La
nuit a été entrecoupée de cinq réveils pour aller aux toilettes et j’avais des
vertiges à chaque fois. Je suis convaincue d’avoir vécu un nettoyage en
profondeur étalé sur 24 heures, pour plusieurs raisons.
Déjà parce que lorsqu’on écoute son corps,
lorsqu’on s’observe, lorsqu’on lui parle, on développe la confiance en cette
intelligence magnifique du corps humain par le fait de le reconnaitre, de
reconnaitre sa valeur, de tisser des liens d’amour qui amplifient la capacité
de ressentir et l’intuition ou la sagesse innée.
Désirer vivre dans l’harmonie
intérieure et pour cela être dans l’acceptation totale de tout ce que nous
sommes, permet à l’amour lumière, à notre essence primordiale de se manifester
et de réaliser son œuvre alchimique de transformation, de révolution
intérieure.
Les
fonctions du corps physique, telle que l’élimination, concernent aussi les
corps subtils, la mémoire cellulaire, tout est interdépendant, connecté et lorsqu’on n’arrive pas à éliminer, c’est
le signe que quelque chose bloque, psychologiquement, inconsciemment et
énergétiquement.
Quand
on le constate et qu’on observe les pensées émotions que l’on porte dans ces
périodes, on va voir qu’elles nourrissent des peurs, des illusions des
croyances négatives à propos de soi.
Et, si on ne les rejette pas, si on les reconnait
et les offre à la source intérieure même sans savoir d’où elles viennent
précisément, les corps sont alors allégés à plusieurs niveaux, jusque dans le
corps physique qui pourra évacuer naturellement et facilement.
J’étais
aussi constipée hier et comme je sais maintenant sans aucun doute que c’est l’expression
de blocages au niveau subtil, je n’ai pas insisté ou forcé.
Quand on a du mal à digérer quelque chose au niveau de l'estomac, ça veut dire que des croyances négatives sont en action, qu'on éprouve des regrets, du ressentiment, qu'on a du mal à accepte quelque chose.
J’ai continué d’accueillir
ce qui se manifestait dans l’instant, sans juger, sans commenter, en étant
convaincue que c’est toujours pour aller vers plus de liberté, de paix, de
conscience et d’amour.
C’est
la vibraconférence de Lulumineuse qui a éveillé des peurs et blocages internes
mais aussi une profusion de projections mentales au sujet de l’indépendance
financière.
J’aurais pu nier ces troubles internes et nourrir la dévalorisation
de soi, le rejet, en comparant ce que je vis actuellement, où j’en suis à ce
niveau là et où je voudrais être rendue puisque je commence à reconnaitre
certaines qualités en moi.
Ce
genre de comparaison se traduit souvent par le sentiment d’infériorité vis-à-vis
de ceux qui sont à l’aise avec l’argent, l’indépendance financière. Puis ça
peut entrainer de la jalousie, de l’envie et nous amener à porter un regard
encore plus négatif sur ce qu’on pense être des faiblesses, des erreurs de
parcours, des échecs…
Tout
ce que nous vivons a un sens et nous mène à l’autonomie dans tous les domaines
afin de devenir souverain de notre monde intime, en confiant sa gérance à notre
être divin intérieur qui va rendre la personnalité mature par toutes ces
expériences qui ont pour but d'amener à nourrir l’amour vrai de soi, la conscience de
qui nous sommes en vérité et en totalité.
Même
les moments où on envoie tout balader, où on ne veut plus entendre parler de la
foi, de l’amour, sont des expériences nécessaires à notre développement.
C’est
le même phénomène qui se passe quand on coupe le cordon ombilical parce qu’on
apprend à se faire confiance, à faire confiance à notre personnalité, notre
intuition, à affirmer nos valeurs.
Puis on va découvrir aussi que sans l’amour
lumière intérieur, nous sommes limités, en carence, qu’il nous manque quelque
chose d’essentiel.
Et tout naturellement on reviendra vers notre cœur, notre
être, avec plus d’assurance, de volonté de s’abandonner en toute confiance.
Parce
que dans ces moments où on peut aller jusqu’à s’en prendre à dieu, à la vie, à l’amour, on va constater qu’on n’est
pas exclu, rejeté, qu’on est toujours en vie et pas si malheureux finalement.
On
va ainsi comprendre à quel point le divin nous aime, on va lâcher les peurs et
les croyances à propos de dieu, que les églises on abondamment nourri pour nous
couper de cet amour lumière en nous et nous faire croire qu’il était extérieur
à nous-même, qu’il nous fallait le craindre et mériter son amour.
La
source est omnisciente, elle sait que la sagesse ne s’acquiert pas à coup de
bâtons ou d’obligations et c’est pour cette raison que l’humanité existe depuis
si longtemps dans la dualité afin de se connaitre, de se reconnaitre et par ce
fait, acquérir plus de maturité, de sagesse, d’expérience, d’intelligence.
Elle
est omniprésente parce que c’est notre essence originelle, primordiale.
On ne
peut donc pas en être séparé, à aucun moment.
On peut le nier, l’ignorer et en
ce cas, ce sont les expériences de la vie reflétant nos croyances qui pourront
nous amener à cette intériorisation, cette reconnaissance.
Il
nous faudra connaitre l’amour à l’extérieur pour en saisir une parcelle de
vérité et surtout sentir que cette énergie est vitale qu’elle est notre quête
incessante, en chacun de nos gestes. Le fait de croire que nous manquons d’amour
nous poussera à le chercher et à le trouver.
Lorsqu’on
tombe amoureux, on pense savoir ce qu’est l’amour véritable parce qu’on ressent
beaucoup d’émotions, de passion, alors on s’imagine que c’est ça l’amour, qu’il
faut qu’il nous bouleverse et que plus il le fait plus il est intense, véritable, pur.
On va même jusqu'à penser que si ça fait mal c'est qu'on est vraiment amoureux.
Que si on est jaloux, ça veut dire qu'on tient vraiment à l'autre.
Oui, c'est sût on y tient mais on a surtout peur de le perdre, on veut qu'il nous appartienne exclusivement!
Plus
je me connecte à mon cœur, lui confiant ce qui me trouble, le laissant gérer,
harmoniser mes pensées-émotions-énergies et plus je constate qu’il est synonyme
de paix, de douceur, de tendresse, mais aussi de puissance, de désir de créer,
d’agir, d’aller vers l’autre, d’accomplir ses rêves, de s’affirmer, de se
respecter en totalité.
L’amour
entre deux personnes du même sexe et de sexe opposé, parcours tous les corps et
révèle les peurs, les croyances, les énergies bloquées en chacun d’eux.
L’effet
coup de foudre vient de là, du fait que tout est exacerbé sous l’effet de la
lumière. La lumière ou conscience qui révèle nos peurs, nos croyances, nos
illusions.
Lorsque
les croyances illusoires à propos de l’amour qui est vécu de façon conditionnel
la plupart du temps, sont mises en lumière, on va être jaloux, on aura peur de
perdre l’être aimé, on voudra le retenir par tous les moyens. Pour cette
raison, beaucoup de femmes même encore maintenant, s’arrangent pour faire un
enfant à celui qu’elles veulent garder auprès d’elle, afin de s’assurer sa
présence au moins pour vingt ans, le temps que l’enfant devienne majeur.
Ces
croyances en un amour conditionné, passionné, viennent du manque d’amour vrai de
soi et enclenchent des stratégies guerrières de séduction ou la femme et l’homme
vont tout faire pour plaire à l’autre.
Chacun
développera des compétences et sera dans la séduction, la lutte interne, la
manipulation pour ne pas perdre cette relation et en faire une interdépendance.
On affichera ses « meilleurs côtés » pour mettre en avant ses atouts
comme dans un jeu de cartes où l’autre deviendra finalement un adversaire.
Il
n’est pas étonnant que beaucoup de couples divorces et se déchirent pour
obtenir la garde des enfants, qui sont depuis le début le ciment de la relation
homme femme avec tout ce que ça entraine de chantage affectif, de perversion,
de manipulations, de projections, de frustrations et de possessivité,
jalousies, peurs…
Pour
en revenir au principe d’élimination physique fortement lié aux libérations de
croyances basées sur la peur, la dévalorisation, plutôt que de bloquer sur les
peurs que l’écoute de la vibraconférence suscitait, j’ai accueilli ce qui
montait en moi et j’ai suivi comme toujours l’élan de l’instant, l’intuition
pour gérer les choses.
Je n’ai donc pas fini d’écouter cette vibra qui mettait
en évidence le manque de confiance en soi et en même temps me disait comme
toujours que c’est cela qu’il me fallait gagner.
Je n’ai pas laissé le mental
élaborer de nouvelles stratégies pour parvenir à augmenter la confiance en soi
parce que je sais que sa vision est limitée et faussée. Et que toute stratégie
n’aboutit pas au résultat escompté.
J’ai
maintenant compris l’ordre divin dans le sens où il faut d’abord écouter son
ressenti, son intuition et prendre le temps de confier à son cœur, ses pensées
émotions opposées à l’amour, pour être en mesure de recevoir la guidance, l’intuition, la réponse, enfin une partie.
C’est en ce sens, plutôt l’écoute qu’il me faut développer, cette réceptivité qui
amplifie la confiance en la bienveillance de la source par le contact
systématique avec l’essence amour lumière intérieure.
C’est ce retour au cœur qui
fortifie la reliance, reliance qui est l’amour et qui élargit la conscience, la
connaissance juste.
En même temps, cette capacité d'écoute, d'accueil, de réceptivité, ouvre les vannes de l'abondance, de la libre circulation énergétique qui très souvent est obstruée par la difficulté à recevoir elle-même issue du rejet de soi, du sentiment d'indignité.
Savoir
s’écouter, tant les pensées émotions que l’intuition, les signes physiques, reconnaitre les synchronicités, sans
porter de jugement mais en laissant la sagesse, l’intelligence du cœur nous révéler
le sens profond des choses, est une façon d’intégrer la vibration d’amour
lumière qui favorise l’harmonie intérieure.
Et c’est cette harmonie qui va
donner la confiance en soi véritable où plus rien n’est perçu comme un obstacle
un ennemi, mais comme un moyen de grandir en amour et en sagesse.
Donc
en laissant la source harmoniser les pensées de doute de soi, les pensées
stratégiques, les projections à propos de comment mettre en place les moyens
pour accéder à l’autonomie financière, j’ai choisi d’observer le processus de
libération et d’intégration.
Je sais que tout se fait naturellement, sans
forcer, dans la fluidité, la facilité, l’évidence, lorsqu’on est sur la
fréquence d’amour et de lumière qui demande juste de calmer le mental, de faire
la paix avec tous les aspects de l’être.
Parce
que tous ces aspects sont précieux, ils contiennent les clefs de l’accomplissement
qui ne demandent qu’à se révéler dans l’accueil et à s’harmoniser à l’amour
pour se mettre au service de la réalisation de l’ensemble.
Le
mental établit des plans, projette selon ses connaissances, son expérience,
mais il n’a pas une vision suffisamment large pour prendre en compte les multiples
facteurs intervenant dans le processus de cocréation.
Nous commençons à peine à
intégrer, à accepter cette idée que nous sommes cocréateurs de notre vie.
Et en
plus il est facile de constater que c’est surtout notre inconscient, notre
subconscient, qui tirent les ficelles à l’image du processus de croissance d’une
graine.
Dans
un esprit duel qui considère les choses en bien et mal, l’inconscient est
considéré comme un ennemi voire même un diable, une force obscure mais quand on
envisage les choses depuis le cœur, à travers son regard, on sait que tout est
sacré, divin, guidé par la source et que l’inconscient et le subconscient
nourrissent la croissance, la vie, même si dans ce processus, la mort, la destruction
interviennent.
Pour
changer fondamentalement il est nécessaire que la mort fasse son œuvre, que les
croyances soient dissoutes, absorbées dans l’amour et la lumière pour qu’elles soient
transformées.
La
graine qu’on sème en terre en sachant qu’elle donnera telle ou telle plante,
illustre précisément le processus de création délibérée où le mental n’intervient
que dans la reconnaissance du type, de l’espèce de la graine et le choix de planter
celle-ci particulièrement.
Tout le reste se passe sous terre, est confié aux
forces de la nature qui sait harmoniser les éléments nécessaires à la
croissance de la plante, le soleil sont partenaire, incite la plante à se
dresser vers le ciel et ensembles ils cocréent cette croissance dans le juste
équilibre des forces cosmotelluriques.
Les
principes qui régissent le vivant sont extrêmement complexes et complets.
Les
éléments intervenants dans ce processus sont variés et dépassent l’entendement
humain même si la science révèle peu à peu ses découvertes.
Lorsque
j’ai écouté Lulumineuse, l’ado en moi c’est sentie en parfaite résonance parce
qu’à cet âge là, j’étais très audacieuse et confiante en mes capacités, je
suivais sans complexe, sans jugement, le désir du moment et la liberté, la recherche de plaisir étaient
mes guides. Je ne craignais pas d’agir à contre sens du monde et c’est même le
fait d’innover, de créer quelque chose d’inédit, d’avant-gardiste, qui me
motivait à agir.
Mais en même temps, le sentiment d’échec, les regrets, la
tristesse, la sensation de ne pas avoir pu ou su réaliser l’indépendance financière, se
sont manifesté et le mental a essayé de trouver des solutions pour y arriver.
J’étais
traversée par toutes ces pensées émotions et idées qui fusaient de toutes parts
mais plutôt que de suivre ces idées ou de rejeter les pensées émotions "négatives",
j’ai tout confié à la source.
De la même façon, en reconnaissant tout ça, sans
y ajouter des jugements, des commentaires ou si c’était le cas, en le
reconnaissant aussi, bref, j’ai tout extériorisé puis je suis passée à autre
chose, confiante dans ce processus alchimique souterrain.
La
paix intérieure qui ne m’a pas quittée témoignait que tout ce travail interne
était en cours. Je n’ai réfréné aucun envie et suivi l’élan de l’instant sans
me poser de questions.
J’ai suivi l’intuition, le désir du moment pour savoir
quoi manger confiante dans l’intelligence du corps physique qui sait
précisément ce dont il a besoin pour maintenir l’harmonie intérieure.
J’ai fini
la soirée avec deux assiettes de soupe de poireaux pomme de terre qui est très
bien pour nettoyer les reins et un ramequin de mousse au chocolat juste parce
que j’en avait envie et parce que je sentais que l’enfant intérieur avait
besoin de consolation, d’éprouver du plaisir. Le chocolat contient du magnésium
qui est un antidépresseur naturel.
L’élan m’a portée sur une vidéo de Lise
Bourbeau que j’avais déjà vue et partagée je crois. J’ai reconnu en cette
envie, l’inspiration, la guidance de la source intérieure et suis allée me
coucher en paix et confiante.
« Guérir ses blessures » Lise Bourbeau
Malgré que je me sois relevée cinq fois dans la
nuit, je me rendormais de suite et ne me prenais pas la tête à propos des
vertiges ressentis à chaque fois. C’était intense mais je n’ai pas été effrayée
supposant que ça fait partie du travail nocturne qui se réalise dans les
interactions entre les corps subtils multidimensionnels.
Le réveil a été
toujours aussi enthousiaste que depuis déjà quelques temps et la joie d’être
ici et maintenant sans cesse renouvelée dans cet accueil de tout ce qui se manifeste
en soi, me porte et guide mes pensées et mes gestes.
Je
me laisse enfin vivre et c’est vraiment jouissif parce que contrairement à ce
qu’on pourrait supposer, je suis beaucoup plus efficace et active dans ces
conditions que si j’essaie de contrôler, de planifier mon temps.
En
même temps, pour pouvoir faire confiance à son intuition, il faut prendre le
risque de se planter mais quand on comprend que tout est fait pour qu’on
grandisse en conscience et qu’on cultive l’amour en soi, la capacité de se relier, d’aimer,
l’idée même d’échec n’a plus de sens négatif.
Je
dois m’occuper du dossier CMU à remplir mais je ne me colle pas de pression. J’ai
mis les papiers en vue pour ne pas oublier et je me laisse guider par l’élan,
la joie qui m’amènera à m’en occuper au
moment opportun.
Reconnaitre,
accepter sans lutter et offrir à la source, possède un grand pouvoir de sagesse
et d’amour simplement parce que le point de focalisation est au centre de l’être
qui donne un point de vue global des choses.
J’ai
commencé à écouter une conférence de Quentin Disneur mais au bout de dix
minutes, j’ai lâché parce que j’avais l’impression d’entendre une compilation
des livres qu’il affichait juste derrière lui. J’ai même laissé un commentaire
que j’ai retiré au bout d’une demi-heure après m’être dit que rien ni personne
ne m’obligeait à y adhérer et ça n’est pas parce que je trouvais que son discours
et son attitude manquait de joie, de vie, que je devais le dire au risque de le
blesser.
Son attitude figée peut très bien cacher un manque de confiance en soi
et je peux le comprendre puisque je ne suis pas encore capable de montrer mon
visage.
C’est un thème que je considère en ce moment parce que nier n’est pas
une solution.
C’est clair que l’usage des médicaments change mon expression et
ça n’est pas en essayant de contrôler cela, en diminuant les doses, que je
pourrais m’en libérer.
Je
me fie à mon intuition et travaille en amont au niveau des croyances qui
nourrissent ce besoin qui même s’il ne veut plus rien dire consciemment puisque
je n’ai aucun doute concernant l’amour que je suis et la façon de le laisser émerger,
de le cultiver, fait encore sens au niveau inconscient.
Je
ne nie pas le fait que c’est un geste compulsif, addictif qui ne sert pas mon
évolution selon les critères du mental mais les choses sont beaucoup plus
complexes et ça n’est pas en luttant contre cela que j’en sortirais.
C’est
au contraire en offrant à la source ce qui continue de nourrir la croyance en
cette idée de manque que peu à peu, les nœuds énergétiques et les blocages seront naturellement
défaits.
Déjà en n’étant plus dans la lutte et le conflit intérieur, la paix
demeure et me permet de voir au-delà des apparences et conclusions simplistes
du mental, ce qui me fait agir inconsciemment de cette façon.
Il
y a une des raisons inconscientes qui est liée à l’identification à la souffrance
maternelle ; à ce qu’elle a souffert tant par le divorce, la trahison, que
le deuil de mon frère qui l’a anéanti fermant son cœur définitivement à l’amour.
Le fait de me sentir fusionner, en reliance profonde avec ma mère au
travers de sa souffrance comme si en plus, le fait de la prendre sur moi allait l’alléger, semble être une stratégie de survie.
Une volonté de lui plaire en agissant selon ses critères pour devenir autonome
financièrement par un mental qui s’impose en force et tente d’agir par le
contrôle, avec des stratégies guerrières.
Bref,
c’est plutôt complexe puisqu’il s’agit là de blessures inconscientes transmises
de générations en générations, donc inscrites dans la mémoire cellulaire, et
comme toujours ça n’est qu’en laissant la source agir, que tout s’harmonise et
se lâche peu à peu.
Il y a aussi une profonde tristesse qui se manifeste
intérieurement et ne vient pas de ce que je vis présentement même si elle est
déclenchée par des facteurs extérieurs qui la stimulent. J’ai le pressentiment
qu’en l’accueillant, en l’embrassant ça permet à la joie de se libérer.
La joie
naturelle que vit tout enfant et que je n’ai jamais pu véritablement
extérioriser.
Mais ça n’est pas un problème puisque cette tristesse porte en
elle tout un potentiel de guérison, de résurrection et de réalisation.
Il
semble que la première vibration à maintenir en soi, ce soit la paix qui
engendre le bien-être et des moments de pure extase pour intégrer et installer
la joie.
Et
comme tout se révèle dans le contraste des opposés, quand la tristesse et là, c’est
que la joie appelle à se manifester.
Tout comme le sentiment de manquer d’amour
témoigne de la présence de cet amour, le truc, c’est de les réunir.
"Alors
bienvenue à toi la Joie, je t’accueille à bras ouverts ainsi que ta compagne la
tristesse !"
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