vendredi 1 janvier 2016

« Le pardon à soi-même, indispensable clef de libération, de révélation et de manifestation de l’être véritable, de l'Amour Lumière intérieurs »






J’ai pioché ces quelques clefs avant-hier et j’ai suivi ces conseils qui sont venus avec une telle synchronicité que j’ai totalement lâché la pression à propos du blog, des publications et surtout les reproches que je me faisais à passer trop de temps dans le mental au détriment des besoins du corps physique, de la réalité du quotidien. 
Une pression que j’exerçais sur moi-même et qui nourrissait la peur et le manque. 
Ce n’était pas totalement conscient mais bien que j’aie déjà eu cette sensation d’obligation, ces clefs ont mis en évidence d’une façon claire et logique cette tendance à nourrir les rôles du "triangle de Karpman" et la nécessité de lâcher prise.

On se libère peu à peu des réflexes inconscients, toujours grâce à l’amour et la lumière intérieurs, en les cultivant ; en prenant conscience de ce qui est caché en nous et en ayant de la compassion pour soi-même, pour ce qu'on trouve dans les profondeurs de notre inconscient.
C’est toujours le même processus qui est à l’œuvre dans la reconnaissance de soi, de notre être véritable et des jeux de rôles, des masques que nous portons, qui se révèlent simultanément lorsque c’est perçu avec les yeux du cœur. 

Il est aussi évident que nous jouons tous les rôles de ce triangle infernal qui nous empêchent d’exprimer notre nature véritable, d’être dans la joie et de réaliser notre plus beau potentiel. 
Nous sommes tour à tout victime, puis bourreau et enfin sauveur. 
Il semble que ça tourne dans ce sens puisque lorsque nous sommes enfant, nous dépendons complètement des autres, à l’adolescence nous commençons à nous émanciper, à pouvoir agir selon nos valeurs personnelles, à faire des choix puis à l’âge adulte, le fait d’être parent nous confère le pouvoir et l’autorité sur des êtres innocents et dépendants de nous.  
En général, nous n’en sommes pas conscients mais la vie nous donne des occasions de le savoir et de choisir d’en sortir.


Chacun de ses rôles est un outil de connaissance de soi, un apprentissage de la vie, sur le terrain, une occasion de s’éveiller à sa vraie nature et nous permet de connaitre la palette émotionnelle ainsi que les conséquences de nos choix.  

On va savoir ce que sont la peur, la sensation d’indignité, d’impuissance, puis selon ce que nous choisissons, soit de nous venger, de répéter les cycles en devenant bourreau et sauveur, soit nous aurons l’occasion de devenir conscient de ce cycle infernal et de tomber les masques. 
Les moments où nous sommes en amour avec la vie, avec les êtres, sont des occasions de changer, de prendre conscience de la mascarade, mais très souvent ce sont les ruptures, les séparations et les situations extrêmes qui nous permettrons de devenir conscient.

Tant que nous sommes amoureux, tant que notre vie semble nous combler, nous n’avons pas de raison de nous interroger, de nous remettre en question puisque tout baigne. Quand nous sommes heureux, nous vibrons sur une fréquence qui attire des évènements agréables et vont nous permettre d’accumuler des souvenirs positifs, nous construisons une bulle protectrice, un espace en notre cœur, notre mémoire, qui sera bien utile dans les moments difficile.

La vie est parfaite dans ce sens où les évènements heureux nous apprennent la valeur de l’amour, de la paix, de la joie, des fréquences positives puis les fréquences contraires nous montrent qu’il y a deux voies opposées menant à des états d’être totalement différents.

Quand tout semble aller pour le mieux, nous vivons une crise qui nous plonge dans les profondeurs et c’est généralement dans ces moments qu’on touche notre lumière intérieure et qu’on goûte la paix véritable qu’offre le lâcher prise. 
On acquiert alors une certaine sagesse qui va nous aider à relativiser les choses, à ne plus dramatiser et même si on n’a aucune idée de la spiritualité, la vie se charge de nous enseigner ses plus belles leçons, de révéler la lumière et l’amour que nous sommes en vérité, en essence.

Les épreuves, la maladie, un accident, la perte d’un emploi, d’un être cher, une séparation un divorce, vont nous permettre de trouver les ressources en nous-même afin de rebondir. C’est souvent quand on a perdu quelqu’un qu’on réalise à quel point on l’aimait, et dans le deuil qu’on prend conscience de la valeur de l’amour, qu’on s’intéresse aux questions existentielles et que le voile qui nous empêche de voir l’au-delà, est le plus fin.

La maladie peut nous rapprocher de notre famille, nous amener à savoir ce qui est essentiel, vital, à vivre de façon authentique et simple, à avoir des relations plus profondes avec les êtres parce que nous prenons conscience de la valeur de la vie et de l’amour. Chaque fois que nous sommes proches de la mort, nous prenons conscience de la valeur de l’essentiel et nous pouvons avoir des expériences mystiques qui vont bouleverser notre vie de façon lumineuse.  


« Je veux que mon cancer arrête de grandir »- Byron Katie





La récurrence des situations désagréables nous demande de nous intérioriser, de nous remettre en question et de lâcher prise. Lorsque nous le faisons, nous sommes éclairés de l’intérieur et pouvons alors voir ce qui nous rend malheureux.

Les prises de conscience nous permettrons de trouver des nouvelles solutions, de développer notre être et de changer de comportement. C’est très souvent quand on s’intéresse à notre monde intérieur, qu’on trouve des livres, des gens, des infos qui nous ouvrent à l’être divin que nous sommes ou nous poussent à vouloir nous connaitre intimement.
Si on se tourne vers les institutions classiques pour trouver du secours, un soutien, il y a de fortes chances pour qu’on reste enfermés dans les jeux de rôles puisque la société est construite sur l’interdépendance de ces rôles. 

Mais parfois, il faut aller au plus désagréable d’une expérience pour en sortir véritablement, pour retrouver notre capacité de penser et d’agir selon nos vraies valeurs, nos vérités intimes, notre être profond. 
En ce sens un fort ego peut être salvateur puisque l’audace, le goût de la liberté pourront s’exprimer avec force et la détermination nécessaire à l’émancipation sera très salutaire.

Quand on cesse de se juger soi-même ou les autres, la vision sur soi devient plus empathique et on peut alors cesser de se martyriser. Parce que très souvent quand on a été victime, on connait le poids de la souffrance, de la domination qu’on ne veut surtout pas exercer sur autrui mais tant qu’on est dans le rejet de soi, c’est pour soi-même qu’on va jouer le rôle de bourreau. 
On va devenir instinctivement le sauveur pour essayer de panser nos plaies en s’occupant des autres, en prenant soin de ses enfants, de son conjoint, mais si on n’a pas pardonné à ses bourreaux, on le deviendra pour nos proches en étant dans le contrôle, en reproduisant d’une autre manière, cette domination dont nous avons souffert. 
La rupture ou le départ des enfants, nous mettra face à nous-même et soit on retombera dans le rôle de victime en accusant les autres de notre malheur, soit le lâcher prise, qui s’exprimera parfois dans une dépression, nous obligera à prendre soin de nous-même, la noirceur ou la douleur extrêmes nous forceront à choisir de vivre ou de mourir.

Puis les événements traumatisants amènent souvent à se poser des questions existentielles, à chercher et à trouver le sens de cette vie, à savoir qui nous sommes en vérité. 
Les infos qui circulent maintenant sur la toile peuvent aider en cela mais ça peut aussi faire l’effet inverse, nous maintenir dans l’illusion et les croyances limitantes. 
Ces messages canalisés peuvent nous pousser à l’extrême en nourrissant l’idée que nous sommes mieux que les autres, mieux que ceux sont qu’on juge être "endormis". 
Ils peuvent nourri l’ego spirituel et nous enfermer dans le triangle de Karpman avec encore plus de virulence. 
Soit qu’on veuille sauver le monde, détruire les méchants ou endoctriner notre entourage. 

Tant que nous ne faisons pas l’expérience directe de l’amour lumière que nous sommes, on aura besoin de convaincre les autres afin de nourrir sa propre foi.
On va se gaver de lectures spirituelles jusqu’à l’indigestion et comme on tente d’accéder à la lumière en soi en se focalisant sur cet aspect de l’être, par ces lectures, en essayant de capter la lumière extérieure, on sera inévitablement amené à déchanter. 

Notre âme a tracé un chemin qui mène à elle, qui mène à la lumière en soi, par l’amour inconditionnel vis-à-vis de soi-même. 
Ce parcours est sensé nous ouvrir le cœur et la conscience, afin de devenir ce que nous sommes en vérité, des êtres complets, divins, libre, heureux et autonome, capable d’aimer véritablement, de manifester leur essence depuis leur propre cœur. 
De cultiver ces fréquences en son propre monde intérieur. 

Ce texte de Caroline Gauthier, partagée par une amie sur face de book, parle bien de ce que peut créer l’engouement pour les lectures spirituelles, la recherche du divin à l’extérieur de soi.




« Elle achetait des livres qui lui parlaient de spiritualité, d'unité, d'émotions positives, de lumière et d'amour inconditionnel...
Elle essayait de toutes ses forces d'être parfaite, et de l'atteindre ce ciel que ces récits décrivaient !
Elle essayait de gommer ses ombres, pour atteindre cette lumière.
Elle essayait d'être joyeuse alors qu'elle était souvent triste.
Elle essayait d'être linéaire alors que tout en elle n'était que chaos et tsunami... 
Elle essayait d'être calme alors qu'elle sentait la tempête.
Elle tentait de répondre à ce que ces sages écrivaient... 
Mais, plus elle lisait, plus elle essayait ; et plus elle échouait .
 
Elle restait immuablement humaine et duale, avec ses émotions paradoxales...
Elle était l'inverse de tout ce qui était écrit... 
Et s'écroulait donc accablée et accroupie...

Pourquoi donc n'était-elle pas parfaite comme tous ces gens qui savaient, qui étaient des êtres illuminés et éveillés ?!
Épuisée, elle alla se coucher et se mit à rêver...
En songe, elle vit une grande salle : d'un côté des hommes cravatés et même certains sages ; de l'autre des musiciens, chanteurs et poètes délurés dans un vaste bordel coloré. 
Les cravatés ne pouvant tolérer une telle pagaille partirent sur le champ ! 
Et il ne restait dans cette salle que tous ces gens étonnants !
 
Surprise au réveil elle comprit. Elle mit de côté tous ses livres, et décida de vivre ! 
Elle accepta alors toute son humanité, ses sautes d'humeur et son cœur parfois fermé...
Elle accepta toutes ses parts et sa dualité ! 

Et grâce à cela, elle trouva enfin son unité...
Son cœur s'ouvrit alors en corolle, car elle ne jouait plus aucun rôle.
Pour une fois elle s'aimait, même si rien n'était parfait...
Elle aimait même tout ce qu'elle avait tant cherché à masquer toutes ces années ... 
Elle arrêta donc de se faire violence, et entra dans sa propre danse...
 
Elle n'écouta plus les savants, mais son élan vibrant...
Elle devint une femme sauvage capable parfois d'être en rage...
Elle pouvait pleurer, car elle en connaissait la beauté.
Elle accepta sa nature de femme cyclique, et devint magnifique...
Elle comprit que tout ce qui vivait en elle était divin, et la lumière vint enfin !
Elle ne cherchait plus la perfection linéaire car elle sentit qu'elle était comme le mouvement de la Terre...
Elle dansait , chantait et riait maintenant de sa nature paradoxale et cyclique...
Et tout en elle était apaisé car il n'y avait plus besoin de chercher...
Juste sentir la brise des étoiles sur sa peau et écouter le cantique des oiseaux... 

Elle était maintenant l'océan qui voyait ses vagues...
Elle était la conscience qui vivait ses émotions...
Elle était le divin qui vivait dans son corps humain.
Elle était l'espace infini qui vivait le temps fini.
Elle était le calme qui regardait ses tempêtes.
Elle était l'unité qui vivait sa dualité...
Tout en elle s'était réuni... Et elle vivait sa vie... »
Caroline Gauthier

Clef 709
« Ce que nous vous demandons c’est d’avancer à votre rythme sur votre chemin évolutif, de ne pas forcer la cadence, de faire en sorte que rien ne soit trop pesant sur votre chemin d’évolution. Il n’y a qu’ainsi que vous pourrez faire un bon travail ! Un travail fait avec culpabilité, avec le regret de ne pas avancer assez vite, ne sera pas un bon travail. Un travail fait dans la compréhension de ce que vous êtes, dans l’Amour que vous mettez dans votre transformation, un travail fait avec l’écoute de votre âme et la conscience totale de ce que vous devez rectifier en vous, sera totalement positif ».  

Les rectifications sont à faire au niveau des croyances et dans la relation à soi, avant toutes choses! C'est tout naturellement que ça se manifestera dans la matière, dans les gestes.

Clef 56
« Le vrai but de la spiritualité, bien que ce mot ne corresponde pas au chemin de sagesse et d’Amour qui est vôtre et que nous vous enseignons, c’est de vivre la Sagesse et l’Amour parmi tous ceux qui vous entourent.
Si telle ou telle personne n’est pas d’accord avec votre ressenti, avec vos pensées, vous n’avez pas à en tenir compte ; la seule chose dont vous deviez tenir compte c’est d’être en accord avec vous-mêmes et de ne pas être en dualité par rapport à votre choix
Vous ne devez vous laisser influencer par personne mais travailler essentiellement le discernement, ne pas vous laisser entraîner par de belles paroles, de belles promesses non plus que par des menaces quelles qu’elles puissent être.
Le chemin spirituel est principalement un chemin intérieur, il peut se vivre tout à fait en solitaire, nous ne voulons pas dire seuls, isolés de vos frères, mais il peut se vivre personnellement sans que votre entourage en soit conscient
»

Quand on  cesse de vouloir convaincre ou changer les autres, on lâche le contrôle, le rôle de sauveur dont l'énergie viendra nourrir la compassion envers soi-même. On devient notre propre sauveur. Enfin c'est la conscience et l'amour qu'on portera sur nos propres blessures qui auront cet effet libérateur.




Clef 637
« Lâchez prise complètement ! Maintenant il faut aller à l’essentiel, et l’essentiel pour  vous est ce que vous désirez devenir, c’est votre comportement par rapport à votre vie au quotidien, par rapport à votre relation avec les autres et avec tout ce qui vous entoure »
L'amour vrai de soi et la responsabilité de son monde intérieur amène à oser se focaliser sur ses propres rêves, visions et à les manifester au monde sans peur et sans reproches.

Clef 208
« La générosité est une immense qualité de l’âme, et elle peut s’appliquer à chaque acte de la vie. La générosité peut s’appliquer dans les pensées, dans les paroles et dans les actes. Apprenez à être généreux avec vous-même et avec les autres ! »

La générosité envers les autres qui est offerte pour tenter de combler le manque d’amour en soi, c’est du calcul mental qui ne mène qu’aux frustrations, aux déceptions. 
C’est avant tout en soi qu’il est nécessaire de développer la générosité, la compassion. 
Si on a souffert d’injustice, on aura beaucoup de mal à se pardonner parce qu’on porte beaucoup de culpabilité. 
J’ai un truc pour arriver à prendre l’habitude d’avoir de la compassion pour soi, c’est de me demander comment je réagirais si quelqu’un venait me confier ce dont il s’accuse. 
A chaque fois, ça m’aide à avoir une réelle compassion envers moi-même. 
Et c’est mon goût pour la justice qui motive cela parce qu’alors, je me dis qu’il serait injuste que je me condamne alors que je trouve de la compassion pour l’autre.

Clef 470
« Nous vous demandons avec insistance de mieux gérer toutes les pensées qui émanent de vous.
Ayez bien conscience de la puissance de vos pensées. Elles peuvent vous construire, elles peuvent vous élever considérablement, elles peuvent également vous anéantir ».

Quand on a la foi, même si elle est minime, on peut commencer par ce focaliser sur tout ce qui est positif dans sa vie, on peut convaincre le mental que nous sommes des êtres d’amour et de lumière en se nourrissant de lecture spirituelles puisque par la loi d’attraction les pensées positives se succéderont.
Mais si on veut sentir réellement cet amour en soi, c’est en se l’offrant sans compter, que ça sera possible. Le non jugement, le fait de cesser de s’accuser, de s’en vouloir, de culpabiliser, libère cet amour avec force et quand on se pardonne, quand on reconnait et qu’on accepte ses peurs, ses faiblesses, ses défauts, on trouve la paix et la sagesse du cœur au travers de cette compassion, cet amour inconditionnel, divin.

Clef 955
« Un changement réel se fait tout seul au travers des expériences et aussi au travers de l’Amour que vous avez pour vous et pour la vie. Aucun stage ne vous permettra de vous transformer réellement ! Il peut certes vous faire prendre conscience, mais il vous fait essentiellement prendre conscience au niveau de l’intellect et du mental et non au niveau du cœur ! »

La pensée est puissante et il est bon de penser positif mais si on occulte nos ombres, elles nous serons montrées dans des situations désagréables et récurrentes afin que nous puissions enfin nous abandonner à l’amour et trouver le juste milieu qui est garant de notre bien-être, de notre élévation, de façon douce et équilibrée.

Clef 770
« Offrez tout votre Amour à ceux que vous désirez aider. Visualisez-les simplement heureux, demandez que l’Énergie Amour aille où elle doit aller, et qu’elle les aide d'une façon qui les fasse progresser. L’Amour que vous offrez peut également permettre à leur conscience de s’éveiller d’une façon parfois très importante ».

C’est la meilleure façon de ne pas nourrir le rôle de sauveur parce qu’on a tendance à penser qu’aider les autres demande surtout d’agir alors que ça n’est qu’en prenant soin de soi, en amplifiant l’amour à l’intérieur qu’on peut leur offrir une voie de sortie de leur problème, sans avoir à les convaincre. 
Ce qui se fait au niveau de l’âme, le pardon adressé à l'âme de l'autre, impact beaucoup plus parce qu’alors, on résilie les contrats, on coupe les liens toxiques.

C’est la même chose quand on est en conflit avec quelqu’un ou si une personne nous a fait souffrir, il est bon de ne pas se focaliser sur cet être mais plutôt d’utiliser l’effet miroir pour savoir ce qui a été éveillé en nous même afin de se pardonner, en ayant de la compassion pour soi-même. 
Ce dont ils parlent ici permet de lâcher prise, vis-à-vis de l’autre, au niveau de l’âme et de cette façon, on ne tombe pas dans la confusion. 

Très souvent on pense que pour pardonner l’autre, il faut avoir de l’amour envers lui. 
Mais ça créé un conflit interne parce qu’on ne peut pas occulter la haine, la souffrance qui sont en nous. 
Pardonner ne veut pas dire de se laisser encore manipuler en laissant l’autre jouer le rôle de bourreau. 
Le pardon à l’autre passe par une coupure nette, un éloignement au niveau de la personnalité et en parallèle ça demande de se centrer en son cœur afin d’amplifier l’amour en soi par le pardon à soi-même. 

Tout commence en soi et par conséquent c’est en changeant le regard sur soi-même que le comportement s’ajuste par la compassion, l’abandon de tout jugement envers soi. 
C’est ce qui va permettre à l’autre de changer aussi d’attitude à notre égard parce que lorsqu’on se respecte véritablement personne ne peut nous nuire. 

Clefs de sagesse trouvées sur le site de Monique Mathieu : http://ducielalaterre.org

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr