Ce matin, le ciel est couvert alors je peux me laisser aller librement à écrire. C'est d'autant plus appréciable quand ça n'est pas une routine. J'aime vivre mes journées en m'adaptant à la météo parce que je me sens connectée à ce qui est vrai (même si l'humain intervient avec les chemtrails), à la vraie vie, à la nature et mon propre rythme biologique est à son "meilleur" lorsque je m'aligne au rythme du soleil, au cycle naturel du vivant.
De la même façon que lorsque je m'aligne à la fréquence du soleil intérieur, la paix, l'harmonie et la joie se manifestent.
Chaque
fois que je me tourne à l’intérieur lorsque l’extérieur stimule des pensées
émotions, des réactions en surface, le même processus se déroule.
La première
chose qui revient en mémoire, c’est que la solution est à l’intérieur, dans ce
retour à soi et déjà ça, c’est une façon de calmer le mental et d'être conscient.
Derrière ce
rappel, il y a la conscience que l’extérieur me renvoie ce que je porte et
surtout la connaissance que le mental est un allié, un ami, un outil de
perception, d’expression, qui bien qu’il ne me définisse pas totalement, est
une part importante de l’être, respectable et nécessaire dans cette
incarnation.
Tant que je pense le contraire et c’est très souvent ce qui arrive
quand on s’engage sur une voir dite spirituelle, je vais lutter contre moi-même
et souffrir de cette division interne en entretenant le conflit et l’illusion.
Je
resterais accrochée à mes croyances, en la certitude que ce monde est un terrain hostile où je dois choisir mon camp.
Et comme je me considère comme un être spirituel, je vais chercher à amplifier
la lumière en refoulant ce que j’appelle l’obscurité.
Tant que je ne vais pas
en profondeur et que je m’identifie à la surface et à ses mouvements, je vais
souffrir de manque, être submergée par les émotions de plus en plus extrêmes et
excessives. Jusqu’à ce que mon corps physique exprime avec violence ce que je
vis à l’intérieur au travers d’un symptôme, d’une maladie.
La
peur de la peur, la croyance en la nécessité de lutter, de devoir mériter l’amour
et la paix, de devoir gagner pour avoir de la valeur, de devoir me défendre
pour faire ma place, pour être respecté, vont continuer de maintenir cette
identification à la surface.
Les croyances basées sur la notion de bien et de
mal vont me pousser à chercher à me positionner dans le monde pour m’affirmer.
Et c’est encore la projection de ce que je vis en moi-même qui m’est montrée de
façon claire et même insupportable afin que je puisse me tourner à l’intérieur.
Et
lorsque je le fais, je peux voir et surtout ressentir que je suis la paix, que
je suis l’amour mais pour le constater sans douter, il me faut le manifester.
Non pas en disant « peace & love » à ceux qui sont autour de moi,
en affirmant cela haut et fort, mais en le vivant à l’intérieur, en faisant l’expérience
de la tendresse qui se déverse lorsque je cesse de nourrir la lutte et la
division.
L’amour
qu’on exprime à l’extérieur est toujours à l’image de ce que nous vivons en
dedans et il est toujours limité, conditionné lorsqu'on s'identifie à la personnalité et même quand on sait qui on est parce que notre mode habituel est celui de l'inconscience, de l'absence d'écoute et de présence à soi.
Il n’est jamais offert
gratuitement, il y a toujours des attentes et même quand on sent que nous
sommes une âme incarnée dans un corps de chair, tant qu’on n’a pas embrassé ce
qu’on appelle l’ego, on agit de façon calculée, préméditée.
Il n’y a pas à s’en
vouloir pour autant parce que c’est inconscient, automatique, mais ça n’est pas
non plus une fatalité.
Le
seul fait de reconnaitre cela, de voir qu’on agit par conditionnement, c’est
déjà s’ouvrir à une réalité plus vaste de l’être et si on a conscience de la
puissance de l’amour inconditionnel, on va pouvoir se l’offrir en cessant de se
faire la guerre.
