lundi 11 janvier 2016

« L’harmonie intérieure, nécessaire au bien-être, est un phénomène naturel à simplement constater » & vidéo Lise Bourbeau






La nuit a été entrecoupée de cinq réveils pour aller aux toilettes et j’avais des vertiges à chaque fois. Je suis convaincue d’avoir vécu un nettoyage en profondeur étalé sur 24 heures, pour plusieurs raisons. 
Déjà parce que lorsqu’on écoute son corps, lorsqu’on s’observe, lorsqu’on lui parle, on développe la confiance en cette intelligence magnifique du corps humain par le fait de le reconnaitre, de reconnaitre sa valeur, de tisser des liens d’amour qui amplifient la capacité de ressentir et l’intuition ou la sagesse innée. 
Désirer vivre dans l’harmonie intérieure et pour cela être dans l’acceptation totale de tout ce que nous sommes, permet à l’amour lumière, à notre essence primordiale de se manifester et de réaliser son œuvre alchimique de transformation, de révolution intérieure.

Les fonctions du corps physique, telle que l’élimination, concernent aussi les corps subtils, la mémoire cellulaire, tout est interdépendant, connecté et lorsqu’on n’arrive pas à éliminer, c’est le signe que quelque chose bloque, psychologiquement, inconsciemment et énergétiquement.
Quand on le constate et qu’on observe les pensées émotions que l’on porte dans ces périodes, on va voir qu’elles nourrissent des peurs, des illusions des croyances négatives à propos de soi. 
Et, si on ne les rejette pas, si on les reconnait et les offre à la source intérieure même sans savoir d’où elles viennent précisément, les corps sont alors allégés à plusieurs niveaux, jusque dans le corps physique qui pourra évacuer naturellement et facilement.


J’étais aussi constipée hier et comme je sais maintenant sans aucun doute que c’est l’expression de blocages au niveau subtil, je n’ai pas insisté ou forcé. 
Quand on a du mal à digérer quelque chose au niveau de l'estomac, ça veut dire que des croyances négatives sont en action, qu'on éprouve des regrets, du ressentiment, qu'on a du mal à accepte quelque chose.
J’ai continué d’accueillir ce qui se manifestait dans l’instant, sans juger, sans commenter, en étant convaincue que c’est toujours pour aller vers plus de liberté, de paix, de conscience et d’amour.

C’est la vibraconférence de Lulumineuse qui a éveillé des peurs et blocages internes mais aussi une profusion de projections mentales au sujet de l’indépendance financière. 
J’aurais pu nier ces troubles internes et nourrir la dévalorisation de soi, le rejet, en comparant ce que je vis actuellement, où j’en suis à ce niveau là et où je voudrais être rendue puisque je commence à reconnaitre certaines qualités en moi.

Ce genre de comparaison se traduit souvent par le sentiment d’infériorité vis-à-vis de ceux qui sont à l’aise avec l’argent, l’indépendance financière. Puis ça peut entrainer de la jalousie, de l’envie et nous amener à porter un regard encore plus négatif sur ce qu’on pense être des faiblesses, des erreurs de parcours, des échecs…

Tout ce que nous vivons a un sens et nous mène à l’autonomie dans tous les domaines afin de devenir souverain de notre monde intime, en confiant sa gérance à notre être divin intérieur qui va rendre la personnalité mature par toutes ces expériences qui ont pour but d'amener à nourrir l’amour vrai de soi, la conscience de qui nous sommes en vérité et en totalité.

Même les moments où on envoie tout balader, où on ne veut plus entendre parler de la foi, de l’amour, sont des expériences nécessaires à notre développement. 
C’est le même phénomène qui se passe quand on coupe le cordon ombilical parce qu’on apprend à se faire confiance, à faire confiance à notre personnalité, notre intuition, à affirmer nos valeurs. 
Puis on va découvrir aussi que sans l’amour lumière intérieur, nous sommes limités, en carence, qu’il nous manque quelque chose d’essentiel. 
Et tout naturellement on reviendra vers notre cœur, notre être, avec plus d’assurance, de volonté de s’abandonner en toute confiance. 

