lundi 31 mars 2014

"L’Énergie Féminine" Yosuel via Martine


Linda Brunker



Ce que Vous appelez « Énergie Féminine » et « Énergie Masculine » ne sont autres que vos attributs Vous permettant d’être bien en relation avec vos 2 polarités.
Lorsque l’une de ces polarités est en déséquilibre, Vous basculez dans le pouvoir en fonction de ce que Vous voulez dominer sur l’Autre. 
Maintenant, il y a aussi les aspects liés à ces 2 polarités pour Vous amener à ressentir ce que Vous ne voulez pas admettre de votre propre Conscience en voulant transgresser toutes les données requises pour faire l’expérience de la 3D sans déséquilibre.

Il y a une chose que Vous n’avez pas compris, et surtout admis, c’est que ces 2 polarités sont l’équivalent de vos 2 pôles médians Vous permettant de vivre ici sur cette Terre pour en comprendre l’exacte finalité de ce que Vous Vous êtes donnés le droit pour vivre toutes les expériences de tous les aspects directement liés à l’Humain dans sa recherche à vouloir être ce qu’Il est dans la conformité de ce monde tel qu’il a été requis pour que Vous puissiez être à la fois dans « la force » et dans « la créativité ».

"Transformer les oui à tout, en non constructifs" rédigé par Anne-Laure Gannac






Non : un mot difficile à prononcer pour beaucoup d’entre nous. Pourtant, à toujours tout accepter, le risque est grand de se laisser envahir par les autres. Au point d’en oublier ses propres désirs. 
Comment briser le cercle du « oui à tout » ? Le point en six questions.
Sollicité par un patron, un ami, un conjoint, qui n’a jamais dit oui ou peut-être, quand il pensait non ? Radicale, irréversible, signifiant l’opposition et le rejet, la syllabe est passée sous silence. Décryptage d’une censure qui, au-delà du souci de politesse, révèle un manque réel d’affirmation de soi.

Pourquoi faut-il savoir dire non ?
Parce que cela permet de trouver sa place parmi les autres et de faire en sorte qu’elle soit respectée. Nous avons tous en tête une idée de ce qui est acceptable pour nous, de ce qui ne l’est pas, mais il nous appartient de bien signifier ces frontières aux autres. Sinon, le risque est de se laisser envahir par le désir des autres, de se laisser détourner de ses propres objectifs au point de ne plus savoir qui l’on est ni ce que l’on veut.

Selon mon entendement, « être dans la lumière » signifie être transparent, se voir en totalité avec neutralité.






Ce matin, je me lève sereine mais le week-end au contact de ma famille a été révélateur. Comme c’était mon anniversaire, ils m’ont contactés chacun leur tour. C’est la première fois que mon père pense à m’appeler ce jour particulier ! J’ai été surprise mais pas spécialement touchée. J’ai l’impression que je me détache de plus en plus de mes proches, à mesure que je libère les masques. C’est comme si le fait de ne plus m’identifier à certains personnages intérieurs et de ne plus les rejeter, m’amenait en toute logique à lâcher les attachements affectifs. Comme si je devenais plus lucide par rapport à ce qu’ils sont en tant qu’individus. C’est étrange comme sensation comme une forme de désensibilisation qui pourrait ressembler à un manque d’amour ou à de la froideur mais qui est plutôt un sentiment dépourvu d’émotions. Comme si les liens karmiques, les attaches qui se créent par les jeux de rôles et les souffrances, se déliaient peu à peu. Je suis passée de la phase qui consiste à voir les jeux de rôle dans les relations, les personnages que j'ai incarné en tant que "fille de" et "sœur de", à celle où je tentais de m'en extraire, par la volonté et maintenant, par l'acceptation de ce qui se manifeste en moi, les masques tombent d'eux-mêmes.