mardi 12 janvier 2016

« Revenir à l’essenciel » & vidéos de soins et d’éveil





Je suis debout depuis quatre heures et c’est le signe qu’il y a du remue ménage à l’intérieur, que des mises à jour s’effectuent. La soirée d’hier a été un temps de libération émotionnelle et la façon dont ça s’est déroulé, les synchronicités, l’élan de l’instant qui m’a porté juste où je devais aller pour trouver un soutien, élever ma vibration et surtout rassurer le mental, a fortifié ma foi en mon être, ma guidance et la puissance de l’acceptation. 
Lâcher prise, c’est vraiment ce qui permet de recevoir le soutien, la guidance de l’être et de grandir dans la maitrise.

Il reste encore un  peu de culpabilité quand je m’énerve contre la vie qui me ressert les mêmes scenarii qui sont en fait des miroirs de ce que je vis intérieurement et des outils de confirmation du processus de libération intérieur qui mène à la maitrise émotionnelle quand la situation s’équilibre. La culpabilité libérée, l’amour circule alors parfaitement à l’intérieur et je vois les choses autrement.

Je viens de faire ma connexion à la terre, à la source, à mes corps, comme chaque matin, sur le trône. C’est hautement symbolique puisque déjà le nom de « trône » est relatif à la souveraineté de l’être puis c’est la première création du jour dans la matière qui témoigne de la bienveillance de la vie, de la terre mère qui prend soin des besoins du corps physique.

Une façon aussi de vérifier la fluidité énergétique par l’absence de blocage, dans  l’élimination des déchets.
Tout ce qui existe dans le monde matériel est la prolongation de ce qui est dans les mondes subtils puis le fait de ne pas être mal à l’aise avec ses fonctions vitales du corps physique témoigne aussi de l’acceptation de cette incarnation, des conditions de vie et la reconnaissance de la dualité en tant qu’outil de révélation, d’apprentissage, qui conduit à la maitrise énergétique. 
Cette capacité à confier à la source tout ce qui en soi n’est pas l’amour; les jugements, les peurs, les doutes, les émotions exacerbés, conforte la foi, la confiance en sa propre guidance et en son être véritable.

Comment je pourrais amplifier la foi, libérer les croyances obsolètes et développer la connexion à la source, la confiance envers tout ce que je suis, oser mettre en avant les dons et talents, si je n’avais pas l’occasion de faire des choix ? 
Le seul choix qui permette de s'élever au-delà de la vision duelle et limitée du mental, se positionner en son cœur, en son corps physique, dans l'espace neutre et paisible de l'être.

Quand le poêle a recommencé à sentir la fumée, je me suis énervée et les pensées de peurs, de doute se sont succédé à une vitesse folle. Mais au lieu de prendre un bout de cachet, je me suis centrée. 
La paix et la confiance sont revenus peu à peu et le poêle a arrêté de puer. 
J’étais dégoûtée parce que j’avais pris soin de démonter la plaque pour retirer les résidus avant de l’allumer mais dès que le tuyau a chauffé, j’entendais que ça dégringolait ! 
Comme le bois que j’utilise n’est pas assez sec, ça créé beaucoup de dépôt alors je mets les bûches sur le poêle quand il est bien chaud pour faciliter la combustion mais ça ne sèche pas jusqu’au cœur et ça fait quand même des résidus.

Cette situation est très symbolique puisque ça me montre que la maitrise des pensées émotions n’est jamais définitivement acquise, la peur sera toujours présente mais c’est en lâchant prise, que la confiance en la source s’ancrera de plus en plus.  
Le feu est la puissance qui illustre aussi celle de la transmutation et je sens bien que c’est une peur primitive qui est éveillée. Une peur instinctive, animale qui vient du système de survie et que certains attribuent à des vies antérieures, des vies galactiques même.

Je ne vais pas dans ce sens parce que la vie sur terre est déjà bien complexe et savoir que nous avons eu des vies d’assassin, de manipulateurs, de bourreaux ne peut qu’amener de la culpabilité, de l’auto-critique et maintenir dans les basses fréquences. 
La théorie selon laquelle des aliens ont manipulé les humains me semble issue du mental humain, du système cérébral qui est régit par l’instinct de survie, le cerveau reptilien et le cerveau limbique qui traitent les émotions.
Je vois mal comment un dieu omniscient et omnipotent pourrait se laisser berner par des extra-terrestres belliqueux !
Si la vie d’un être remonte à des éons, je pense que tout est voulu par la source puisque de toute façon on ne peut pas apprendre par force, devenir sage sans être libre de choisir dans des situations données.
C’est certainement pour ça que je n’avais pas regardé cette vibraconférence de Sophie Riehl qui date de juillet 2015 puisqu’elle commence par expliquer la façon dont des êtres ont manipulé les âmes, les retenant enfermées dans le monde astral. 




Je suis convaincue que ce monde est le fruit des pensées émotions humaines et qu’il est soumis à la dualité conflictuelle exactement comme sur la planète. Le concept d’âme semble aussi être traduit par le mental humain qui conçoit tout selon ce qu’il voit sur ce monde et qui apparait comme divisé. Il a donc sa correspondance dans le monde astral, le monde des égrégores. L’humain imagine que le divin est scindé en plusieurs parties, une masculine et l’autre féminine, une divine l'autre humaine et ça correspond à l’idée de séparation. Plus on est dans l'unité intérieure et plus tout ceci apparait comme un tout complexe mais imbriqué façon poupée russes. Et encore ça ne décrit pas vraiment la réalité puisqu'il n' a vraiment pas de séparation, c'est fluide, énergétique.

De tous temps, des êtres ont pu accéder à leur divinité en étant dans la paix et l’unité intérieures et l’opposition dont parle beaucoup de gens peut seulement venir du fait que les humains n’étaient pas prêts à accepter de lâcher le jugement, le mental, la comparaison ni à faire face à la mort, au vide.
Les chamans ont accédés aux mondes des égrégores nourrissant l’idée de bien et de mal, d’ombre et de lumière, par l’usage de produits hallucinogènes qui ouvrent le troisième œil. Mais cette vision dépourvue d’amour, de neutralité, une forme de lucidité froide, n’a rien à voir avec la vision du cœur.

Enfin c’est mon ressenti et mon expérience puisque j’ai eu l’occasion d’avoir des visions, de sortir de mon corps en utilisant des produits hallucinogènes. 
Se voir flotter dans l’espace au-dessus de son corps n’a pas été une expérience enrichissante, ça m’a plutôt donné la sensation que cette vie n’a pas de sens, ne vaut pas la peine d’être vécue. Idem pour le fait de me sentir reliée à la nature, aux arbres, à un rat qui était mon animal de compagnie de l’époque, quand j’avais ingurgité de la psilocybine, ne m’a pas donné l’envie d’embrasser les humains.
Au contraire, je me sentais encore plus éloignée des hommes et proche de la nature mais la sensation n’était pas agréable. 
Par contre quand j’ai senti l’amour à l’intérieur au moment où j’ai cru en Jésus Christ, la sensation a été puissante et mon regard sur la vie, sur les humains et le monde était vraiment amoureux. Je sentais une fraternité au niveau de l’humain tout autant qu’au niveau de l’âme ou de la conscience.
D’un autre côté, ces expériences ont ouvert ma conscience sur les mondes subtils, favorisant la recherche existentielle qui m’a amenée à rencontrer le christ.

De ce point de vue, je peux voir que tout a un sens, une raison d’être et que notre façon de juger, de voir les choses en bien et en mal, nous limite considérablement. 
Par comparaison, j’ai pu choisir de me connecter aux mondes subtils par le cœur. 
Cette connexion guérit, élargit la conscience, amplifie la confiance et permet d’aimer sans conditions, par ce regard neutre, objectif des êtres.

Malgré le blocage sur la théorie des méchants aliens dans la vibraconférence de Sophie Reil, comme j’ai confiance en elle, en ce qu’elle dit en général et en particulier à propos de la nécessité de contacter son monde intérieur, l’enfant en soi et la source, je me suis laissée guider par l’inspiration qui m’invitait à surmonter mes à priori. 

Il est clair que nous avançons tous à tâtons dans la reconnaissance de soi, du divin et des mondes subtils. Ce qui compte, c’est d’apprendre à écouter son ressenti et de savoir qu’on n’aura jamais fini d’apprendre, de connaitre ; Et accepter le fait que les croyances sont souvent illusoires, elles sont des guides, des supports visant à nous faire prendre conscience de l’illusion de ce monde, à reprendre notre pouvoir de penser, d'être, de choisir, graduellement.
En chemin, on lâche les peurs qui les nourrissent et ce faisant on devient plus mature et confiant. 
Il est clair qu’au niveau de la loi d’attraction et de résonance, c’est le divin en nous qui agit. Nous sommes conscient seulement quelque rares fois, de ce qui se vit en nous et de nos pensées. 
Le divin agit au travers de notre inconscient révélant ce qui s’oppose à l’amour lumière et nous donnant l’occasion de lâcher cela afin d’être de plus en plus à l’aise avec nous-même. Cet inconscient qui régit aussi la vie en nous à travers les fonctions vitales.

Je mets quand même cette vibraconférence qui contient aussi une méditation de soin angélique. Je ne doute pas de l’effet des fréquences, des couleurs, parce que ça me parle depuis toujours mais malgré tout, à chaque fois que je fais ces méditations, je m’endors. 
Je suppose que c’est le mental qui résiste et je sens que ça m’est tout de même bénéfique parce que j’ai senti mon taux vibratoire s’élever. 
Et en plus, j'avais une forte douleur au cœur, la sensation d’un coup de poignard et une autre moins violente au bras gauche et une dernière intense à l’épaule gauche, qui grandissaient à mesure que je m’agaçais avec le poêle, que je ressassais et râlait contre la vie, qui ont complètement disparu quand je me suis réveillée de cette méditation. 

« Soin Collectif de Guérison par la Vibration Angélique » par Sophie Riehl 




Je peux difficilement nier l’efficacité du processus, l’intervention des énergies de guérison, des anges. Ces mondes invisibles qui sont aussi en nous, m’attirent tout autant que je les crains. Il reste encore des croyances à lâcher à ce niveau là parce que je sens que ça m'empêche de reconnaitre le soutien des guides, de recevoir ce soutien en conscience. C'est aussi ce qui bloque l'abondance financière puisque l'argent, c'est de l'énergie. 
Je devrais plutôt dire que ça m'empêche de reconnaitre combien je suis "bénie" et de prendre confiance en mes capacités de canaliser. Capacités que tout le monde a puisque nous sommes essentiellement des êtres constitués d'énergies. 
Ça manque encore d'assurance tout ça et surtout de lâcher prise parce que c’est inconcevable pour l’intellect bien que les preuves s’accumulent.

La compréhension mentale est très limitée et souvent le cœur me dit que c’est juste alors que le mental est largué. C’est le cas avec les messages de Miriadan la plupart du temps. Mais ça n’est pas un problème parce que je n’insiste pas, je ne cherche pas à savoir si c’est vrai sachant que le but n’est pas ici, il est plus dans le fait d’apprendre à reconnaitre la vibration du cœur en soi, l’effet résonance et à s’y fier.

Bon je suis censée remplir le dossier CMU mais je bloque encore. Pourtant il s’agit juste de remplir quatre feuilles ! Je pense que ça me renvoie à ce que je considère encore inconsciemment comme problématique ; la dépendance aux cachets, le fait d’être assistée alors que j’ai tellement envie de liberté, d’indépendance financière !

Tant que je ne fais pas la paix entre ces deux pensées énergies, tant que je ne laisse pas l’amour les relier, les harmoniser, je vais tourner en rond dans mon bocal !
En réécoutant cette métaclef de Jérôme Matanaël, je me suis calée définitivement, enfin pour la soirée, sur la fréquence de la confiance aveugle en ce que je suis fondamentalement, essentiellement. 
« Signes & SaintChronicités » Métaclef de Jérôme Mantanël, enseignements des guides spirituels.



Je ne vais pas non plus me forcer à remplir les cases du formulaire avec cette énergie duelle, je vais plutôt amener tout ça au cœur…
Je suis encore bien speed malgré que je sois levée depuis 4 heures ! 
Ça demande aussi a être accueilli dans le cœur parce que c’est le signe qu’une stratégie d’évitement est en place et qu’elle cache une peur, un déséquilibre…

J’ai senti encore de la tristesse en fin d’après midi, avant l’épisode du poêle et en voyant que David Bowie était décédé, j’ai compris que j’avais dû capter l’info intuitivement parce que j’ai pleuré. J'ai été étonné parce même si j’aime bien la plupart des morceaux qu’il a créés je ne l'ai jamais l’idolâtré. Je n’ai jamais eu ce genre d’attitude et j’ai d’ailleurs du mal à comprendre qu’on puisse à ce point être fanatique.
Je pense que ce qui me fait mal dans son départ, c’est parce qu’il incarnait la liberté, l’audace d’être soi, différent des autres à bien des égards. 

J’envisage encore inconsciemment la mort comme un échec, une forme de punition alors qu’il me semble plus juste de penser que la conscience choisit de quitter ce monde.
Encore une peur, une croyance à lâcher, j’ai de quoi m’occuper, enfin me centrer !
Ça bouscule encore pas mal à l’extérieur et à l’intérieur ! 
Pas étonnant, je n’ai pris qu’un bout de cachet et là encore, comme hier soir j’ai pu m’en passer, je suis tentée de lâcher le truc mais ça serait encore agir à l’envers. 
Comme l’idée de proposer un accompagnement revient en force, le mental se dit qu’il faut lâcher cette addiction pour être crédible mais il n’a pas la solution sinon, ça ferait longtemps que le geste ne serait plus.

Je peux voir que le processus de libération d’une addiction se réalise par la confiance en l’amour en soi et par le fait de focaliser son attention sur le cœur plutôt que de croire le mental. J’ai arrêté de fumer de l’herbe de cette façon, sans forcer, c’est venu naturellement, l’envie a disparu sans que ma volonté n’intervienne.
C’est venu du désir d’amplifier l’amour en moi, le lâcher prise, l’acceptation de cette tendance à vouloir fuir, tendance légitime pour certains aspects internes.

Alors en accueillant les personnages, pensées émotions énergies de peur, de jugement, d’auto critique, de rejet de soi, de dévalorisation, en les offrant à l’amour lumière intérieurs, la vibration va changer et tout se place naturellement dans l’ordre.

La confiance en soi ne peut pas venir des actes pas plus que l’amour inconditionnel. 
Il n’y a pas à mériter l’amour mais juste à le sentir, à cesser de nourrir les croyances invalidantes pour qu’il se révèle de lui-même. 
Si c’est par les actes que l’amour se gagnait, par le mental que l’intelligence se développait, ça remettrait en question l’existence de l’essence primordiale en chaque être, la justice et l’équité.
Bon, assez parlé, il est temps de passer à l’action, pas en bougeant mais en se posant en de confiant tout ça à la source, dans la paix du cœur.

L’expérience d’hier a été bénéfique puisque je suis de plus en plus convaincue de la puissance de l’amour intérieur, du soutien et de la présence de la source, des guides et c’est le but de toutes ces situations qu’on appelle épreuves.
La notion de guides et d’anges est encore pervertie par l’inconscient collectif et certains messages canalisés n’arrangent rien à l’affaire. Vous aurez peut-être remarqué que je publie principalement des messages reçus en channeling, qui sont donnés par des êtres qui ne nourrissent pas la dualité et la plupart sont des groupes.
Il n y’ a pas de hasard, selon notre point de focalisation, on se tourne et on entre en résonance avec des énergies, des fréquences similaires.

Puis en repensant au poêle, au tuyau qui se bouche régulièrement à cause du bois vert, ça illustre bien le fait que je sois novice en matière de maitrise mentale émotionnelle énergétique. Le tuyau symbolise le canal intérieur, celui par où passe l’énergie de vie, la puissance de la terre et du ciel, obstrué par les résidus des croyances encore portées par l’enfant en moi. Tant celui qui porte les blessures que le mental qui est un enfant par rapport à la source père mère.
La pensée du jour de Neale Donald Walsch vient encore comme un clin d’œil de la source. À ce propos, j’ai la nette impression que ce qui m’empêche d’accéder directement à la conscience divine bien que j’ai pu avoir confirmation de sa présence de sorte que je ne doute pas de son existence, et puis chaque fois que je sens la paix, l’unité intérieure, ça me le confirme, ce sont encore des peurs.
Les intermédiaires, les guides et les anges ont une fréquence plus supportable pour l’humain, la personnalité qui se sentirait anéantie par la puissance de la source. Leurs fréquences correspondent aux corps subtils comme l’explique Sophie Riehl.
Cette vibration d’amour est si forte qu’à chaque fois que je l’ai sentie, je me suis effrayée et suis revenue à mon corps physique.
Il est bon de contacter les plans intermédiaires pour ne pas être déconnecté de la réalité de ce monde parce que c’est ici et maintenant que nous sommes et que nous pouvons agir sur la matière. 




En ce sens l’ancrage simultané à la terre et au ciel, depuis l’espace du cœur, le centre de l’être est indispensable. Décidément si avec toutes ces pensées je n'ai pas compris que c'était le moment de se centrer...
Bon, vue l’heure, je crois que je vais reporter ma sortie à demain puisque si ça bloque, ça n’est pas la peine d’insister puis je ne veux plus faire les choses dans la peur, la contrainte. Ça ne remet pas non plus en cause ma capacité à agir, à être responsable de l’aspect matériel des choses c’est plutôt une question de priorité puisque la vibration prévaut et précède tout action. 

Là encore se faire confiance, faire confiance à son ressenti, aux envies du moment, c’est une façon de nourrir l’amour en soi. Je vais plutôt prendre le temps de me doucher en me relaxant et en appelant les énergies dorées à participer au nettoyage. 
Le corps physique est chamboulé quand on vit des moments de libération et les soins, l’attention qu’on lui accorde, sont une façon de montrer son amour et de l’accompagner dans cette renaissance, cette régénération cellulaire continuelle.

En ce jour de votre vie, je crois que Dieu souhaite que vous sachiez …
que tous les problèmes auxquels vous faites face aujourd’hui vont
s’en aller sauf si vous vous inquiétez qu’ils restent.
Les problèmes aiment l’inquiétude. L’inquiétude est un aimant
pour eux. Si vous lâchez prise, vos préoccupations courantes ne
feront plus partie de votre vie en moins de temps qu’il n’en faut.
Si vous vous en inquiétez suffisamment, cependant, vous pouvez
être sûr qu’ils vont rester dans les parages. Alors, faites de
votre mieux à ce sujet, et remettez-vous en à Dieu. Ok ?
Avec tout mon amour, votre ami …
Neale


Il y a encore un truc qui m’agace concernant l’aide que je peux proposer parce que ça ressemble beaucoup à ce que fait Sophie Riehl. Quand je confie ça à la source, l’idée que chacun est unique, revient en force et me donne le courage d’aller de l’avant. 
Je sais que la comparaison est un mode de fonctionnement du mental qui ne nourrit pas l’amour en soi parce que cette stratégie amplifie le rejet de soi, les frustrations, la jalousie et ça me ramène encore à l’idée que la valeur d’un individu  ne se situe pas dans ce qu’il fait mais dans ce qu'il est essentiellement puis globalement. 
C'est toujours la même chose qui est à faire, développer l'écoute intérieure, le silence mental, enfin le détachement des pensées.
Cette fois-ci, c'est l'heure d'aller se reposer!

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr