Encore
une nuit précédée d’une journée passée dans la grâce de l’amour inconditionnel,
de la joie, de la liberté d’être. Je me suis réveillée en plein cours à propos
des éléments, des forces naturelles et suppose que c’est le personnage
ténébreux que mon âme a incarné dans une vie passé ou plutôt dans une autre
ligne de temps parce que l’idée que tout se passe simultanément germe de plus
en plus en moi bien que ça bouscule mon cadre de références mentales.
Mais pour
expanser sa conscience, il faut sortir de ce cadre justement, le tout c’est de
rester cohérent et pour ça, la vision à partir du cœur et l’amour en soi, sont
les alliés les plus sûrs.
La linéarité du temps sert de repères mais dans les
dimensions subtiles, elle n’a pas de raison d’être puisque l’énergie n’a pas de
limites, n’est pas soumise à l’espace temps.
Les
synchronicités se succèdent et me donne les réponses, me les servent sur un plateau
d’argent sans même que j’ai à demander. Il me suffit de rester dans l’amour
vrai de soi et la conscience de ce que je suis en vérité, pour être en mode réceptif.
La peur est vraiment un voile très épais qui brouille la vision et conditionne
l’humain l’enfermant dans la prison de ses à priori, de ses doutes, du manque
d’amour.
La culpabilité est sa compagne et ses deux énergies
privent l’humain divin de se connaitre vraiment, au niveau humain et divin.
Mais tout ceci n’est pas une fatalité, et l’amour lumière que nous sommes n’a
aucune limite quand à sa puissance, sa capacité d’absorber et de transmuter
l’ombre de façon à révéler la lumière qu’elle est aussi.