Comme
j’ai entrepris de mettre de l’ordre dans ma vie, de m’aligner à l’amour lumière
que je suis, et comme je ne suis plus en guerre intérieure contre les pensées,
les émotions, la peur, la colère, la culpabilité, la honte…tout naturellement j’envisage
de diminuer les doses de cachets, juste pour pouvoir ressentir l’énergie d’amour,
la présence en moi.
Je sais que ça va remuer, que des émotions risquent de
remonter mais comme je les accepte, les laisse être sans m’y identifier, du moins comme je sais qu'elles m'appellent à la tendresse envers tout ce que je suis, ça
devrait le faire.
Je me sens prête à
lâcher une épaisseur de la carapace puisque ces derniers jours, je n’ai
pas eu le réflexe conditionné de prendre un bout de cachet quand ça tanguait en
dedans.
Il y a d’une part les pensées émotions refoulées qu’on peut contacter
en parlant à l’enfant en soi, à l’ado, à ces parts coincées dans l’espace temps
par un événement traumatique non assimilé, qui demandent à être actualisé et d’autre
part, les pensées émotions du quotidien qui viennent titiller ces souvenirs
afin que nous puissions justement les mettre à jour par le lâcher prise, l’acceptation.
L’acceptation
est une forme de détente psychique qui permet à l’amour lumière en nous, de
circuler librement et de restaurer ainsi la santé au niveau énergétique et
comme tous nos corps sont interdépendants, interconnectés, tous les chakras en bénéficient,
l’ensemble de nos corps est alignés sur l’amour, le divin en soi.
La sagesse
du vivant peut alors émerger naturellement. Elle n’est pas le résultat d’un raisonnement
logique bien que le mental puisse interpréter, ou comprendre le processus de
guérison, c’est une forme de sagesse innée, instinctive, naturelle qui est
spontanée.
Le vécu l’expérience, les croyances donneront un sens logique à cela
mais comme ça relève de la dimension infinie de l’être, l’interprétation sera
aléatoire, fluctuante, relative aux croyances du moment.
Pour cette raison il
est bon de ne pas s’attacher aux interprétations mentales qui donnent du sens,
une forme de cohérence, qui permet de ne pas lutter et favorise l’harmonie intérieure. C’est une des
raisons qui fait que notre aspect logique, pensant peut se détendre.
De cette
façon, on intègre l’idée que chacun ait sa propre vérité, celle de son vécu qui
forge sa vision de la vie et on devient plus permissif à l’égard des autres, on
ne cherche plus à les changer ou même à les sauver.
Le sentiment de sécurité ressenti depuis l’espace
du cœur permet de relativiser le quotidien tout en ayant conscience de son
importance dans l’expérience d’être un humain.
La connaissance de sa vraie
nature permet de trouver la confiance en la vie et en soi.
De lâcher les
exigences et de s’aligner sur la volonté de l’âme, du divin, en venant en son cœur
afin de voir ce qui est depuis l’espace confiant où on sait que tout est bien,
que tout a une raison d’être mais on ne cherche pas le pourquoi du comment.
J’ai
écouté la vibra-conférence d’Isabelle Padovani et à chaque fois, bien que je
sois d’accord avec ce qu’elle dit, je me dis qu’elle intellectualise beaucoup
les choses et même si elle donne des clefs de guérison, elle ne laisse pas beaucoup
de place à l’autoguérison.
Elle est lucide mais trop portée sur le mental, la
sagesse innée n’a pas de place dans son discours. Pourtant, ce qu’elle décrit
peut être vécu sans passer par la compréhension mentale.
Il
est vrai aussi que cette sagesse en soi est vite interprétée de façon trop
éloignée de la réalité, trop subjective pour en faire une vérité universelle
cependant, dans l’espace du cœur, lorsqu’on est dans l’amour de soi et de la
vie, les prises de conscience, pour soi-même, les révélations, tant de notre vraie
nature que des masques portés se succèdent. Ce qui restaure l’amour et l’harmonie
en soi.
Sont point de vue est très masculin et il manque l’aspect féminin, pas
le côté séduction mais l’énergie du désir, celui qui nous pousse vers une
personne du sexe opposé.
On peut tout à fait vibrer l’amour pour toute vie,
quelle qu’elle soit mais la nature nous a créé hommes et femmes et ça n’est pas
par hasard.
J’ai toujours senti que mes blocages, mon passé, faussaient ma vision
mais il me semble que la guérison totale doit permettre de vivre une relation
de couple épanouie.
On passe par plusieurs phases dans le processus
de guérison et celui de l’abandon des jugements est essentiel, ce qui veut dire
qu’on va s’autoriser à agir selon nos désirs profonds, caler sa vie sur nos
besoins et les assouvir selon nos possibilités du moment.
Pour
certain il sera question d’acquérir plus de liberté afin de lâcher la
culpabilité, la honte. Pour d’autres ce sera de s’investir dans une carrière en
relation avec ses préférences, ses goûts afin de connaitre l’énergie de la
créativité et d’asseoir sa personnalité, de se démarquer en étant indépendant
financièrement, en gérant sa vie de façon à reprendre une part de son pouvoir,
pour aller vers la souveraineté.
On
va aussi amplifier l’amour de soi et lorsqu’on a passé sa vie perché dans les mondes
astraux, de l’imagination, de la psyché, revenir à quelque chose de pragmatique
permettra de trouver une forme d’équilibre entre rêve et réalité.
Toute
notre vie, nous cherchons à équilibrer ce que nous sommes, à vivre en harmonie intérieure
entre ce que nous portons et ce qui nous constitue.
Trouver
le juste équilibre entre l’humain et le divin, le féminin et le masculin, l’intemporel
et le présent, le spirituel et le matériel…constitue le voyage de toute une vie
et même au-delà.
Pour
moi, il ne fait aucun doute que nous venons apprendre à intégrer l’amour que
nous sommes, et ce, que nous en soyons conscients ou non.
La vie nous place
dans des situations qui vont nous permettre d’intégrer des vérités
universelles, ce qui a pour effet de libérer notre essence, l’amour et la lumière
que nous sommes, l’énergie de vie, de désir et l’intelligence, la conscience.
La
vie étant en mouvement perpétuel, on ne peut s’arrêter sur des vérités qui sont
en fait des croyances repères pour le mental. Ces croyances évoluent au fil du
temps, de l’expérience, elles vont changer selon ce que nous expérimentons mais
surtout c’est ce que nous expérimentons qui va changer notre regard sur
nous-même et sur la vie.
Plus
notre essence vitale, le feu de la terre et le feu du ciel qui nous traversent
et dont nous sommes issus, est intégrée, plus elle prend sa place, plus nous
devenons conscient de sa présence et plus notre vie deviendra amoureuse et lumineuse.
J’ai commencé les méditations guidées avec Deepak Chopra juste pour me familiariser
avec le lâcher prise, pour être capable d’écouter et de suivre une voix étrangère
à la mienne. Simplement pour reprendre confiance en l’autre, en l’homme.
C’est
la suite logique de la guérison du masculin en moi, de la guérison de ma vision
et des interprétations que j’en ai faite au cours de ma vie.
Ceci me montre une
fois de plus que si on interprète ce qui est depuis ce que nous voyons à l’extérieur,
si nous basons nos croyances sur l’interprétation qu’on a des faits, avec le
mental d’un enfant, ça va conditionner notre comportement, note vécu et à moins
de revenir à ces périodes clefs de notre évolution, ou plutôt du blocage de celle-ci,
on va rejouer les mêmes scénarios douloureux.
Il
existe de méthodes pour mieux se connaitre, pour mieux communiquer et il est
vrai que la CNV (communication non violente) en est une efficace mais quand j’entends des gens qui la
pratique en parler, je me dis que c’est quelque chose d’innée en soi, que c’est
justement le langage du cœur.
Lorsqu’on on émet un jugement sur soi ou sur l’autre,
en revenant en notre cœur, on va voir le caractère injuste de celui-ci. On
verra la peur, la croyance qui l’a déclenché.
Et de cette façon, on pourra alors actualiser
cette croyance, parler aux parts blessées ou moins matures, depuis l’espace du cœur
où la sagesse maternelle et paternelle de ce que nous sommes va s’exprimer.
On
reconnait ses voix qui sont bienveillantes, lucides, qui nous ramènent à la
réalité de ce qui est, dans l’instant, avec tendresse.
