vendredi 1 janvier 2016

« Naviguer la mer de la vie » les guides de l’unité via Daniel Desjardins





Avez-vous déjà remarqué que lorsque vous êtes en contact avec certaines personnes, certains groupes ou même certaines situations, vous êtes inexorablement aspiré par leur tourbillon négatif. 
Vous pouvez vous en rendre compte si vous rencontrez des gens qui commencent à déblatérer sur le compte d’autrui ou se plaindre de situations, tôt ou tard cela vous invitera à participer à ce tourbillon négatif et bientôt vous êtes en train de raconter des histoires qui vous sont arrivées ou que vous avez entendues qui critiquent ou vont dans le même sens que le groupe que vous avez joint.
 
De la même manière, vous pouvez vous trouvez à croiser le chemin de groupes, voir même d’entreprises, qui tourbillonnent une certaine forme d’énergie, peut-être de difficulté financière, de négativité, de compétition malsaine ou tout simplement une culture du plus fort. 

Par défaut, si vous ne prenez pas garde vous serez aussi aspirés par ce tourbillon. 


Je dépeins parfois la vie comme si vous êtes chacun un voilier qui navigue sur les eaux d’une mer infinie et ça et là il y a des tourbillons négatifs qui peuvent vous couler ou faire échouer sur des récifs pénibles. 

Si vous n’êtes pas alignés sur votre Conscience supérieure, votre divinité intérieure, vous risquez fort de vous laisser entrainer par ces tourbillons et vous retrouver à créer vous aussi dans votre vie du négatif et donc d’autres raisons de continuer à vous plaindre. 
Cela crée donc pour vous aussi une spirale négative. 

Par exemple, si vous entrez dans la danse de vous plaindre de ceux qui ont de l’argent (et donc par le fait même vous plaindre de ne pas en avoir assez vous-même), vous allez créer cela comme une réalité pour vous aussi!
 
Par contre, sur cette même mer infinie il existe des endroits paradisiaques! 
Ces endroits vous les apercevez parfois lorsque vous êtes en alignement avec votre divinité intérieure, votre être authentique. 

C’est dans ces endroits magiques, ces états d’être merveilleusement joyeux que votre divinité, votre cœur, veut vous conduire! 
Pour vous y rendre, vous n’avez qu’à suivre votre cœur et ce qui vous apporte de la joie! Tout le reste mène à des récifs!
 
Lorsque vous prenez conscience que vous êtes en train de vous laisser prendre par le courant négatif d’un tourbillon que vous croisez, je vous invite à utiliser le processus verbal suivant:
« J’appelle toutes les parties de mon être qui ne sont pas en alignement avec ma Conscience supérieure en ce moment. Je vous remercie de votre présence et je vous accueille ».
 
Cela contribuera à vous ramener de plus en plus en alignement avec votre divinité intérieure, et vous permettra plus facilement de suivre votre cœur, vers une vie toujours plus joyeuse et épanouie!
 
Et si vous commenciez tout de suite?
 
Daniel Desjardins, créateur de l’Alchimie du cœur, et Les Guides de l’Unité, 
publié le 2 avril 2015 sur le blog de l’alchimie du cœur http://alchimieducoeur.com
Vous pouvez partager et reproduire ce texte à condition d'en respecter l'intégralité.
 



Je fais un peu de tri dans mon ordinateur parce que j’ai accumulé une quantité énorme de messages que je n’ai pas lu pour la plupart et comme il est bon de faire du vide afin d’accueillir pleinement le nouveau, j’ai suivi cette envie avec enthousiasme. 
Celui-ci, son titre a attiré mon attention est ça n'est pas le fait du hasard! 

J’ai ri parce que j’y ai trouvé une belle synchronicité qui m’a permise de structurer ma pensée et de cesser de cogiter à propos d’une scène vécue tout à l’heure.
Je suis allée porter de la soupe de légumes « maison » à une voisine qui n’est pas très en forme. 
Il m’a fallu tout de même deux jours avant d’oser la lui amener. L'envie d'aller vers les autres est là mais le mental freine ce genre d’élan du cœur et en général c’est surtout le fait de me dire que je risque de déranger ou encore que ce que je veux offrir est de peu de valeur qui me bloque. Mais comme je l’ai trouvée très bonne cette soupe faite avec les dernières carottes du jardin et puisque je sais que cette voisine m’apprécie, j’ai pris mon courage à deux mains pour aller la voir et surtout lui apporter un peu de réconfort, d’enthousiasme.
Elle endosse facilement le rôle de victime et ça nous a rapprochée d’emblée quand je suis arrivée dans le quartier puis comme elle voit que je sors de ces jeux douloureux, elle apprécie d’autant plus ma présence.
Quand je suis arrivée chez elle, une autre voisine qui elle, joue plutôt les rôles de bourreau/sauveur, y était aussi. 
Du coup, j’ai bien eu du mal à soutenir Aïcha puisque les deux rôles ne nécessitent pas les mêmes prises de conscience, les mêmes changements de comportement vis-à-vis de l’extérieur. 
Mais comme je parle plus souvent de l’importance de revenir à soi, au centre afin de guérir ses propres blessures, je n’ai pas tenu compte de leurs différences puisqu’au final, c’est toujours l’amour, le supposé manque d’amour qui est derrière chaque masque.

J’ai senti combien l’atmosphère était plombée non par Aïcha qui a 80 ans passés souffre de problèmes respiratoires mais plutôt par celle qui était censée lui apporter son soutien.
J’ai pas mal cogité en pensant à ce que j’aurais dû dire à l’une et à l’autre puis je me suis rappelée que chacun a les clefs de guérison en soi et que la meilleure des choses, c’est de s’occuper avant tout de soi, de savoir maintenir sa fréquence vibratoire élevée. 

Puis en revenant au centre en amenant les pensées qu'elles suscitaient, j'ai pu voir ce que me renvoyait cette situation. Mon éternel envie d’aider les autres qui a besoin de trouver le juste milieu. 
J’ai été tout de même soulagée de ne pas avoir été perturbée par les plaintes de la voisine censée être la plus en forme et de pouvoir partir sans me sentir gênée, sans inventer un quelconque prétexte.
J’ai accueilli « façon Daniel Desjardins » le sauveur intérieur, puis j’ai eu quelques idées à propos de ce que je pourrais dire à l'une et à l'autre quand je les croiserais à nouveau. Enfin si je me sens guidée à le faire, si elles me demandent conseil. 
C'est déjà arrivé malgré que je sois plus jeunes qu'elles mais très souvent on ne fait que se saluer de loin. Jusqu'à maintenant, je préférais me préserver, éviter de passer du temps avec des gens qui se plaignent mais ça change. 
C'est encore un signe que la confiance en soi augmente considérablement et c'est clair que la maitrise de mes propres pensées émotions en est la raison.

J’essaierai d’aller voir Aïcha à nouveau, selon l’élan, en offrant à la source les énergies du sauveur avant d’y aller. C’est un piège, quand on comprend un peu mieux les stratégies de l’ego, que de vouloir aider les autres en leur expliquant les choses, en essayant de se préparer mentalement, en cherchant ce qu’on va leur dire. 
L’idéal, c’est de se centrer en son cœur et de le laisser parler. 
Cette voix là est toujours percutante et douce à la fois.    

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