Et
en s’offrant cet amour on va commencer à vraiment savoir ce qu’il est dans sa
pureté, en dehors de toute projection, de tout calcul et de toute définition.
Le sens de cette vibration vient par l’expérience, le ressenti et sa valeur, sa
consistance, son goût seront perçus comme la paix, la joie subtile, la force.
Plus
on va le sentir et moins on aura besoin de le définir et d’en parler. Ces
supports référentielles ne seront plus nécessaires à mesure qu’on en goûtera l’immensité.
Immensité dans le sens où il est partout, derrière chaque peur, intention, manifestation...
Si j’en parle ici à longueur de temps, c’est au départ par intuition et par
expérience, celle du pardon, de l’acceptation vis-à-vis de mon passé qui m’a
libérée de la haine et de l’esprit de vengeance. Puis il y a eu cette
illumination du cœur et de l’esprit qui m’a amené à savoir que j’existe
au-delà de la souffrance, de mon histoire, de ma personnalité limitée et
victime des autres et de la vie. C’est le mental en quête de reconnaissance
extérieure tout autant que l’impulsion de l’âme qui m'ont poussée à témoigner de
ce chemin de connaissance, de reconnaissance de soi. Une façon d’affirmer ma
vision tout en restaurant l’estime de soi. La personnalité en quête de vérité
et le désir de partager mon point de vue au sujet de la foi m’ont guidée en ce
sens et le désir de revivre l’expérience puissante d’éveil m’a donné l’élan de
chercher. L'attente m'a poussée à vouloir aller plus loin, à comprendre ce que j'avais vécu et à vouloir le ressentir à nouveau mais c'est en lâchant cette attente et en plongeant à l'intérieur que la vérité se révèle.
La
victime intérieure en quête de guérison a aussi participé à cet élan à
témoigner en toute authenticité mais ça n’est qu’en acceptant de regarder mes
peurs en face, d’accueillir l’émotion de la victime que je suis peu à peu
sortie de cet état.
Je
dis peu à peu parce qu’il demeure encore les réflexes conditionnés qui se
manifestent par le sentiment de déception, de ne pas oser me montrer, de
craindre encore le rejet ou l’incompréhension. Et c’est quand je vois que d’autres
osent affirmer avec assurance et sans complexe, ce dont je témoigne ici, que
ces sentiments douloureux de la victime se manifestent.
Il
est clair que le fait d’avoir anesthésié mes émotions avec des drogues puis
avec des médicaments, n’a rien résolu à mon hypersensibilité puisque le bagage
émotionnel que je trimballe depuis l’enfance n’a pas pu être libéré totalement.
Mais c’est encore une vision faussée des choses parce que toutes les prises de
conscience m’ont permis d’agir au niveau mental/énergie, de me désidentifier des
pensées de peurs, de doutes et de me préparer à aborder les émotions sous un
angle nouveau.
Le
fait de ne plus les craindre et de pouvoir les accueillir, les laisser s’exprimer
librement et de retrouver ainsi la paix intérieure m’a déjà libéré de l’identification
à ces mouvements internes naturels. L’amour qui circule maintenant plus
librement à l’intérieur, entre mes corps subtils, me libère des attentes
extérieures, peu à peu.
En
ne croyant plus ni mes pensées de dévalorisation, ni leurs émotions associées,
je suis libérée du conflit interne et ma vie est beaucoup plus paisible depuis
que je ne définis plus en termes de bien et mal ce qui émerge.
Maintenant
que la confiance vis-à-vis de tout ce que je suis est solide, c’est une
question de patience, de persévérance, de conscience et de présence.
En
découvrant Nassrine Reza, j’ai senti cette tristesse interne qui s’exprimait
avant par de l’auto critique, de la colère envers l’addiction aux médocs. C'était très violent mais ça n'est plus perçu avec autant d'attachement, de passion, d'identification.
Je me
suis contentée de le voir, de ne pas chercher à le nier, à me justifier ou à
essayer de changer cela.
Je constate que c’est seulement lorsque j’ai accueilli
ce qui émerge dans l’instant et que malgré l’émotion, la paix demeure en moi, même
si parfois c’est à peine perceptible, que des idées nouvelles apparaissent
naturellement. Je vois alors les choses autrement, plus clairement et surtout sans violence, avec neutralité et bienveillance.
La plupart du temps, c’est le sentiment d’être sur
la bonne voie, celle de l’unité intérieure, de l’amour inconditionnel et de la
paix, qui se manifeste. Cette confiance en soi qui vient de l’accueil est précisément
ce qui me manquait et me faisait douter.
C’est
une confiance qui grandit, qui est de plus en plus solide. Confiance en la
bienveillance de la vie, en la capacité de mes corps subtils à agir en se
laissant guider par la source. Et en ma personnalité humaine, en son potentiel.
Tant
que cette confiance n’est pas acquise par le vécu, par l’accueil en soi-même ou
l’offrande à l’amour lumière en soi de tout ce qui nous perturbe, on
va s’accrocher à des croyances et se laisser agir par nos comportements
inconscients.
J’ai
constaté aussi que j’avais attiré une expérience qui me renvoyait à la victime
mais aussi au sauveur intérieur, à ces rôles inconscients et par nature
imperceptibles à moins de savoir que ce sont des stratégies et que l’autre nous
renvoie cela.
J’ai
commencé par voir et accueillir tout ce qui émergeait quand j’ai pris
conscience du jeu qui s’était joué. Les pensées de colère envers moi-même de m’être
fait avoir, de ne pas avoir vu le schéma ou d’avoir ignoré les quelques signes
intuitifs qui auraient pu m’alerter. Puis j’ai reconnu que j’avais nourris ce
jeu, que je l’avais provoqué par certains aspects et que derrière cela, c’était
encore la peur qui se dissimulait.
Une fois que j’ai fait la paix avec
moi-même, que j’ai laissé s’exprimer librement toutes ses pensées en les
observant sans juger, j’ai pu affirmer ma position vis-à-vis de l’extérieur
sans agresser, sans me justifier en étant relativement neutre.
Je dis relativement
parce que je ne peux pas savoir comment l’autre peut percevoir ce que j’exprime
mais comme je n’ai pas la main à ce sujet, comme la réaction de l’autre lui
appartient, je n’ai pas nourrit de culpabilité.
Il m’a fallu tout de même
un certain temps pour éclaircir les choses
et je ne l’ai pas fait intellectuellement, en cherchant à argumenter, j’ai
attendu d’être en paix pour m’exprimer.
Si j’avais nourri la critique ou
accusé l’autre de me manipuler, j’aurais nourri le jeu de rôle et la division
intérieure. Et donc entretenu l’état de victime impuissante, la souffrance et l’identification
à la personnalité, à l’histoire et au passé.
On
peut s’aider en écrivant tout ce qui nous passe par la tête en pareille
situation, de façon spontanée, sans rien bloquer, censurer. Puis en se relisant
on va détecter la voix de la victime et surtout pouvoir laisser les émotions s’exprimer
librement en gardant à l’esprit le fait que ce sont uniquement des énergies qui
ont besoin d’être vécues à l’intérieur pour être pacifiées, harmonisées.
J’ai
découvert les vidéos de Nassrine Reza depuis une semaine au moins mais il m’a
fallu prendre conscience de tout ce que ça suscitait en moi pour pouvoir enfin
les partager ici sans avoir l’impression de perdre quoi que ce soit.
Le désir d’accompagner
les gens sur ce chemin de libération est sincère et je ne doute pas que ce soit
la raison d’être de mon âme mais tant que c’est la victime ou le sauveur, qui sont
aux commandes, ou qui mènent la danse, il est inutile de proposer quoi que ce
soit.
Il est essentiel que je commence par définir ce qui me porte vraiment à
agir, si c’est une façon de vouloir combler des carences affectives, auquel
cas, je nourris le déni et le rejet de soi. Et sans une confiance totale et
véritable en soi, si je ne suis pas dans l’amour inconditionnel pour tout ce
que je suis et en paix à l’intérieur, si je continue à m’identifier à la
personnalité, je ne ferais que reproduire les mêmes schémas inconscients et les
jeux de rôles.
Je
reviens donc à l’essentiel, qu’est-ce que je veux partager, transmettre,
quelles sont mes valeurs, dans quel état je veux me sentir chaque jour. Puis à
partir de là, j'agis en conséquence et je fais confiance à la vie qui me guide et me montre par effet
miroir lorsque je m’identifie à mes pensées émotions.
Elle m’apprend à ne plus
rejeter ce qui émerge, à aborder l’émotion comme un message, un appel à se
centrer et juste à observer.
Puis dans ce processus je nourri ce qui est
essentiel pour moi à savoir la paix, la liberté d’être et l’amour vrai, sans conditions.
Une fois que je sais
revenir en mon centre, nourrir ce que suis, de la vibration de la source, la
paix et la confiance deviennent constantes.
Et
c’est sur cette vibration que la personnalité s’accorde naturellement.
Je
ne cherche plus du tout à savoir comment je vais m’y prendre pour mettre en
place ce qui me tient à cœur, je fais confiance à la vie, à mon âme qui sait ce
dont j’ai besoin pour agir dans la justesse et l’équilibre.
Dans ce processus j’apprends
aussi à reconnaitre le langage de l’âme, du corps physique, le sens des pensées
émotions, à focaliser mon attention sur le cœur et ainsi à rassembler mes
énergies.
De cette façon l’hypersensibilité n’est plus en problème mais elle
est utilisée dans cette écoute, observation intérieure profonde. Et c’est
précisément cela qui me donne la force et la confiance nécessaire, la faculté
de faire des choix déterminés et clairs vis-à-vis de l’extérieur.
J’apprends à
laisser l’énergie de vie circuler librement et à servir les gestes qui
nourrissent mon besoin de créativité et d’épanouissement. A suivre l’intuition
qui s’exprime dans la spontanéité en sachant que ça me révèle toujours ce que
je porte, tant ce que je suis fondamentalement qu’à la surface et en profondeur.
Quel que soit l’élan ou la motivation qui me portent, tant que je sais que c’est
seulement une projection de mon état d’être, d’un désir je ne m’identifie pas à
cela. Et je vais pouvoir mieux me connaitre, mieux aimer parce qu’en laissant
cet amour intérieur agir, il se déploie naturellement, s’exprime librement sans
attente ni calcul.
Lorsqu’il circule librement en soi, il rayonne naturellement
vers l’extérieur de la même façon. Il n’y a donc plus un seul objet qui l’attire,
il devient impersonnel ou plutôt il rayonne sur tout ce qui est, peu importe la
forme.
La peur de la dépendance affective se dissout en cela et elle révèle
aussi l’interdépendance au travers des jeux de miroir, l’inter-reliance au
niveau de l’âme, de l’être. En ce sens il n’y a donc aucune raison de s’approprier
qui que ce soit, et donc d’éprouver un sentiment de perte si la personne s’éloigne.
Ce qui ne veut pas dire non plus qu’on devient insensible et froid mais on ne s’attache
pas outre mesure aux autres ou à quelqu’un en particulier.
Et déjà quand l’amour
peut circuler librement en soi, il nourrit l’être, on se sent comblé, satisfait
d’être ce qu’on est.
Je vais aller contempler les fleurs éphémères du jardin et
remercier les nuages d’être là parce que ça m’a donné le temps d’écrire. Il est
bon de redéfinir ses priorités et plus j’accueille tout ce que je suis, plus je
peux faire des choix qui correspondent à mes vrais besoins.
Mais là encore, ça
n’est pas le mental qui dirige, ce sont les gestes qui s’accordent à la
vibration à ce désir de nourrir l’amour en soi. Le geste compulsif de prendre
un cachet s’est reporté sur la bouteille d’eau et c’est parce qu’il nourrit
tous les corps qu’il devient naturel.
La conscience humaine sait pourquoi elle
le fait, connait les répercussions sur le corps émotionnel qui fonctionne avec
le mental et le corps physique montre des signes d’approbation. Mon âme m'a guidée sur cette info essentielle et c'est parce qu'elle émane de quelqu'un qui est conscient de ce qu'elle est, qui tient compte de tous les aspects de l'être, que j'ai été pleinement réceptive à son message.
Le fait que j’ai
pu admettre l’importance de cet élément, même si je le savais avant, est le
témoignage direct du fait d’aborder les émotions en conscience et en
connaissance de cause.
Tout mes corps sont d’accord pour manifester ce geste,
ils sont alignés sur l’amour de soi, sur la fréquence du cœur et c’est ce qui
rend le geste facile.
Il n’y absolument pas à forcer mais juste à nourrir la
confiance en l’amour lumière que nous sommes et se laisser guider par le cœur.
Je pressentais que la délivrance de la dépendance aux cachets devait être un processus facile, simple et naturel. Enfin simple d'un point de vue mental parce qu'à l'intérieur, c'est infiniment complexe. Même si le geste est encore là, il n'a plus du tout le même sens ni le même impact et la diminution en est facilitée.
Quand j’ai constaté que mon ventre était de plus en plus gras, plutôt que de me
critiquer, de me dire que je négligeais ce corps, j’ai eu de la compassion pour
l’enfant intérieur et le besoin de protection qui se manifeste de cette façon. Ça
c’est l’aspect psychologique et il n’engage que moi mais ce qui est certain c’est
que je n’ai pas cédé à la peur de déplaire ou cherché des moyens de la faire
disparaitre. J'ai demandé à mes corps de me dire ce qui créait cela et je suis tombée sur l'article de Nassrine Reza qui a fortement résonné.
Je vous encourage vivement à visiter son site:
« Le Pouvoir de l'Accueil » Nassrine Reza; http://www.nassrinereza.com
Je suis tombée aussi sur une vidéo d’exercices physiques visant
justement à perdre cette graisse abdominale et c’est "normal" puisque l’heure
des vacances approche.
Là c'était une occasion de faire un choix: soit de vouloir agir sur l'extérieur comme le font la majorité des gens, soit de faire confiance à tout ce que je suis.
En voyant que ces gestes/exercices n’ont rien de naturel, ça m’a
conforté dans mon choix de nourrir l’amour intérieur, de m'ouvrir au messages du corps, de l'âme, plutôt que de vouloir contrôler les choses et de nourrir la peur, la violence et l'inconscience.
Le
manque affectif supposé créé des réactions en chaine qui nous poussent à agir sur
ce qui est l’ultime manifestation de l’être, la dernière couche si on peut dire
ou celle qui est la plus dense, le corps physique, alors que lui-même réagit à
ce qui est intérieur.
Il s’adapte sans arrêt à ce qui se manifeste en soi au
niveau mental émotionnel et c’est à travers le système endocrinien, entre autres,
qu’il régule la physiologie, maintient l’harmonie intérieure.
En ce sens,
savoir accueillir ce qui se manifeste en soi lui permet de moins travailler/s'épuiser à
rétablir l’équilibre interne. Comme le dit Nassrine Reza, on l’accompagne lorsqu’on
cesse de lui imposer quoi que ce soit.
Il sait parfaitement exister et
maintenir la vie sans que notre mental n’intervienne et c’est encore la preuve
qu’une intelligence supérieure l’habite. Et son amour pour la personnalité, pour la Vie, est immense, chaque battement de cœur en témoigne.
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter
l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr