mercredi 29 avril 2015

« Si c'est l'amour que je veux vivre, il est en moi ; personne ne peut m'empêcher de le manifester »





Encore une nuit précédée d’une journée passée dans la grâce de l’amour inconditionnel, de la joie, de la liberté d’être. Je me suis réveillée en plein cours à propos des éléments, des forces naturelles et suppose que c’est le personnage ténébreux que mon âme a incarné dans une vie passé ou plutôt dans une autre ligne de temps parce que l’idée que tout se passe simultanément germe de plus en plus en moi bien que ça bouscule mon cadre de références mentales. 
Mais pour expanser sa conscience, il faut sortir de ce cadre justement, le tout c’est de rester cohérent et pour ça, la vision à partir du cœur et l’amour en soi, sont les alliés les plus sûrs. 
La linéarité du temps sert de repères mais dans les dimensions subtiles, elle n’a pas de raison d’être puisque l’énergie n’a pas de limites, n’est pas soumise à l’espace temps.

Les synchronicités se succèdent et me donne les réponses, me les servent sur un plateau d’argent sans même que j’ai à demander. Il me suffit de rester dans l’amour vrai de soi et la conscience de ce que je suis en vérité, pour être en mode réceptif. 
La peur est vraiment un voile très épais qui brouille la vision et conditionne l’humain l’enfermant dans la prison de ses à priori, de ses doutes, du manque d’amour. 
La culpabilité est sa compagne et ses deux énergies privent l’humain divin de se connaitre vraiment, au niveau humain et divin. 
Mais tout ceci n’est pas une fatalité, et l’amour lumière que nous sommes n’a aucune limite quand à sa puissance, sa capacité d’absorber et de transmuter l’ombre de façon à révéler la lumière qu’elle est aussi.


Plus l’amour de soi est superficiel, basé sur la notion de bien et de mal, la comparaison, et plus on est dans le déni, la fascination de l’image qui découle de l’identification à la personnalité. 
On ne peut connaitre ni appréhender quoi que ce soit simplement selon les apparences, c’est comme si on disait que le soleil est un disque, que l’électricité n’existe pas puisqu’on ne la voit pas et que l’amour est un sentiment que seul l’humain peut ressentir et exprimer. 
Bon ce sont beaucoup de principes en vrac mais l’idée c’est que si on veut connaitre le divin en soi, il faut aller à l’intérieur et révéler les profondeurs afin que notre lumière soit visible à nos propres yeux. 

Quand je parle d’amour véritable de soi, je ne parle pas de l’attachement à la personnalité bien que celle-ci soit importante, elle n’est qu’une infime part de ce que nous sommes. Écouter ses pensées, ressentir les sensations physiques, les émotions, c’est déjà entrer dans une dimension, celle de l’invisible. 
Être conscient de ce que l’on vit en dedans et observer les mouvements internes avec le cœur, avec neutralité, c’est entrer dans les mondes subtils de l’âme. 
Les émotions pensées énergies associées semblent ‘appartenir’ au monde éthérique et l’amour inconditionnel nous ouvre les portes du divin, de l’âme. 

Connaitre son ombre et l’embrasser nous élève en conscience et dans l’amour pur, notre image prend de la valeur, de la profondeur, du relief. Notre pureté, notre authenticité, émergent lorsqu’on est dans cet amour infini et c’est la clef de la liberté. 
Se connaitre de l’intérieur au travers des yeux du cœur nous révèle la lumière que nous sommes en vérité. 
La vérité, celle de l’humain qui est relative, subjective est précieuse pour cela et celle du divin qui est absolue, universelle et infinie, nous réunis tous. 

J'ai retrouvé avec joie, cette chanson qui avait illuminée mon enfance: 
Nicole Rieu "Je Suis"



Accepter de faire confiance à l’amour, à notre essence lumineuse, de s’abandonner en toute confiance à la vie, à l’être divin que nous sommes, dans sa globalité, tant au niveau de la personnalité, que de la divinité intérieure qui s’exprime à travers tout ce qui est, nous ramène à la raison du cœur, à la maison, à l’amour lumière que nous sommes de toute éternité.