Parce que dans ces moments où on peut aller jusqu’à s’en prendre à dieu, à la vie, à l’amour, on va constater qu’on n’est pas exclu, rejeté, qu’on est toujours en vie et pas si malheureux finalement.
On va ainsi comprendre à quel point le divin nous aime, on va lâcher les peurs et les croyances à propos de dieu, que les églises on abondamment nourri pour nous couper de cet amour lumière en nous et nous faire croire qu’il était extérieur à nous-même, qu’il nous fallait le craindre et mériter son amour.  

La source est omnisciente, elle sait que la sagesse ne s’acquiert pas à coup de bâtons ou d’obligations et c’est pour cette raison que l’humanité existe depuis si longtemps dans la dualité afin de se connaitre, de se reconnaitre et par ce fait, acquérir plus de maturité, de sagesse, d’expérience, d’intelligence. 
Elle est omniprésente parce que c’est notre essence originelle, primordiale. 
On ne peut donc pas en être séparé, à aucun moment

On peut le nier, l’ignorer et en ce cas, ce sont les expériences de la vie reflétant nos croyances qui pourront nous amener à cette intériorisation, cette reconnaissance.
Il nous faudra connaitre l’amour à l’extérieur pour en saisir une parcelle de vérité et surtout sentir que cette énergie est vitale qu’elle est notre quête incessante, en chacun de nos gestes. Le fait de croire que nous manquons d’amour nous poussera à le chercher et à le trouver. 




Lorsqu’on tombe amoureux, on pense savoir ce qu’est l’amour véritable parce qu’on ressent beaucoup d’émotions, de passion, alors on s’imagine que c’est ça l’amour, qu’il faut qu’il nous bouleverse et que plus il le fait plus il est intense, véritable, pur. 
On va même jusqu'à penser que si ça fait mal c'est qu'on est vraiment amoureux. 
Que si on est jaloux, ça veut dire qu'on tient vraiment à l'autre. 
Oui, c'est sût on y tient mais on a surtout peur de le perdre, on veut qu'il nous appartienne exclusivement!

Plus je me connecte à mon cœur, lui confiant ce qui me trouble, le laissant gérer, harmoniser mes pensées-émotions-énergies et plus je constate qu’il est synonyme de paix, de douceur, de tendresse, mais aussi de puissance, de désir de créer, d’agir, d’aller vers l’autre, d’accomplir ses rêves, de s’affirmer, de se respecter en totalité.

L’amour entre deux personnes du même sexe et de sexe opposé, parcours tous les corps et révèle les peurs, les croyances, les énergies bloquées en chacun d’eux. 
L’effet coup de foudre vient de là, du fait que tout est exacerbé sous l’effet de la lumière. La lumière ou conscience qui révèle nos peurs, nos croyances, nos illusions.

Lorsque les croyances illusoires à propos de l’amour qui est vécu de façon conditionnel la plupart du temps, sont mises en lumière, on va être jaloux, on aura peur de perdre l’être aimé, on voudra le retenir par tous les moyens. Pour cette raison, beaucoup de femmes même encore maintenant, s’arrangent pour faire un enfant à celui qu’elles veulent garder auprès d’elle, afin de s’assurer sa présence au moins pour vingt ans, le temps que l’enfant devienne majeur.  
Ces croyances en un amour conditionné, passionné, viennent du manque d’amour vrai de soi et enclenchent des stratégies guerrières de séduction ou la femme et l’homme vont tout faire pour plaire à l’autre.
Chacun développera des compétences et sera dans la séduction, la lutte interne, la manipulation pour ne pas perdre cette relation et en faire une interdépendance. 
On affichera ses « meilleurs côtés » pour mettre en avant ses atouts comme dans un jeu de cartes où l’autre deviendra finalement un adversaire.

