Il semble que je ne sois pas la seule à devoir
réfléchir à la question de l’amour inconditionnel puisque cette pensée de Neale
Donald Walsch (plus bas) vient faire écho à mes interrogations du moment. Et même cette
nuit, j’ai encore été face à mes comportements injustes.
Trouver l’équilibre,
le juste milieu, entre don et réception, savoir se faire passer en premier,
poser des limites, tout ceci demande à être observé de près.
J’ai été réveillée
à 3h du matin par des douleurs au ventre dues à
un coup de froid.
Le chat pour lequel j’ai un amour intense, me met à l’épreuve
une fois de plus et me pousse à trouve la justesse. Je n’ai pas osé le pousser
alors qu’il s’est couché en plein milieu du lit hier soir. Ce n’est pas la
première fois que ça arrive mais comme en plus il est affaiblit par son
infection, j’ai pensé que je devais le laisser se reposer au détriment de mon
propre confort. J’ai donc passé la moitié de la nuit tordue avec une bouillotte
et la chaleur m’a fait instinctivement me découvrir. Et bien évidemment comme
il fait à peine 12° dans la chambre, j’ai été réveillée par le froid et des
crampes à l’estomac.
J’ai dû aller aux toilettes et là, le message était clair.
Déjà parce que j’étais mal dans ma peau et le front glacé indiquait un peu de
fièvre et parce que littéralement ça voulait dire que la situation me faisait c…
j’ai donc soulevé le chat pour le mettre au pied du lit et j’ai gardé les
genoux pliés, allongée sur le dos, pour l’empêcher de revenir au milieu.
Il a
insisté comme pour me tester, comme pour voir jusqu’où allait ma soumission.