mercredi 19 juin 2013

Cours 7/9 sur la prospérité, Fréquence, Émotion et Manifestation.



 
"The sacred of geometry" Facebook

La suite des cours où Métatron aborde la question du non jugement et de la dualité, c’est synchrone avec le sujet dont j’ai parlé ce matin. Pour ce qui est des vidéos d’Isabelle Padovani, j’oscille entre continuer d’interroger ce que je suis et appeler l’amour et l’unité à se manifester en toutes circonstances. Bien que ça paraisse contradictoire d’un premier abord ou du moins différent, ça se rejoint. Tout dépend de ma foi dans le moment présent. Si je sens que tout « roule » facilement, je ne me pose évidemment pas de question mais dès qu’un truc me dérange, là, je choisi de me centrer. La table ronde dont elle parle, est à appliquer pour des situations précises qui créent un conflit intérieur. Tout comme le fait d’écrire en vrac ce qui vient à l’esprit au sujet d’un problème permet d’en révéler les aspects inconscients. Quoi qu’il en soit, il s’agit toujours de se tourner vers l’intérieur, de prendre la responsabilité de ce qui se passe en nous.

Tout à l’heure, alors que je faisais une première séance de repos afin de récupérer de l’énergie à cause de l’électricité dans l’air pendant la nuit, le voisin s’est mis à chanter à fond dans son micro. Plutôt que de me laisser envahir et de me pourrir l’ambiance parce que je me sentais agressée, j’ai mis ma musique de façon à ne plus entendre la sienne et à calmer mon mental ego très remonté. Du coup je me suis mise à faire du ménage et plutôt que de râler, j’ai utilisé l’énergie de la colère pour nettoyer l’appart, en chantant. Lors de ma deuxième séance de repos, après mangé, son chien s’est mis à aboyer. Là, bizarrement, ça ne me dérangeait pas ; un chien aboie dans des circonstances particulières et c’est son mode de communication. Le fait de ne pas juger la situation m'a permis d'être en paix. J’ai fini par me dire que ce qui me dérangeait le plus dans l’histoire, c’est d’imaginer les raisons de son comportement, de penser qu’il le faisait pour s’imposer, se la péter et de trop prendre ça pour une agression personnelle. Même s’il peut y avoir du vrai dans mes raisonnements, les accords toltèques me sont venus en pleine poire ! N’anticipez pas et n’en faites pas une affaire personnelle ! Là c’est carrément le mental qu’il faut arriver à calmer! Un conflit interne se crée entre le cœur qui veut être cool, le mental qui s'emballe, l'esprit qui dit qu'il faut se centrer et l'enfant intérieur qui se sent agressé, la colère contre soi, contre le fait de ne pas arriver à laisser glisser, à être dans la neutralité...

Le non jugement amène l’Unité intérieure et extérieure...vidéos Isabelle Padovani



Image trouvée sur "Facebook TransLight"


La nuit a été très mouvementée et je me sens comme éreintée, vidée. Il y a eu un ou plusieurs orages et je me suis réveillée plusieurs fois dans la nuit, comme hébétée. La première fois, c’est une angoisse qui m’a fait me moucher. J’ai eu l’impression d’étouffer, de ne plus savoir respirer. Comme si ma respiration s’était arrêtée d’un coup allant jusqu’à me réveiller en sursaut. Je n’ai heureusement pas eu de mal à me rendormir bien que l’idée de la mort du nourrisson me soit venue en tête. Malgré que je me sois couchée relativement tôt, ce matin, le réveil est difficile. J’ai dû rebrancher le compteur électrique. Autant hier, j’étais pleine de puissance amoureuse, autant ce matin, j’ai l’impression d’avoir « combattu » toute la nuit. Ce n’est pas le terme que je devrais employer mais il semble que j’ai participé à un envoi de lumière afin de contrer les forces sombres. Ce n’est pas du tout mon style et ça fait un peu scénario de science fiction mais j’ai vraiment la sensation d’avoir utilisé beaucoup d’énergie. 
Habituellement, la journée, l’orage me plait, je me sens comme « protégée » et la puissance de la nature m’émerveille, mais cette nuit, ça m’a plus perturbée qu’autre chose. Peut-être aussi que le fait de me réveiller sans les repères habituels de l’heure et de la lumière, m’ont dérangés. 
Déjà, hier matin, alors que j’écrivais, le cœur rempli de reconnaissance et de joie, la sirène des pompiers, a retenti prés de 20 fois, avec une rare puissance. L’ambiance était très spéciale et je pensais aux personnes qui ont vécu la guerre et les bombardements dans leur enfance. J’ai commencé par râler contre les manipulations des forces de l’ombre, la veille des avions ont laissé des traînées dans le ciel. Puis j’ai envoyé de l’amour et de la lumière sur cette période de 39-45 qui a connu les pires manipulations humaines. Sans parler du nucléaire !