Ce
matin, c’est l’émerveillement total, je vis une extraordinaire
métamorphose !
Et j’ai constaté que je ne suis pas la seule !
Beaucoup de mes amis sur face de bouc, vivent aussi cette renaissance
magnifique. Et pourtant, mon corps qui est en pleine mutation présente quelques
symptômes et douleurs mais comme je ne me focalise pas dessus, comme je sais
que c’est normal bien qu’exceptionnel, il n’y a pas de souffrance.
Les
vidéos de Byron Katie ont un impact magique sur mon être ! Chacune d’elle
m’aide à prendre conscience de ce qui me limite, me bloque, m’empêche de mordre
la vie à pleine dents, d’être totalement épanouie. C’est une renaissance jusque
dans la chair !
Considérer
son corps physique, les aspects de soi, depuis le cœur, en étant dans
l’acceptation totale de ce qui est, permet d’en percevoir toute la beauté, la
lumière et de sentir que nous sommes vraiment l’amour, que cette énergie est
notre essence, notre structure de base et qu’elle nous anime, qu’elle a
toujours été là, attendant juste d’être délogée de sa cachette, de ses voiles
que forment nos croyances.
Libérer
ces pensées qui nous font voir la vie comme un boulet, une torture, est le
cadeau de la vie pour soi-même ; la révélation de l’être !
Depuis
hier, je retrouve un élan de jeunesse formidable, mon corps a réenclenché le
processus des cycles menstruels et c’est comme si la vie recommençait !
Il
est clair que je n’ai jamais aimé ces phases mais avec la compréhension et
surtout l’acceptation du féminin en moi, j’ai commencé à le voir comme quelque
chose de sacré, de puissant, c’est la ‘trace’ que je porte les énergies de vie,
de créativité, le potentiel créatif qui ne demande qu’à être utilisé,
développé, exprimé.
Tant
qu’on résiste à ce que la vie nous présente, nous invite à vivre, expérimenter,
on se prive d’en percevoir le caractère initiatique ; c’est un appel à
ouvrir son cœur, à laisser la sagesse naturelle, divine, émerger et nourrir
tout notre être.
C’est
une invitation à ÊTRE, à vibrer de tout son être, à jouir de cette opportunité
de manifester l’amour lumière que nous sommes. Le présent est toujours un
cadeau, il offre une ouverture de cœur et de conscience, une occasion
d’embrasser ce qui est, de sentir toute l’énergie du Vivant, du divin en soi.
C’est le désir d’être, d’aimer, de faire, qui monte en nous et ne demande qu’à
fleurir.
Chacun
est unique, le corps physique est une conscience intelligente qui marche main
dans la main avec le divin, qui en est l’expression, la manifestation dans
cette dimension, cette incarnation, lutter contre lui, lutter contre un des
corps subtil, ses pensées, ses émotions, c’est s’amputer de parts de soi,
souffrir de se sentir incomplet, divisé, en guerre.
La
paix du cœur, celle qui vient de l’acceptation de ce que nous sommes, de TOUT
ce qui nous constitue, révèle la lumière et l’amour divins en nous. L’énergie
de la source qui circule à nouveau librement simplement parce qu’on s’autorise
à être soi-même, parce qu’on se valide, parce qu’on s’aime sans conditions,
parce qu’on reconnait que nous sommes unique et que le seul fait d’exister,
d’être qui nous sommes, est suffisant.
A
partir de là, tout notre potentiel va s’exprimer, nos envies, idées, vont pouvoir
se concrétiser dans la matière juste parce qu’on sait que la conscience divine en
nous, que la vie travaillent à notre plus bel accomplissement.
Quand on dit
« OUI » à la vie, elle nous montre alors tout le potentiel, tout ce
que le divin a « préparé », imaginé pour notre plus grand bien.
Interroger
son mental selon la méthode de Byron Katie, en posant les quatre questions*,
parler aux parts internes en souffrance, celles qui ont vécu des traumas et
sont restées coincées sur ça simplement par incompréhension, restaure l’amour
en soi et la lumière nous montre alors ce qui est en vérité. Le fait
d’embrasser l’enfant intérieur, de reconnaitre ses blessures et de les accepter
nous en montre toute la pertinence, tout ce que nous avons pu apprendre de
cela.
Quand
on cesse de vouloir fuir la réalité, celle de notre propre histoire, la vie elle-même,
ce que nous cocréons, nous pouvons reconnaitre notre pouvoir de
manifestation, de cocréation avec l’être divin que nous sommes.
Le
mental ne peut pas en voir la pertinence, en comprendre le sens mais lorsque
celui-ci est interrogé comme on parlerait à un enfant, avec tout l’amour et la
bienveillance, la connaissance de comment pense un enfant, de ses limites,
puisque c’est ce qu’il est lorsqu’il bloque sur des pensées, des croyances
qu’il tient pour vraies, il ne tarde pas à recevoir des révélations parce que
l’amour est la seule chose qui soit réelle, qui nous reconnecte avec la Vie,
avec le divin que nous sommes, la sagesse intérieure, la lumière.
Il
est éclairé et sa conscience s’élargit, son intelligence est éclairée, il
réalise, prend conscience de la Vérité qui émerge de l’amour vrai,
inconditionnel.
Lorsqu’on accepte ce qui est, notre mental est alors en mode
réceptif et peut être illuminé de l’intérieur, la vision à partir du cœur qui
lui-même s’ouvre lorsqu’on lâche prise, permet de voir tout ce qu’une situation
aura permis de vivre, de savoir, de connaitre, de faire, de découvrir,
d’explorer…
Il n’y a aucune séparation en nous, seules nos croyances, la peur, nous montrent
les choses autrement. Notre inconscient travaille pour nous, notre corps physique
aussi. Tous deux nous invitent à sonder notre cœur et ainsi à découvrir la
vérité de ce que nous sommes, de tout notre être, tant nos peurs, que notre
potentiel amoureux, notre pouvoir créateur.
L’inconscient
et la conscience pure créent des situations pour nous aider à voir, à
reconnaitre ce pouvoir de création, de manifestation par la pensée émotion
énergie.
Et
comme nous créons par défaut, selon nos peur, notre ignorance, nous manifestons
une réalité correspondante à nos croyances, celles qui ont le plus d’intensité
énergétique en nous.
Et c’est toujours les croyances adoptées depuis l’enfance
qui créent en coulisse, notre quotidien, parce qu’elles sont nourries depuis
cette période, parce qu’elles n’ont pas été reconnues, découvertes, conscientisées,
elles restent bloquées dans l’inconscient et se nourrissent quotidiennement par
notre comportement, celui qui se manifeste à partir d’elle.
Par exemple, si je
pense, si je crois profondément que je suis un être qui ne mérite pas d’être
aimé, je vais tout faire pour que cette croyance soit une réalité.
Parce
que c’est une croyance inscrite dans mon inconscient et qu’elle génère un
comportement réflexe, automatique, il me faudra aller au bout de ce processus,
vivre pleinement cette croyance et comme ça créé un quotidien pourri, de
mal-être, de souffrance, il me faudra être à la limite de la souffrance pour
enfin lâcher prise, remettre en question cette fausse vérité.
Chaque être est unique et personne n’est nul, dépourvu de qualités.
Chacun est
l’expression même de la Source, du vivant, du divin, du miracle de la vie.
Lorsqu’on regarde comment le corps physique est constitué, on s’émerveille face
à tant d’intelligence, de lumière, de créativité. Chaque système qui soutient
la vie en nous, est doté d’une intelligence autonome, et si c’est régit de
façon inconsciente, ça n’en retire pas moins la valeur au contraire, c’est la
preuve que l’intelligence est là puisque c’est l’expression autonome de notre
être.
Notre corps peut tout à fait fonctionner sans nos pensées conscientes.
Il
n’a pas besoin qu’on lui commande de respirer, on n’a pas besoin de dire à
notre cœur de battre, à nos muscles d’agir, il nos suffit de vouloir et tout se
met en place automatiquement;
Je veux prendre le verre sur la table, mon bras
se tend, ma main le serre et c’est fait, sans que j’ai eu besoin de le
formuler.
Ce qui nous pourrit la vie,
c’est de croire que quelque chose en nous est inadapté, inférieur, que ça
devrait être autrement. Et ce sont ces pensées qui nous font souffrir.
Mais si
on les questionne à la façon de Byron Katie, on va être stupéfait par les
réponses qui vont émerger. Par exemple :
« Je vis aux crochets de la société »
Je
vais donc interroger cette croyance de la façon suivante
*1/ « Est-ce
que c’est vrai ? » La réponse qui vient automatiquement c’est : OUI
*2/ « Est-ce
que je peux être certaine que c’est absolument vrai ? » La réponse change,
elle devient Non et si elle demeure oui, ça ne change rien je pose la question
suivante :
*3/ « Comment
réagissez-vous lorsque vous croyez cette pensée ? »
C’est
ce à quoi j’ai répondu il y a deux jours et c’est ainsi que j’ai pu détecter
des croyances inconscientes nourries depuis l’enfance et en les acceptant, les désactiver.
« Je
me sens nulle, inadaptée, inutile, parasite, impotente, débile, illégitime, à
côté de la plaque…»
*4/ « Qui seriez-vous sans cette
pensée ? » Je serais libre, heureuse, remplie de désir, d’idées, de
capacités, je pourrais, j'oserais, contribuer à la vie en société.
Puis
ceci ma amené à revisiter des moments clefs de ma vie où des croyances ont été
inscrites et adoptées comme vraies. Déjà, elles viennent répondre à un refus
légitime selon les croyances profondes primaires ; celles adoptées depuis
l’enfance par rapport au vécu. Ce qui est ressorti, c’est la haine de soi,
l’idée que mon corps physique est un ennemi, que la vie c’est de la merde, un
combat permanent que je ne veux pas vivre, une souffrance perpétuelle que je
voulais quitter, une prison intérieure et un monde rempli d’injustice.
Sa
méthode me correspond parce que j’ai pu expérimenter les guérisons qui
surviennent lorsqu’on change son point de vue, lorsqu’on dialogue avec
soi-même, lorsqu’on contact ses émotions, ses souffrances, ses blessures…et
surtout quand on cesse de lutter contre un aspect de soi, lorsqu’on cesse de
croire qu’il y a un ennemi en soi, que les choses devraient être autrement.
Ce
sont nos croyances qui modèlent notre vie puisque la pensée associée à
l’émotion, c’est de l’énergie et celle-ci se projette dans notre réalité
manifestant ce que nous pensons à propos de nous-même et de la vie.
Ceci n’a
pas pour but de nous écraser, de nous pousser à la mort mais de nous montrer
notre pouvoir créateur et d’apprendre à l’utiliser en conscience.
En commençant
par interroger nos pensées émotions, on trouve les croyances qui en sont à
l’origine et en contactant l’enfant en soi, la part qui a adopté ces croyances,
en lui parlant, en lui expliquant les choses, sans le juger, sans le critiquer,
en l’autorisant à s’exprimer, ce qui revient à laisser l’amour et la lumière
agir en nous, on réconcilie les aspects internes de l’être.
Il ne faut
absolument pas craindre de parler à l’enfant en nous, à l’adolescent parce que
ce qu’ils nous disent contient aussi nos plus grandes aspirations, notre raison
d’être, notre motivation profonde et même si on n’arrive pas à être à l’écoute,
à entendre les réponses de la sagesse en nous, le seul fait de manifester de la
tendresse envers soi, permet à l’amour de circuler à nouveau.
Et bien
évidemment comme cette énergie, c’est la vie même, son effet sera vivifiant,
guérisseur, restructurant, régénérateur.
Chaque
fois que nous acceptons ce qui est, quelque chose en nous s’ouvre, notre cœur,
c’est ce qu’on appelle « lâcher prise ». Comme on cesse de lutter, la
paix se manifeste puisque selon la dualité, chaque chose contient son
contraire. Et lorsqu’on est en paix, on peut alors être réceptif, entendre la
voix de notre âme, de l’intelligence qui nous habite, qui régit tous nos
corps. Notre vision s’éclaire parce que
la conscience l’illumine.
Faire
la paix avec soi-même réaliser l'unité intérieure, nous rend libre, heureux,
autonome, et en étant authentique, en osant regarder ce que nous appelons notre
ombre, on découvre tout le potentiel de notre singularité qui peut alors être mis
au service de l'ensemble, du Vivant, de la source, simplement en étant vrai, en
étant pleinement soi-même.
L’introspection, lorsqu’elle est réalisée par le
lâcher prise, l’acceptation de ce qui est, permet de se connaitre véritablement
et de voir que nous sommes divins, de le ressentir. C’est difficile à décrire
parce qu’il faut le vivre et comme chacun est unique, les mots, sensations,
réponses seront adaptées, interprétés à travers notre personnalité, notre vécu, notre histoire.
La
chose qui est commune à chacun, c’est l’essence, l’énergie et la constitution
des corps. L’amour et la lumière, les énergies de vie, l’intelligence et leur
union avec la personnalité, l’individu que nous sommes forment un tout cohérent
et notre première mission, c’est de le reconnaitre.
Reconnaitre que notre physique
est notre meilleur ami, notre demeure de la naissance à la mort, le parfait représentant
de l’étincelle divine qui nous habite, sa manifestation dans la chair, permet
de s’incarner, d’accepter d’être ici et maintenant.
En
interrogeant mon mental à propos de l’entretien d’embauche foiré, j’ai pu voir
finalement que c’est exactement ce qu’une part de moi voulait, à plusieurs
niveaux.
Y aller à reculons, sans savoir pourquoi, ou seulement par peur qu’on
me coupe les vivres aurait amené des problèmes physiques puisque je somatise
systématiquement.
Le
corps physique exprime ce que notre personnalité n’ose pas dire.
Il dit ce que
l’âme veut que nous entendions et que notre mental refuse d’exprimer par peur
ou par incompréhension.
Pour cette raison, laisser les pensées émotions
s’exprimer permet d’entendre le message de notre âme, sans que le corps
physique ait besoin de créer une souffrance, une maladie afin que nous
interrogions notre intériorité.
C’est
lorsque notre mental arrive à une totale incompréhension, qu’il cesse de
tourner en rond, de chercher des réponses et de s’épuiser à ne pas les trouver que la clarté se manifeste.
Il ne peut pas savoir ce que l’âme veut que nous entendions parce que toute sa
compréhension est basée sur des croyances, sur une vision dichotomique des choses.
Cependant, la vie, l’expérience nous montrent que tout n’est pas tout noir ou
tout blanc et ainsi, peu à peu il s’ouvre à d’autres formes d’autres points de
vue.
Sa mission première, c’est de s’interroger, de chercher et de trouver des
réponses afin de donner un sens à la vie.
Mais comme il est limité dans son
mode de fonctionnement, il tourne en rond d’autant plus qu’il ne compose pas
l’ensemble de notre psyché.
Très souvent il existe un conflit entre le mental
et l’inconscient parce que chacun d’eux ne fonctionne pas de la même façon.
L’inconscient ne fait qu’enregistrer des données, des infos que le mental lui
donne puis les active toujours tant que nous ne venons pas en changer le
programme.
On peut dire que cette mémoire a besoin de mises à jour qui demandent
une reliance avec le mental, avec les croyances actuelles. Ceci se réalise par
l’intermédiaire des rêves mais tant que le programme de base, les croyances de
l’enfance ne sont pas conscientisées et libérées, il y aura un décalage entre
l’intention présente et les croyances passées.
Un conflit qui créera une lutte
énergétique où celle qui est la plus intense l’emportera.
Il semble évident de
penser que l’inconscient l’emportera puisque ses croyances sont antérieures à
celle du mental , de ses nouvelles croyances. Par le fait, leur densité énergétique est plus forte.
L’amour
et la lumière, l’acceptation et la conscience ont le pouvoir d’unifier et de
changer le programme inscrit dans l’inconscient. Mais pour cela, il faut voir
ce que nous portons ce que nous avons rangé dans l’inconscient, refoulé, caché.
C’est
là qu’interviennent les émotions et les symptômes physiques qui vont nous
renseigner, qui vont révéler ce qui est caché. En acceptant de voir, c’est à
dire de laisser s’exprimer une émotion, sans la juger ou la rejeter, on en
libère alors la charge énergétique et peu à peu, les veilles croyances seront
ainsi désactivées permettant que la mise à jour s’effectue.
Déjà,
en cessant de nourrir la lutte en soi, en cessant de réagir, soit par la fuite,
soit par l’agression soit par la défense ; le déni, la justification, on
permet à la lumière d’agir, notre sagesse peut alors s’exprimer.
Je
ne sais pas encore comment je deviendrais indépendante, mais ce que je sais,
c’est que les vieilles croyances faussées ne sont plus cachées, elles sont
désactivées et à mesure que je gagne en confiance, que je permets à l’amour de
rayonner en acceptant ce qui est, je découvre qui je suis réellement, de
l’intérieur.
Cette découverte est exactement la quête de toute ma vie et
maintenant, il me suffit de faire confiance à la vie, à tout ce que je suis.
De
me souvenir que mon corps physique est intelligent, autonome, qu’il me parle au
travers des sensations physiques, douleurs comprises.
Que mon mental n’est pas un ennemi et que je
peux l’interroger.
Que mon inconscient n’est pas non plus un ennemi mais un
programme, une mémoire qui contient autant de trésors que de croyances que je
peux changer.
Que mon âme, ma conscience, me parlent au travers de tous mes
corps, que la vie m’enseigne et que tout ce que je suis est en permanence
aligné à l’amour lumière.
Que tout est parfait.
De
vives douleurs au crâne m’invitent à aller à l’intérieur, à détendre et relaxer
mon corps afin d’être réceptive aux messages de l’amour lumière en moi. Ou tout
simplement à reposer tous mes corps afin qu’ils s’ajustent à la source en
intégrant ses énergies de transmutation, de révélation, de transformation.
La
courte nuit de cinq heures demande une rallonge !
Le mental est tout
excité mais le corps a besoin de repos.
« Relaxe mon corps mental on a
l’éternité devant nous, ou plutôt en nous ! On forme une équipe soudée, il
n’y a plus de raison de lutter, détends toi et allons écouter la voix de
l’âme, du divin, afin que tu apprennes à décrypter son langage ou simplement à
en être le porte parole. L’observateur des mouvements intérieurs, des couleurs,
des énergies.
Tu n’as rien à craindre, la vie s’écoule en nous et même au-delà
de la mort, la pensée demeure, alors sachons apprécier ce que nous offre la vie,
écoutons et répondons aux besoins du corps physique sans lequel nous ne
pourrions exister dans cette forme ».
La
pensée du jour de Neale Donald Walsh
« En ce jour de votre vie, je crois que Dieu
souhaite que vous sachiez …
que vous ne pouvez que réussir, vous ne pouvez pas échouer.
que vous ne pouvez que réussir, vous ne pouvez pas échouer.
L’échec est impossible ; c’est une illusion. Rien
n’est un échec.
Rien. Tout contribue à l’histoire humaine, et donc au processus
d’évolution, en avant. Tout contribue à vous faire avancer
dans votre voyage.
Rien. Tout contribue à l’histoire humaine, et donc au processus
d’évolution, en avant. Tout contribue à vous faire avancer
dans votre voyage.
Vous n’aurez pas à penser plus d’une seconde pour
savoir
exactement pourquoi vous avez reçu ce message aujourd’hui.
exactement pourquoi vous avez reçu ce message aujourd’hui.
Avec tout mon amour, votre ami … »
Neale
Neale
C’est
exactement ce que j’avais besoin de réentendre en cet instant après plus de
quatre heures de tourments. Entre les douleurs vives et ininterrompu au crâne,
les règles qui coulent comme jamais et les émotions qui se libèrent, je coulais
peu à peu en ayant tout de même l’assurance que tout est pour le mieux, tout
s’ajuste et se place.
Puis de toute façon, quand je vois que ça n’est que la
peur qui est encore derrière la souffrance, en l’acceptant, en l’offrant à la
source, j’ai pu me détendre et récupérer puis demeurer en paix malgré les vagues, le yoyo des pensées émotions.
Ces libérations sont
épuisantes et si on ne s’accroche pas aux pensées reliées aux vieilles
croyances, tout s’estompe naturellement comme après un orage.
Ce qui est le
plus difficile ce sont les changements d’état d’être tellement opposés que si
on ne sait pas que tout dépend de la perspective d’où on regarde ce qui est,
on peut vite se laisser submerger par les émotions.
Encore une occasion de
constater la différence entre la vision dans la peur et celle depuis le cœur.
Et
d’apprécier le fait que je n’ai pas eu recours à mon ancien geste, celui qui
consiste à étouffer les émotions en prenant un bout de cachet.
Non seulement ça ne résout rien mais en
général, ça ajoute de la culpabilité.
D’un autre côté, je ne me suis pas
interdit cette éventualité, ça ne m‘est tout simplement pas venu à l’esprit.
Idem pour la cigarette, je ne me suis pas jetée dessus et je constate que ma
consommation a considérablement diminué.
Je vais me satisfaire de cela ;
la douleur au crâne envolée comme elle était venue, le geste médicaments,
réflexe conditionné, pas enclenché.
C’est le signe que tout ceci vaut la peine.
Que ça
vaut la peine de garder le cap, la foi en ce processus de libération, de
guérison, qui constitue la renaissance, la métamorphose de l’être.
Je suis allée grappiller quelques fraises au jardin après avoir mangé une coupe de mousse au chocolat, mais je n'ai pas eu la force d'arroser. Le corps a des besoins que le désir suscite et je ne crains pas de manger ce qui me fait envie d'autant que le chocolat contient du magnésium, un anti-dépresseur naturel. Il n'y a pas de hasard et cette petite douceur m'a fait le plus grand bien. Plus de culpabilité ou de peur de grossir, je sais que l'excès de poids vient du fait de vouloir compenser compulsivement et de nier ce qui est en soi. C'est cela qui créé un déséquilibre qui ajouté à la culpabilité, est un véritable poison.
Enfin c'est valable pour moi. Je n'ai jamais pris de poids ou du moins pas démesurément parce que l'écriture, la libre expression des pensées émotions, évitent le déséquilibre énergétique, hormonal et comme je régule aussi avec les cachets en dosant minutieusement, les frustrations sont moindres. Puis l'amour en soi produit des miracles...
On dirait qu'un orage arrive...Chouette, il pleut, du repos, merci la Vie!
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci