Les
libérations continuent au travers d’un rêve, vidange de l’inconscient, que je
me suis contentée de noter au réveil, comme la dernière fois et je laisse
infuser sachant que si je dois en trouver le sens, ça me sera donné. Les quelques
éléments l’on tout de même amenée à comprendre que mon enfant intérieur avait
besoin d’attention. J’ai caressé mon ventre en lui parlant après avoir vu une
photo de classe qui défilait sur l’écran de veille, le confirmant que c’était
bien un appel à me tourner vers lui. Puis je l’ai invité à aller dans la nature
comme lorsque j’étais enfant et me régalais de ces moments de paix, de liberté,
portée par un sentiment de sécurité naturel.
Je
peux voir que la journée m’a amenée à lâcher prise ; à abandonner des
comportements réflexes dont celui de chercher à comprendre, sous-tendu par le besoin
de contrôle, motivé par la peur. Je me suis dit aussi que les choses sont
beaucoup plus simples sans produits. Ce qui me motive à continuer malgré les
symptômes, puisque le sevrage, peu importe le produit, disons l’envie de
changer, demande de renouveler l’intention régulièrement et ainsi de la nourrir.