Affichage des articles dont le libellé est Joelle Verain. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Joelle Verain. Afficher tous les articles

samedi 12 mars 2016

« Paix, équilibre, harmonie » & vidéos d'éveil







Il semble que je ne sois pas la seule à devoir réfléchir à la question de l’amour inconditionnel puisque cette pensée de Neale Donald Walsch (plus bas) vient faire écho à mes interrogations du moment. Et même cette nuit, j’ai encore été face à mes comportements injustes. 
Trouver l’équilibre, le juste milieu, entre don et réception, savoir se faire passer en premier, poser des limites, tout ceci demande à être observé de près. 
J’ai été réveillée à 3h du matin par des douleurs au ventre dues à un coup de froid. 
Le chat pour lequel j’ai un amour intense, me met à l’épreuve une fois de plus et me pousse à trouve la justesse. Je n’ai pas osé le pousser alors qu’il s’est couché en plein milieu du lit hier soir. Ce n’est pas la première fois que ça arrive mais comme en plus il est affaiblit par son infection, j’ai pensé que je devais le laisser se reposer au détriment de mon propre confort. J’ai donc passé la moitié de la nuit tordue avec une bouillotte et la chaleur m’a fait instinctivement me découvrir. Et bien évidemment comme il fait à peine 12° dans la chambre, j’ai été réveillée par le froid et des crampes à l’estomac. 
J’ai dû aller aux toilettes et là, le message était clair. Déjà parce que j’étais mal dans ma peau et le front glacé indiquait un peu de fièvre et parce que littéralement ça voulait dire que la situation me faisait c… j’ai donc soulevé le chat pour le mettre au pied du lit et j’ai gardé les genoux pliés, allongée sur le dos, pour l’empêcher de revenir au milieu. 
Il a insisté comme pour me tester, comme pour voir jusqu’où allait ma soumission.

vendredi 11 mars 2016

« Passage intense et initiatique… » & entretiens avec Olivier Magnan, traducteur des livres de Zecharia Sitchin...






Ce matin, je me suis réveillée encore dégoûtée de la vie mais mes premières pensées reflétaient un tout autre sujet que celui de la perte et semblaient prolonger une conversation vécue durant la nuit. 
Ce que je redoutais le plus est arrivé, être face à la peur de perdre un être cher, et surtout, celui que j'appelle "le plus bel amour de ma vie". 
Ça peut sembler insensé d'être si attaché à un chat mais le type de relation que j'entretiens avec cet être est si proche de "mon idéal" de la façon dont je conçois l'amour, dans la transparence, la liberté réciproque, l'acceptation des différences, la communication au-delà des mots, par la vibration, un amour qui n'est pas lié au mental, aux critères de beauté, à l'apparence mais trouve son origine dans le cœur, l'âme. 
Je sais que ce sont mes peurs et croyances qui font que je projette ce type d'amour sur un animal parce que je n'imagine pas que ce soit possible de le vivre avec un humain et je constate qu'il y a encore beaucoup d'attachement malgré les progrès effectués depuis qu'il m'accompagne. 
J’ai carrément voulu en finir hier soir, quitter ce monde qui me semblait si absurde sans ce genre de relation, sans cette possibilité de partager cet amour qui est proche de l'amour inconditionnel. Mais malgré tout, ce matin, je suis encore là, vivante et debout.