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samedi 2 avril 2016

« Lâcher les pensées émotions du rôle de victime et focaliser l'attention sur ce que l'on veut vivre » & dessin animé (lien)






Ce matin, je me suis réveillé dans le même état d’esprit qu’hier soir, dans la colère, les idées noires en voyant le ciel encore chargé de nuages dus aux épandages aériens. 
Je n’en peux puis plus de ne pas voir le soleil depuis des jours. La colère envers mon âme s’est aussi exprimée parce que je suis partie de ma région natale à cause entre autre du temps pourri et je me retrouve ici, avec les mêmes circonstances extérieures. 

Je sais pourtant que les pensées émotions sur lesquelles on se focalise définissent l’état d’être mais d’un autre côté, feindre, tricher, contenir ses pensées n’est pas du tout une solution non plus. 
Alors je vide mon sac, laisse tout sortir sans chercher à contenir ou à adopter une attitude fayotte vis-à-vis de l’âme.

Je sais au fond qu’elle me parle tout le temps mais dans ces moments là, je suis imperméable à ces clins d’œil, aux synchronicités. 
C’est aussi dans ces situations que je peux mesurer la force des pensées et l’amplification du mal-être par le phénomène de résonance qui attire des pensées similaires. Et peut-être même des entités mais je n’entre pas dans cette voie qui de toute façon est non seulement aléatoire mais en plus ça nourrit l’idée d’impuissance, de victime.

jeudi 31 mars 2016

« Apprivoiser son univers, reconnaitre la valeur des corps, leur langage et leurs rôles »





Comme c’est bon de retrouver la santé ! Même si je suis encore dans la phase de toux grasse et comme c’est la dernière étape, je me réjouis d’avoir passé ce gros rhum en adulte responsable plutôt qu’en victime qui subit. 
Et ça change tout quand on considère son corps physique comme un allié, quand on lui fait confiance, quand on reconnait l’intelligence des cellules, leur capacité de régénération, quand on s’observe avec neutralité. 

Si j’enlève tous les jugements, les peurs, les critiques lorsque je regarde ma vie, je me dis qu’il doit m’aimer très fort ce corps physique pour être encore en vie aujourd’hui malgré toute la violence que je lui ai infligée, qu’il a une conscience paternelle et maternelle, et que cet associé, ce partenaire de vie est d’une fidélité, d’une loyauté incomparable.

Maintenant que je sais qu’il n’est pas seulement constitué de chair et de sang, et même cela est sacré, puissant, divin, qu’il est un ensemble complexe très sophistiqué dont la perfection se situe dans sa composition divine et l’harmonisation qui le régit, je porte un regard émerveillé sur ce que j’ai rejeté auparavant. Le seul fait d’écrire cela remplit mon ventre d’une douce chaleur et comme je sais qu’il est intelligent, comme je sais qu’il communique sans cesse avec mon esprit, mon mental et mon âme, je suis heureuse de l’habiter et de favoriser le nettoyage interne en libérant les énergies cristallisées par les croyances invalidantes basées sur la peur et la division.

jeudi 24 mars 2016

« En quelques respirations profondes l’ordre divin est rétablit »






On peut dire que ça décape en ce moment. L’effet de la lumière montre tout ce que nous portons intérieurement, par transparence et par effet miroir, par les évènements qui catalysent la somme des pensées émotions énergies liées à l’instinct de survie. 

Notre mental, notre inconscient et notre âme travaillent de concert afin que nous puissions détecter les mécanismes réflexes intérieurs pour pouvoir y porter un regard neutre et rempli de compassion vis à vis de ces aspects instinctifs, réflexes. Et ça se réalise de jour comme de nuit dans les rêves.

La puissance de l’amour est immense et on en a tous fait l’expérience, on voit à quel point la vie peut nous paraitre belle, remplie de promesse quand on est amoureux. 
La constitution de l’humain est formidable et notre potentiel est immense mais pour qu’on puisse l’utiliser pour notre accomplissement, il faut le connaitre. 

Les rêves sont des créations de l’association, des corps subtils, inconscient, subconscient qui permettent de vider le corps émotionnel lorsqu’avec le mental ils reçoivent des infos choquantes ou traumatisantes. Ils gèrent la charge émotionnelle de nos peurs, de nos fantasmes, en projetant sur l’écran du mental, des scènes qui en permettent l’évacuation au niveau énergétique afin d’éviter une explosion due à la surcharge. 

Le mental est un récepteur et un projecteur d’information capable d’analyser, de projeter, de visualiser, d’anticiper, à partir des sensations, des émotions qu’il va décoder selon  les croyances, les préférences et les conditionnements de l’individu.

samedi 12 mars 2016

« Paix, équilibre, harmonie » & vidéos d'éveil







Il semble que je ne sois pas la seule à devoir réfléchir à la question de l’amour inconditionnel puisque cette pensée de Neale Donald Walsch (plus bas) vient faire écho à mes interrogations du moment. Et même cette nuit, j’ai encore été face à mes comportements injustes. 
Trouver l’équilibre, le juste milieu, entre don et réception, savoir se faire passer en premier, poser des limites, tout ceci demande à être observé de près. 
J’ai été réveillée à 3h du matin par des douleurs au ventre dues à un coup de froid. 
Le chat pour lequel j’ai un amour intense, me met à l’épreuve une fois de plus et me pousse à trouve la justesse. Je n’ai pas osé le pousser alors qu’il s’est couché en plein milieu du lit hier soir. Ce n’est pas la première fois que ça arrive mais comme en plus il est affaiblit par son infection, j’ai pensé que je devais le laisser se reposer au détriment de mon propre confort. J’ai donc passé la moitié de la nuit tordue avec une bouillotte et la chaleur m’a fait instinctivement me découvrir. Et bien évidemment comme il fait à peine 12° dans la chambre, j’ai été réveillée par le froid et des crampes à l’estomac. 
J’ai dû aller aux toilettes et là, le message était clair. Déjà parce que j’étais mal dans ma peau et le front glacé indiquait un peu de fièvre et parce que littéralement ça voulait dire que la situation me faisait c… j’ai donc soulevé le chat pour le mettre au pied du lit et j’ai gardé les genoux pliés, allongée sur le dos, pour l’empêcher de revenir au milieu. 
Il a insisté comme pour me tester, comme pour voir jusqu’où allait ma soumission.

mercredi 13 janvier 2016

« L’empathie nourrit tant celui qui donne que celui qui reçoit »






Ce matin, je sens de la tristesse, de la compassion pour mon âme lorsque je lis certains messages qui la situent comme un aspect de l’être de moindre importance, appelé à s’effacer, un intermédiaire entre la personnalité et le soi. 
Certainement que le fait qu’on emploie le masculin et le féminin pour les qualifier, les différencier, ajoute à ce sentiment. 
J’ai bien du mal à déterminer si mon point de vue est faussé par la victime intérieure et la position de la femme dans la société parce que même si beaucoup de progrès ont été faits en matière de droits, on est encore dans un système patriarcal. 
Ou si ça vient de ma vision des choses qui veut que la hiérarchie soit un leurre, une invention humaine relative au besoin de pouvoir, de dominance.
Pas clair tout ça ! Du coup, je n’arrive pas à écrire aussi facilement que d’habitude. 
Dans un sens, ça n’est pas si mal parce que je ne sens pas de résistances et l’envie de recevoir une réponse de l’intérieur, de ne pas cogiter mais de me fier à ce que je ressens plutôt qu’à ce que je lis, est une façon de se faire confiance. 

On est forcément influencé par les infos qu’on trouve en dehors de soi et c’est d’ailleurs l’intérêt de se tourner vers les autres, d’échanger puisqu’on s’enrichit dans le dialogue, le partage, mais on peut aussi adopter des croyances qu’on ne sent pas, simplement parce que ce qui est dit vient de quelqu’un qui affiche des connaissances avec un certain aplomb. 

mardi 12 janvier 2016

« Revenir à l’essenciel » & vidéos de soins et d’éveil





Je suis debout depuis quatre heures et c’est le signe qu’il y a du remue ménage à l’intérieur, que des mises à jour s’effectuent. La soirée d’hier a été un temps de libération émotionnelle et la façon dont ça s’est déroulé, les synchronicités, l’élan de l’instant qui m’a porté juste où je devais aller pour trouver un soutien, élever ma vibration et surtout rassurer le mental, a fortifié ma foi en mon être, ma guidance et la puissance de l’acceptation. 
Lâcher prise, c’est vraiment ce qui permet de recevoir le soutien, la guidance de l’être et de grandir dans la maitrise.

Il reste encore un  peu de culpabilité quand je m’énerve contre la vie qui me ressert les mêmes scenarii qui sont en fait des miroirs de ce que je vis intérieurement et des outils de confirmation du processus de libération intérieur qui mène à la maitrise émotionnelle quand la situation s’équilibre. La culpabilité libérée, l’amour circule alors parfaitement à l’intérieur et je vois les choses autrement.

Je viens de faire ma connexion à la terre, à la source, à mes corps, comme chaque matin, sur le trône. C’est hautement symbolique puisque déjà le nom de « trône » est relatif à la souveraineté de l’être puis c’est la première création du jour dans la matière qui témoigne de la bienveillance de la vie, de la terre mère qui prend soin des besoins du corps physique.

lundi 4 janvier 2016

« Quand on fait les choses avec la conscience du cœur, le banal, le quotidien est sublimé ».






Comme je ne sens pas de fatigue, je ne suis pas retournée me coucher. Le voyage de cette nuit a dû être instructif et j’ai le sentiment que des portes sont en train de s’ouvrir. 
Les jeux de rôles du "Triangle de Karpman" sont des outils de connaissance qui permettent de comprendre les valeurs de l’amour, les notions essentielles relatives au vivre ensemble, être en relation avec soi et avec les autres. 
A travers les archétypes, les rôles, qui confèrent tout un système de pensée, on va pouvoir comprendre dans la chair, à tous les niveaux de l’être, les valeurs de l’un, de la source. 
Ce sont des hypothèses, des contextes de connaissance et la terre qui fonctionne dans l’harmonie, l’harmonie dans la différence, la diversité, offre beaucoup d’opportunité dans la compréhension des valeurs de la source. 

On va pouvoir cultiver la paix qui est nécessaire à l’équilibre, à l’harmonie. 
L’équilibre qui devra aussi être étudié, reconnu en soi à travers la dualité, le contraste qu’il créé. Et surtout, la diversité de ce qui constitue un humain doté de plusieurs corps subtils qui vont pouvoir se révéler à l’individu dans ce chemin, cette quête de paix intérieure. 

Pour que cette paix devienne la quête existentielle, l'objectif  principal, l’individu sera plongé dans le chaos, les turbulences du monde mental émotionnel. 
Les animaux qui sont dotés d’une conscience n’ont pas un corps mental du moins ils ne l’ont pas développé au point de s’identifier à ce seul aspect de l’être. 

mercredi 16 décembre 2015

« La peur harmonisée à l’amour, nous affranchit, nous rend lucides et libres »





Être soi, sans tricher, sans se contraindre, sans forcer, sans culpabiliser, douter, juger, critiquer, sans se demander si ce qu’on fait est juste, si ce qu’on pense est vrai, si ce que l’on sent vient du mental ou du cœur, se laisser vivre, Être vrai et ainsi se découvrir dans toute sa splendeur, son unicité. 
Sentir sa reliance à la Vie au tout, sentir que nous sommes la Vie elle-même, sans limites ni restrictions. 
Sommes nous si peu confiants que nous avons peur de manifester autre chose que l’amour, la tendresse, la paix et la bienveillance, qui sont les éléments constitutifs de tout être ? 

Tout est crée selon le modèle parfait de la Source, tout en est l’expression, l’extension, la manifestation et c’est quand on se fait confiance, quand on s’accepte tel que nous sommes et osons le manifester dans la vie de tous les jours que nous trouvons cette perfection, cette danse harmonieuse de la conscience en mouvement, qui est toute chose. 
Ce qui voile notre vision, ce sont nos croyances, nos peurs et les masques de protection qui ne font que nous couper de la vie, de son mouvement fluide.

Les animaux savent cela non pas par l’intellect mais par leur état d’être, leur nature intrinsèque reliée à la source, à l’âme de la Terre, à la conscience vivante. 
Je me sens poussée à rendre hommage à ces êtres d’amour et de lumière qui par leur transparence, leur authenticité naturelle, nous enseignent l’essentiel.

lundi 23 novembre 2015

« Croire en soi... »




Trois petits mots qu’on peut mettre toute une vie à comprendre, à intégrer véritablement. Nous avons l’habitude depuis l’enfance, de nous fier à notre raison qui correspond à la vision de notre famille et à l’état de la société, qui convient d'ailleurs à la majorité des adultes qui nous éduquent. 
Alors on se laisse convaincre par les autres puis on s’approprie leurs croyances, on se laisse définir par notre entourage, on cherche à fonctionner comme tout le monde pour se sentir aimé, validé, accepté, pour ne pas se sentir seul isolé, séparé des autres et de la vie telle qu’on nous l’enseigne.
Mais, on a aussi un cœur et plus il est ouvert, plus on peut « entendre » ce qu’il nous murmure. Puis à côté de nos croyances ou parfois entre mêlées, il y a nos convictions intimes, des valeurs personnelles que nous conservons ou osons affirmer et vivre. 
Mais nous manquons souvent de confiance pour oser les vivre complètement parce que ça nous isole et ça, même adulte, ça n'est pas facile à vivre.
Le langage du cœur n’est pas issu de notre mental bien qu'il puisse s'exprimer à travers lui sous forme d'idées fortes, intensément ancrées. Il est plus souvent de l’ordre du ressenti, de la sensation, de l’impression vague mais profonde, intense et difficile à mettre en mot puisqu'il ne vient pas d'un raisonnement logique. L'ego ou mental finira par en comprendre le sens et pourra l'interpréter après avoir validé l'idée par l'expérience mais même là, ses limites, son conditionnement, peuvent prêter à confusion et rendre l'interprétation des faits très aléatoires.

lundi 6 juillet 2015

« Une vision nouvelle amène à découvrir un monde nouveau »





Toujours depuis mon écoute du livre audio d’Esther et Jerry Hicks, "La loi d'attraction" une chose essentielle et évidente dont je n’avais pas vraiment pris conscience avant, apparait maintenant de façon claire. 
Il a fallu quelques situations, rencontres, pour que je vérifie une fois de plus la validité de la loi d’attraction qui stipule: "ce qui se ressemble s’attire", pour que je trouve une clef indispensable et applicable afin d’intégrer la loi de permissivité sans laquelle la création consciente, délibérée, ne peut aboutir aux résultats souhaités. 

On nous parle souvent dans les messages spirituels, les articles diffusés sur les sites qui abordent l’éveil des consciences, tout comme dans les écrits religieux, que nous sommes Un, que tous sont issus de l'amour lumière et que l’amour inconditionnel et la clef de la réalisation personnelle. Ce qui permet de prendre conscience de l’obsolescence de l’idée de séparation tant avec la source qu’avec les autres. 

C’est ce que je vis depuis un certain temps par les expériences d’ouverture de cœur et de conscience et la connaissance intuitive de l’âme, la foi, mais arriver à voir l’amour et la lumière en chacun m’était impossible. Du moins, ça venait de façon ponctuelle. 

Évidemment lorsque je suis alignée à l’amour en moi, je peux le savoir intuitivement, le ressentir, mais j’ai tellement pris l’habitude d’agir selon l’ego, en considérant les autres au travers des connaissances humaines et selon les blessures, l’instinct de survie, que je n’arrivais pas à maintenir cette vision. 

mercredi 24 juin 2015

« Nous ne sommes pas sur terre pour nous taire, nous cacher mais pour ÊTRE ».






Ce matin, j’ai la pêche ! Mon attention s’est portée sur une vidéo de qui parle de l’enfant intérieur et du coup j’ai envie d’en parler à mon tour histoire de clarifier les choses pour moi-même et pour ceux qui sont en résonance.
Une première chose évidente pour moi c’est que l’enfant intérieur est le porteur fidèle des énergies de l’âme, il est le vivant, l’aspect intérieur pur, innocent, celui qui veut être sur terre, qui sait pourquoi il est là

Il ne juge pas ce qui est mais embrasse la vie en totalité
Il sait dire ce qu’il pense, exprimer ses émotions, vit pleinement le moment présent et pour cette raison demeure connecté à la source en permanence. 

On parle souvent qu’il nous faut le guérir mais je pense de plus en plus, que ça n’est pas tout à fait la réalité. 
Il nous faut seulement l’écouter, le laisser exprimer sa vérité, celle de nos aspirations profondes, de nos rêves, qui sont les mêmes que ceux de notre âme, mais aussi la vérité de nos blessures, des croyances, des émotions bloquées. 

Lorsqu’on est enfant, on confie dans le coffre au trésor que représente l’inconscient, tout ce que la conscience ne sait pas (ou ne veut pas) gérer. Cet inconscient est connecté à l’âme puisque rien n’est séparé en soi. Il porte en lui le programme de croissance et celui de survie. Les deux servent la personnalité, la vie que nous sommes.

mardi 23 juin 2015

« Même si nous réfléchissons différemment la lumière, nous la recevons et l’émanons tous ».





Ce matin la fraicheur me permet de passer du temps devant l’ordinateur et j’ai pu résoudre un conflit interne suscité par la réception d’un mail venant d’un site où j’ai téléchargé des photos gratuitement. Ils utilisent les mails des personnes qui s’inscrivent pour les contacter afin de vendre des photos. 
A la première lecture, comme c’est écrit en anglais et que mes connaissances son limitées, j’ai pu sentir la peur et la culpabilité. Puis en relisant, après avoir calmé mon monde intérieur, je me suis dit que je me faisais un film, que la peur me faisait croire qu’ils avaient vu que je publiais des photos de leur site et que ce mail était un avant goût de futures poursuites judiciaires. 
Je l’ai ouvert quantité de fois ce mail et à chaque fois, je lâchais les pensées émotions qui venaient. Malgré tout, je n’étais pas tranquille et je ne trouvais pas les mots justes pour y répondre puisqu’ils me demandent pourquoi j’ai téléchargé les photos proposées gratuitement sur leur site. 
Je ne sais pas mentir, je ne veux pas m’enfermer dans la prison des faux semblants puisque ça n'est pas ma nature véritable ni ma personnalité. Même si le fait d’être sincère m’a fait prendre des claques, enfin une fois littéralement, l’intégrité est ma force, elle me guide. 
Le vécu de l’inceste m’a apporté cela; je ne supporte pas les secrets, les mystères, les masques et l’hypocrisie. C’est pour cette raison que j’ai préféré me coller le masque de la dépendance aux cachets plutôt que de jouer un rôle défini par la société, de mère, d’épouse, de copine de, d'employée...j’ai toujours refusé de porter une étiquette. 
Je ne dis pas non plus qu’être mariée, mère ou en couple est systématiquement vécu dans l’inconscience mais comme la majorité des gens ne se connait pas vraiment, c’est très souvent bancal, ça manque de transparence et de vérité. 
Je n’incrimine personne non plus puisque c’est impossible d’être pleinement et constamment conscient.

jeudi 18 juin 2015

« Deux voies s’offrent à nous, celle de l’identification à l’ego, aux pensées émotions ou celle de la conscience de l’être »





Ce matin, je me sens portée par le flux de la vie. Je sens enfin que j’avance, que chaque jour m’ouvre un peu plus sur la vérité de ce que je suis ; l’amour et la lumière, la liberté d’être, la joie de vivre, d’être, d’agir, d’incarner mon essence fondamentale, la simple joie d’être vivante ! 
Le message de Saint Germain canalisé par Agnès Bos Masseron, j’aurai pu l’écrire tellement il résonne et résume parfaitement l’essentiel. 
J’ai toujours senti beaucoup d’affinités avec cet être enfin disons plutôt ses messages et la façon de les délivrer. L’énergie qui s’en dégage me touche particulièrement, au-delà de tout concept, croyances, étiquette qu’on colle aux « maitres ascensionnés », aux entités qui délivrent des infos aux humains. 
Je les considère comme des énergies, de la lumière, de l’amour, qui vient jusqu’à nous afin de nous ouvrir le cœur, les yeux, raviver notre mémoire. 

Il est naturel que le mental essaie de comprendre les choses, les phénomènes mais sa perception et son mode de compréhension sont très limités tant qu’on ne le reconnait pas pour ce qu’il est : un simple outil de perception. Et encore, le mot outil n’est pas vraiment approprié puisqu’il induit la notion de ‘chose’ mais je l’utilise dans le sens de potentiel et surtout afin de mettre en avant l’idée que cet aspect pensant n’est qu’une infime part de ce que nous sommes. Il est vrai que je me suis toujours identifiée à lui, que j’ai toujours considéré qu’il était le centre de mon être mais comme je me fiais à l’amour pour agir, il s’en trouvait expansé, élargit. 

mercredi 10 juin 2015

La liberté vient quand on cesse de résister à ce qui est, la paix en découle et on voit les choses de façon optimiste, malgré les apparences.






J’ai commencé la journée par mon rituel sacré sur le trône, ma connexion à la terre pour la remercier de me nourrir, de me porter, me donner un toit, un corps, puis j’ai demandé à mon âme de me dire si elle est masculine ou féminine, enfin s’il y a ; l’âme et la conscience. La réponse des plus simples a calmé les questionnements.
"L’âme ou l’esprit, peu importe, est une énergie qui est partout, en tous tes corps elle s’exprime à travers eux selon leur nature mais elle œuvre derrière et en tout ce que tu es. Derrière tes pensées émotions en tant qu’observateur, présence infinie et éternelle". 

Le mental exprime ce que le corps ressent, il essaie de traduire cette énergie qui est en soi et reliée au feu de la terre que certains appellent Kundalini; l’énergie du désir, de création, l’énergie sexuelle, la force de procréation qui permet de matérialiser les désirs dans cette dimension à travers le corps physique, par les pensées, les émotions, les actions. 

L’impulsion de la vie circule en chacun de nos corps par les chakras et va se diffuser dans les cellules, dans tout le corps via les circuits, sanguin, nerveux, lymphatique, les neurones, les hormones…Le feu de l’esprit est l’énergie vitale de la source dans son aspect vivifiant, transmutant tout comme le feu de la terre qui a aussi cette capacité à recycler, à brûler, transformer, créer. 
"Simplifie les choses, il y a l’impermanent, les pensées, les émotions et même le corps physique qui change au fil du temps et la présence, cette énergie lumineuse, bienveillante et infinie qui s’infiltre au travers de tout ton être. Plus tu vas focaliser ton attention sur elle, sur la paix, plus ton champs d’action s’élargira. Ça n’est que lorsque tu crois tes pensées limitantes, lorsque tu crois être tes émotions ou ton corps physique seulement, que tu perds la notion de qui tu es, de l’éternité qui vibre en toi.

jeudi 4 juin 2015

« C’est le moment d’agir »






Après la journée d’hier complètement folle, j’ai pris la décision de reprendre ma vie en main, d’habiter vraiment mon corps, sans tenir compte des cachets, sans m’attarder sur cela et d’être dans l’action. J'ai encore été baladée des hauteurs de la joie aux profondeurs des énergies qui avaient besoin d'être libérée, puis finalement à la paix.
Maintenant que je sais qui je suis, ce qui me constitue et que le dialogue est établit avec les multiples aspects de l’être, je veux vivre ma vie dans la réalité, le concret, je choisi de m’incarner pleinement et de faire tout mon possible pour y parvenir. 

Le temps de l’introspection n’est pas terminé mais j’ai décidé qu’il ne devait plus être la priorité parce que ça mène très souvent à l’immobilisme or l’énergie est mouvement et ce genre de posture créé des frustrations qu’il faudra ensuite gérer en plus de la culpabilité et du sentiment d’échec. 
Revisiter le passé ne veut pas dire de s’y complaire, de s’y attacher mais juste d’accepter les faits afin de pouvoir se dire, « on fait quoi maintenant » ? Il est juste question de ne pas se fermer à ce qui se présente et de laisser passer ce qui ne nous sert plus.

Le passé est ce qu’il est, je peux changer mon regard sur ce que j’ai vécu mais les faits sont ce qu’ils sont. Je note la puissance de vie de l’enfant que j’étais qui portait en lui tout le potentiel créatif, la faculté d’adaptation et que ceci venait de sa capacité à habiter le moment présent. Il partait dans les moments où la protection était nécessaire, dans les mondes invisibles de la pensée. 
Cet enfant est encore en moi et en accueillant ce qui se manifeste dans l’instant, je libère tout le poids du passé ne laissant plus que l’amour entre, ce que je fus et ce que je suis.

lundi 1 juin 2015

« Grosse fatigue…bonne détente »






Ce matin, je me sens toute bizarre, j’ai dormi longtemps comme hier et je n’arrive pas à être présente. Il y a tant de bouleversements physiques et émotionnels que je ne sais plus trop où j’habite mais ça ne m’angoisse pas. 
Le mental continue de cogiter à propos de tout et de rien et je me dis qu’il est temps de le questionner, de remplir les feuilles téléchargées hier sur le site de Byron Katie. 
Mon intérêt accru pour son travail fait ressortir des peurs et des questions à propos du sens même de la vie. 
Comme si tout ceci était une immense farce et que je m’accroche à mon passé pour exister, comme si sans lui tout allait s'écrouler. 
La peur de n’être rien m’empêche de franchir le pas. 
La peur d’oser tout lâcher, les préjugés, les croyances. 
Une part de moi n’en peut plus de vivre à moitié et l’autre s’accroche à ce qui ressemble de plus en plus au film, "un jour sans fin". 
Je l’ai regardé hier soir, pour une fois, je ne suis autorisée à être ‘passive’, enfin si on peut dire parce que ça soulève aussi des questions. Je me rends compte que cette façon de cogiter semble donner un sens à ma vie, une façon de passer le temps, enfin de le rendre ‘intéressant’. Le hic, c’est que je ne vis pas dans la réalité, je ne fais pas grand-chose, je vis une vie entre deux états d’être. Deux identités, voire trois. Il y a Lydia du passé, Lydia du présent et Lydia du futur qui sont toutes aussi immatérielles les unes que les autres.  Comme si je n’arrivais toujours pas à m’incarner complètement, comme si je flottais sans arrêt entre ses lignes du temps. Les nuits depuis deux jours, sont longues et je me réveille plus fatiguée que lorsque je dors moins.

vendredi 29 mai 2015

« Les changements de fréquences, c’est le processus naturel de libération, d'ajustement, de guérison, de renaissance »






Ce matin, c’est l’émerveillement total, je vis une extraordinaire métamorphose ! 
Et j’ai constaté que je ne suis pas la seule ! Beaucoup de mes amis sur face de bouc, vivent aussi cette renaissance magnifique. Et pourtant, mon corps qui est en pleine mutation présente quelques symptômes et douleurs mais comme je ne me focalise pas dessus, comme je sais que c’est normal bien qu’exceptionnel, il n’y a pas de souffrance.

Les vidéos de Byron Katie ont un impact magique sur mon être ! Chacune d’elle m’aide à prendre conscience de ce qui me limite, me bloque, m’empêche de mordre la vie à pleine dents, d’être totalement épanouie. C’est une renaissance jusque dans la chair !

Considérer son corps physique, les aspects de soi, depuis le cœur, en étant dans l’acceptation totale de ce qui est, permet d’en percevoir toute la beauté, la lumière et de sentir que nous sommes vraiment l’amour, que cette énergie est notre essence, notre structure de base et qu’elle nous anime, qu’elle a toujours été là, attendant juste d’être délogée de sa cachette, de ses voiles que forment nos croyances.
Libérer ces pensées qui nous font voir la vie comme un boulet, une torture, est le cadeau de la vie pour soi-même ; la révélation de l’être !

jeudi 28 mai 2015

« La vie enseigne au quotidien dans les choses simples et naturelles; il suffit d'observer, d'être ouvert, pour en percevoir la résonance… »






Tout va très, très vite et les synchronicités se succèdent offrant l'occasion de revisiter le passé. Je viens de m’adresser à la jeune fille que j’étais au moment où j’ai fait ma première tentative de suicide qui m’a amenée à choisir d'être libre, indépendante affectivement et de suivre mon cœur. 
Je venais de vivre mon premier drame amoureux et bien que je ne me souvienne plus trop de la conversation qui avait déclenché mon désespoir et m’avait fait prendre des cachets et boire du whisky jusqu’à m’évanouir, enfin jusqu’à me réveiller dans un hôpital aux urgences, je n'étais pas si affectée que ça. 
Je fini par me demander si la consolation que j’émets maintenant n'est pas ce que je ressentais à l'époque, ce sentiment que tout est "correct", un genre de sérénité intérieure, une assurance que tout va s'arranger...?
J’avais déjà absorbé des temesta ou du valium (qu’on avait trouvé dans des boites, dans les poubelles de l’immeuble avec une gamine qui devait avoir 10 ans, et qu’on avait gobé avec une pomme, en se disant que c’était des bonbons !) vers l’âge de trois ans et fini aussi à l’hosto mais je l’ai fait sans trop savoir que je prenais des risques, bien que je soupçonne que ce geste ait été guidé par une profonde désillusion générale et un évènement dont j’ai quelques vagues souvenirs. Les problèmes avec mon père me semble remonter à cette époque (j’ai mémorisé des images d’un ami à lui, il faudra que je l’interroge à ce sujet) et ma grande déception au niveau de l’école aussi puisque j’ai une image très nette de moi, assise dans la classe de maternelle et une phrase qui m’a marquée ; « c’est ça qu’on nous enseigne ? » 
Le sentiment de déception était très fort, comme si j'espérais apprendre autre chose. Déjà à l'époque, des questions existentielles se posaient et elles ont constitué le fil rouge de mon chemin, ce qui m'a permis de m'accrocher à la vie malgré tout.

mardi 19 mai 2015

« S’abandonner à l’Amour de la Mère Divine et se laisser guider par sa grâce, vers le Père Divin » & vidéo Isabelle Padovani






Ce matin, je retrouve un peu de paix et donc de clarté. La journée d’hier a été éprouvante et mitigée comme très souvent lorsqu’on veut réaliser, ou plutôt, prendre conscience de l’unité en soi, par l’acceptation de ce qui bouscule à l’intérieur et à l’extérieur. 
Les deux sont intimement liés et en cela, on peut reconnaitre les lois universelles d’attraction, de résonance et surtout la puissance de l’Amour, de notre être tout entier. 
Je l’écris avec un ‘A’ majuscule pour le ‘distinguer’ de l’amour conditionné, limité que chacun vit sur la planète. 
A quelques rares exceptions, nous avons une vision rétrécie de l’amour et lorsque cette vision s’élargit, dans des moments de lucidité extrême et trop succincts, à mon goût, on peut en percevoir toute l’ampleur, la magie, le merveilleux. 
N’en déplaise à certains, les superlatifs, bien qu’ils fassent pâle figure à côté de la Vérité de l’Amour inconditionnel, sont de rigueur même si je l’admets, ils peuvent nourrir des fantasmes et dévier de la réalité. Parce que cet amour est loin de se rencontrer dans la facilité tant qu’on y résiste!
Nous sommes tellement habitués et conditionnés à vivre dans la peur, selon l’instinct de survie, l’incrédulité et l’ignorance que la sensation d’être séparé de la Source, du tout, et complètement insignifiants, se heurte à notre intuition qui nous dit pourtant que nous venons de ‘loin’ et de sphères extrêmement ‘lumineuses’ (dans le sens de dualité transcendée, ombre et lumière unifiées), divines et amoureuses.

mercredi 20 août 2014

"C'est quand on se laisse porter par la vague, que les surprises se manifestent! Alors patience!"



auteur de la photo non cité


Ce matin, la pluie m’a bercée jusqu’à 8 heures ! L’orage gronde mais comme d’habitude, ça ne m’effraie pas. Au contraire, c’est un bon moyen de décompresser, de libérer des énergies telles que la colère ! Très souvent c’est envers soi-même qu’on a ce genre d’émotions même si d’autres la suscite.
J’en suis encore à me pardonner ce que je n’appelle plus "erreur" mais "expérience" et ça change tout. Les émotions de basse vibration sont carrément toxiques et apprendre à les laisser être en soi puis à les libérer permet d’être en bonne santé mentale et physique. On évite ainsi de ressasser et de sombrer dans une spirale descendante.
J’ai finalement reporté mon périple. Je ne sais pas encore quand j’irais chercher  les chats qui me manquent. Je me suis acharnée sur le siège arrière pour essayer de l’abaisser mais rien n’y a fait. J’ai pu constater combien j’étais à fleur de peau et comme mon "compagnon d’hier" m’a proposé de me reposer, j’ai accepté. Il m’a fallu lâcher la peur d’être abusée pour cesser de me demander pourquoi il insistait tant pour que je ne vienne pas ce lundi. C’est le problème quand on est avec quelqu’un qui n’exprime pas son ressenti, et qu'on porte la blessure de trahison, on a vite fait de cogiter, de se poser des questions, de douter...