mercredi 10 juin 2015

La liberté vient quand on cesse de résister à ce qui est, la paix en découle et on voit les choses de façon optimiste, malgré les apparences.






J’ai commencé la journée par mon rituel sacré sur le trône, ma connexion à la terre pour la remercier de me nourrir, de me porter, me donner un toit, un corps, puis j’ai demandé à mon âme de me dire si elle est masculine ou féminine, enfin s’il y a ; l’âme et la conscience. La réponse des plus simples a calmé les questionnements.
"L’âme ou l’esprit, peu importe, est une énergie qui est partout, en tous tes corps elle s’exprime à travers eux selon leur nature mais elle œuvre derrière et en tout ce que tu es. Derrière tes pensées émotions en tant qu’observateur, présence infinie et éternelle". 

Le mental exprime ce que le corps ressent, il essaie de traduire cette énergie qui est en soi et reliée au feu de la terre que certains appellent Kundalini; l’énergie du désir, de création, l’énergie sexuelle, la force de procréation qui permet de matérialiser les désirs dans cette dimension à travers le corps physique, par les pensées, les émotions, les actions. 

L’impulsion de la vie circule en chacun de nos corps par les chakras et va se diffuser dans les cellules, dans tout le corps via les circuits, sanguin, nerveux, lymphatique, les neurones, les hormones…Le feu de l’esprit est l’énergie vitale de la source dans son aspect vivifiant, transmutant tout comme le feu de la terre qui a aussi cette capacité à recycler, à brûler, transformer, créer. 
"Simplifie les choses, il y a l’impermanent, les pensées, les émotions et même le corps physique qui change au fil du temps et la présence, cette énergie lumineuse, bienveillante et infinie qui s’infiltre au travers de tout ton être. Plus tu vas focaliser ton attention sur elle, sur la paix, plus ton champs d’action s’élargira. Ça n’est que lorsque tu crois tes pensées limitantes, lorsque tu crois être tes émotions ou ton corps physique seulement, que tu perds la notion de qui tu es, de l’éternité qui vibre en toi.

Reviens simplement à la conscience que tu es fondamentalement éternelle et infinie. 
Tout est réalisable il suffit que naisse le désir en toi, qu’il soit sincère et constant qu’il parcourt tout ton être, pour que la vie te soutienne en ce sens".

Bon, je vais faire mon tour sans le soleil cette fois-ci. La fraicheur fait beaucoup de bien, je m’en délecte.
C’est vrai que les questions quotidiennes finissent par compliquer les choses mais en même temps, elles ramènent à la raison, l'essentiel. Juste être, vibrer, sentir, en toute confiance et laisser les pensées émotions qui demandent à sortir, s’exprimer, sans les retenir.
J’ai parlé un peu vite, le soleil s’est montré à l’endroit où je me connecte à lui le matin, depuis la fenêtre de la cuisine. J’aime intégrer le grandiose dans mon quotidien, me souvenir à chaque instant de ce que je suis en vérité, et éternellement. Le soleil est la représentation de 'amour lumière et un parfait miroir de ce qui vibre en soi.
C’est une façon de ne pas se croire coincé dans cette dimension, ce corps, ces pensées, de pouvoir lâcher prise avec plus de facilité. Tout comme la reliance à la Terre, mère de nos corps physique remplit du sentiment de sécurité, révèle l'harmonie naturelle.

J’ai détecté la peur d’être absorbée, de me fondre dans l’infini. J’ai eu cette sensation quelques fois et ça n’a pas été des plus joyeux. Ce qui a été inconfortable, la première fois, ce que j’en ai déduit, c’est que le corps physique n’est rien mais comme je le haïssais déjà, ça n’a rien arrangé à l’affaire, le sentiment d’être enfermée dedans, limitée, a amplifié et l’envie de ne jamais l’habiter avec.
Puis la seconde fois, je recommençais à prendre goût à l’aspect matériel de la vie, au fait de se nourrir, de pouvoir agir. Je venais de finir la peinture de tout l’appart et l’effet propre, neuf, renouveau me stimulait puis comme j’avais tout fait moi-même, le sentiment d’être valable me faisait du bien. Quand j’ai senti que je me diluais, je me suis vite raccrochée à la raison, à la sensation corporelle.
La foi au christ a été plus subtile bien que puissante, au niveau des ressentis mais c’était mêlé aux émotions que j’associais à l’amour alors qu’il s’agissait de la passion. Le feu de la terre qui montait et celui du ciel qui se frayait un chemin, illuminant mon mental d’espoir, enfin !
A cette période, un matin au réveil, j’ai eu la forte sensation qu’un être m’observait. 
J’ai vu son visage l’espace d’une fraction de seconde et maintenant je pense que c’était une version future de moi-même. Peut-être ce que je suis maintenant ou dans quelques temps. Si je me souviens bien, c’est ce matin que j’ai arrêté de fumer le bang dès le réveil. En plus, à cette période je fumais du shit, qui port bien son nom ! 
Quand j’y pense, je me dis que l’humain, le corps, le mental, l’esprit, sont très puissants puisque je pouvais fonctionner ‘normalement’ malgré ce que mon cerveau recevait comme poison. 
Mais il fallait au moins ça pour cacher le dégoût de la vie, le personnage de victime que je ne voulais pas être, que je refusais de voir. Et j’étais relativement indépendante, libre et assumais le minimum pour être dans le confort. Mes priorités n’étaient pas celles de la majorité des gens mais je le vivais bien.
Puis dernièrement, alors que je commençais à sentir monter une angoisse liée à l’attraction que j’exerçais sur un homme avec qui j’avais eu des relations difficiles, la sensation d’être plongée dans un espace infini, celle d’une immense liberté m’a envahie.

Maintenant que je réintègre mon corps physique, que je l’habite consciemment et volontairement, je comprends que la recherche de sensation forte, l’attente de quelque chose de sensationnel me coupe de la réalité et me place dans l’attente m’empêchant de capter, de sentir ce qui est là, ce qui est toujours là. 
Puis rechercher l’extase, pour fuir la réalité, pour combler des besoins de fusion, de communion, que la vie nous permet de vivre, dans la simplicité, la sincérité de cœur, dans les rencontres avec l’autre, dans la transparence, la fraternité, c’est encore un leurre. 

La vie nous offre tout sur un plateau. Les sensations que l’on expérimente dans des choses simples mais vraies, les satisfactions lorsqu’on créé, lorsqu’on échange un sourire, une parole bienveillante, un peu de tendresse, de douceur.

On recherche l’extraordinaire en dehors de soi ou même en soi sans se rendre compte que le seul fait d’être vivant est déjà un miracle. Très souvent, on apprécie ce que l’on est lorsqu’on est à la limite de tout perdre. Idem pour les relations avec notre entourage, c’est lorsqu’un être cher décède qu’on se rend compte à quel point on l’aimait. 






Le paradoxe de l’humain divin est justement ce qui nous permet de relativiser. 
Savoir qu’une part essentielle de ce que nous sommes est immuable et éternelle permet de ne pas se soucier de la mort, de l’apprivoiser au jour le jour par le fait que tout change, que tout soit cyclique. 
C’est aussi cette réalité qui donne toute sa beauté à la vie, au moment présent. 
De cette façon on peut apprécier chaque étape de notre parcours parce que tout est éphémère. 
Tout se meurt et renait, chaque minute qui passe ne reviendra pas mais il n’y a aucun regret à avoir puisqu’il y a un après qui s’offre à nous. Et quand on cesse de lutter avec soi-même, avec la vie, quand on accepte d’incarner son corps, d’être le plus présent possible, d’habiter ce moment de tout notre être, d’utiliser tout notre potentiel créatif, notre imagination, notre capacité de créer, de faire de chaque geste quotidien un moment de présence, de connexion à soi, au soi, à tous ces corps, on se sent pleinement vivant.

Je crois que j’ai cafouillé dans les doses de médicaments hier mais ça ne m’angoisse pas. J’ai ressenti des peurs venues de nulle part se manifester et j’ai laissé faire. Je me suis contentée d’observer cela sans m’identifier aux pensées qui se sont apaisées.

Régulièrement je demande à la terre mère de m’aider à me sentir en sécurité et au ciel d’éclairer ma vision mais je ne cherche plus à être dans un état particulier, en paix ou dans la joie. Je me contente de respirer, de focaliser mon attention sur le corps, de localiser les crispations et de les relâcher sans intellectualiser, sans chercher à savoir d’où ça vient ni quand ça va partir.

Les chats sont venus tous les deux en ballade hier soir. On n’est pas allés bien loin mais c’était marrant d’être ensemble, tous les quatre, sur ce chemin devenu mon parcours de connexion avec la réalité du vivant, de la nature. 
Des douleurs au pied droit sont réapparues, celles que j’ai trainées pendant deux ans et qui avaient fini par s’en aller. Je ne me suis pas affolée, j’ai demandé à mon corps physique de me dire éventuellement quelle en était la cause, si je pouvais faire quelque chose pour aider la guérison. 
Puis j’en ai profité pour lâcher la peur de la mort, pour accepter l’idée qu’un jour je devrais quitter cet endroit. 
Vivre pleinement oui mais s’accrocher à la vie par peur de la perdre, c’est encore nourrir la victime impuissante. C’est se sur identifier au personnage de surface. 
S’accrocher à l’éphémère amène des souffrances inutiles, on ne peut rien retenir, on ne peut rien figer et c’est tant mieux. La vie serait insupportable si elle restait en l’état.
Une bonne douche agrémentée de pensées d’amour, de lumière, de gestes tendres, en étant consciente de la chance de pouvoir exister, de disposer de confort, d’être libre de penser, d’agir, d’être, de créer…ça régénère le corps et l'esprit.

La liberté vient quand on cesse de résister à ce qui est, la paix en découle et permet de voir les choses de façon optimiste, peu importe les apparences
Cette nuit, j’ai été enseignée mais je n’en ai plus trop de souvenir, je reste convaincue que c’est une réunion entre la conscience et l’inconscient, un genre de mise au point, d’actualisation des données.

J’ai passé trois heures dehors à nettoyer, semer des carottes, récolter des framboises, planter des piquets pour les plantes grimpantes s’y agrippent, bref, de l’action, de la créativité, du mouvement, dans la liberté d’être et le calme malgré des bruits de débroussailleuse. J’ai beaucoup transpiré et c’est une façon de détoxiquer le corps naturellement. 
Je suis moins sensible à ce qui ce passe autour de moi et ça vient du fait d'accepter ce qui est, de l’ancrage à la terre tout autant que de la connexion au ciel, la conscience de tout ce que je suis, spirituellement et humainement. Se rappeler qui on est, revenir en son cœur, à la conscience du divin en soi, de l’éternité que nous sommes en essence, détend le mental et les autres corps suivent naturellement.

La voisine est venue frapper à la porte pour me raconter ses problèmes et je n’ai pas été déstabilisée, irritée ou perturbée. Je savais à quoi m’attendre et j’ai un peu regretté de ne pas avoir pu préparé le truc. J’étais en train de passer le balai, dans l’action, je revenais du jardin et ce qui me fais dire que la victime intérieure n’existe plus, c’est seulement le fait que j’ai été à l’aise. Je lui ai proposé un thé puisque j’avais soif et bien qu’elle n’en ait pas voulu, j’ai fait chauffer de l’eau. Je n’ai pas lâché le fil de mon action parce que je sais qu’elle n’attend pas de conseil et même qu’elle n’écoute pas ce que je lui dis. 
Mais ça ne m’a pas dérangé, blessée ou vexée. C’est le signe que la victime intérieure, le sauveur et le bourreau; le critique, ne sont plus sur le devant de la scène.
Je lui ai prêté le tome deux des rayons sacrés de Joéliah parce que ça lui fait du bien et qu’elle y croit. 
Quand on a des angoisses existentielles, il est essentiel de commencer par calmer le mental, lui donner de l’espoir afin qu’il ne se sente pas prisonnier des circonstances. 
Puis je lui ai parlé de l’enfant intérieur, d’être une mère pour soi-même, de parler à son âme et de lui confier ses peines. Bien évidemment je lui parle de la respiration qui calme et de l’importance d’exprimer ses émotions, de ne pas les retenir mais je n’ai pas eu le temps de lui expliquer comment faire parce qu’en fait elle a juste besoin de vider son sac, d’être écoutée, de se confier.

Je peux voir combien j’ai lâché prise sur les tendances à vouloir sauver, transmettre des connaissances à tout prix, partager mes croyances. Parce que derrière ce besoin d’aider l’autre, et d’ailleurs, tout besoin dissimule une frustration, derrière ce besoin, il y a celui de se convaincre de ce à quoi on croit. Quand on a tendance à douter d’une croyance à laquelle on veut s’accrocher, on a besoin de vérifier comment l’autre va y réagir afin d’être conforté dans nos choix. S’il est enthousiaste, notre croyance va se renforcer mais s’il la remet en question, on va commencer à douter. 
C’est une stratégie foireuse parce qu’il n’y a qu’en expérimentant soi-même les choses, en étant dans l’action, en faisant un premier pas qu’on affirme ses valeurs. 
Parce qu’au final, il ne s’agit que de nos propres valeurs, elles-mêmes dépendantes de nos croyances. 
Et quand on se rend compte que les croyances sont changeantes, qu’elles constituent des repères momentanés sur notre parcours, on en voit le côté illusoire et en même temps l’enfermement qui nait si on s’y accroche. 
Vouloir convaincre l’autre est une façon d’affirmer le doute de soi, son impuissance, sa difficulté à accepter la réalité des choses, les faits. Et si on ne peut pas accepter ce qui est, c’est parce qu’en nous, des parts intérieures sont encore marquées par un trauma, une injustice, une croyance de l’enfance. On vit une division interne entre ces aspects du passé et la personne que nous sommes aujourd’hui. 
On culpabilise, on se dévalorise d’avoir des pensées infantiles, injustes, des réactions d’enfant, intérieurement, alors on tente de les cacher aux autres et à soi-même mais si on ose les voir, le seul fait de les regarder en face nous en dissocie. 
Mais ça ne se fait pas dans la violence, ça se réalise dans la tendresse de la reconnaissance, de l’acceptation. 
Lorsqu’on écoute ses pensées du passé depuis notre conscience d’adulte, avec la compassion qu’on aurait pour un enfant face à nous, on est rempli de douceur, on comprend la peine, la colère, la douleur de cet enfant. 
Cette écoute bienveillante suffit à restaurer la paix, l’amour en soi et le cadeau de l’enfant, ce sont les énergies de vie bloquées à l’époque du trauma. 

Elles viennent à nouveau nous remplir offrant l’enthousiasme, la créativité, le désir d’être, de vivre, de s’amuser, de s’émerveiller, d’avoir de la joie






Tant qu’on ne regarde pas les pensées émotions de l’enfant en nous, on se sent coupable d’avoir de la joie. On sait au fond de nous qu’il y a toutes ces émotions refoulées, toutes ces peurs, on porte littéralement l’injustice en nous même par le fait de ne pas oser regarder cela en face. 
On est à la fois la victime et le bourreau, on fait subir à l’enfant ce qui l’a traumatisé à chaque fois qu’on repousse ces vieilles pensées émotions du passé.  

Quand on apprend à s’observer de l’intérieur, à porter son attention sur les mouvements internes et à s’habituer à cela, à accepter que notre humeur puisse changer, on va aussi se rendre compte que notre humeur dépend de la forme que prennent les mouvements internes, les pensées, les émotions. 
Et dans cette observation neutre, on va pouvoir sentir un espace qui lui ne change pas, reste toujours en paix. La conscience qui sait qui elle est, qui est lucide et sereine. La conscience qui observe les pensées, les émotions sans en être affectée, qui voit cela avec neutralité.
Pour en revenir à la voisine, je n’ai pas changé ma façon d’être, je ne me suis pas excusée pour le bazar dans l’appart. D’ailleurs ça n’est pas vraiment du bazar, c’est juste un appartement où il y a du mouvement, de la vie, un lieu habité. 
Donc, je n’ai pas changé ce que je suis vis-à-vis de la voisine et je pense que c’est ce qu’elle vient chercher en me parlant. 
Elle sait que je peux l’écouter sans rentrer dans son jeu, sans la juger et sans nourrir ses peurs ou ses jugements, sans prendre à cœur tout ce qu’elle peut dire à propos de ses fils. Puis comme je lui parle toujours de la même chose, d’être libre de dire, de faire, de lâcher son rôle, ses ‘obligations’ de mère (elle à plus de soixante ans…) elle aime venir prendre un bol d’air chez moi !

Le seul fait de pouvoir se lâcher, dire ce qu’on a sur le cœur à quelqu’un en sachant qu’on ne sera pas jugé, critiqué ou moqué, est déjà une forme de thérapie. 
C’est ce que je fais avec mes corps, mon âme, la mère intérieure, avec mon corps physique que je considère maintenant comme mon meilleur ami, avec l’enfant intérieur, l’ado, la source père mère au travers de la terre et du ciel, du soleil, de la rivière, le chêne que j’enlace, les animaux qui partagent ma vie.

En fait quand on porte sa conscience amoureuse sur quelque chose, on lui donne vie en notre tête, en notre cœur, on se relie avec et les paroles, les pensées énergies qu’on émet en direction de cet ‘objet’, reviennent amplifiées, parfois au travers de la bouche de quelqu’un, d’un message, d’une idée, d’une situation, d’une sensation et dans l’instant, on se sent en paix, aimé, compris, accepté.
C’est une façon de prendre conscience de l’inter reliance entre toutes choses, de l’effet miroir, de la loi d’attraction aussi puisque ce qui nous revient trouve son origine en nous.

Voyons la suite de la méditation de Deepak Chopra. 
Chaque jour, on se focalise sur une pensée et on se recentre avec un mantra, lorsque les pensées viennent perturber la méditation.
Le premier jour, c’était : « Aujourd’hui, je m’ouvre à la présence des miracles » Mantra : « Om »
Le deuxième, hier :
« Je suis un être spirituel radieux » Mantra « So Hum, So Hum »
Et aujourd’hui :
« Je suis un être merveilleux, je suis un miracle de la vie » Mantra : « Sham » 

Espérons qu'un miracle se réalise parce que j'ai semé la dernière planche de carotte qui a été inondé par trois averses orageuses...Je verrais bien ce soir ou demain, ce qu'il en est. 
J'ai dû couper la box à cause de l'orage et me suis fait ma méditation "maison"...
Un des avantages de l'acceptation, du lâcher prise, c'est de prendre la vie comme elle vient, de ne plus se prendre la tête pour quoi que ce soit. 
On est alors beaucoup plus actif, efficace, réaliste et conscient de l'amour lumière que nous sommes puisqu'on se le prouve continuellement en ne se jugeant pas en ne se critiquant pas. On fait, on donne le meilleur de soi-même et ça amplifie l'amour de soi, en soi. La relation aux autres est beaucoup plus détendue...

La pensée de Neale Donald Walsch
En ce jour de votre vie, je crois que Dieu souhaite que vous sachiez …
que si vous posez une question impertinente, vous êtes sur le chemin
d’une réponse pertinente.
Jacob Bronowski a dit cela, et il avait raison. Par conséquent, ne soyez
jamais effrayé de poser la question qui semble sans importance.
Surtout si cela à voir avec la religion ou avec Dieu.
CaD dit : « Questionnez ! Questionnez ! Soyez toujours dans le
questionnement* ! ». C’est lorsque vous pensez que vous avez toutes
les réponses que l’expansion s’arrête, que la croissance stoppe
et que votre arrogance commence.
Quelle question souhaitez-vous posez humblement aujourd’hui ?
Avec tout mon amour, votre ami ..
Neale

Les textes traduits n’ont pas toujours la clarté d’origine et je suppose qu’il s’agit de questionner, dans le sens de remettre en question, les dogmes, les croyances, les « vérités » transmises par l’élite, les gouvernements. Je rigole chaque fois que j’écris ce mot : gouverne-ment ; celui qui règne par le mensonge, lol ! Sans oublier de remettre en question nos propres croyances jusqu'à trouver notre vérité, celle de l'être tout entier. 

Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr  et ces trois lignes. Merci