Il semble que je ne sois pas la seule à devoir
réfléchir à la question de l’amour inconditionnel puisque cette pensée de Neale
Donald Walsch (plus bas) vient faire écho à mes interrogations du moment. Et même cette
nuit, j’ai encore été face à mes comportements injustes.
Trouver l’équilibre,
le juste milieu, entre don et réception, savoir se faire passer en premier,
poser des limites, tout ceci demande à être observé de près.
J’ai été réveillée
à 3h du matin par des douleurs au ventre dues à
un coup de froid.
Le chat pour lequel j’ai un amour intense, me met à l’épreuve
une fois de plus et me pousse à trouve la justesse. Je n’ai pas osé le pousser
alors qu’il s’est couché en plein milieu du lit hier soir. Ce n’est pas la
première fois que ça arrive mais comme en plus il est affaiblit par son
infection, j’ai pensé que je devais le laisser se reposer au détriment de mon
propre confort. J’ai donc passé la moitié de la nuit tordue avec une bouillotte
et la chaleur m’a fait instinctivement me découvrir. Et bien évidemment comme
il fait à peine 12° dans la chambre, j’ai été réveillée par le froid et des
crampes à l’estomac.
J’ai dû aller aux toilettes et là, le message était clair.
Déjà parce que j’étais mal dans ma peau et le front glacé indiquait un peu de
fièvre et parce que littéralement ça voulait dire que la situation me faisait c…
j’ai donc soulevé le chat pour le mettre au pied du lit et j’ai gardé les
genoux pliés, allongée sur le dos, pour l’empêcher de revenir au milieu.
Il a
insisté comme pour me tester, comme pour voir jusqu’où allait ma soumission.
On
attribue aux animaux tout un comportement qu’on humanise, on croit les
comprendre mais on projette très souvent ce qu’on est, ce qu’on pense. Et on
fait la même chose vis-à-vis des humains.
Ils agissent d’une façon très
particulière, selon leur nature propre, leurs codes et ce qu’on croit être de l’affection,
bien souvent, c’est un marquage de territoire. Mais là aussi, le signe de dominance est à l'image de ce que vivent les humains entre eux, tout comme celui d'appartenance. On associé l'amour à l'exclusivité, la possessivité...
Quand il se frotte à la chienne
qui d’ailleurs n’aime pas trop ça mais elle ne bronche pas simplement parce qu’elle
sait que je vais réagir, le chat dépose des phéromones sur elle pour marquer sa
position dominante.
La notion d’amour inconditionnel est encore floue
pour beaucoup d’entre nous et lorsqu’on porte la blessure d’injustice, de rejet,
la vie va nous donner l’occasion de trouver le juste milieu en nous faisant
vivre des situations où nous serons soumis.
Très souvent quand on croit aimer
quelqu’un, c’est juste parce que nous ne sommes pas capables de nous aimer véritablement
et si quelqu’un nous regarde avec un certain intérêt, on va imaginer, croire, qu’il nous
aime. On va penser être amoureux simplement parce que la personne nous valorise
par son intérêt mais ses motivations seront à la mesure de la qualité d’amour
qu’on a vis-à-vis de soi-même. Et on tombera vite dans un rapport
dominant/dominé, une relation déséquilibrée.
Quand on rêve d’un amour idéal,
sans conditions, et si comme moi, on pense que ça n’est pas possible à vivre sur
terre, ça ne fait que refléter le rejet de soi, le manque de transparence et d’authenticité.
Même si je peux voir mes blessures et comportement faussés, conditionnés, savoir que j’ai
porté des masques, et que les réflexes perdurent, changer ne se fait pas du jour au lendemain.
Il faut déjà
repérer ces comportements déviants et ne plus les nourrir, lâcher les croyances
au sujet de l’amour et voir quand on est dans la projection.
Quand je dis que
je n’imagine pas qu’un amour inconditionnel soit possible entre un homme et une
femme comme je sais que ça demande d’être authentique, transparent, de pouvoir
dire ce qu’on ressent et pas seulement ce qu’on pense, je projette mes propres
incapacités.
Ça n’est pas vraiment des hommes dont je doute même si par résonance,
je suis souvent ‘tombée’ sur des personnes qui n’exprimaient pas leurs
émotions, c’est plus parce que je sais que j’ai beaucoup de mal à être
authentique. Quand on se cache ses propres émotions, il est clair qu'on fait la même chose avec l'autre surtout si on est dans la dépendance affective.
Je suis plutôt cash, comme on dit, mais j’exprime ma
vision, ma façon de considérer les choses, mon point de vue avec facilité et si j’exprime des émotions, ce sont
soient des émotions positives, soit des émotions négatives qui vont exploser.
Exprimer sa joie, son bien-être, de la gentillesse, tout ce qu’on considère
comme positif, est admis mais ça n’est pas si simple d’exprimer son désaccord
sans violence parce qu’on a du mal à s’affirmer alors il faut qu’on soit poussé
à bout pour oser dire ce qu’on ressent. Et comme on le fait lorsqu’on se sent
agressé, poussé à l'extrême, on est sur la défensive, dans l’excès, l’accusation. Et ça n’arrange pas les choses.La pensée du jour (je ne sais pas vraiment lequel puisque ça vient dans ma boite de façon aléatoire)
"En ce jour de votre vie, je crois que Dieu souhaite
que vous sachiez …
qu’aimer, c’est ne jamais avoir à dire « je suis désolé ».
qu’aimer, c’est ne jamais avoir à dire « je suis désolé ».
Erich Segal a dit cela et il avait raison.
Dieu
vous aime, et c’est pourquoi vous n’avez jamais à dire « désolé » à Dieu.
Si vous aimez quelqu’un, libérez-le du besoin de s’excuser auprès de vous pour quoi que ce soit.
Si vous aimez quelqu’un, libérez-le du besoin de s’excuser auprès de vous pour quoi que ce soit.
Avoir besoin d’excuses est le signe d’une personne qui se trompe à propos d’elle-même. Vous ne pouvez être blessé par quelqu’un d’autre.
Tout se joue dans vos pensées.
Revenez à l’amour et abandonnez votre besoin de pardonner aux autres quoi que ce soit.
Avec tout mon amour, votre ami …"
Neale
http://www.conversations-avec-dieu.frNeale
Je vois plusieurs choses dans ceci, déjà la
soumission vis-à-vis de la source n’est effectivement pas juste puisque nous
sommes cette émanation divine et la personnalité étant le prolongement de la
conscience, la culpabilité, n’a rien à faire dans cette relation. La
justification non plus parce que la source, la vie, n’exigent rien de nous.
Même si on est invité à évoluer c’est juste selon le mouvement naturel des
choses, selon notre nature multidimensionnelle. Tant par l’aspect humain que
par nos attributs divins en perpétuelle expansion. Le corps humain évolue du
stade d’embryon à celui d’adulte et selon notre ouverture de cœur et de
conscience tout au long de notre vie, nous allons intégrer et rayonner les
vibrations plus ou moins filtrées de la source.
Et c’est notre degré d’inconfort
qui va nous amener à chercher à améliorer notre vie.
On le fera selon notre
vision de ce qu’est le bonheur, on aimera aussi selon l’idée qu’on se fait de l’amour
et selon nos blessures qui conditionnent notre comportement.
Ces blessures qui
induisent l’idée de manque et de séparation ne peuvent qu'être guéries de l’intérieur
parce que ce sont nos croyances, celles qui ont découlé des traumas ou
évènements perçus de façon erronée, qui vont générer un comportement spécifique,
des attentes particulières.
Et il suffit que nous venions sur terre avec la
mémoire active de l’amour qu’on a connu en tant qu'âme ou conscience Une, lorsqu’on
baignait dans la soupe cosmique d’amour infini de la source, ou dans le monde
tel que décrit par les gens ayant vécu des Nde ou "expérience de mort imminente", pour qu’enfant, on se sente mal aimé. La douleur de la séparation, le sentiment d’être isolé, séparé de
la source peut laisser des traces indélébiles donnant l’impression qu’on ne
retrouvera plus jamais la qualité d’amour qu’on a connu.
Et quand on
ressent à nouveau l‘amour immense de la source se manifester en soi, sur le
moment on plane sur un petit nuage, on est capable d’embrasser la terre entière
et lorsqu’on perd cette connexion, on va essayer de la retrouver.
Ce genre d’expérience
vise à nous ouvrir les yeux et le cœur puis le mental va en faire un étalon, un
repère, et selon nos croyances, selon la valeur que nous accordons à l’aspect
humain que nous sommes, selon notre capacité de l’accepter, on pensera que cette
qualité d’amour est possible ou non entre humain.
Je dois dire que la
différence que j’aie ressentie entre l’amour de la source et ce que j’avais
expérimenté avant a eu tendance à me faire croire que je ne pourrais jamais
vivre quelque chose de si intense avec un homme. Mais c’est à travers la
personnalité blessée que cette croyance s’est construite, à travers les blessures
qui ont engendré un certain type de relations.
Ensuite, le mental ego pour se rassurer, se
protéger, a élaborée toutes sortes d’arguments pour nourrir ses croyances et en
même temps les blessures; L’idée que le couple est une invention humaine visant
à combler des carences affectives, que les contes de fées sont des chimères,
que le prince et la princesse charmantes n’existent pas, que la solitude est la
panacée…
D’une certaine façon c’était le contexte idéal pour cultiver la
relation intérieure à la source et être enseignée de l’intérieur. Et à mesure
que je comprends la loi de résonance, l’effet miroir et comme je détecte de
plus en plus les comportements conditionnés, ses croyances sont remises en question.
Bien que je n’en fasse pas un idéal, une condition essentielle à la réalisation
de soi, j’admets tout de même que c’est une expérience qui peut être
enrichissante. Puis selon le modèle du vivant, de la nature, c’est un phénomène
d’attraction qui est une pure expression des principes de la source divine,
père mère, de ses forces masculines et féminines reflétant ce que nous sommes à
l’intérieur. En ce sens, réaliser l’union, l’équilibre et la pacification du
masculin et du féminin en soi, est indispensable pour que cela se manifeste de
façon similaire à l’extérieur et soit épanouissant.
On en revient encore à la nécessité d’être transparent,
honnête et juste avec soi-même afin de détecter et lâcher les comportements
conditionnés, puis de manifester cet équilibre interne.
J’ai envie d’écouter à nouveau la vidéo de Deepak
Chopra à propos de la loi du moindre effort que j’ai zappé un peu vite hier.
Il résume l’essentiel, les clefs du bien-être, la façon de se connecter au
divin en soi et de pouvoir s’épanouir.
Deepak Chopra: La loi du
moindre effort
La loi du moindre effort
1/ »Pratiquer l’acceptation complète de vous-même,
de votre soi et des autres, tels qu’ils sont ».
C’est ainsi qu’on cultive
la transparence, le non-jugement, le lâcher prise qui mène à la vision neutre
et objective. Cela mène aussi à la compassion et l’humilité
2/ « Assumer sa responsabilité; l’habilité de
répondre aux stimulii de façon créative et non réactive »
« Quand vous prenez un pas de recul et n’êtes
plus dans la réactivité, vous accédez à un niveau plus élevé de créativité, d’intuition
et d’imagination »
Ici, la compassion se développe et en même temps,
la capacité de trouver de nouvelles façons d’agir parce qu’on n’est plus dans
un comportement conditionné, impulsif, qui s’enclenche depuis l’inconscient,
dans une stratégie de l’ego basée sur l’instinct de survie, la négation du soi.
On passe de l’inconscience à la conscience de soi, du soi relié à la source et
aux autres, par nature.
3/ « Assumer une attitude de non-défense,
réprimer l’impulsion à vouloir défendre à tout prix son point de vue, à vouloir
avoir raison coûte que coûte ».
Vouloir avoir raison, c’est s’opposer au
courant naturel de la vie, y résister en pensant qu’on sait mieux que la source
ce qui est juste. On s’identifie à l’ego lui-même construit sur des croyances
basées sur l’idée de division, de séparation. Il est bon d’avoir une opinion,
de faire des choix mais plus on veut convaincre et plus c’est l’expression du
doute. Tout comme le fait de se justifier révèle un manque de connaissance, de
transparence et d’acceptation de soi. C’est l’expression de l’ego qui se
cherche, qui veut obtenir du pouvoir par la dominance, la contrainte. Quand on
réprime la pulsion de vie en soi ou tout autre aspect vivant, spontané, on se
coupe du ressenti, on ne peut pas sentir la source père mère qui nous anime.
La position d’observateur neutre est la seule qui
permette de détecter les comportements issus de croyances erronées. C’est cette
transparence qui est demandée lorsqu’on parle de rectitude et qu’on nous exhorte
à garder notre maison propre. C’est aussi ce qui permet de voir la bienveillance
de la vie, de la source envers nous parce qu’on va comprendre qu’elle fait tout
pour nous ouvrir les yeux et le cœur.
Les situations qu’on appelle épreuve,
lorsqu’on les regarde avec du recul nous montrent que nous sommes guidés en tout
temps afin de révéler le meilleur de nous-même au travers de l’acceptation de
nos faiblesses, nos ‘ombres’, ‘nos erreurs’, l’acceptation de ce paradoxe entre
l’humain et le divin.
Si nous regardons nos faiblesses avec compassion on
va voir que la vie nous prête un corps afin d’expérimenter l’amour dans la
chair, dans un véhicule permettant de vibrer cette énergie de façon simultanée
à travers tous nos corps subtils.
Mais notre perception des choses est
étroitement liée à la façon dont nous nous considérons, à notre vécu et les
conclusions que nous en avons tiré par lesquelles nous filtrons tout.
Si on pense que la vie est injuste, si nous sommes
manipulés par les autres ou si nous en avons l’impression, c’est parce qu’on rejette
des aspects internes. On pourra croire qu’on est un cobaye, un objet, parce qu’on
porte un regard négatif sur l’aspect instinctif et animal intérieur. On juge
ses pulsions comme étant inférieures parce qu’on est identifiés à nos blessures
parce qu’on est divisé intérieurement. Quand on vit des traumas liés à la
sexualité, ça fausse totalement notre regard sur nous-même et on va tout faire
pour nier cette énergie, pour la refouler ou encore l’exacerber en faire un objet de commerce, de séduction, de domination.
L’excès est toujours l’expression d’une distorsion interne
d’une vision tronquée de la réalité. Même
sans avoir vécu un trauma, nous portons génétiquement la mémoire des excès et
abus dans ce domaine.
Les conditionnements religieux, sociétaux, familiaux sont
construits sur l’idée du pêcher originel, de la nécessité de dompter la nature,
la chair, mais en faisant cela, on se coupe de notre essence originelle et créatrice.
La nature est un exemple de lâcher prise, de spontanéité, d’authenticité et
nous portons cela en nous, au même titre que les animaux. Si nous cherchons à
contrôler nos émotions, nos pulsions, nous amplifions la division interne et le
sentiment d’être manipulé de l’intérieur et par les autres.
En ce sens, le lâcher prise et l’acceptation sans
conditions de qui nous sommes en totalité, nous place sur une vibration de
transparence, d’humilité et de gratitude. Dans cet état d’être, la vie apparait
beaucoup plus douce, juste et facile. La résonance va attirer des objets, des
êtres et des situations qui en seront le reflet et on pourra se regarder en
profondeur sans craindre de se perdre ou de trouver un monstre.
Concernant la
sensation de perte, d’abandon et de trahison que la seule idée de perdre Féliz
a suscité, elle m’a permis de libérer des énergies cristallisées depuis
longtemps, de casser le réflexe de rejet, de déni et rien que cela me place
dans une vibration d’ouverture, de paix, de gratitude et de puissance. La force de l’imagination,
de l’intention, des émotions, du désir d’unité et de paix ont été révélées avec
intensité et ça m’amène à pouvoir utiliser avec plus de convictions, ses outils
de création que sont le mental émotionnel. Sans oublier qu’une intention révèle
tout ce qui s’y oppose et va faire ressurgir les conditionnements, les pensées
émotions en conséquence.
Pour cette raison, à mon sens fixer l’objectif de
vivre dans la paix, l’harmonie et l’équilibre enclenche toute une série de
réactions internes qui seront appréhendées avec plus de clarté, de détachement. Même s'il faut un certain temps pour y voir clair...
"En ce jour de votre vie, je crois que Dieu souhaite
que vous sachiez …
que tout ce que vous avez à faire c’est de savoir où vous allez.
Les réponses viendront à vous d’elles-mêmes.
que tout ce que vous avez à faire c’est de savoir où vous allez.
Les réponses viendront à vous d’elles-mêmes.
Earl Nightingale a dit cela et il avait raison.
Pointez
votre viseur et allez-y maintenant. N’attendez pas que les
« conditions soient bonnes » ou que vous ayez économisé
tout l’argent nécessaire ou que quoi que ce soit dont
vous pensez avoir besoin, arrive au final. Définissez
votre cible maintenant.
votre viseur et allez-y maintenant. N’attendez pas que les
« conditions soient bonnes » ou que vous ayez économisé
tout l’argent nécessaire ou que quoi que ce soit dont
vous pensez avoir besoin, arrive au final. Définissez
votre cible maintenant.
C’est la définition de la cible qui crée le
résultat.
La vie procède selon vos intentions.
La vie procède selon vos intentions.
Avec tout mon amour, votre ami …
Neale
Neale
Je
n’en suis pas encore à me fixer des objectifs de réalisation matérielle puisque
je sais que tout commence dans les mondes subtils, que l’état d’être détermine
la qualité de ce que nous attirons. C’est surtout la confiance en soi et en la
vie qu’il me faut encore cultiver. La maitrise émotionnelle qui équivaut à la maitrise des énergies et détermine la vibration...
Et c’est par des situations comme celle de
ces derniers jours que je peux apprendre à connaitre et à maitriser les
énergies.
J’ai pu affiner mes perceptions et en reconnaissant la valeur de mon
intuition, augmenter la confiance en soi, en ma propre guidance.
Puis surtout
constater comment les émotions peuvent embrouiller la vision parce qu’on projette
alors nos propres croyances.
On le fait constamment mais quand on vient en son cœur,
en clarifiant la vision, en la rendant neutre, on va pouvoir agir en conscience
et plus par automatisme.
On sera dans la projection de notre vibration qui
depuis le cœur est alignée à l’amour, dans l’action consciente, en relation
avec nos valeurs essentielles.
Dans l’action juste vis-à-vis de soi et de toute
vie parce que depuis l’espace serein du cœur on reconnait que tout est issu et
partie intégrante de la même source.
Et ça ne sont pas seulement de belles
paroles, c’est quelque chose qu’on peut vérifier par les lois de résonance, l’effet
miroir et la sensation d’unité intérieure. Bon, je ressasse encore…c’est le
signe que quelque chose en moi cherche à se manifester et rencontre de la
résistance…ou s’oppose à l’amour. Mais je ne vais pas me questionner, fouiller dans le passé, juste affirmer l'unité, la paix et l'harmonie intérieures.
A propos des émotions qui sont comme un gps
nous indiquant notre état d’être intérieur dans l’instant, l’écoute de cet
entretien m’a rappelé l’essentiel, la base de la créativité. J’aime bien
écouter ses émissions parce que c’est plutôt neutre comme point de vue même si
les personnes interviewées sont convaincues, sures de leur vision et
positionnement. La discussion amène à expliciter certains points et le son n'est pas agressif. Une façon de baigner dans les nouvelles énergies...
« Abraham parle » Tome II.. dépasser les
peurs pour aller vers la Joie
Ajoutée
le 4 déc. 2015
Émission radiophonique "au delà du miroir
" :
Entretien du 20 novembre 2015 avec Michka Seeliger-Chatelain, traductrice et éditrice du livre de Jerry & Esther Hicks:
http://www.mamaeditions.net/
Entretien du 20 novembre 2015 avec Michka Seeliger-Chatelain, traductrice et éditrice du livre de Jerry & Esther Hicks:
http://www.mamaeditions.net/
Et bien les mouvements internes continuent et je vais aller me connecter à la terre au jardin, profiter du soleil, nourrir la joie d'être ici et maintenant. Les sifflements intérieurs, les vertiges et la sensation de flotter, d'être ailleurs, seront dissipés par l'action alignée....
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter
l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr