vendredi 1 janvier 2016

« 2016 : écrire l'histoire » Thomas Marcilly






C'est dans cet espace de l'inconnu, du nouveau... que nous allons écrire l'histoire. 
Notre histoire est ici, maintenant, page blanche... 
 
Dans aucun livre, dans aucune théorie... nous ne trouverons ce que nous pouvons créer depuis notre cœur unique mais interconnecté.
 
Chers amis, 2016 est une grande année, déjà.
 
A nos premiers pas, essentiels, brillants, au service de l'authenticité, du rayonnement de l'amour, de la sortie de nos conditionnements, de la sortie de tout ce qui nous fait rester ancrer dans le "je sais" au détriment de notre évolution individuelle et collective. 

Aujourd'hui, JE SUIS par connaissance et par expérience. 
Mais le JE ne sais rien. 

« Naviguer la mer de la vie » les guides de l’unité via Daniel Desjardins





Avez-vous déjà remarqué que lorsque vous êtes en contact avec certaines personnes, certains groupes ou même certaines situations, vous êtes inexorablement aspiré par leur tourbillon négatif. 
Vous pouvez vous en rendre compte si vous rencontrez des gens qui commencent à déblatérer sur le compte d’autrui ou se plaindre de situations, tôt ou tard cela vous invitera à participer à ce tourbillon négatif et bientôt vous êtes en train de raconter des histoires qui vous sont arrivées ou que vous avez entendues qui critiquent ou vont dans le même sens que le groupe que vous avez joint.
 
De la même manière, vous pouvez vous trouvez à croiser le chemin de groupes, voir même d’entreprises, qui tourbillonnent une certaine forme d’énergie, peut-être de difficulté financière, de négativité, de compétition malsaine ou tout simplement une culture du plus fort. 

Par défaut, si vous ne prenez pas garde vous serez aussi aspirés par ce tourbillon. 

« Le pardon à soi-même, indispensable clef de libération, de révélation et de manifestation de l’être véritable, de l'Amour Lumière intérieurs »






J’ai pioché ces quelques clefs avant-hier et j’ai suivi ces conseils qui sont venus avec une telle synchronicité que j’ai totalement lâché la pression à propos du blog, des publications et surtout les reproches que je me faisais à passer trop de temps dans le mental au détriment des besoins du corps physique, de la réalité du quotidien. 
Une pression que j’exerçais sur moi-même et qui nourrissait la peur et le manque. 
Ce n’était pas totalement conscient mais bien que j’aie déjà eu cette sensation d’obligation, ces clefs ont mis en évidence d’une façon claire et logique cette tendance à nourrir les rôles du "triangle de Karpman" et la nécessité de lâcher prise.

On se libère peu à peu des réflexes inconscients, toujours grâce à l’amour et la lumière intérieurs, en les cultivant ; en prenant conscience de ce qui est caché en nous et en ayant de la compassion pour soi-même, pour ce qu'on trouve dans les profondeurs de notre inconscient.
C’est toujours le même processus qui est à l’œuvre dans la reconnaissance de soi, de notre être véritable et des jeux de rôles, des masques que nous portons, qui se révèlent simultanément lorsque c’est perçu avec les yeux du cœur. 

Il est aussi évident que nous jouons tous les rôles de ce triangle infernal qui nous empêchent d’exprimer notre nature véritable, d’être dans la joie et de réaliser notre plus beau potentiel. 
Nous sommes tour à tout victime, puis bourreau et enfin sauveur. 
Il semble que ça tourne dans ce sens puisque lorsque nous sommes enfant, nous dépendons complètement des autres, à l’adolescence nous commençons à nous émanciper, à pouvoir agir selon nos valeurs personnelles, à faire des choix puis à l’âge adulte, le fait d’être parent nous confère le pouvoir et l’autorité sur des êtres innocents et dépendants de nous.  
En général, nous n’en sommes pas conscients mais la vie nous donne des occasions de le savoir et de choisir d’en sortir.