Les
libérations continuent au travers d’un rêve, vidange de l’inconscient, que je
me suis contentée de noter au réveil, comme la dernière fois et je laisse
infuser sachant que si je dois en trouver le sens, ça me sera donné. Les quelques
éléments l’on tout de même amenée à comprendre que mon enfant intérieur avait
besoin d’attention. J’ai caressé mon ventre en lui parlant après avoir vu une
photo de classe qui défilait sur l’écran de veille, le confirmant que c’était
bien un appel à me tourner vers lui. Puis je l’ai invité à aller dans la nature
comme lorsque j’étais enfant et me régalais de ces moments de paix, de liberté,
portée par un sentiment de sécurité naturel.
Je
peux voir que la journée m’a amenée à lâcher prise ; à abandonner des
comportements réflexes dont celui de chercher à comprendre, sous-tendu par le besoin
de contrôle, motivé par la peur. Je me suis dit aussi que les choses sont
beaucoup plus simples sans produits. Ce qui me motive à continuer malgré les
symptômes, puisque le sevrage, peu importe le produit, disons l’envie de
changer, demande de renouveler l’intention régulièrement et ainsi de la nourrir.
Plutôt
que de me coller sur l’ordi, je suis donc allée voir mon copain le chêne accompagnée
de la chienne et du chat Féliz. Puis j’ai arrosé mes semis de petits pois en
allant puiser de l’eau dans le canal réouvert, sans prêter attention aux nuages.
Là
encore au lieu de compter sur le voisin qui doit réviser le système d’arrosage,
je me suis débrouillée toute seule même si ça m’a demandé plus d’effort.
J’ai
tendance à me dire « fais ce dont tu es capable plutôt que d’attendre que
les autres tiennent leur promesse ». Passer de « oser demander, oser
se faire aider » à « assumer seule et être prête à collaborer », est
non seulement plus juste mais ça évite les déviances, abus de pouvoir,
domination et autre.
Ce n’est pas parce qu’il a dit qu’il le ferait que ça sera
le cas. Puisque son désir de service est sous-tendu par un besoin de contrôle
et de dominance, de reconnaissance, agir par moi-même, sans attente, sans râler, me libère des
jeux de rôles.
Bon,
c’est reparti, le mental qui décortique…Relax mon ami
Envie
de détente ce soir avec Nicole Ferroni. De l’humour mais aussi du sens.
NICOLE FERRONI :
« Le complexe d'Obélix »
Bon, c’est encore de la cogitation mais dans l’humour,
la légèreté, de cette façon, tout mon monde intérieur est servi, l’enfant, le
mental et le corps physique qui peut de se détendre par le rire…
« La méchanceté sans fin »
Voilà qui fait réfléchir sur un sujet complexe, et le
bafouillage à la fin, l’absence de chute en sont la parfaite illustration
« Le secret du bonheur »
« Transmettre ou pas ? »
« Soyons sauvages »
…« la lucidité de la rage de vivre ! »…et le lâcher prise avant d'agir...
« Libérez les enfants : Crevez l'écran »
Voilà une façon d’interpeller toute en finesse…
« La France des étrangers »
Belle conclusion
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci