dimanche 27 décembre 2015

« Cette vie est unique et précieuse justement parce qu’elle est éphémère » & vidéo débat sur la guérison






Alors que tout le monde se réuni autour de tables remplies de mets copieux, plus ou moins raffinés, mes corps et mon cœur m’invitent à l’écoute intérieure, au silence et à la diète. Les nombreux symptômes qui se manifestent en ce moment, vont et viennent et comme je sais que le corps physique, l’âme, les corps subtils sont intelligents, qu’ils communiquent entre eux et avec ma personnalité humaine, à travers ces signes physiques, je reste ouverte et confiante.
L’intelligence du corps physique n’est plus à prouver et elle est même stupéfiante au point de se dire que ce temple magnifique est un cadeau du ciel, une expression divine de la conscience père mère. La création dans la matière qui unifie le ciel et la terre, l’humain et le divin. 
A ce titre, l’autoguérison est pour moi une évidence mais comme le manque d’amour de soi est encore perçu comme une réalité, une croyance qui persiste, ça vient perturber le cours naturel des choses.
Il est clair que ça n’est pas la pensée qui guérit à elle seule. Elle intervient en partie, puisque l'esprit, le mental sont des extensions de la conscience divine mais si elle n’est pas alignée à l’amour en soi elle peut surtout saboter le travail du corps physique parfaitement autonome. Puis ce corps physique est constitué de corps subtils que le cœur harmonise en permanence afin de faciliter la communication et de manifester la santé à tous les étages.


Envisager la maladie, les douleurs et symptômes comme des messages de l’âme, de la conscience terrestre et cosmique, facilite le processus de guérison parce qu’on sait que notre être veut nous montrer ce qui a besoin d’être aimé et pacifié en nous-même. 
Mais l’esprit, le mental et ses références limitées à ce qu’il connait, à des croyances, peut fausser les choses. 

Apprendre à écouter son corps, et le comprendre au-delà des mots, de l’intellect, voilà qui devient essentiel pour moi. C’est aussi une façon de manifester l’amour en soi, d’être attentif à son monde intérieur, d’apprendre la maitrise des pensées émotions et de se nourrir de façon adéquate, tant physiquement que subtilement. J’ai était attirée par des messages, articles qui parlent de nourriture prânique et bien que ça me semble hors de portée pour le moment, je sens que mon âme me pousse en ce sens.

Mais chaque chose en son temps. Puis comme les idées nouvelles semblent être des hypothèses à envisager qui semblent permettre de lâcher des croyances, d'harmoniser les corps, je laisse venir et continue de me focaliser sur le cœur, le centre, le point de neutralité, le désir d'unité.
Pour le moment, je constate que mon foie est en souffrance et selon le dictionnaire des causes métaphysiques des maladies de Lise Bourbeau ce serait le signe d’une colère refoulée. Je n’en fais pas une vérité absolue mais je constate tout de même que j’ai effectivement tenté de maintenir la paix en moi de "façon artificielle" ou plus mentalement qu'effectivement, quand Bilou était malade et que je voulais la guérir. 
A vrai dire, je pourrais chanter la chanson de je ne sais plus qui « j’ai la rate qui s’dilate… » parce que tout est chamboulé à l’intérieur, les reins, le talon droit, le plexus solaire…

Sans nier cela, je me contente d’être à l’écoute de mon corps physique concernant ses besoins de nourriture en me fiant uniquement à ce qui me fait envie. De façon très instinctive, je sens la nourriture, fait appel à mon ressenti plutôt que mon mental. 
Je suis allée faire des courses hier en portant attention à l’intérieur chaque fois que j’étais devant un produit. C’est difficile à décrire comme « méthode » parce que c’est très intuitif donc rapide, difficile à disntinguer et la raison ou l’intellect participe aussi au choix mais ça vient après. Je me pose la question, qu’est-ce qui me fait envie et des idées viennent. Quand tout le monde intérieur est d’accord, quand ça me fait saliver et que ça me réjouit, je n’hésite pas. Peu importe le produit en lui-même. Je sais quand même que le besoin de sucre ou de chocolat est d’abord mental, affectif, mais c’est aussi physique puisque tout est lié. Il y a du magnésium dans le chocolat tout comme dans la banane mais j’aurais tendance à choisir le chocolat qui plait à mon enfant intérieur. En ce moment j’ai la langue plutôt chargée alors que je ne fais pas d’excès. Du coup, je ne me prive pas de chocolat mais je dose.
Déjà, ce qui permet de me détendre, c’est d’avoir regardé la mort en face. J’ai libéré quelques peurs qui y étaient rattachées en étant consciente que celle-ci est étroitement liée à l’instinct de survie et comme c’est un système vital a bien des nivaux, là encore, il ne s’agit pas d’éliminer la peur, de considérer le système de survie comme un ennemi mais de trouver l’équilibre intérieur. Chose que seul le cœur et la conscience divine ; ou l’amour lumière, peuvent réaliser de façon juste.

La conscience divine habite le corps physique, elle le gère et le cœur est toujours dans l’harmonie mais le mental qui interfère en refoulant les émotions dans l’inconscient créé un déséquilibre que l’acceptation, le lâcher prise rétablissent.
La peur, les pensées émotions refoulées portent des messages, elles indiquent des besoins non satisfaits, un déséquilibre interne, des croyances illusoires à libérer mais aussi les talents dont nous disposons, les capacités inhérentes à l’humain divin.

En ne luttant pas contre ce qui est, on peut comprendre le message de l’âme et en premier lieu, retrouver la paix et l’harmonie intérieure. 
Sans cette paix, il sera difficile d’interpréter correctement les choses ou même d’accepter simplement de ne pas comprendre de suite ou même pas du tout, le sens du symptôme physique. 
Parfois, il est juste question de faire confiance pour que l’amour en soi rétablisse l’équilibre en circulant librement. Sans parler de karma ou plutôt de loi de cause à effet, il est clair que la constitution de l’humain multidimensionnel dépasse largement l’entendement humain, mais on peut saisir de façon intuitive le sens d’une maladie ou du moins l’invitation qui est derrière. 
C’est souvent très simple et spontané mais le mental aime compliquer les choses, il veut décortiquer et comprendre en détail afin d’avoir l’impression de contrôler les choses.

On ne peut pas non plus l’accabler puisqu’il est programmé pour chercher, pour donner du sens, de la cohérence. C’est la fonction du cœur d’harmoniser tout ce que nous sommes et si le mental a suffisamment confiance en l’amour lumière intérieurs, ça suffit à le calmer, à cesser les questions. 
Et c’est là que les réponses vont venir, du moins celles qui mettent le doigt sur ce qui a besoin d’être aimé et pacifié en nous. 
Par exemple, quand j’ai lu que les problèmes de foie étaient liés à la colère refoulée, j’ai cessé de m’interroger à propos du sens et j’ai reconnu les moments où j’avais bloqué cette émotion. 
Comme je suis convaincue que le animaux perçoivent nos émotions énergies et comme ça les affecte, le fait que Bilou soit dans la maison que je veuille qu'elle guérisse et en prendre soin, a induit in comportement inconscient de refoulement de la colère. 
Je me disais que je devais être le plus possible en paix mais en fait c’est mon  mental qui a agit et à sa façon, en utilisant les stratégies de refoulement, d’évitement, de fuite.  
C’est quelque chose d’automatique que seule la présence à son corps physique et l’accueil des pensées émotions qui s’opposent à la paix, à l’amour inconditionnel de soi, peut résoudre.
La connaissance des lois universelles passe par le mental mais il va essayer de contrôler les choses en mettant en place de nouvelles stratégies. Il n’est pas évident d’être présent à soi-même continuellement mais déjà en étant capable de discerner les stratégies, les moments où on est décentré, favorise le retour au cœur et donc l'harmonie synonyme de santé. 
On ne peut pas apprendre du jour au lendemain à être attentif à son monde intérieur mais en sachant que les mouvements internes qui bousculent sont des invitations à se centrer, la pratique facilite le lâcher prise et permet au mental de prendre confiance.




Agir selon l’élan de l’instant est aussi une façon d’être présent à soi et d’amplifier la confiance. C’est une façon de mieux se connaitre, d’apprendre à entendre la voix du corps physique, de l’intuition et de lâcher les croyances basées sur l’idée de séparation et d’exclusion.  
On peut savoir que lorsqu’on est dans l’excès, le déséquilibre, il suffit de revenir au cœur, de laisser faire cette intelligence qui est bien au-delà de ce monde, des croyances, des illusions et des projections.

Si nous n’avions pas de mental, notre corps physique vivrait des siècles mais d’un autre côté, non seulement ce mental nous permet d’interagir avec notre environnement, de communiquer et d’affirmer notre individualité mais en plus à mon sens, vivre sur terre est une expérience volontairement éphémère. Et c’est ce caractère éphémère qui permet de se réjouir du voyage.
On sait qu’au bout de notre séjour sur terre il y a la mort et cela nous donne l’envie d’agir, de réaliser des choses, de vouloir laisser une trace et surtout de définir ce qui a vraiment de la valeur pour nous. 
Dans ce monde de dualité tout apparait comme séparé, contrasté, et ce qui est magique c’est de prendre conscience que ce contexte particulier nous révèle à nous-même, qu’il nous permet de connaitre, d’expérimenter, de manifester notre essence divine au travers de notre singularité, notre originalité.

Accepter de vivre pleinement ce que nous sommes, d’aimer tout ce que nous sommes rend la vie épanouissante. Un des messages des symptômes physiques c’est de lâcher prise, de faire confiance à la vie et de ne plus craindre la mort. C’est une façon de se détacher des choses, de ce que nous sommes au niveau éphémère tout en étant conscient que ce moment donné, cette incarnation est un cadeau de la Vie.
Une occasion d’apprécier le moment présent et de sentir l’être éternel que nous sommes, chaque fois qu’on se confie en toute sincérité à son cœur.
Cette conviction profonde permet de relativiser les choses tout en étant reconnaissant d’exister ici et maintenant.

Chaque fois qu’on vient au centre de soi on se sent en paix, en sécurité et comme le mental devient silencieux, on entre dans un  tout nouvel espace qui nous régénère de l’intérieur et va purifier notre vision. 
Les croyances sont revisitées puis abandonnées au profit de la connaissance intime. 
Les certitudes s’effritent mais comme c’est réalisé dans la paix du cœur, on est confiant alors même qu’on aborde un territoire inconnu.  

Finalement on prend conscience que la seule connaissance nécessaire c’est celle de notre monde intérieur et que le cœur délivre les réponses par la révélation de l’amour lumière en soi. 
Les réponses n’ont plus trop d’importance, la sensation elle suffit à clamer les questions parce que finalement on saisit que la connaissance n’est pas intellectuelle. 
Elle est un tout et demande d’affiner ses sens, de favoriser tout ce qui permet l’écoute et l’ouverture. 
On sait que le mental capte ce qui est superficiel et en affinant les perceptions, en étant à l’écoute de son monde intérieur, l’intuition se développe sans pour autant rejeter le mental. Une association s’installe où le masculin; le mental, fait de la place au féminin et le laisse passer en premier. Ce couple intérieur apprend les « bonnes manières », le respect, la tendresse, l’union amoureuse qui prend soin de la vie, de l’enfant en soi, en se laissant guider par le cœur, l’amour lumière intérieurs.
Et ça se traduit dans la matière par des gestes attentionnés, par une attitude spontanée, sincère, déterminée, équilibrée.

Cette émission est intéressante et je la publie en même temps que je la découvre. C’est mon intuition qui m’a amenée sur ce débat qui dépeint bien la situation actuelle ; nous remettons en question les vieux dogmes, nous apprenons à voir de façon plus globale, plus large, avec plus d’ouverture d’esprit et d’humilité, nous confrontons les savoirs, associons les différents points de vue qui jusqu’à maintenant se faisaient la guerre. 
C’est un immense progrès qui démonte aussi la relation entre le monde intérieur et le monde extérieur. 
Plus l’individu réalise l’unité intérieure, et plus le monde se rapproche. 
Tout ce qui permet de s’interroger est une bonne chose si on se laisse guider par l’intelligence du cœur.
J’aime bien les gens qui unifient, qui montrent qu’on peut être un personnage public sans pour autant perdre son unicité, son âme, et utiliser sa notoriété pour ouvrir l’esprit et  le cœur des humains. Je crois que Franz-Olivier Giesbert est végétarien et c’est peut-être pour ça que j’aime bien sa façon d’aborder les sujets de société. 
Quelqu'un qui ose vivre selon ses valeurs est souvent ouvert d'esprit et de cœur.



« Guérir : l'esprit plus fort que le corps ? » 
Débat mené par Franz Olivier Giesbert avec:
Frédéric Lenoir, auteur de: « La puissance de la joie » Claire Marin, Fabrice Midal, Jean Claude Ameisen, immunologiste,  chercheur en biologie, président du comité national consultatif d’étique, présentateur de l’émission sur France inter « sur les épaules de Darwin », Frédérique Saldmann nutritionniste, cardiologue, auteur du best seller « Le meilleur médicament c’est vous » et l’ostéopathe Alain Cassoura 






Je la regarderais ce soir mais le peu que j’en ai vu et le sujet semblent raccord avec ma pensée ou plutôt ma recherche de "vérité" parce que les certitudes sont ébranlées et j’ai bien l’impression que ça ne fait que commencer. 
J’ai fait quelques recherches à propos des invités et j’ai encore plus envie de voir cette émission qui m’apparait aller dans le sens de ma foi. Mais comme j’ai encore beaucoup de croyances illusoires à ce sujet, ce sera l’occasion d’éclaircir les choses, de les structurer, par ce point de vue scientifique ajouté à l'intuition, la foi. 
Un beau clin d’œil de la vie qui me guide vers l’unité des corps, du masculin et du féminin, des deux hémisphères du cerveau, de la raison et de l'intuition, par ces synchronicités, ces nouvelles rencontres… 
C’est la magie d’Internet de pouvoir accéder à tant d’informations aussi facilement et précisément. C’est un outil qu’il faut apprendre à utiliser de façon intelligente et avec parcimonie…



Il est clair que le système de croyance en lui-même répond à la peur, qu’il est une stratégie, une construction mentale qui ne peut résister à l’amour lumière et qui va devoir laisser la place à l’intelligence du cœur. Enfin pour celui qui en fait le choix, si choix il y a puisque tout nous pousse à vivre depuis le cœur. 
Là aussi la question du libre arbitre s'effrite parce qu'à moins d'aimer souffrir le seule choix que nous ayons, c'est de faire confiance à notre cœur, à son intelligence. 


Dans cette perspective, le choix de la nourriture ne devrait pas être imposée par la peur ou par la notion de bien et de mal. 
Je pense que chacun doit apprendre à écouter son corps et manger ce qui lui fait envie. 
C’est une façon de marquer sa différence, son unicité, d’affirmer qui on est, sans obliger les autres à agir comme soi-même.
Je sens que mon corps n’en a pas besoin ou du moins pas envie en ce moment mais je ne force rien, j’apprends à l’écouter et à suivre ces indications, à choisir en conscience ce qui est bon pour moi.
Essayer d’argumenter intellectuellement à ce sujet est plutôt casse-tête parce que le mental est toujours régit selon l’idée du bien et du mal. Il agit selon des croyances et tente de contrôler les élans, les envies, créant plus de frustration qu’autre chose. Puis si on se fie à ce que pensent et disent les autres, on remet son pouvoir entre des mains extérieures avec toutes les dérives que ça implique.

Oser vivre selon son ressenti, sa vision, ses valeurs et ses convictions me semble être la meilleure façon d’exister, de manifester son être en toute liberté et dans le respect d’autrui. 
Chacun est une étincelle unique et peut, dans cette vie, apporter sa contribution au monde en étant lui-même, authentique, sincère et naturel. 
Agir selon le cœur, dans la paix et l’harmonie intérieure permet de vivre selon Sa vérité tout en respectant celle des autres. 
La vérité absolue appartient à la source et chacun l’exprime selon sa vision, son vécu, ses différences. Et plus l’individu est vrai dans le sens où il agit selon ses élans profond, ceux du cœur et plus il nourrit la connaissance, la conscience universelle. La source n’a pas besoin de savoir mais elle permet à chacun de connaitre, de se reconnaitre et elle se goûte à travers tous.
Je suis en train d’élaborer un nouveau blog qui parle du nouveau monde, de toutes ces connaissances qui permettent à chacun de devenir autonome, libre, de toutes les belles initiatives qui se répandent partout comme des semences d’espoir qui fleurissent le monde, lui rendent sa beauté, honorent la Vie, l’humain et la Terre. 
Cette vie qui s’épanouit dans la conscience qu’elle est unique et précieuse justement parce qu’elle est éphémère sur cette terre. 
Les fleurs nous l’enseignent silencieusement; la valeur de la vie c'est la beauté qu'on peut apporter au monde, le parfum, la signature spécifique de notre âme, notre vibration particulière et unique qui s'offre en hommage à l'amour, à la lumière, au Vivant.

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr