensées troublées ou critiques.

samedi 10 septembre 2016

« Deux offres de soins gratuits, ce dimanche 11 septembre »





9 09 Et bien la pluie espérée est arrivée et ça fait du bien ! Alors que je commençais à douter de moi, à me demander si j’avais bien fait de parler des ‘visions’ que j’ai eues à propos de vies simultanées, j’ai pioché la clef de sagesse suivante sur le site de Monique Mathieu:
Clef 713
« Celui qui a le courage de s’exprimer avec sincérité avancera. Celui qui s’enferme en lui-même aura beaucoup de mal à progresser. Celui qui met un mur d'incompréhension entre lui et son frère aura également beaucoup de mal à progresser. »

Une fois de plus, cette guidance selon l’élan spontané me confirme la justesse de mes choix. Je continue de regarder les émissions de Ruquier, ce qui me permet d’être sur la fréquence de la légèreté, de voir le monde avec un certain décalage puisque ces émissions datent du début du siècle et en plus ce que j’apprécie chez eux, c’est qu’ils montrent que personne n’est parfait et cassent ainsi le mythe de la vedette extraordinaire.

J’ai toujours eu la sensation qu’être un humain est déjà compliqué et que le monde l’étant aussi, le mensonge, les faux semblants, et les rôles rendent le parcours difficile. C'est une perte de temps et d'énergie qui nous éloigne de la vérité de l’Être. 
Nous sommes tous dans le même bateau et si on se libère des masques, des rôles, les relations sont forcément plus humaines et divines aussi parce qu’alors, c’est le cœur qui parle. 
Je continue de marcher nu pied pour être bien ancrée dans ma propre réalité, au contact du ressenti et j’apprécie vraiment de sentir la paix entre les corps. Dès que quelque chose de troublant apparait, je parle à mon âme et lui demande de me dire ce que ça veut dire; Je reste ouverte et le mental est ainsi plus attentif au ressenti. Ou je laisse passer sans y prêter attention.

mardi 6 septembre 2016

« L’intention au point zéro selon Kishori Aird » Manuel Sperling & vidéo « EFT, mode d’emploi » Geneviève Gagos






Le point zéro est une expérience magnétique, dans laquelle nous choisissons d’accueillir simultanément, les aspects négatifs et positifs de nos expériences.
En équilibrant les deux polarités en nous, nous choisissons de vivre dans la compassion et l’amour, -qui est le seul moyen de sortir du cercle infernal-, qui consiste à accueillir les charges négatives et à les utiliser, les intégrer, pour qu’elles deviennent comme un des pôles d’un élément qui attirera dans votre vie tout ce dont vous avez besoin.

L’intégration des charges négatives est un processus puissant.
Voici un exemple : imaginez l’intensité de la charge de la colère accumulée depuis de nombreuses années face à un parent abusif. Si nous pouvions mesurer l’ampleur énergétique de cette colère, nous serions impressionnés par sa force magnétique.
Une fois cette force intégrée, elle devient un pôle négatif formidable, avec lequel nous pouvons agencer un pôle positif équivalent sans avoir besoin de la colère. C’est ce type d’agencement, qui constituera dorénavant, notre pouvoir de manifestation.
Maintenant que nous utiliserons la charge magnétique d’une émotion autrefois troublante et débilitante, pour créer ce que nous voulons au point zéro, nous ne verrons plus la charge négative comme une « chose à combattre », mais bien comme une force créative.

Voici un exemple de mise en pratique :
Vous pourriez par exemple, formuler votre intention :
« Je choisis de m’amuser même si je suis fatigué » ou « tout en étant fatigué ».
En permettant à nos peurs de coexister avec nos espoirs et nos projets au point zéro, nous canalisons cette puissance.
En insérant une émotion aussi forte à nos intentions, nous orienterons le pouvoir de la peur de manière à répondre à nos besoins.
Le fait de repousser une énergie qui nous fait peur ou nous dérange, ne la fait pas disparaître pour autant, vous l’avez remarqué.
Maintenant que j’ai eu ma déception dans ces expériences, je ne vis plus de contre-coups négatifs.
Il faut bien comprendre, que se mettre au point zéro, ne veut pas dire laisser aller*, il s’agit au contraire, de maintenir deux polarités différentes dans le même espace.

lundi 29 août 2016

« Affirmer ses choix envers la Source Intérieure » & « La gestion des émotions » Docteur Tal Schaller






27 08 
"Vous êtes le garant de votre bien être !"
Clef de sagesse  925 trouvée sur le site de Monique Mathieu
L'’Amour est la plus belle chose qui puisse exister dans l’univers ! C’est le ciment qui relie toute vie ! S’il n’y avait pas d’Amour il n’y aurait pas de Vie ! Ce qui vous est demandé  est de faire grandir cet Amour en vous, de le cultiver jour après jour. C’est déjà de l’accepter, de le reconnaître, de l’exprimer et de le rayonner ».  

YES, merci pour ce rappel en ces temps de plus en plus troublés. Mais malgré tout la paix revient vite même si les vagues peuvent déstabiliser lorsqu’elles émergent.

"La paix en soi libère tout, dès qu'on la trouble, on génère des remous."

Je râlais de ne pas être en paix et dans la joie tout le temps mais en fait, c’est juste pour m’aider à revenir à la conscience, à la présence de cette paix du cœur que les remous sont générés. Et à chaque fois que je me pose, elle revient et c’est de cette façon que je vois le sens "unique" de ces mouvements internes.

Maintenant il me faut lâcher la croyance qui dit que "c’est par le faire, l’effort, que les choses changent". Je dis "il me faut" parce que je considère que ce chemin peut se faire dans la légèreté, la joie, la fluidité et que c'est ma priorité.
L’effort à fournir, si on peut dire, c’est d’être de plus en plus conscient de ce que l'on veut et présent à soi-même, fidèle à ce choix de faire confiance à la Source.

dimanche 28 août 2016

« Les 3 émotions qui guérissent » Emmanuel Pascal



La science a identifié trois émotions et sentiments guérisseurs du corps et de l’âme : la gratitude, l’amour et la foi. Ces émotions et sentiments peuvent être cultivés pour se sentir plus heureux, plus créatif, améliorer ses relations avec les autres et mieux résister aux infections et aux maladies. Emmanuel Duquoc (alias Emmanuel Pascal), l’auteur des "Les 3 émotions qui guérissent" vous dit comment.

Quelles sont les émotions qui guérissent ?
Voici les trois émotions centrales qui guérissent et leurs corollaires qui permettent de les convoquer :
·         La foi : insouciance, prière, optimisme, espérance, courage, lâcher-prise, fluidité, confiance, réceptivité, doute, dévotion, protection.
·         L’amour : politesse, honnêteté, respect, service, compréhension, bienveillance, compassion, partage, don de soi, tendresse, pardon, attachement, amour inconditionnel.
·         La gratitude : remerciement, sentiment d’être aimé, acceptation, deuil, bénédiction, satisfaction, reconnaissance, ouverture du cœur, sourire, simplicité, rire, émerveillement, contemplation, joie.

Les 3 dimensions de l’émotion
L’émotion n’est pas une pensée, elle est corporelle et possède plusieurs composantes :

jeudi 25 août 2016

« Comment contacter son âme, ses guides ? » mon point de vue et celui de la jeunesse...





C’est une question qu’on se pose naturellement si on lit des messages canalisés et comme il y en a énormément sur la toile, comme chacun témoigne de sa relation au divin, on essaie de comprendre cela de façon intellectuelle, on imagine des scénarii digne de films Hollywoodiens, on s’attend à quelque chose d’extraordinaire, de fantastique. Et de cette façon on reste identifié au mental, à la vision limitée et conditionnée qu’il a nécessairement de ce que sont l’âme, la conscience divine, la source.

Le langage de l’âme n’est pas verbal même si des messages peuvent venir sous la forme d’idées. Elle utilise tout ce que nous sommes, tous nos corps, toutes les situations de notre vie, pour communiquer avec la personnalité. 
La communication est permanente mais nous n'en avons pas conscience et c'est ce que l'introspection va révéler peu à peu. On va comprendre qu'il s'agit de s'ouvrir afin de recevoir, de percevoir cette communion.

Par exemple, on observe quelque chose en soi puis on tombe sur une info qui va nous donner le sens de cette observation. C’est ce que j’ai encore vécu il y a quelques jours.
Plusieurs fois, lorsque je parle à mon âme, je ressens des frissons et ce signe témoigne de sa présence, du fait qu’elle "m’entende". Je l’ai interprété de cette façon parce que je peux l’observer à chaque fois que je me confie à cet aspect maternant intérieur, chaque fois que je sens la paix et qu’un sourire se dessine spontanément. Puis en même temps, j’avais remarqué que ce ressenti se manifestait quand les médicaments ne faisaient plus effet, le matin avant de prendre les cachets et en fin de soirée. 

La sensation particulière dans ce contexte de contact intime révèle aussi que le contact avec l’âme est subtil et qu’il demande de l’attention, de la transparence et la sincérité du cœur en même temps que la nécessité d’être attentif, d’affiner ses perceptions ou tout au moins de ne pas se couper de ce ressenti. On peut dire aussi que ça demande d’avoir le cœur et l'esprit ouverts.

jeudi 18 août 2016

« L’intelligence intuitive du cœur » par Doc Childre et Howard Martin





Extraits de leur livre "L'intelligence intuitive du coeur", p. 5 à 91Ariane Éditions, 2005  
Au-delà du cerveau : l'intelligence du coeur (p.5)
Chacun de nous s'est fait dire, à un moment donné, de suivre son cœur. 
Cela semble une merveilleuse idée, en principe, mais l'ennui, c'est que vraiment suivre notre cœur - et aimer les gens, y compris nous-mêmes - est beaucoup plus facile à dire qu'à faire. Par où commencer ? Les gens parlent de suivre leur cœur, mais personne ne nous montre comment. Qu'est-ce que cela veut dire, au juste, de suivre son cœur ? 
Et comment s'aimer soi-même ? À part le fait que l'amour est un bon sentiment, pourquoi devrions-nous aimer les autres ? Nous allons vous enseigner une approche pratique et systématique qui vous permettra de répondre vous-même à ces questions, et nous allons évoquer les énormes bienfaits que vous récolterez en cours de route.

Au cours des vingt dernières années, les scientifiques ont fait sur le cœur de multiples découvertes qui nous montrent une complexité de fonctionnement beaucoup plus grande que nous ne l'avions jamais imaginée. Nous possédons maintenant des preuves scientifiques que le cœur nous envoie des signaux émotionnels et intuitifs afin de nous aider à gérer notre vie. Au lieu de tout simplement pomper du sang, il dirige et aligne plusieurs systèmes du corps afin qu'ils puissent fonctionner en harmonie les uns avec les autres. Et, bien que le cœur soit en communication constante avec le cerveau, nous savons maintenant qu'il prend lui-même un grand nombre de décisions...

mercredi 13 juillet 2016

« Merci la vie, les synchronicités, la résonance… » & conférence Deepak Chopra





J’ai bien aimé le texte de Jean Yves parce qu’il est en parfaite résonance avec ma pensée. On se croit souvent victime de la vie, des autres, du passé, des circonstances et comme nous sommes persuadés de cela, c’est effectivement ce que nous vivons. 

En ce constat, il y a des notions essentielles ; la première, c’est la puissance de nos croyances, la seconde c’est l’impact de celles-ci sur notre état d’être et notre vie, la troisième c’est que tout dépend de notre vision.
En cela réside notre pouvoir en tant qu’humain. 

Notre vision de la vie est relative à notre passé et comme celui-ci ne peut pas être changé, c’est au présent que ce pouvoir s’active
On ne peut pas changer les faits mais on peut changer le regard qu’on porte sur eux. Chaque seconde, nous pouvons choisir quelle pensée nous voulons croire et nourrir

Il y a effectivement certains bénéfices à nourrir le rôle de victime parce que ça nous évite d’être responsable de nous-même. Mais une fois qu’on comprend la force qui est en nous, dans cette capacité de choisir nos croyances et donc la vibration que nous émanons à chaque instant, on va reprendre notre vie en main. 

Commencer par choisir nos croyances est important et tant qu’on se croit impuissant dans ce domaine, il nous faudra vivre des situations de victime afin de comprendre la puissance de notre vision/interprétation. 
Personne ne peut nous imposer quoi que ce soit et encore moins nos croyances, notre vision de la vie.

mercredi 29 juin 2016

« L’autoguérison confirmée par des preuves scientifiques » selon Dr Lissa Rankin





Que vous soyez aux prises avec une maladie mortelle, une maladie « chronique » que la médecine occidentale n’a pas été en mesure de guérir, ou à lutter contre des symptômes exaspérants qui nuisent à votre qualité de vie, ou tout simplement à espérer optimiser votre énergie, votre vitalité, votre apparence physique, et votre longévité, il y a des preuves scientifiques que vous pouvez vous guérir vous-même.

Elle-même très sceptique, le Docteur Lissa Rankin en fait un cas irréfutable, et a documenté les faits avec des méthodes de science pure et dure, à partir de ce que les institutions médicales ont prouvé depuis plus de 50 ans, que l’esprit peut guérir le corps

Beaucoup de données prouvent que l’esprit peut se savoir en bonne santé. 
Dans les essais cliniques, nous l’appelons « l’effet placébo ». Les patients traités avec des placebos ne se sentent pas seulement mieux. Ce n’est pas juste « dans leur tête ». 
Ils voient réellement de grosses verrues disparaître, leurs bronches se dilater, leur côlon devenir moins inflammé, des cheveux qui poussent sur la tête d’hommes chauves,  des ulcères se guérir, ainsi que d’autres phénomènes physiologiques mesurables. 

Nous savons également que le contraire est vrai, et l’esprit peut se croire malade, ce que les chercheurs appellent « l’effet nocebo ». Lorsque les patients reçoivent des injections avec une solution saline et qu’on leur dit que c’est une chimiothérapie, ils vomissent et perdent leurs cheveux.
Comment de telles choses se produisent-elles physiologiquement ?

dimanche 26 juin 2016

« Le Pouvoir de l'Accueil » vidéo de Nassrine Reza





Ce matin, le ciel est couvert alors je peux me laisser aller librement à écrire. C'est d'autant plus appréciable quand ça n'est pas une routine. J'aime vivre mes journées en m'adaptant à la météo parce que je me sens connectée à ce qui est vrai (même si l'humain intervient avec les chemtrails), à la vraie vie, à la nature et mon propre rythme biologique est à son "meilleur" lorsque je m'aligne au rythme du soleil, au cycle naturel du vivant. 
De la même façon que lorsque je m'aligne à la fréquence du soleil intérieur, la paix, l'harmonie et la joie se manifestent.

Chaque fois que je me tourne à l’intérieur lorsque l’extérieur stimule des pensées émotions, des réactions en surface, le même processus se déroule. 
La première chose qui revient en mémoire, c’est que la solution est à l’intérieur, dans ce retour à soi et déjà ça, c’est une façon de calmer le mental et d'être conscient. 

Derrière ce rappel, il y a la conscience que l’extérieur me renvoie ce que je porte et surtout la connaissance que le mental est un allié, un ami, un outil de perception, d’expression, qui bien qu’il ne me définisse pas totalement, est une part importante de l’être, respectable et nécessaire dans cette incarnation. 
Tant que je pense le contraire et c’est très souvent ce qui arrive quand on s’engage sur une voir dite spirituelle, je vais lutter contre moi-même et souffrir de cette division interne en entretenant le conflit et l’illusion.

mardi 16 février 2016

« Exercice de libération de la colère » Inelia Benz





Plusieurs d’entre nous sommes réticents à traiter ou à libérer la colère. 
C’est parce qu’elle est d’une telle puissance que nous pensons que, si nous la perdons, nous ne serons plus en mesure de nous défendre ou de défendre les autres. 
Bien qu’elle ait pu aider des gens à se sortir de la dépression ou de relations abusives, la colère n’est pas la seule alternative.

En réalité, la colère est un degré au-dessus de la peur. Elle a la couleur de l’énergie de la peur, mais d’un ton plus prononcé et c’est de là que l’ombre prend naissance. 
Elle est en fait, très destructive, tant pour nous que pour les autres autour de nous.

Donc, il y a deux croyances dont il faut se libérer. 
La première est de croire que si nous libérons la colère, nous deviendrons plus vulnérables; et la seconde est que la colère est nécessaire pour appuyer nos convictions.
Maintes fois, c’est notre colère qui nous propulse à faire quelque chose, pour cesser une guerre, par exemple.
Et souvent, il n’y a que la colère pour nous faire entendre et nous faire comprendre par ceux qui nous mènent par le bout du nez ou qui nous marchent sur les pieds; ils cessent alors d’agir ainsi. Et c’est une bonne chose.

Mais une fois que nous aurons contacté notre pouvoir, nous n’aurons plus besoin de la colère pour nous exprimer, puisque nous aurons alors de meilleurs outils pour le faire.

lundi 15 février 2016

« Exercice de traitement de la peur » Inelia Benz





Cet exercice est celui que j'utilise personnellement dans mon travail d'ascension, de même qu'avec mes clients.  Il est très efficace et des plus essentiels et assidus; une étape à prendre pour un parcours rapide d'ascension. Il est certes le fondement de l'ascension ainsi qu'une composante clé de la manifestation de nos rêves dans cette réalité de 3D.
L'exercice soulage aussi le stress et l'anxiété.

Vous pouvez faire cet exercice chaque fois que vous ressentez de la peur.
Pour de meilleurs résultats, il est préférable de le pratiquer dans un espace tranquille et privé et de préparer une liste des peurs que vous aurez écrites au préalable.

Asseyez-vous confortablement avec votre dos droit; fermez les yeux.
Inspirez profondément et lentement dans votre abdomen, puis expirez aussi rapidement que vous le pouvez.
Répétez: inspirez lentement, puis expirez aussi vite que vous pouvez.
Et... une fois encore: inspirez de plus en plus lentement, puis expirez rapidement.
Maintenant continuez la respiration à votre propre rythme.

dimanche 27 décembre 2015

« Cette vie est unique et précieuse justement parce qu’elle est éphémère » & vidéo débat sur la guérison






Alors que tout le monde se réuni autour de tables remplies de mets copieux, plus ou moins raffinés, mes corps et mon cœur m’invitent à l’écoute intérieure, au silence et à la diète. Les nombreux symptômes qui se manifestent en ce moment, vont et viennent et comme je sais que le corps physique, l’âme, les corps subtils sont intelligents, qu’ils communiquent entre eux et avec ma personnalité humaine, à travers ces signes physiques, je reste ouverte et confiante.
L’intelligence du corps physique n’est plus à prouver et elle est même stupéfiante au point de se dire que ce temple magnifique est un cadeau du ciel, une expression divine de la conscience père mère. La création dans la matière qui unifie le ciel et la terre, l’humain et le divin. 
A ce titre, l’autoguérison est pour moi une évidence mais comme le manque d’amour de soi est encore perçu comme une réalité, une croyance qui persiste, ça vient perturber le cours naturel des choses.
Il est clair que ça n’est pas la pensée qui guérit à elle seule. Elle intervient en partie, puisque l'esprit, le mental sont des extensions de la conscience divine mais si elle n’est pas alignée à l’amour en soi elle peut surtout saboter le travail du corps physique parfaitement autonome. Puis ce corps physique est constitué de corps subtils que le cœur harmonise en permanence afin de faciliter la communication et de manifester la santé à tous les étages.