jeudi 27 mars 2014

"Mettre les mains dans la terre rend plus heureux et intelligent…" par Hortiman





Merci France d’avoir partagé cet article sur face de bouc (ruse pour éviter les mots clefs repérables)! Je comprends mieux pourquoi je suis facilement grognon depuis hier après midi, mis à part les énergies sans dessus-dessous, le sevrage, les soins énergétiques, les mouvements planétaires…ça fait plus de six jours que je n’ai pas pu aller au jardin ! 
Entre la pluie, le vent et le printemps qui peine à s’installer, je n’ai encore rien semé, à part l’ail.
Se tourner vers le ciel oui, mais bien ancré sur terre, pour constater tous les cadeaux de notre précieuse Mère ! 

Encore une belle synchronicité qui balaie mes reproches de tout à l’heure et une raison supplémentaire de suivre mon intuition… L'aspect thérapeutique, la guérison du manque affectif maternel par le contact à la Terre Mère est maintenant avéré scientifiquement! 

J’ai encore râlé devant les besoins du corps physiques et le manque de soutien pour les assumer ! Et oui, je sais aussi être de mauvaise foi mais comme je n’en fais plus un drame, je tombe sur des textes de ce genre qui me font prendre conscience avec humour, de mon erreur ! Je suis remplie de gratitude d’un seul coup ! 

C’est encore le yoyo en dedans, au niveau énergétique mais les fluctuations sont moins violentes et je me dis que ça va bien finir par se stabiliser ! J’ai dormi une bonne partie de l’après midi et j’ai encore fait un rêve bien délirant ! Ce qui me rassure c’est de me dire « j’intègre, mon corps s’ajuste, c’est normal ! »





Mettre les mains dans la terre rend plus heureux et intelligent…


Les vertus d'une après-midi de jardinage ne sont plus à démontrer: plaisir des yeux, satisfaction du travail bien fait, libération d'endorphine après l'effort... Aaahh les joies du jardinage, on s'en contente sans autre explication....

Cependant les esprits brillants de notre monde cherchent toujours le pourquoi du comment: et comment le Big Bang a eu lieu, et y a-t-il une vie ailleurs dans l'univers.... Figurez vous que des chercheurs ont découvert en deux temps (2007 et 2010) pourquoi travailler dans le jardin rendait plus heureux et surtout plus intelligent. Note personnelle: certains hommes politiques devraient jardiner un peu plus ils rendraient service au pays...

Donc d'après ces chercheurs, le mérite en revient à un des plus petits organismes vivant sur terre à savoir une bactérie. Cette dernière se nomme mycobacterium vaccae et est surtout connue pour être la source de la tuberculose. On la trouve dans la terre de votre jardin mais pas de panique c'est une souche inoffensive.

Des expériences menées sur des souris ont démontré que le contact avec la bactérie augmente la production de sérotonine par le cerveau, cette dernière étant considérée comme "l'hormone du bonheur". La sérotonine est en réalité un neuro-transmetteur, molécule chimique qui transmet les informations entre les neurones. Sa faible présence dans le cerveau est un des symptômes de la dépression. Cette étude a été menée par le Dr Chistopher Lowry en 2007.

Mais voilà qu'en 2010 le Sage Collége de New York remet le couvert en publiant une étude démontrant que M. vaccae améliore l'apprentissage tout en réduisant le niveau d'anxiété. L'expérience menée par le professeur Dorothy Matthews, toujours sur des souris, a permis d'observer que l'ingestion de la bactérie leur permettait de sortir d'un labyrinthe plus rapidement (2 X plus vite) et moins stressées que le groupe témoin (non traité).
Le mécanisme exact permettant ces prouesses n'est pas (encore) connu mais sachez qu'il est inutile de vous mettre à manger de la terre car la simple respiration de poussières ou de particules humides provenant du sol suffit à faire entrer la bactérie dans l'organisme....

La conclusion rigolote consiste à dire que trop d'hygiène (consistant à tuer les bactéries) rend bête et dépressif !!!

Rédigé par Jean Marc: "Hortiman"

Je préfère la version positive du titre à la conclusion mais personne n’est "parfait" puis l’humour, la dérision sont des antidépresseurs reconnus. 
Puis pour le fait que trop d'hygiène n'est pas bon, comme tout excès, j'avais déjà remarqué la fragilité "des gens de la ville" comparé à ceux de la campagne. Mes cousins parisiens toujours soucieux d'approcher la terre de loin, étaient souvent malades alors que nous étions souvent pieds nus dans l'herbe, sans jamais avoir de rhume ou de grippe. 
Mais, ça, c'était avant que les pesticides aient envahis les sols et la nappe phréatique...Malgré tout, je suis sure que la comparaison est encore valable.