Il n’est pas étonnant que beaucoup de couples divorces et se déchirent pour obtenir la garde des enfants, qui sont depuis le début le ciment de la relation homme femme avec tout ce que ça entraine de chantage affectif, de perversion, de manipulations, de projections, de frustrations et de possessivité, jalousies, peurs…

Pour en revenir au principe d’élimination physique fortement lié aux libérations de croyances basées sur la peur, la dévalorisation, plutôt que de bloquer sur les peurs que l’écoute de la vibraconférence suscitait, j’ai accueilli ce qui montait en moi et j’ai suivi comme toujours l’élan de l’instant, l’intuition pour gérer les choses. 
Je n’ai donc pas fini d’écouter cette vibra qui mettait en évidence le manque de confiance en soi et en même temps me disait comme toujours que c’est cela qu’il me fallait gagner. 
Je n’ai pas laissé le mental élaborer de nouvelles stratégies pour parvenir à augmenter la confiance en soi parce que je sais que sa vision est limitée et faussée. Et que toute stratégie n’aboutit pas au résultat escompté.

J’ai maintenant compris l’ordre divin dans le sens où il faut d’abord écouter son ressenti, son intuition et prendre le temps de confier à son cœur, ses pensées émotions opposées à l’amour, pour être en mesure de recevoir la guidance, l’intuition, la réponse, enfin une partie

C’est en ce sens, plutôt l’écoute qu’il me faut développer, cette réceptivité qui amplifie la confiance en la bienveillance de la source par le contact systématique avec l’essence amour lumière intérieure. 
C’est ce retour au cœur qui fortifie la reliance, reliance qui est l’amour et qui élargit la conscience, la connaissance juste.
En même temps, cette capacité d'écoute, d'accueil, de réceptivité, ouvre les vannes de l'abondance, de la libre circulation énergétique qui très souvent est obstruée par la difficulté à recevoir elle-même issue du rejet de soi, du sentiment d'indignité.

Savoir s’écouter, tant les pensées émotions que l’intuition, les signes physiques, reconnaitre les synchronicités, sans porter de jugement mais en laissant la sagesse, l’intelligence du cœur nous révéler le sens profond des choses, est une façon d’intégrer la vibration d’amour lumière qui favorise l’harmonie intérieure. 

Et c’est cette harmonie qui va donner la confiance en soi véritable où plus rien n’est perçu comme un obstacle un ennemi, mais comme un moyen de grandir en amour et en sagesse.

Donc en laissant la source harmoniser les pensées de doute de soi, les pensées stratégiques, les projections à propos de comment mettre en place les moyens pour accéder à l’autonomie financière, j’ai choisi d’observer le processus de libération et d’intégration. 
Je sais que tout se fait naturellement, sans forcer, dans la fluidité, la facilité, l’évidence, lorsqu’on est sur la fréquence d’amour et de lumière qui demande juste de calmer le mental, de faire la paix avec tous les aspects de l’être.
Parce que tous ces aspects sont précieux, ils contiennent les clefs de l’accomplissement qui ne demandent qu’à se révéler dans l’accueil et à s’harmoniser à l’amour pour se mettre au service de la réalisation de l’ensemble. 




Le mental établit des plans, projette selon ses connaissances, son expérience, mais il n’a pas une vision suffisamment large pour prendre en compte les multiples facteurs intervenant dans le processus de cocréation. 
Nous commençons à peine à intégrer, à accepter cette idée que nous sommes cocréateurs de notre vie. 
Et en plus il est facile de constater que c’est surtout notre inconscient, notre subconscient, qui tirent les ficelles à l’image du processus de croissance d’une graine.
Dans un esprit duel qui considère les choses en bien et mal, l’inconscient est considéré comme un ennemi voire même un diable, une force obscure mais quand on envisage les choses depuis le cœur, à travers son regard, on sait que tout est sacré, divin, guidé par la source et que l’inconscient et le subconscient nourrissent la croissance, la vie, même si dans ce processus, la mort, la destruction interviennent.

Pour changer fondamentalement il est nécessaire que la mort fasse son œuvre, que les croyances soient dissoutes, absorbées dans l’amour et la lumière pour qu’elles soient transformées.

La graine qu’on sème en terre en sachant qu’elle donnera telle ou telle plante, illustre précisément le processus de création délibérée où le mental n’intervient que dans la reconnaissance du type, de l’espèce de la graine et le choix de planter celle-ci particulièrement. 
Tout le reste se passe sous terre, est confié aux forces de la nature qui sait harmoniser les éléments nécessaires à la croissance de la plante, le soleil sont partenaire, incite la plante à se dresser vers le ciel et ensembles ils cocréent cette croissance dans le juste équilibre des forces cosmotelluriques.  

Les principes qui régissent le vivant sont extrêmement complexes et complets. 
Les éléments intervenants dans ce processus sont variés et dépassent l’entendement humain même si la science révèle peu à peu ses découvertes.

Lorsque j’ai écouté Lulumineuse, l’ado en moi c’est sentie en parfaite résonance parce qu’à cet âge là, j’étais très audacieuse et confiante en mes capacités, je suivais sans complexe, sans jugement, le désir du moment et la liberté, la recherche de plaisir étaient mes guides. Je ne craignais pas d’agir à contre sens du monde et c’est même le fait d’innover, de créer quelque chose d’inédit, d’avant-gardiste, qui me motivait à agir. 
Mais en même temps, le sentiment d’échec, les regrets, la tristesse, la sensation de ne pas avoir pu ou su réaliser l’indépendance financière, se sont manifesté et le mental a essayé de trouver des solutions pour y arriver.
J’étais traversée par toutes ces pensées émotions et idées qui fusaient de toutes parts mais plutôt que de suivre ces idées ou de rejeter les pensées émotions "négatives", j’ai tout confié à la source. 
De la même façon, en reconnaissant tout ça, sans y ajouter des jugements, des commentaires ou si c’était le cas, en le reconnaissant aussi, bref, j’ai tout extériorisé puis je suis passée à autre chose, confiante dans ce processus alchimique souterrain.

La paix intérieure qui ne m’a pas quittée témoignait que tout ce travail interne était en cours. Je n’ai réfréné aucun envie et suivi l’élan de l’instant sans me poser de questions. 

J’ai suivi l’intuition, le désir du moment pour savoir quoi manger confiante dans l’intelligence du corps physique qui sait précisément ce dont il a besoin pour maintenir l’harmonie intérieure. 
J’ai fini la soirée avec deux assiettes de soupe de poireaux pomme de terre qui est très bien pour nettoyer les reins et un ramequin de mousse au chocolat juste parce que j’en avait envie et parce que je sentais que l’enfant intérieur avait besoin de consolation, d’éprouver du plaisir. Le chocolat contient du magnésium qui est un antidépresseur naturel. 

L’élan m’a portée sur une vidéo de Lise Bourbeau que j’avais déjà vue et partagée je crois. J’ai reconnu en cette envie, l’inspiration, la guidance de la source intérieure et suis allée me coucher en paix et confiante. 
« Guérir ses blessures » Lise Bourbeau



Malgré que je me sois relevée cinq fois dans la nuit, je me rendormais de suite et ne me prenais pas la tête à propos des vertiges ressentis à chaque fois. C’était intense mais je n’ai pas été effrayée supposant que ça fait partie du travail nocturne qui se réalise dans les interactions entre les corps subtils multidimensionnels. 
Le réveil a été toujours aussi enthousiaste que depuis déjà quelques temps et la joie d’être ici et maintenant sans cesse renouvelée dans cet accueil de tout ce qui se manifeste en soi, me porte et guide mes pensées et mes gestes.

Je me laisse enfin vivre et c’est vraiment jouissif parce que contrairement à ce qu’on pourrait supposer, je suis beaucoup plus efficace et active dans ces conditions que si j’essaie de contrôler, de planifier mon temps.   
En même temps, pour pouvoir faire confiance à son intuition, il faut prendre le risque de se planter mais quand on comprend que tout est fait pour qu’on grandisse en conscience et qu’on cultive l’amour en soi, la capacité de se relier, d’aimer, l’idée même d’échec n’a plus de sens négatif.

Je dois m’occuper du dossier CMU à remplir mais je ne me colle pas de pression. J’ai mis les papiers en vue pour ne pas oublier et je me laisse guider par l’élan, la joie qui m’amènera à m’en occuper au  moment opportun.

Reconnaitre, accepter sans lutter et offrir à la source, possède un grand pouvoir de sagesse et d’amour simplement parce que le point de focalisation est au centre de l’être qui donne un point de vue global des choses.

J’ai commencé à écouter une conférence de Quentin Disneur mais au bout de dix minutes, j’ai lâché parce que j’avais l’impression d’entendre une compilation des livres qu’il affichait juste derrière lui. J’ai même laissé un commentaire que j’ai retiré au bout d’une demi-heure après m’être dit que rien ni personne ne m’obligeait à y adhérer et ça n’est pas parce que je trouvais que son discours et son attitude manquait de joie, de vie, que je devais le dire au risque de le blesser. 
Son attitude figée peut très bien cacher un manque de confiance en soi et je peux le comprendre puisque je ne suis pas encore capable de montrer mon visage. 
C’est un thème que je considère en ce moment parce que nier n’est pas une solution. 
C’est clair que l’usage des médicaments change mon expression et ça n’est pas en essayant de contrôler cela, en diminuant les doses, que je pourrais m’en libérer.

Je me fie à mon intuition et travaille en amont au niveau des croyances qui nourrissent ce besoin qui même s’il ne veut plus rien dire consciemment puisque je n’ai aucun doute concernant l’amour que je suis et la façon de le laisser émerger, de le cultiver, fait encore sens au niveau inconscient.
Je ne nie pas le fait que c’est un geste compulsif, addictif qui ne sert pas mon évolution selon les critères du mental mais les choses sont beaucoup plus complexes et ça n’est pas en luttant contre cela que j’en sortirais.
C’est au contraire en offrant à la source ce qui continue de nourrir la croyance en cette idée de manque que peu à peu, les nœuds énergétiques et les blocages seront naturellement défaits. 
Déjà en n’étant plus dans la lutte et le conflit intérieur, la paix demeure et me permet de voir au-delà des apparences et conclusions simplistes du mental, ce qui me fait agir inconsciemment de cette façon.

Il y a une des raisons inconscientes qui est liée à l’identification à la souffrance maternelle ; à ce qu’elle a souffert tant par le divorce, la trahison, que le deuil de mon frère qui l’a anéanti fermant son cœur définitivement à l’amour. 
Le fait de me sentir fusionner, en reliance profonde avec ma mère au travers de sa souffrance comme si en plus, le fait de la prendre sur moi allait l’alléger, semble être une stratégie de survie. Une volonté de lui plaire en agissant selon ses critères pour devenir autonome financièrement par un mental qui s’impose en force et tente d’agir par le contrôle, avec des stratégies guerrières.

Bref, c’est plutôt complexe puisqu’il s’agit là de blessures inconscientes transmises de générations en générations, donc inscrites dans la mémoire cellulaire, et comme toujours ça n’est qu’en laissant la source agir, que tout s’harmonise et se lâche peu à peu. 

Il y a aussi une profonde tristesse qui se manifeste intérieurement et ne vient pas de ce que je vis présentement même si elle est déclenchée par des facteurs extérieurs qui la stimulent. J’ai le pressentiment qu’en l’accueillant, en l’embrassant ça permet à la joie de se libérer. 
La joie naturelle que vit tout enfant et que je n’ai jamais pu véritablement extérioriser. 

Mais ça n’est pas un problème puisque cette tristesse porte en elle tout un potentiel de guérison, de résurrection et de réalisation.

Il semble que la première vibration à maintenir en soi, ce soit la paix qui engendre le bien-être et des moments de pure extase pour intégrer et installer la joie.
Et comme tout se révèle dans le contraste des opposés, quand la tristesse et là, c’est que la joie appelle à se manifester. 
Tout comme le sentiment de manquer d’amour témoigne de la présence de cet amour, le truc, c’est de les réunir. 
"Alors bienvenue à toi la Joie, je t’accueille à bras ouverts ainsi que ta compagne la tristesse !"


Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr