J’ai
commencé la journée par mon rituel sacré sur le trône, ma connexion à la terre
pour la remercier de me nourrir, de me porter, me donner un toit, un corps, puis j’ai
demandé à mon âme de me dire si elle est masculine ou féminine, enfin s’il y
a ; l’âme et la conscience. La réponse des plus simples a calmé les
questionnements.
"L’âme
ou l’esprit, peu importe, est une énergie qui est partout, en tous tes corps
elle s’exprime à travers eux selon leur nature mais elle œuvre derrière et en tout ce
que tu es. Derrière tes pensées émotions en tant qu’observateur, présence
infinie et éternelle".
Le mental exprime ce que le corps ressent, il essaie de traduire
cette énergie qui est en soi et reliée au feu de la terre que certains
appellent Kundalini; l’énergie du désir, de création, l’énergie sexuelle, la
force de procréation qui permet de matérialiser les désirs dans cette dimension
à travers le corps physique, par les pensées, les émotions, les actions.
L’impulsion de la vie circule en chacun de nos corps par les chakras et va se
diffuser dans les cellules, dans tout le corps via les circuits, sanguin,
nerveux, lymphatique, les neurones, les hormones…Le feu de l’esprit est
l’énergie vitale de la source dans son aspect vivifiant, transmutant tout comme
le feu de la terre qui a aussi cette capacité à recycler, à brûler,
transformer, créer.
"Simplifie les choses, il y a l’impermanent, les pensées,
les émotions et même le corps physique qui change au fil du temps et la
présence, cette énergie lumineuse, bienveillante et infinie qui s’infiltre au
travers de tout ton être. Plus tu vas focaliser ton attention sur elle, sur la
paix, plus ton champs d’action s’élargira. Ça n’est que lorsque tu crois tes
pensées limitantes, lorsque tu crois être tes émotions ou ton corps physique
seulement, que tu perds la notion de qui tu es, de l’éternité qui vibre en toi.
Reviens simplement à la conscience que tu es fondamentalement éternelle et
infinie.
Tout est réalisable il suffit que naisse le désir en toi, qu’il soit
sincère et constant qu’il parcourt tout ton être, pour que la vie te soutienne
en ce sens".
Bon,
je vais faire mon tour sans le soleil cette fois-ci. La fraicheur fait beaucoup
de bien, je m’en délecte.
C’est
vrai que les questions quotidiennes finissent par compliquer les choses mais en même temps, elles ramènent à la raison, l'essentiel. Juste
être, vibrer, sentir, en toute confiance et laisser les pensées émotions qui
demandent à sortir, s’exprimer, sans les retenir.
J’ai
parlé un peu vite, le soleil s’est montré à l’endroit où je me connecte à lui
le matin, depuis la fenêtre de la cuisine. J’aime intégrer le grandiose dans
mon quotidien, me souvenir à chaque instant de ce que je suis en vérité, et
éternellement. Le soleil est la représentation de 'amour lumière et un parfait miroir de ce qui vibre en soi.
C’est une façon de ne pas se croire coincé dans cette dimension,
ce corps, ces pensées, de pouvoir lâcher prise avec plus de facilité. Tout comme la reliance à la Terre, mère de nos corps physique remplit du sentiment de sécurité, révèle l'harmonie naturelle.
J’ai
détecté la peur d’être absorbée, de me fondre dans l’infini. J’ai eu cette
sensation quelques fois et ça n’a pas été des plus joyeux. Ce qui a été
inconfortable, la première fois, ce que j’en ai déduit, c’est que le corps
physique n’est rien mais comme je le haïssais déjà, ça n’a rien arrangé à
l’affaire, le sentiment d’être enfermée dedans, limitée, a amplifié et l’envie
de ne jamais l’habiter avec.
Puis
la seconde fois, je recommençais à prendre goût à l’aspect matériel de la vie,
au fait de se nourrir, de pouvoir agir. Je venais de finir la peinture de tout
l’appart et l’effet propre, neuf, renouveau me stimulait puis comme j’avais tout fait
moi-même, le sentiment d’être valable me faisait du bien. Quand j’ai senti que
je me diluais, je me suis vite raccrochée à la raison, à la sensation
corporelle.
La
foi au christ a été plus subtile bien que puissante, au niveau des ressentis
mais c’était mêlé aux émotions que j’associais à l’amour alors qu’il s’agissait
de la passion. Le feu de la terre qui montait et celui du ciel qui se frayait
un chemin, illuminant mon mental d’espoir, enfin !
A
cette période, un matin au réveil, j’ai eu la forte sensation qu’un être
m’observait.
J’ai vu son visage l’espace d’une fraction de seconde et
maintenant je pense que c’était une version future de moi-même. Peut-être ce
que je suis maintenant ou dans quelques temps. Si je me souviens bien, c’est ce
matin que j’ai arrêté de fumer le bang dès le réveil. En plus, à cette période
je fumais du shit, qui port bien son nom !
Quand j’y pense, je me dis que
l’humain, le corps, le mental, l’esprit, sont très puissants puisque je pouvais
fonctionner ‘normalement’ malgré ce que mon cerveau recevait comme poison.
Mais il fallait au moins ça pour cacher le dégoût de la vie, le personnage de
victime que je ne voulais pas être, que je refusais de voir. Et j’étais relativement indépendante, libre
et assumais le minimum pour être dans le confort. Mes priorités n’étaient pas
celles de la majorité des gens mais je le vivais bien.
Puis
dernièrement, alors que je commençais à sentir monter une angoisse liée à
l’attraction que j’exerçais sur un homme avec qui j’avais eu des relations
difficiles, la sensation d’être plongée dans un espace infini, celle d’une
immense liberté m’a envahie.
Maintenant
que je réintègre mon corps physique, que je l’habite consciemment et
volontairement, je comprends que la recherche de sensation forte, l’attente de
quelque chose de sensationnel me coupe de la réalité et me place dans l’attente
m’empêchant de capter, de sentir ce qui est là, ce qui est toujours là.
Puis rechercher
l’extase, pour fuir la réalité, pour combler des besoins de fusion, de
communion, que la vie nous permet de vivre, dans la simplicité, la sincérité de
cœur, dans les rencontres avec l’autre, dans la transparence, la fraternité,
c’est encore un leurre.
La vie nous offre tout sur un plateau. Les sensations
que l’on expérimente dans des choses simples mais vraies, les satisfactions
lorsqu’on créé, lorsqu’on échange un sourire, une parole bienveillante, un peu
de tendresse, de douceur.
On
recherche l’extraordinaire en dehors de soi ou même en soi sans se rendre
compte que le seul fait d’être vivant est déjà un miracle. Très souvent, on
apprécie ce que l’on est lorsqu’on est à la limite de tout perdre. Idem pour
les relations avec notre entourage, c’est lorsqu’un être cher décède qu’on se
rend compte à quel point on l’aimait.
Le
paradoxe de l’humain divin est justement ce qui nous permet de relativiser.
Savoir qu’une part essentielle de ce que nous sommes est immuable et éternelle
permet de ne pas se soucier de la mort, de l’apprivoiser au jour le jour par le
fait que tout change, que tout soit cyclique.
C’est aussi cette réalité qui
donne toute sa beauté à la vie, au moment présent.
De cette façon on peut
apprécier chaque étape de notre parcours parce que tout est éphémère.
Tout se
meurt et renait, chaque minute qui passe ne reviendra pas mais il n’y a aucun
regret à avoir puisqu’il y a un après qui s’offre à nous. Et quand on cesse de
lutter avec soi-même, avec la vie, quand on accepte d’incarner son corps,
d’être le plus présent possible, d’habiter ce moment de tout notre être,
d’utiliser tout notre potentiel créatif, notre imagination, notre capacité de
créer, de faire de chaque geste quotidien un moment de présence, de connexion à
soi, au soi, à tous ces corps, on se sent pleinement vivant.
Je
crois que j’ai cafouillé dans les doses de médicaments hier mais ça ne
m’angoisse pas. J’ai ressenti des peurs venues de nulle part se manifester et
j’ai laissé faire. Je me suis contentée d’observer cela sans m’identifier aux
pensées qui se sont apaisées.
Régulièrement
je demande à la terre mère de m’aider à me sentir en sécurité et au ciel
d’éclairer ma vision mais je ne cherche plus à être dans un état particulier,
en paix ou dans la joie. Je me contente de respirer, de focaliser mon attention
sur le corps, de localiser les crispations et de les relâcher sans
intellectualiser, sans chercher à savoir d’où ça vient ni quand ça va partir.
Les
chats sont venus tous les deux en ballade hier soir. On n’est pas allés bien
loin mais c’était marrant d’être ensemble, tous les quatre, sur ce chemin
devenu mon parcours de connexion avec la réalité du vivant, de la nature.
Des
douleurs au pied droit sont réapparues, celles que j’ai trainées pendant deux
ans et qui avaient fini par s’en aller. Je ne me suis pas affolée, j’ai demandé
à mon corps physique de me dire éventuellement quelle en était la cause, si je pouvais faire quelque chose pour aider la guérison.
Puis
j’en ai profité pour lâcher la peur de la mort, pour accepter l’idée qu’un jour
je devrais quitter cet endroit.
Vivre pleinement oui mais s’accrocher à la vie
par peur de la perdre, c’est encore nourrir la victime impuissante. C’est se sur
identifier au personnage de surface.
S’accrocher à l’éphémère amène des
souffrances inutiles, on ne peut rien retenir, on ne peut rien figer et c’est
tant mieux. La vie serait insupportable si elle restait en l’état.
Une
bonne douche agrémentée de pensées d’amour, de lumière, de gestes tendres, en étant consciente de
la chance de pouvoir exister, de disposer de confort, d’être libre de penser,
d’agir, d’être, de créer…ça régénère le corps et l'esprit.
La
liberté vient quand on cesse de résister à ce qui est, la paix en découle et
permet de voir les choses de façon optimiste, peu importe les apparences.
Cette
nuit, j’ai été enseignée mais je n’en ai plus trop de souvenir, je reste
convaincue que c’est une réunion entre la conscience et l’inconscient, un genre
de mise au point, d’actualisation des données.
J’ai
passé trois heures dehors à nettoyer, semer des carottes, récolter des
framboises, planter des piquets pour les plantes grimpantes s’y agrippent,
bref, de l’action, de la créativité, du mouvement, dans la liberté d’être et le
calme malgré des bruits de débroussailleuse. J’ai beaucoup transpiré et c’est
une façon de détoxiquer le corps naturellement.
Je suis moins sensible à ce qui
ce passe autour de moi et ça vient du fait d'accepter ce qui est, de l’ancrage à la terre tout autant que de
la connexion au ciel, la conscience de tout ce que je suis, spirituellement et
humainement. Se rappeler qui on est, revenir en son cœur, à la conscience du
divin en soi, de l’éternité que nous sommes en essence, détend le mental et les
autres corps suivent naturellement.
La
voisine est venue frapper à la porte pour me raconter ses problèmes et je n’ai
pas été déstabilisée, irritée ou perturbée. Je savais à quoi m’attendre et j’ai
un peu regretté de ne pas avoir pu préparé le truc. J’étais en train de passer le
balai, dans l’action, je revenais du jardin et ce qui me fais dire que la
victime intérieure n’existe plus, c’est seulement le fait que j’ai été à
l’aise. Je lui ai proposé un thé puisque j’avais soif et bien qu’elle n’en ait
pas voulu, j’ai fait chauffer de l’eau. Je n’ai pas lâché le fil de mon action
parce que je sais qu’elle n’attend pas de conseil et même qu’elle n’écoute pas
ce que je lui dis.
Mais ça ne m’a pas dérangé, blessée ou vexée. C’est le signe
que la victime intérieure, le sauveur et le bourreau; le critique, ne sont plus sur le devant
de la scène.
Je
lui ai prêté le tome deux des rayons sacrés de Joéliah parce que ça lui fait du
bien et qu’elle y croit.
Quand on a des angoisses existentielles, il est essentiel de commencer par calmer le mental,
lui donner de l’espoir afin qu’il ne se sente pas prisonnier des circonstances.
Puis je lui ai parlé de l’enfant intérieur, d’être une mère pour soi-même, de
parler à son âme et de lui confier ses peines. Bien évidemment je lui parle de la
respiration qui calme et de l’importance d’exprimer ses émotions, de ne pas les
retenir mais je n’ai pas eu le temps de lui expliquer comment faire parce qu’en
fait elle a juste besoin de vider son sac, d’être écoutée, de se confier.
Je
peux voir combien j’ai lâché prise sur les tendances à vouloir sauver,
transmettre des connaissances à tout prix, partager mes croyances. Parce que
derrière ce besoin d’aider l’autre, et d’ailleurs, tout besoin dissimule une
frustration, derrière ce besoin, il y a celui de se convaincre de ce à quoi on
croit. Quand on a tendance à douter d’une croyance à laquelle on veut
s’accrocher, on a besoin de vérifier comment l’autre va y réagir afin
d’être conforté dans nos choix. S’il est enthousiaste, notre croyance va se
renforcer mais s’il la remet en question, on va commencer à douter.
C’est une
stratégie foireuse parce qu’il n’y a qu’en expérimentant soi-même les choses,
en étant dans l’action, en faisant un premier pas qu’on affirme ses valeurs.
Parce qu’au final, il ne s’agit que de nos propres valeurs, elles-mêmes
dépendantes de nos croyances.
Et quand on se rend compte que les croyances sont
changeantes, qu’elles constituent des repères momentanés sur notre parcours, on
en voit le côté illusoire et en même temps l’enfermement qui nait si on s’y
accroche.
Vouloir convaincre l’autre est une façon d’affirmer le doute de soi,
son impuissance, sa difficulté à accepter la réalité des choses, les faits. Et
si on ne peut pas accepter ce qui est, c’est parce qu’en nous, des parts intérieures
sont encore marquées par un trauma, une injustice, une croyance de l’enfance.
On vit une division interne entre ces aspects du passé et la personne que nous
sommes aujourd’hui.
On culpabilise, on se dévalorise d’avoir des pensées infantiles, injustes,
des réactions d’enfant, intérieurement, alors on tente de les cacher aux autres
et à soi-même mais si on ose les voir, le seul fait de les regarder en face
nous en dissocie.
Mais ça ne se fait pas dans la violence, ça se réalise dans
la tendresse de la reconnaissance, de l’acceptation.
Lorsqu’on écoute ses
pensées du passé depuis notre conscience d’adulte, avec la compassion qu’on
aurait pour un enfant face à nous, on est rempli de douceur, on comprend la
peine, la colère, la douleur de cet enfant.
Cette écoute bienveillante suffit à
restaurer la paix, l’amour en soi et le cadeau de l’enfant, ce sont les
énergies de vie bloquées à l’époque du trauma.
Elles viennent à nouveau nous
remplir offrant l’enthousiasme, la créativité, le désir d’être, de vivre, de
s’amuser, de s’émerveiller, d’avoir de la joie.
Tant qu’on ne regarde pas les
pensées émotions de l’enfant en nous, on se sent coupable d’avoir de la joie.
On sait au fond de nous qu’il y a toutes ces émotions refoulées, toutes ces
peurs, on porte littéralement l’injustice en nous même par le fait de ne pas
oser regarder cela en face.
On est à la fois la victime et le bourreau, on fait
subir à l’enfant ce qui l’a traumatisé à chaque fois qu’on repousse ces
vieilles pensées émotions du passé.
Quand
on apprend à s’observer de l’intérieur, à porter son attention sur les
mouvements internes et à s’habituer à cela, à accepter que notre humeur puisse changer,
on va aussi se rendre compte que notre humeur dépend de la forme que prennent
les mouvements internes, les pensées, les émotions.
Et dans cette observation
neutre, on va pouvoir sentir un espace qui lui ne change pas, reste toujours en
paix. La conscience qui sait qui elle est, qui est
lucide et sereine. La conscience qui observe les pensées, les émotions sans en être
affectée, qui voit cela avec neutralité.
Pour
en revenir à la voisine, je n’ai pas changé ma façon d’être, je ne me suis pas
excusée pour le bazar dans l’appart. D’ailleurs ça n’est pas vraiment du bazar,
c’est juste un appartement où il y a du mouvement, de la vie, un lieu habité.
Donc,
je n’ai pas changé ce que je suis vis-à-vis de la voisine et je pense que c’est
ce qu’elle vient chercher en me parlant.
Elle sait que je peux l’écouter sans
rentrer dans son jeu, sans la juger et sans nourrir ses peurs ou ses jugements,
sans prendre à cœur tout ce qu’elle peut dire à propos de ses fils. Puis comme
je lui parle toujours de la même chose, d’être libre de dire, de faire, de
lâcher son rôle, ses ‘obligations’ de mère (elle à plus de soixante ans…) elle
aime venir prendre un bol d’air chez moi !
Le
seul fait de pouvoir se lâcher, dire ce qu’on a sur le cœur à quelqu’un en
sachant qu’on ne sera pas jugé, critiqué ou moqué, est déjà une forme de
thérapie.
C’est ce que je fais avec mes corps, mon âme, la mère intérieure,
avec mon corps physique que je considère maintenant comme mon meilleur ami,
avec l’enfant intérieur, l’ado, la source père mère au travers de la terre et
du ciel, du soleil, de la rivière, le chêne que j’enlace, les animaux qui
partagent ma vie.
En
fait quand on porte sa conscience amoureuse sur quelque chose, on lui donne vie
en notre tête, en notre cœur, on se relie avec et les paroles, les pensées
énergies qu’on émet en direction de cet ‘objet’, reviennent amplifiées, parfois
au travers de la bouche de quelqu’un, d’un message, d’une idée, d’une situation,
d’une sensation et dans l’instant, on se sent en paix, aimé, compris, accepté.
C’est
une façon de prendre conscience de l’inter reliance entre toutes choses, de
l’effet miroir, de la loi d’attraction aussi puisque ce qui nous revient trouve
son origine en nous.
Voyons
la suite de la méditation de Deepak Chopra.
Chaque jour, on se focalise sur une
pensée et on se recentre avec un mantra, lorsque les pensées viennent perturber
la méditation.
Le
premier jour, c’était : « Aujourd’hui,
je m’ouvre à la présence des miracles » Mantra : « Om »
Le
deuxième, hier :
« Je suis un être spirituel radieux »
Mantra « So Hum, So Hum »
Et
aujourd’hui :
« Je suis un être
merveilleux, je suis un miracle de la vie » Mantra : « Sham »
Espérons qu'un miracle se réalise parce que j'ai semé la dernière planche de carotte qui a été inondé par trois averses orageuses...Je verrais bien ce soir ou demain, ce qu'il en est.
J'ai dû couper la box à cause de l'orage et me suis fait ma méditation "maison"...
Un des avantages de l'acceptation, du lâcher prise, c'est de prendre la vie comme elle vient, de ne plus se prendre la tête pour quoi que ce soit.
On est alors beaucoup plus actif, efficace, réaliste et conscient de l'amour lumière que nous sommes puisqu'on se le prouve continuellement en ne se jugeant pas en ne se critiquant pas. On fait, on donne le meilleur de soi-même et ça amplifie l'amour de soi, en soi. La relation aux autres est beaucoup plus détendue...
La
pensée de Neale Donald Walsch
En
ce jour de votre vie, je crois que Dieu souhaite que vous sachiez …
que si vous posez une question impertinente, vous êtes sur le chemin
d’une réponse pertinente.
que si vous posez une question impertinente, vous êtes sur le chemin
d’une réponse pertinente.
Jacob
Bronowski a dit cela, et il avait raison. Par conséquent, ne soyez
jamais effrayé de poser la question qui semble sans importance.
Surtout si cela à voir avec la religion ou avec Dieu.
jamais effrayé de poser la question qui semble sans importance.
Surtout si cela à voir avec la religion ou avec Dieu.
CaD
dit : « Questionnez ! Questionnez ! Soyez toujours dans le
questionnement* ! ». C’est lorsque vous pensez que vous avez toutes
les réponses que l’expansion s’arrête, que la croissance stoppe
et que votre arrogance commence.
questionnement* ! ». C’est lorsque vous pensez que vous avez toutes
les réponses que l’expansion s’arrête, que la croissance stoppe
et que votre arrogance commence.
Quelle
question souhaitez-vous posez humblement aujourd’hui ?
Avec
tout mon amour, votre ami ..
Neale
Neale
Les
textes traduits n’ont pas toujours la clarté d’origine et je suppose qu’il s’agit
de questionner, dans le sens de remettre en question, les dogmes, les
croyances, les « vérités » transmises par l’élite, les gouvernements.
Je rigole chaque fois que j’écris ce mot : gouverne-ment ; celui qui règne
par le mensonge, lol ! Sans oublier de remettre en question nos propres croyances jusqu'à trouver notre vérité, celle de l'être tout entier.
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci