jeudi 27 mars 2014

"Mettre les mains dans la terre rend plus heureux et intelligent…" par Hortiman





Merci France d’avoir partagé cet article sur face de bouc (ruse pour éviter les mots clefs repérables)! Je comprends mieux pourquoi je suis facilement grognon depuis hier après midi, mis à part les énergies sans dessus-dessous, le sevrage, les soins énergétiques, les mouvements planétaires…ça fait plus de six jours que je n’ai pas pu aller au jardin ! 
Entre la pluie, le vent et le printemps qui peine à s’installer, je n’ai encore rien semé, à part l’ail.
Se tourner vers le ciel oui, mais bien ancré sur terre, pour constater tous les cadeaux de notre précieuse Mère ! 

Encore une belle synchronicité qui balaie mes reproches de tout à l’heure et une raison supplémentaire de suivre mon intuition… L'aspect thérapeutique, la guérison du manque affectif maternel par le contact à la Terre Mère est maintenant avéré scientifiquement! 

J’ai encore râlé devant les besoins du corps physiques et le manque de soutien pour les assumer ! Et oui, je sais aussi être de mauvaise foi mais comme je n’en fais plus un drame, je tombe sur des textes de ce genre qui me font prendre conscience avec humour, de mon erreur ! Je suis remplie de gratitude d’un seul coup ! 

C’est encore le yoyo en dedans, au niveau énergétique mais les fluctuations sont moins violentes et je me dis que ça va bien finir par se stabiliser ! J’ai dormi une bonne partie de l’après midi et j’ai encore fait un rêve bien délirant ! Ce qui me rassure c’est de me dire « j’intègre, mon corps s’ajuste, c’est normal ! »

"Soins énergétiques" de Laurent





Ce matin, des douleurs aux reins me perturbent physiquement bien que psychologiquement, je sois assez sereine! Ce qui amplifie la douleur, en général, c’est le fait de chercher et de ne pas pouvoir en comprendre le sens, on ajoute donc une charge de souffrance supplémentaire par des questions non résolues. Lorsqu’on comprend que tout est l’expression de l’équilibre énergétique, que la douleur, les symptômes physique, les maladies, traduisent une disharmonie intérieure, on peut déjà se détendre même si on ne sait pas ce qui se passe. Le seul fait de cesser les questions, calme le mental et la foi en la bienveillance du divin permet de lâcher prise plus facilement. 
Concernant les douleurs spécifiquement féminines, on pourrait les attribuer à une difficulté à accepter cet aspect de soi, à des traumatismes vécus dans cette zone, résultant d’abus et de violences exercés par des hommes. Sans aller dans le détail, il semble que ce soit l’expression d’un déséquilibre des polarités. Le savoir peut entrainer un sentiment de culpabilité surtout quand on cherche à être dans le juste milieu. C’est une première réaction qui nécessite d’être regardée avec compassion afin d’en minimiser l’impact et de revenir au cœur, à l’amour de soi. Entourer d’amour et de lumière, les zones affectées, permet déjà de guérir la vision, d’avoir un point de vue neutre qui se traduira par un retour à l’équilibre énergétique. Utiliser ce genre de situation pour se centrer, intégrer l’amour en soi, rétablit l’harmonie intérieure, aligne les corps sur la même fréquence et la douleur s’efface naturellement.

"J'ai choisi la rencontre avec le Vivant qui m’apprend à être…dans la joie" !



Suivi d'extraits d'un channeling au sujet des extra-terrestres
David Chambon


Comme je ne critique plus trop ce que je fais, je deviens spectatrice émerveillée du quotidien, des situations, du vivant, des êtres qui m’entourent quelle que soit leur forme, des rencontres dans le virtuel par le biais des lectures, dans le réel et avec l’invisible. Tout me reflète mon monde intérieur et les synchronicités se succèdent rendant la vie extraordinaire. Je ne parle pas de quelque chose de spectaculaire mais plutôt de la vie qui prend tout son sens lorsqu’on s’extraie du cadre de références du mental. Les actes les plus banals revêtent un caractère sacré et la simplicité de la vie en révèle la majesté. Ma boulimie de lecture est devenue une amplification énergétique, de ma foi, de l’amour en soi et de la compréhension de l‘unité, de l’harmonie et de l’équilibre des polarités.

Bien que ça soit parfois étourdissant, tout ceci me motive encore plus à laisser tomber les masques, à libérer les gestes motivés par la peur, le manque et le besoin. Je me sens enfin de plus en plus souvent entière, sur la fréquence qui me correspond, qui est celle que ma personnalité, mon âme ont toujours cherchée ; l’Amour avec un grand « A ». Qui n’a rien à voir avec l’amour romantique, possessif, limitant et angoissant, mais celui qui anime toute vie, tout être, toute chose finalement.