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dimanche 19 juin 2016

« La profusion d’info au sujet du divin peut-être une chance et révéler la singularité de chacun » & vidéos de guides humains





La diversité des enseignements peut amener beaucoup de confusion mais elle a sa raison d’être comme l’explique Jérôme Mantanaël dans une de ces métaclefs, plus bas. 
La première, c’est de justement nous pousser à sonder notre propre cœur et à y trouver la vérité de Qui nous sommes

Il est clair que nous n’avons pas tous les mêmes prises de conscience à faire, ni la même personnalité, ni la même intensité de souffrance ou d’identification à notre vécu, nos pensées, ni encore les mêmes croyances et illusions à lâcher, même si la plupart d’entre elles sont collectives.
Les mondes subtils sont vastes, nombreux et si on considère que chaque pensée, chaque croyance a son image/énergie dans l’invisible, on trouve toute une palette d’égrégores plus ou moins puissants et prégnants.

La personne qui est née dans les années soixante n’a pas vécu les mêmes choses que celle qui est née vingt ans plus tard. Le contexte et donc les croyances n’étaient pas les mêmes, les modes, les interactions et les expériences sont différentes pour chacun. 

Celui qui est né dans une famille catholique, qui est timide, qui a été choyé n’aura pas du tout la même vie d’adulte que celle qui nait dans une famille libre ou monoparentale. 
Les circonstances de l’enfance vont imprégner des codes, des comportements et le milieu culturel y participera aussi. 
Et ce qu'on fait généralement pour se définir, c'est de se comparer aux autres au lieu de s'accepter en totalité et ainsi d'honorer notre singularité.

vendredi 1 janvier 2016

« Le pardon à soi-même, indispensable clef de libération, de révélation et de manifestation de l’être véritable, de l'Amour Lumière intérieurs »






J’ai pioché ces quelques clefs avant-hier et j’ai suivi ces conseils qui sont venus avec une telle synchronicité que j’ai totalement lâché la pression à propos du blog, des publications et surtout les reproches que je me faisais à passer trop de temps dans le mental au détriment des besoins du corps physique, de la réalité du quotidien. 
Une pression que j’exerçais sur moi-même et qui nourrissait la peur et le manque. 
Ce n’était pas totalement conscient mais bien que j’aie déjà eu cette sensation d’obligation, ces clefs ont mis en évidence d’une façon claire et logique cette tendance à nourrir les rôles du "triangle de Karpman" et la nécessité de lâcher prise.

On se libère peu à peu des réflexes inconscients, toujours grâce à l’amour et la lumière intérieurs, en les cultivant ; en prenant conscience de ce qui est caché en nous et en ayant de la compassion pour soi-même, pour ce qu'on trouve dans les profondeurs de notre inconscient.
C’est toujours le même processus qui est à l’œuvre dans la reconnaissance de soi, de notre être véritable et des jeux de rôles, des masques que nous portons, qui se révèlent simultanément lorsque c’est perçu avec les yeux du cœur. 

Il est aussi évident que nous jouons tous les rôles de ce triangle infernal qui nous empêchent d’exprimer notre nature véritable, d’être dans la joie et de réaliser notre plus beau potentiel. 
Nous sommes tour à tout victime, puis bourreau et enfin sauveur. 
Il semble que ça tourne dans ce sens puisque lorsque nous sommes enfant, nous dépendons complètement des autres, à l’adolescence nous commençons à nous émanciper, à pouvoir agir selon nos valeurs personnelles, à faire des choix puis à l’âge adulte, le fait d’être parent nous confère le pouvoir et l’autorité sur des êtres innocents et dépendants de nous.  
En général, nous n’en sommes pas conscients mais la vie nous donne des occasions de le savoir et de choisir d’en sortir.

samedi 24 octobre 2015

« 21 manières de demeurer en paix » selon Byron Katie



 

Ce qui suit représente des pratiques simples mais puissantes qui peuvent vous offrir de nouvelles manières de considérer les circonstances de votre vie et, par cela, de créer de nouvelles possibilités de réalisation de soi.

1. Inverser les jugements
Remarquez dans la pratique lorsque vous jugez ou critiquez quelqu’un ou quelque chose.
Par exemple, au rayon de l’épicerie, vous êtes impatient et pensez que la personne devant vous est mal organisée et impolie.
Rapidement, renversez votre jugement et demandez-vous :
– Est-ce que cela est vrai aussi pour moi ?
– Suis-je impoli ?
– Suis-je parfois impoli ? Envers les autres ou envers moi-même ?
– Suis-je impoli en moi-même lorsque je pense que les autres sont impolis ?

Cet exercice amène votre attention en dehors de l’autre et place votre attention sur vous-même. Le pardon en résulte naturellement.
Placer la responsabilité ou le jugement sur quelqu’un d’autre vous ôte tout pouvoir de changer votre expérience.
Accepter la responsabilité de vos croyances et de vos jugements vous accorde  le pouvoir de les changer.

dimanche 28 juin 2015

« Au sujet du Travail de Byron Katie » Stephen Mitchell








« Mieux vous vous comprenez vous-même ainsi que vos émotions, plus vous êtes amoureux de ce qui est » - Baruch Spinoza

La première fois que j'ai vu "Le Travail" à l’œuvre, j'ai compris que j'étais témoin d'un phénomène remarquable. 
J'ai observé une série de gens de tous âges, avec ou sans diplômes, qui apprenaient à remettre en question leurs pensées, celles qui leur étaient le plus pénibles. 
Grâce au soutien tendre et concis de Byron Katie (que tout le monde appelle Katie), ces gens arrivaient non seulement à résoudre leurs problèmes immédiats, mais à atteindre un état d'esprit où leurs plus profondes questions trouvaient un dénouement. 

Ayant passé l'essentiel de mon existence à étudier et à traduire des classiques appartenant aux grandes traditions spirituelles, je suis en mesure d'affirmer que "Le Travail" présente de nombreuses analogies avec celles-ci. Au cœur de ces traditions dans les écritures tels le Livre de Job, le Tao-tô-king ou la Bhagavad-Gita - réside une vive remise en question de la vie et de la mort, et, en guise de réponse, une souriante sagesse s'en dégage. 
Cette sagesse, me semble-t-il, est l'espace où se tient Katie et la destination vers laquelle tendent ces gens.

vendredi 29 mai 2015

« Comment j’ai appris à cesser de souffrir » Byron Katie, avec un long commentaire perso






Byron Katie
"Quand j'étais dans les débuts de la quarantaine, je dormais avec une arme chargée sous mon lit. 
J'étais devenue très déprimée durant ma trentaine, et pendant presque une décennie, je sombrais dans la paranoïa, la rage, la haine de moi, et les pensées de suicide. 
Je pesais alors plus de 90 kilos  (je mesure 1,65m), et durant les deux dernières années, j'étais souvent incapable de quitter ma chambre.
Puis, un matin, en février 1986, d'un seul coup, j'ai vécu une réalisation. En un instant, j'ai découvert que lorsque je croyais mes pensées stressantes, je souffrais, mais quand je les interrogeais, je ne souffrais pas

Je découvrais aussi un moyen simple de questionner mes pensées stressantes. 
Je l'appelais "Le Travail"
Je trouvais une joie en moi qui ne m'a jamais quitté depuis, pas un seul instant. 
Cette joie est en tout le monde, toujours.
 
La souffrance est facultative
La seule fois où nous souffrons c'est quand nous croyons qu'une pensée rivalise avec la réalité. (quand nous luttons contre la réalité et résistons à ce qui est)
Quand l'esprit est parfaitement clair, ce qui est, est ce que nous voulons.
 
Si vous voulez que la réalité soit différente de ce qu'elle est en ce moment, vous pourriez tout aussi bien essayer d'enseigner à un chat d'aboyer.
Vous pourrez essayer et essayer, et à la fin le chat vous regardera et dira: "Miaou".  
Vous pourrez passer le reste de votre vie à essayer d'enseigner à un chat d'aboyer.

mercredi 27 mai 2015

« Accueillir l’amour en soi » & vidéo du « travail » de Byron Katie






Ce matin, tout est beaucoup plus clair et ça m’apparait même comme une chose tellement évidente, naturelle, que je me dis que je me complique la vie depuis l’enfance ! 
Comme tout a été vécu dans la peur, la vision a été totalement faussée depuis le début. Entre les croyances des parents, celles de la société, la réalité apparente et ma propre vérité, il y avait tellement d’écart que je me suis toujours sentie à côté de la plaque, inadaptée. 
Je porte en moi l’énergie de la liberté et la société tout comme la façon de vivre de mes parents me renvoyaient des croyances de souffrance obligatoire, de sens du devoir, de besoin de contrôle, de faire des sacrifices, de "gagner" sa vie comme si le fait d’en chier était ce qui donnait de la valeur a un être.  
Toute ma vie d'adulte, je me suis enfermée dans mes différences et me suis carapacée afin d’être comme les autres, de contrôler mes émotions, de ne pas faire de vague, enfin le moins possible, de façon à ne pas me retrouver en hôpital psychiatrique, exclue, bannie de la société.
La rencontre avec le divin m’a ouvert un chemin de guérison, de pacification intérieure où je pouvais avancer selon mes valeurs propres, celles de l’amour et de la lumière, de la fraternité, de la connaissance, qui offraient des réponses à mes questions existentielles et me permettaient de mettre des mots sur mon intuition.
Le besoin d’authenticité et de liberté m’ont fait quitter l’église de la même façon qu’à l’adolescence, ces valeurs essentielles m’avaient fait quitter le foyer parental prématurément.
L’accès à Internent et la création de ce blog m’ont permis d’exprimer ma nature spirituelle et d’amplifier ma foi en l’autoguérison par les connaissances psychologiques, émotionnelles et énergétiques de l’être humain, appliquées dans la relation à soi. 
Les lectures spirituelles, la connaissance des lois universelles, de la puissance des pensées émotions, des énergies m’ont aidé à faire le tri dans mes croyances, au niveau mental. 
Les connaissances humaines au niveau psychologique et la spiritualité, l’intuition se reliaient.

lundi 25 mai 2015

« Ecouter la voix du corps, du coeur, de l’amour » & "Exercices" de Byron Katie






Lorsqu’on admet que l’acceptation de ce qui est, procure la paix, la joie et la reconnaissance de sa vraie nature, de la sagesse intérieure innée, la vie s’écoule sereinement, au fil des synchronicités qui deviennent un mode de guidance personnel. 

Derrière les mouvements des émotions, il y a une forme de paix, d'assurance qui vient de la connaissance que tout ce qui arrive est voulu par notre conscience divine, que nous ne sommes pas seul mais toujours relié à l'amour pur, l'intelligence pure, à cette conscience issue de la source.  
On est alors plongé dans le monde de la gratitude, de la grâce, par la reconnaissance du divin que nous sommes, enfin je devrais dire de la conscience, l’intelligence qui nous habite et nous constitue.

Cet état n’est pas reçu de l’extérieur par hasard ou par privilège, c’est une question de choix, de foi en soi et de capacité d’aimer. Ce n’est pas non plus ce que recherche le monde; du pouvoir sur celui-ci, sur les autres. Rien qui flatte l’ego et pourtant, il est aussi satisfait puisque reconnu et accepté comme un aspect essentiel à l’individualité, à l’affirmation de ses choix mais comme ça passe par la reconnaissance de l’unité, de l’importance de tous les corps et de l’harmonie qui les anime, qui est la quête de chacun d’eux, il n’y a pas de déséquilibre, de hiérarchisation. 

Même si le cœur, organe majeur, est le coordinateur, celui qui harmonise l'ensemble, la porte sur tous les mondes, le générateur, émetteur et récepteur de l’énergie, sans les autres corps, il ne serait pas.