dimanche 15 septembre 2013

Auto-guérison ;)



Être une mère pour soi-même; notre puissance au service de notre vulnérabilité*


Rien de tel qu’une bonne nuit pour retrouver mon dynamisme habituel et la santé ! Je pense que le fait d’avoir choisi de suivre ma foi, en allant pas voir un toubib et surtout d’avoir accueilli avec tendresse, toutes les parts de moi en souffrance, a rétabli l’équilibre et l’harmonie intérieurs. Plus de sensation très désagréable au niveau du plexus, juste un peu de raideur que la relaxation et la respiration consciente pourront effacer. J’ai été réveillée par des éclairs et le tonnerre. Ce temps me fascine et j’ai remarqué que j’étais en paix dans ce genre de déchainement, ça semble paradoxal mais je me sens en sécurité. C'est encore une belle illustration de la puissance divine qui fait écho à ma propre puissance d'auto-guérison par la responsabilisation. Mes deux chats ont encore passé la nuit avec moi, le mâle à la tête et la femelle aux pieds ! Là encore, ils ont illustrés un grand principe celui de l'équilibre des forces masculine et féminine, de l'énergie du ciel et de la terre...Le nettoyage des reins est particulièrement efficace et le regain d’énergie me remplit de gratitude. Comme quoi, il n’y a pas à craindre de suivre son cœur, sa foi et de faire des choix en conséquence. 
J'interprète les symptômes selon ma foi, mon intuition et le livre de Lise Bourbeau, "ton corps dis aime-toi", au lieu de me fier à la croyance populaire ou encore à la science qui se contredit régulièrement. Ainsi, j'associe douleur du plexus à la difficulté de lâcher prise, au manque d'amour de soi, les pointes au cœur à l'ouverture de celui-ci...
Je vais encore rabâcher mais il m'apparait de plus en plus évident que la culpabilité, le non amour de soi, sont des poisons beaucoup plus nocifs pour l'organisme que n'importe quel produit.
Je précise que tout le monde ne peut pas se passer d’aller chez un toubib. Je ne frime pas en disant cela mais je suis consciente que la peur de choisir, de se planter, celle de la mort, et la difficulté à accepter d’être 100% responsable de sa vie, peuvent créer un conflit intérieur qui va amplifier le problème.