Lorsqu’on
admet que l’acceptation de ce qui est, procure la paix, la joie et la
reconnaissance de sa vraie nature, de la sagesse intérieure innée, la vie s’écoule sereinement, au fil des synchronicités qui deviennent un mode de guidance
personnel.
Derrière les mouvements des émotions, il y a une forme de paix, d'assurance qui vient de la connaissance que tout ce qui arrive est voulu par notre conscience divine, que nous ne sommes pas seul mais toujours relié à l'amour pur, l'intelligence pure, à cette conscience issue de la source.
On est alors plongé dans le monde de la gratitude, de la grâce, par
la reconnaissance du divin que nous sommes, enfin je devrais dire de la
conscience, l’intelligence qui nous habite et nous constitue.
Cet
état n’est pas reçu de l’extérieur par hasard ou par privilège, c’est une question
de choix, de foi en soi et de capacité d’aimer. Ce n’est pas non plus ce que
recherche le monde; du pouvoir sur celui-ci, sur les autres. Rien qui flatte l’ego
et pourtant, il est aussi satisfait puisque reconnu et accepté comme un aspect
essentiel à l’individualité, à l’affirmation de ses choix mais comme ça passe
par la reconnaissance de l’unité, de l’importance de tous les corps et de l’harmonie
qui les anime, qui est la quête de chacun d’eux, il n’y a pas de déséquilibre,
de hiérarchisation.
Même si le cœur, organe majeur, est le coordinateur, celui qui harmonise l'ensemble,
la porte sur tous les mondes, le générateur, émetteur et récepteur de l’énergie,
sans les autres corps, il ne serait pas.