La vie devient passionnante quand on cesse de s’invalider, de se critiquer et qu’on réalise que nous sommes ici pour explorer, goûter, apprendre à nous connaitre et à travers cela, apprendre à connaitre les autres, le monde, les mondes. 

Nous portons tout en nous, la vie s’exprime en fractales selon un modèle universel qui s’étend à l’infini, ce qui veut dire qu’en chacun, il y a l’univers. Nous comprenons les choses de ‘travers’ si on regarde seulement depuis notre personnalité, selon les références mentales parce que celui-ci avec l‘inconscient, appréhende le monde en stéréotypes, en archétypes, ce qui est une vision distorsionnée de ce principe de vie reproduit à l’infini.

Si on s’identifie à notre personnalité, on va voir le monde et juger ce qui est, selon les modèles courants adoptés par la conscience collective et l’inconscient collectif. On est enfermé dans le jugement, la comparaison et de là vont naitre les accusations, selon nos préférences et nos répulsions, on se ralliera à l’opinion publique et on se liera aux groupes qui ont les mêmes croyances que nous. C’est valable aussi au niveau spirituel, tant qu’on appréhende le divin au travers du mental seulement, on aura le même comportement, la même façon de penser, d’être et de réagir.
Pourtant, si on considère que nous sommes issus de la source, des êtres humains et divins, il est tout à fait logique de penser que nous sommes capables d’autonomie à tous les niveaux. 
En commençant par penser librement selon notre propre intuition, notre vécu, notre perception mentale et subtile des choses. Nous avons tous les outils à notre disposition mais très souvent, nous n’en comprenons pas le sens, la valeur ni la fonction. 
Croire que nous sommes pourvus d’un ego démesuré lorsque nous osons sortir des rangs, c’est nier la réalité, sa réalité et en même temps le plan divin tout comme notre participation a son élaboration.

La réalité au niveau humain, c’est que chacun perçoit selon ce qu’il est, ce qu’il porte ; ces croyances, ses peurs, sa propre lumière et pour cette raison, nous sommes le centre de notre propre monde. 
Le reconnaitre et l’accepter permet de devenir responsable et ainsi de sortir des rôles de victime, bourreau et sauveur.  

Beaucoup de chanels croient canaliser des êtres extérieurs à eux-mêmes mais c’est le manque d’amour, de confiance en soi, qui leur fait croire qu’ils canalisent des êtres de l’au-delà. Ils projettent leur propre monde tant leur lumière que leur ombre, comme chacun de nous. 
Le danger, ou plutôt ce qui fausse grandement les choses, c’est de se focaliser uniquement sur la lumière parce qu’alors, on peut être sûr que l’on va capter des entités qui ne viennent pas de l’amour pur. 




Pour le savoir, il suffit de se poser cette question basique : "est-ce que ce que je reçois m’aide à m’aimer plus et à voir les autres de la même façon, sur un pied d’égalité ?"
Si la réponse à la première question est "oui" mais si elle ne l’est pas pour la seconde, c’est clair qu’il s’agit d’une projection de l’orgueil, de l’ego et naturellement, cela va attirer d’autres énergies semblables. 
Si la personne se prend pour quelqu’un d’autre qu’elle-même, il y a de forte chance pour que les messages viennent de sa conscience afin de l’éclairer, elle et à un moment où à un autre, elle sera confronté à ses contradictions, son manque de transparence, d’honnêteté. 

La sincérité vis-à-vis de soi-même est essentielle, non seulement elle nous préserve de l’illusion mais elle nous permet d’être un canal pur, de recevoir mais surtout de reconnaitre et d’interpréter la lumière divine sans trop de distorsion.

Si on croit être un humain divin, sachant que la source père mère est en nous, c’est donc en nous-même qu’il nous faut chercher et ça demande "simplement" de nettoyer les filtres, les outils de perception, de libérer toutes les croyances communes adoptées par ignorance, par besoin d’appartenance et de reconnaissance extérieure.
L’amour lumière que nous sommes se révèle dans l’introspection et l’échange selon la loi du don réception, d’attraction et de résonance. 
L’effet miroir est une découverte qui bouleverse ma vie et me ramène vers ma  souveraineté, mon pouvoir, mon êtreté, par la responsabilisation et non la culpabilisation. Mais cette révélation est venue seulement quand j’étais prête à la recevoir, quand j’avais suffisamment confiance et foi en l’amour de la source en moi, quand j’ai libéré la peur liée aux croyances dévalorisantes à mon égard. 
Je n’aurais pas pu accepter cette vérité tant que l’extérieur me renvoyait mon ombre tant que celle-ci était trop grande parce que refoulée.

Si nous sommes divin tout en nous est parfait  ça n’est que notre perception faussée par nos croyances qui nous fait croire le contraire. Savoir que l’autre me reflète ce que je suis en dedans, l’ombre et la lumière est vraiment libérateur et ça nous permet d’être toujours dans l’amour divin, de reprendre la responsabilité de nos émanations et ainsi de trouver la souveraineté, la liberté, l’unité intérieur qui rend intègre et indestructible. 
Il est clair que si j’ai une image négative de moi-même, je vais vouloir m’identifier aux autres, à la lumière extérieure, m’éloignant de mon être et élargissant la distance entre le divin et ma personnalité. 
La source envoie ces énergies d’une façon telle qu’il est impossible de se cacher à soi-même
Puisque tout dépend de notre perception et définit notre monde, notre quotidien, autant prendre la responsabilité de notre regard, de notre interprétation des faits et de nos actes. 

Les relations familiales sont difficiles et en même temps elles ont un immense potentiel amoureux. On peut voir comment les mentalités ont évolué à propos de l’étranger depuis que les mariages mixtes se sont multipliés à peu près à la même période où les congés payés ont été gagnés puis de plus en plus par la suite avec les agences de voyage, les transports aériens.
L’autre, cet inconnu, une fois qu’il intègre une famille, c’est tous ses membres qui en seront affectés, idem pour ceux qui sont différents au sein d’une même famille ; la brebis galeuse, le séropositif, l’homosexuel, le transsexuel, le chômeur, l’assisté, l’artiste…et aussi le pervers, le bourreau, l’égoïste, le radin, le ringard…

La proximité permet de connaitre intimement l’autre et au travers de l’amour inconditionnel directement ou indirectement.
Lorsqu’un parent apprend que son enfant est différent, homosexuel ou tout autre différence qui bousculera ses à priori, ses croyances, il en résulte une expansion de cœur-conscience. Le parent sera guidé par l’amour inconditionnel qu’il porte à son enfant pour accepter de réviser ses croyances et la magie de l’amour sera encore une fois de plus prouvée. 
Les âmes s’accordent avant de s’incarner pour définir qui jouera quel rôle. 
Depuis quelque jours, j’ai envie de partager ma vision de cela mais beaucoup de peurs ont été soulevées et j’ai pu ainsi les libérer au fur et à mesure. Ce qui naturellement, resitue l’ordre intérieur, la justice et la confiance en soi. 
L’effet miroir lorsqu’il est accepté et reconnu comme tel es un outil formidable d’expansion. J’ai eu plusieurs fois l’idée que mon père avait choisi le mauvais rôle par amour. Depuis l’âme, et selon sa perspective, c’est un acte de courage et d’amour évident. Le fait d'écrire cela n'a soulevé aucune crainte mais au moment de l'éditer, la puer de la critique, d'être jugée s'est manifestée. Alors, j'ai offert tout cela à la source, simplement en lui disant toutes mes craintes, toutes les pensées qui émergeaient. Il suffit de peu pour que l'amour circule à nouveau. Il suffit juste d'être soi-même. De s'accueillir dans ses doutes, ses peurs, ses peines. 

Je dois dire qu'une fois de plus, les chemtrails sont répandus depuis samedi, en des quantités qui rendent l'air irrespirable, le ciel plombé, le soleil à peine visible et c'est systématique, dès que la peur ou la colère montent, j'offre toutes ces énergies au divin. 
De cette façon, je peux continuer de maintenir la paix, la joie en moi et lâcher aussi la peur de la mort, l'attachement à la "victoire" de la lumière sur l'ombre qui n'a finalement pas de sens. 
Puisque l'ombre c'est de la lumière cachée, inversée et comme la mort n'est pas la fin de quelque chose mais un passage, à quoi bon vouloir gagner, perdurer dans ce corps, dans ce chaos ? En luttant pour que le monde se conforme à mes rêves, ma volonté ? 
Il faut savoir ce que l'on veut. 
Si c'est l'amour qu'on cherche et qu'on veut vivre, il est en soi et personne ne peut m'empêcher de le manifester, tout comme vous.




Les notions de karma de résolution, de punition et de récompense sont à mon avis déviées et faussées. En fait, comme le dit le groupe dans l'article publié hier; nous accumulons des expériences qui nous permettent de mieux connaitre ce que nous sommes en vérité, à savoir amour et lumière. 
Ces énergies sont l’expression de la source père mère, sont la source père mère et nous venons sur ce plan afin de connaitre de l'intérieur, par l’expérience, dans la chair, ce que ça fait que d’aimer, de détester, de traiter l’autre avec amour ou mépris…tout ceci, non pas dans le but de recevoir une récompense ou une punition, mais de se connaitre, de se reconnaitre et ainsi de pouvoir sacraliser la chair, nos outils de perceptions, de compréhension par l’amour lumière que nous sommes, qui s’exprime, se révèle, dans l’acceptation de ce qui est. 

La source est infinie et la connaissance de l'amour aussi, on apprend à le connaitre sous toutes les coutures, selon différent mode de perception. L’amour est tout et on peut expérimenter cela dans notre corps, en directe live, de façon profonde et sensationnelle. Puis aussi au niveau subtil. C’est en faisant circuler cet amour en nous-même et en direction de l'extérieur, que nous pouvons le sentir, le vibrer , le connaitre et le reconnaitre. Tous les actes de gentillesse, de gratitude, de pardon, d’ouverture, nous épanouissent puisque c’est alors notre vraie nature qui s’exprime. 
Mais très souvent, c'est son absence, la croyance qu'il n'existe pas qui va nous pousser à va vouloir le chercher de toutes les façons possibles, par des actes désespérés, insensés. La perte de l'amour aussi par une séparation, un deuil, nous montrera à quel point il est précieux, vital et essentiel. 
A l'échelle de la planète, il nous faut vivre des catastrophes pour revenir à l'humilité, pour retrouver des gestes solidaires et oublier pour un temps nos différences. Même si on peut supposer que ce qui se passe au Népal est le résultat de la manipulation climatique, des guerres entre les puissants, de sanctions de l'industrie chimique...tout ceci créé un vortex de compassion plus puissant que celui de la colère, de la révolte. Parce que la majorité de la population ignore ce qui se trame en coulisse et reconnait en cela, une réaction de la nature, du ciel, c'est l'énergie de l'humilité qui en ressort. 
Et ça n'est pas totalement faux parce que la source est au-delà de toutes manipulations humaines, parce que le divin orchestre tout au niveau individuel comme au niveau collectif. Et selon son omniscience il serait vain de croire qu'une poignée de "puissants" a le pouvoir de détruire ce qui est. Enfin ce que les sens perçoivent. 
De ce point de vue, selon la foi en la source, on se rend à l'évidence que ceux qui créent ses scénarios catastrophes, participent à la révélation de l'amour dans les cœurs du plus grand nombre. N'est-ce pas ce que chaque artisan de lumière souhaite voir advenir sur terre ?
 
Le lâcher prise, l’acceptation nous ouvrent le cœur et l’esprit. La lumière peut alors émerger et nous montrer ce qu’est l’amour, ce que veut dire aimer vraiment. 
Tant qu’on résiste, qu’on lutte, on se prive de cette connaissance, de cette reconnaissance. 

Un exemple concret, c’est au sujet de ma relation à l’eau. Depuis que j’ai adopté la philosophie de l’acceptation totale de tout ce que je suis et pour ce faire je me laisse guider par l’élan, l’envie du moment, j’ai donc considéré ce ‘problème’, comme une occasion d’amplifier l’amour lumière en moi par la connaissance intime et intérieur. 
J’ai passé parfois trois jours sans visiter la salle de bain et cette expérience, ce lâcher prise m’a ouvert sur d’autres perspectives tout en amplifiant l’amour pour tout ce que je suis, pour l’eau et ma propre chair, la perception de moi-même. 
Quand une pensée critique venait, je posais une question essentielle ; ça dérange qui ? Puis, ça nourrit quoi en moi ? 
Les réponses m’ont amenées à détecter les personnages internes qui sont restés bloqués sur des traumas et à parler avec eux. En les aimant, en les écoutant, c'est-à-dire en écoutant mes propres pensées, celles que je zappe généralement, que je ne veux pas entendre, j’ai pu savoir ce qui m’anime; quelles sont les croyances qui nourrissent la peur et celles qui nourrissent l’amour. Quelles sont les énergies que je bloque et donc les talents, potentiels ? Qu’est-ce que je rejette et de quoi je me prive en agissant ou en pensant de cette façon ? Que veut dire s’aimer et prendre soin de soi ? 




Aller au bout d’un ‘défaut’ éveille l’ombre et la lumière en soi et le potentiel énergétique restitué, l’équilibre se crée. En fin de compte, le résultat c’est que peu à peu, chaque geste du quotidien fait avant sans conscience, selon la peur, devient un acte d’amour, de connaissance et de reconnaissance, un rituel sacré. 
Et comme je suis devenue dépendante de cette énergie d’amour pur, je l’appelle, l’active, la stimule, lui soumet tout ce qui me dérange, toutes mes interrogations, mes peurs et mes  croyances. Je trouve ainsi l’amour en moi, le cultive, puis la liberté d’être et la rayonnance de l’unité, de la paix et de la joie. 
Je laisse émerger l’amour divin, j’invite mon âme à intégrer mon corps physique et à me prêter son regard, son intelligence, chaque fois que je suis dans l’acceptation totale de tout ce que je suis et de tout ce qui est.  
Dès lors, ma vision des choses s’élargit, mon être s’épanouit, dans cette acceptation totale que mes conditions de vie me permettent d'expérimenter; Le fait d’être célibataire, sans enfants et sans emploi, s’avère être une chance. 
Cette vision me permet de reconnaitre aussi les parts intérieures qui en souffrent et de les accueillir, de les écouter et les réintégrer dans l’amour lumière de la source.   

Savoir pourquoi on fait les choses est très instructif et généralement on se rendra compte qu’on agit toujours selon la peur et l’ignorance. Et la connaissance la seule qui ait un intérêt finalement, c’est la connaissance de soi et des lois universelles qu’on peut connaitre par l’observation, de soi-même, de notre environnement et de toute vie. 
Le caractère universel de l’humain et du divin fait que lorsqu’on se connait, on connait l’autre. Cette fois-ci non pas pour s’en protéger ou pour le dominer en étudiant les sciences, la psychologie, l’ésotérisme, les pouvoirs occultes…mais par connaissance de l’unité de toutes choses.

Pour en revernir à la toilette, agir par peur nourrit cette énergie et le déni de soi, de son pouvoir d’aimer et de connaitre tous les aspects intérieurs, en l’occurrence, l’aspect animal de l’humain. Se laver pour ne pas puer, c’est manifester la peur, nourrir la peur de la critique, du rejet, et rejeter un aspect important de soi. 
Les odeurs sont des repères instinctifs qui sont des indicateurs importants, ils nous renseignent au niveau énergétique, nous permettent de savoir de façon subtile ce qui est bon pour nous et ce qui ne l’est pas. 
Rejeter le côté sauvage et instinctif de soi, revient à rejeter le divin qui s’exprime par l’intuition, l’instinct, le ressenti, puis la force énergétique de l’instinct de survie qui associé à l’amour divin devient des atouts ; la capacité à se relier aux autres, à la terre, aux éléments, à suivre sa propre horloge interne, ses cycles, ce qui développe le ressenti, les capacités extra-sensorielles, le pressentiment…
Tout ceci rend plus libre et lucide puis en développant l’amour divin en soi, les croyances reconnues et harmonisées dans le cœur offrent leur aspect positif, révèlent leur origine divine et le fait que nous possédons toutes connaissances. 

Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr  et ces trois lignes. Merci