L’avantage de suivre une
thérapie, c’est qu’elle restaure la relation à l’autre mais ça n’est pas
obligatoire. Il suffit qu’un seul être puisse nous comprendre, nous écouter
avec empathie, sans jugement, sans attente, pour que ceci soit restauré mais
avant tout, c’est en ayant ce regard bienveillant pour soi-même, sur les parts
enfantines, innocentes en soi, qu’on retrouve la confiance en soi et donc en l’autre.
Pour ce qui est d’activer, d’éveiller l’amour en soi, une relation authentique
avec des êtres quels qu’ils soient est un excellent moyen. Les animaux et
les bébés sont champions en la matière !
Très peu d’être humain est
véritablement authentique, on joue des rôles en s’y identifiant plus ou moins.
Pour cette raison, développer la transparence, en soi, permet non seulement de
détecter tout ce qui n’est pas de l’amour, tout ce qui se manifeste depuis la
peur, tous les comportements, personnages engendrés par cette énergie qui a gouverné
le monde et les êtres depuis des siècles mais c’est aussi la condition sine qua
none de la découverte de sa vraie nature.
La
vraie personnalité est au-delà des blessures générées par l’histoire, le vécu :
l’être éternel, infini, cette étincelle de la source qui est connectée à ses
origines et dont nous pouvons sentir la présence à divers degrés de conscience.
L’âme serait la mémoire des ressentis, des expériences, une énergie logée dans
tous les corps, dans l’inconscient, la part non consciente de la psyché,
la mémoire de tout ce qui a été perçu sensoriellement et les conclusions qui
ont été tirées de ces expériences.
Puis l’aspect masculin, conscience pure, dépourvue
de sentiments, un regard neutre sur ce qui est, la présence lucide en soi,
celle qui voit au-delà des jugements bien mal.
L’âme est cet aspect féminin,
maternant qui guide la personnalité sur son chemin de vie, l’aide à comprendre
les expériences, à se tourner vers la source intérieure, vers l’océan
d’amour lumière, la source père mère.
J’essaie de situer les différents aspects
de l’être et il m’apparait que bien que tout soit inter-reliés, on peut distinguer
de type d’énergies, le masculin et le féminin. Rien de nouveau mais en fait j’essaie
de revenir à la base, de comprendre ses énergies au-delà des croyances passées,
au-delà de ce que je peux voir à l’extérieur, d’une façon objective, enfin le
plus possible. Il me semble évident qu’il faille unifier ses deux aspects
complémentaires en soi afin d’être dans son plein potentiel, de pouvoir créer
sa vie en conscience, dans l’harmonie, l’équilibre.
Puis comme nous sommes
différenciés, la logique voudrait que ceci ait une raison d’être et ce qui me
semble le plus juste, au-delà de l’idée de procréation, c’est de pouvoir
sublimer les aspects de l’être dans l’interconnexion.
D’aligner les corps,
chacun étant connecté au soi, à son corps physique, aux énergies du ciel et de
la terre et centré en son cœur afin de s’unir depuis cet espace et se
rencontrer à tous les niveaux de l’être.
Déjà,
tout comme dans la relation à soi, il est indispensable de se sentir en
confiance pour oser être vrai, sans jouer un rôle, être capable de
transparence, de dire ce que l’on ressent dans l’instant, sans craindre d’être
rejeté.
Ce qui demande une profonde connaissance de soi et de savoir contacter,
ressentir l’amour en soi afin de ne pas être dans l’attente, comme le disait
Isabelle Padovani dans sa vibra-conférence très instructive mais trop courte
pour exposer en détail les différentes sortes d’amour. Je vais rechercher l’article
que j’avais publié à ce propos qui distinguait l’eros de l’agape…
Donc
pour résumer, il m’apparait que si nous sommes différenciés sexuellement, ça n’est
pas uniquement pour la survie de l’espèce.
On peut vivre sa vie comme un
animal, selon l’instinct, être motivé par nos pulsions et définir nos
stratégies pour assumer nos besoins vitaux qui répondent à la peur de la mort,
au besoin de laisser une trace, d’avoir une descendance et de jouir de la vie.
Puis évidemment
puisque l’humain est doté d’un cœur, d’une conscience, de sentiments, de
pensées et d’émotions, selon notre niveau de conscience de nous-même et l’amour
qu’on laisse circuler en soi, on vivra des relations en conséquences.
Si
je pense que je ne suis qu’un corps, que la vie est faite pour en jouir, je vais
vouloir prendre, me nourrir de l’autre, contrôler la vie afin qu’elle corresponde
à mes besoins. Accès tout sur le plaisir afin de jouir de la vie, de ce qu’elle
peut apporter comme sensations et son potentiel de réalisation, d’acquisition.
Mon
pouvoir s’exercera dans la séduction et je jouerais des rôles qui me
permettront d’augmenter mon pouvoir sur l’autre et sur la vie, dans tous les
domaines.
La vie m’apprendra que je ne suis pas seule sur terre, que je ne suis pas
le roi du monde et que le pouvoir sur les autres est à double tranchant puisqu’on
vit dans la lutte, la compétition et qu’on trouve toujours plus fort que soi.
Si
j’ai conscience que je ne suis pas qu’un corps, je vais tenir compte de ce que
mon cœur me dicte, écouter mon intuition et afin de me comprendre, je vais
chercher à l’extérieur des gens qui croient aussi au fait qu’on est autre chose
qu’un corps seulement.
Là, ça se complique gravement parce qu’on tombe dans les
religions, les modèles à suivre, les techniques pour approcher le divin qui en
général nient ou méprisent l’aspect humain, charnel de l’être.
Puis
il y a une autre voie, celle qui consiste à se dire que tout est en soi, que le
divin est tout ce que nous sommes et que pour le connaitre, il faut se
dépouiller du passé, des croyances, des références extérieures afin de naitre
à soi, au soi, à l’être unifié, harmonisé, complet.
Et
le chemin direct, c’est l’amour de soi, l’ouverture de cœur et d’esprit qui
permet de recevoir la connaissance, celle de nos comportements, de la constitution
de nos corps et par la reliance à tout ce que nous sommes, de l’intérieur, une
nouvelle approche, une nouvelle vision une nouvelle vie commence.
Partir
du principe que tout est divin, parfait et que ce ne sont que nos croyances,
nos pensées émotions basées sur la peur qui faussent notre vision et limitent
notre être, remet les pendules à l’heure.
Sachant
que nous sommes amour et lumière en essence, la source père mère incarnée dans
de multiples corps qui forment un univers, l’être unique que nous sommes ouvre
la voie de la multidimensionnalité.
Elle est perceptible justement par l’observation
neutre de nos corps, de nos pensées, de nos émotions et en portant un regard
bienveillant sur soi, la vision s’éclaire, notre essence divine apparait dans l’alchimie,
la réconciliation avec les différents aspects de l’être.
Bon,
je vais au jardin bien que la terre soit imbibée, j’ai envie de continuer à m’activer,
à créer dans la matière, à interagir avec le vivant, apprendre à faire
avec, à m’adapter à ce qui est plutôt que
de vouloir le changer.
Cette
connexion aux éléments, à la nature, à la terre et au ciel restaure le
sentiment de sécurité, de puissance, révèle l’infini que nous sommes et permet
d’accepter les limites de l’incarnation.
La pensée du jour de Neale Donald Walsch et une autre piochée "au hasard":
En
ce jour de votre vie, je crois que Dieu souhaite que vous sachiez …
que la confiance n’est pas nécessaire lorsque vous ne voulez rien
ou n’avez besoin de rien.
que la confiance n’est pas nécessaire lorsque vous ne voulez rien
ou n’avez besoin de rien.
Si
vous vous demandez si vous pouvez faire confiance à quelqu’un,
regardez de près ce que vous voulez ou ce dont vous avez besoin
de leur part. Si vous ne voulez rien ou n’avez besoin de rien,
la confiance n’est pas un problème.
regardez de près ce que vous voulez ou ce dont vous avez besoin
de leur part. Si vous ne voulez rien ou n’avez besoin de rien,
la confiance n’est pas un problème.
Et,
bien sûr, vous n’avez besoin de rien, de qui que ce soit,
étant donné Qui et Ce Que Vous Etes. Vous êtes l’expression
de la Divinité Elle-Même, et la Divinité est votre Source.
étant donné Qui et Ce Que Vous Etes. Vous êtes l’expression
de la Divinité Elle-Même, et la Divinité est votre Source.
Penser
que vous avez « besoin » de quelque chose,
étant donné cela, ne serait rien de plus qu’une incompréhension.
étant donné cela, ne serait rien de plus qu’une incompréhension.
Avec
tout mon amour, votre ami …
Neale
Neale
En
ce jour de votre vie, je crois que Dieu souhaite que vous sachiez …
que vous n’êtes pas ici-bas pour rassembler
des possessions matérielles.
que vous n’êtes pas ici-bas pour rassembler
des possessions matérielles.
Ne
vous inquiétez pas de vos biens matériels.
Placez votre attention sur votre but divin
— l’évolution de votre âme — et vous trouverez
la paix même sur Terre.
Placez votre attention sur votre but divin
— l’évolution de votre âme — et vous trouverez
la paix même sur Terre.
Vous
n’aurez pas besoin de plus d’une seconde
pour savoir exactement pourquoi vous recevez
ce message aujourd’hui.
pour savoir exactement pourquoi vous recevez
ce message aujourd’hui.
Avec
tout mon amour, votre ami ..
Neale
Neale
Je
viens de faire un tour sur un site qui relaie des infos de beaucoup de sources
diverses, des sites qui mettent en évidence les arnaques des gouvernements, les
scandales, la corruption…rien de nouveau le
monde a toujours été géré de cette façon, selon la loi du plus fort et en ‘évoluant’,
selon la loi du plus rusé, celui qui en a dans le ciboulot, celui qui est
capable de manipuler, de mentir, de tricher, de séduire, de jouer un rôle et d’être
crédible. Les vedettes, les politiques font autant envie qu’ils suscitent
de jalousie.
Le
Problème majeur de la société, c’est le mensonge mais chacun s’en nourrit et
cherche à suivre le modèle qui le rendra riche, célèbre et plein de succès.
Même au niveau spirituel, on court derrière des maitres, on veut savoir ce qu’ils
disent à propos des mystères du monde et plus c’est le chaos, plus on veut
savoir.
Ce ‘on’ derrière lequel tout le monde se cache, ces pseudonymes que
chacun endosse pour se créer une image qui corresponde à ses fantasmes, son
modèle spécifique, son idéal, est précisément ce qui éloigne de l’être
véritable.
Pour
trouver la source en soi, le ‘divin’, il n’y a qu’un seul chemin, celui de la
transparence.
Aucun stage, aucune formation, aucun soin si nouveau soit-il ne
peut amener à trouver sa propre lumière.
Seul un cœur sincère, un désir de
vérité, celui qui vient quand on réalise l’état du monde, et un face à face
avec soi-même permet de trouver l’essence, l’étincelle, la source d’amour et de
lumière que nous sommes.
Tant
qu’on accuse l’extérieur de notre mal-être, tant qu’on ne vient pas faire le
ménage en soi, le monde sera perçu dans ses aspects les plus vils.
Crier au
scandale n’est pas nouveau non plus.
Il y a deux mil ans, un être est venu nous
enseigner les bases ; la façon de trouver la source père mère en soi, le
fait de balayer devant sa porte, de garder sa demeure en ordre, de faire aux
autres ce qu’on voudrait qu’ils nous fassent, de chercher premièrement le
royaume de dieu, de redevenir comme un petit enfant, de se dépouiller des
illusions de ce monde, de laisser les morts enterrer les morts…
L’humain
a tellement peur de lui-même, de ses appétits, de la vie qui s’écoule en lui,
du désir, d’oser être vrai, qu’il cherche à l’extérieur, un père une mère, un
guide, un dieu, quelqu’un qui lui dira quoi faire et comment agir pour mériter
les faveurs de la vie pour ne plus souffrir, pour trouver le bonheur.
Quand on
observe un humain de près, sa constitution anatomique, son potentiel, sa
capacité d’utiliser ses cinq sens, de se mouvoir, d’agir, de penser de s’émouvoir,
de choisir, de créer, on peut aisément constater la perfection de cette
création digne d’une intelligence extraordinaire.
En commençant par connaitre
son corps de l’intérieur, en agissant avec soi-même de la façon dont on
voudrait voir ce monde, on comprend ce que veut dire aimer, être en paix. Si on
se libère de la peur, du jugement arbitraire, de la critique, le monde n’apparait
plus comme un lieu hostile, notre vision devient bienveillante.
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci