mercredi 25 mars 2020

« Apprends à faire totalement confiance à ton corps physique » & vidéos




24 03 Ce matin, après une longue nuit de sommeil, c’est l’explosion. La colère envers la façon criminelle et inconsciente du gouvernement de ‘gérer’ cette crise me renvoie invariablement à mes propres élans destructeurs. 
Même si je peux voir les choses d’un autre point de vue par moments, il est important que toute cette colère, que ce sentiment d’impuissance et d’incompréhension face aux multiples incohérences intérieures et extérieures se manifestent librement. 
Et je constate que le calme revient enfin lorsque les larmes coulent. 

Ce qui m’amène dans tous mes états, c’est de voir chaque matin depuis 5 jours, le ciel complètement gris. Cela amène tant de frustrations, de colère, qu’elle finit par exploser enfin après que j’aie pu voir les stratégies d’évitement, les nombreuses façons de s’accommoder à la situation plus proche du déni que de la réalité intérieure. 

Oui, il y a cet espace de paix, ce sentiment de sécurité mais pour l’atteindre, ça demande d’extérioriser tout ce qui est relatif aux anciens modes de fonctionnement. Les pensées de colère face à la façon de fuir, de nier la réalité, de feindre l’acceptation et la sensation que non seulement le monde est insensée mais que j’y participe allégrement par mon comportement. 
Là, c’est la culpabilité qui est à voir et accueillir au travers de larmes. J’ai demandé pardon à mon corps physique de le traiter avec tant de violence par l’usage de clopes et de médicaments mais à chaque fois, je reviens à l’idée que c’est le moyen choisi par l’âme pour justement apprendre à amplifier l’amour.  

C’est clair que ce comportement suscite beaucoup de colère, de frustration, de tristesse et même si c’est insensé pour le mental rationnel, il finit par admettre que cette situation l’empêche de demeurer en mode jugement, lui permet d’avoir plus de compassion pour ceux qui rament, plus d’humilité en  général.


Même si en théorie je peux voir que ce manque de lumière, de soleil est une invitation à se tourner vers le soleil intérieur, ou à ‘respirer dans l’amour’ ça suscite encore beaucoup de réactions. 
Et c’est une bonne chose puisque c’est en abandonnant la lutte intérieure que la paix rayonne, en lâchant la culpabilité que l’amour grandit. 
Même si c’est inconfortable mentalement et physiquement, émotionnellement, c’est de cette façon qu’on apprend à revenir à l’équilibre en conscience, par choix. 
Et les réactions en chaine  suivent. 
Il faut vivre ce processus à chaque fois qu’on est en mode jugement, qu’on sent une vague émotionnelle monter, pour que l’habitude soit prise. 
Les réactions en chaine sont aussi l’abandon des croyances, l’équilibre énergétique, la vibration qui s’élève et la légèreté face aux évènements, aux situations du quotidien.   

Et ça passe par des coups de gueule envers la conscience qu’on perçoit comme une manipulatrice, l’âme comme une entité supérieure qui se fout de la matière, de la chair. Puis peu à peu, on revient à une vision plus équilibrée, un calme psycho-émotionnel, une confiance sans objet juste parce que le calme est revenu. 
Se détacher peu à peu des interprétations, des réactions de culpabilité et donc du mode binaire, amène à porter l’attention sur le présent.
« Fais chier, j’ai l’impression que je vais tomber dans les pommes tellement c’est violent à l’intérieur. Il y a eu les sensations étranges au niveau de la couronne comme si on me trépanait et maintenant ces vertiges flippants. A ce stade, je me dis à quoi bon s’accrocher à la vie si en plus c’est pour mourir un jour, maintenant ? 
Derrière ça il y a la sensation très désagréable de perte totale de contrôle, d’être une marionnette dans ce jeu qu’on appelle la vie. 
La nature au jardin est en suspends, les deux jasmins ont produit des boutons en pagaille qui ne s’ouvrent toujours pas à cause de la baisse de température due aux épandages. 
Je n’en peux plus de cette menace continuelle qui m’empêche de sortir librement. 
Là encore il y a des leçons à tirer mais si j’essaie de comprendre mentalement selon le mode de raisonnement habituel, ancestral, ça cafouille tellement que je lâche l’affaire ».

Je me demande si le sale goût que j’aie dans la bouche, les lèvres qui boudinent au bout de quelques minutes à être dehors sont des effets de la peur ou une réalité extérieure. 
Là encore, le même schéma de pensée est à l’œuvre, celui de la victime impuissante qui accuse l’extérieur de son mal être. Puis je penche tour à tour pour l’effet de la culpabilité liée à l’usage de clope et médocs et l’effet de la peur qui génère du stress et produit des substances amères comme l’adrénaline, le cortisol.
Je viens de me faire piquer par une bestiole dans l’appart ! J’ai poussée une gueulante et l’aie écrasée.

Là encore je peux me dire que les réactions violentes ne sont pas toujours mauvaises et qu’elles sont incontrôlables. La peur et la culpabilité sont les poisons de l’humanité parce qu’ils mènent à la violence mais il y a une force supérieure, celle de l’amour. 




Inutile de s’attendre à ressentir quelque chose de spécial qui ressemblerait à de la tendresse parce que dans sa version énergétique, c’est un flux puissant capable de submerger, d’engloutir, de brûler ou de consumer. C’est une sensation qui me vient subitement et me renvoie aux sensations physiques dont j’ai parlé un peu plus haut.

Se défaire des définitions habituelles au sujet de l’amour est aussi nécessaire parce qu’on parle de l’énergie de vie, celle qui crée des univers et quand on pense au big bang, on a une petite idée de sa force.

J’en reviens donc à l’idée qui s’installe peu à peu, l’amour est la volonté d’équilibre des forces issues de la même source et manifestées en mode polarisé. Polarisé ne veut pas dire nécessairement conflictuel même si c’est de cette façon qu’on le vit en soi, dans le monde. 

Les relations homme/femme basées sur la domination de l’un sur l’autre qui évoluent peu à peu vers un partage de cette domination qui s’exerce tour à tour par l’un et l’autre. La femme qui domine psychologiquement, qui manipule l’homme en sachant que sont point faible, c’est le besoin sexuel et l’homme qui domine par la force, l’enfermement, tout cela s’inverse, évolue mais on reste dans le rapport de force.

J’en reviens à la lutte interne entre les pulsions qui poussent à prendre une clope, un bout de médocs et les jugements qui s’ensuivent. C’est clair que la volonté de contrôle sur le geste entretient la vibration guerrière et par-dessus tout, ce geste compulsif est généré par le corps lui-même. Ce qui rend la question délicate parce que même si les stratégies qui sont derrières sont inconscientes, elles me permettent tout de même de clamer l’intensité des vagues émotionnelles. Et c'est clair que c'était puissant!

Et tout ce cirque juste parce que je dois aller chercher de l’eau à la source, donc aller dehors sous les chemtrails, en  période de confinement ! Cela amène des peurs soulevées par la situation extérieure qui me renvoie à la façon de gérer les énergies, les pensées, les émotions, c’est le serpent qui se mord la queue.

Là aussi, le confinement ne change rien à ma façon de vivre mais le seul fait que ce soit imposé amène des frustrations et le sentiment d’être contrainte, enfermée. 
Selon le positionnement intérieur, selon que j’aborde les choses par le raisonnement lui-même basé sur la mémoire, un logiciel répétitif qui amène les mêmes réponses aux mêmes questions, ça tourne en rond, ou si je me pose au centre sans faire attention aux pensées, peu à peu la confiance revient. 

Je reviens à l’évidence, l’idée que je me fais des choses influencent directement mon état d’être, ma vision. Combien de temps ce schéma doit être vécu, répété, pour qu’il s’inscrive de façon automatique ? Je parle ici de l’abandon du jugement, du lâcher prise face aux pensées de jugements, du positionnement au centre quand ça remue émotionnellement. 
Ce qui veut dire de laisser sortir ce qui demande à l’être et revenir à l’équilibre sans avoir besoin de cette étape de lâcher prise mental. 
Je dis ça parce que je viens encore de voir le réveil afficher 10 : 01. Je ne compte plus le nombre de fois où je vois ces nombres miroirs et même si sur le moment ça me rassure dans le sens où je me dis que je ne suis pas seule, que je suis soutenue…ça fait léger face à l’intensité des vagues énergétiques. 

D’un  autre côté, comment apprendre à être autonome affectivement, psycho-émotionnellement, comment apprendre à revenir à la vibration alignée à l’amour si je ne vis pas ce processus. 
C’est comme un enfant qui veut apprendre à marcher, au début, les parents lui tiennent la main et quand ceux-ci sont plus confiants, ils le lâchent. 
C’est étonnant que j’écrive cela comme ça parce que je pensais plutôt que l’enfant pour apprendre à marcher doit tomber et se relever, pour sentir qu’il peut se lancer, qu’il est capable mais en fait il agit par impulsion, motivé par l’élan de vie et n’a pas besoin d’être en confiance. Cela est du domaine de l’adulte, la confiance chez un tout petit n’est pas nécessaire puisqu’il l’incarne et même si c’est inconscient chez lui, si l’adulte pense que c’est de l’inconscience c’est une vision conditionnée des choses. 

La pulsion de vie est confiance, désir d’être et de perdurer et elle stimule l’enfant suscitant des peurs chez ses parents. Finalement, c’est le parent qui a besoin d’être en confiance pour lâcher la main de son enfant et ça me ramène à l’idée que l’âme sait quand nous sommes capables de devenir autonomes. 
Ce qu’on perçoit comme un abandon, une perte de soutien est au contraire le signal que nous pouvons ou que nous sommes capables. Capable de devenir autonome mais cela demande d’intégrer la notion de permissivité dont parle Abraham dans le livre au sujet de la loi d’attraction. Il dit que collectivement nous avons compris la loi d’attraction, de résonance et que nous sommes en train d’intégrer la loi de la permissivité. 




C’est clair qu’on ne peut devenir autonome, co-créateur conscient si on pense que l’extérieur doit changer pour qu’on se sente bien. Penser que le monde doit changer pour qu’on se sente en sécurité, en paix, c’est l’expression de l’ignorance, la négation de notre propre pouvoir intérieur. 
Et en ce sens apprendre à être responsable de ses propres vibrations, émanations si c’est perçu au travers de la vision binaire, on va tourner en rond, on va se sentir impuissant dès que la réalité ne correspondra pas à nous attentes, on va se sentir coupable si on croit que la vérité est limitée à la notion de bien et de mal. Il y a une part d’ignorance vis-à-vis de l’énergie, de la façon dont se forme la vibration, comment elle évolue, comment elle se constitue et comment cela se manifeste à l’intérieur/extérieur. On parle de foi mais là il s'agit plutôt d'en faire l'expérience et de sentir le sens de a manifestation, l'effet des fréquences que nous vibrons.

L’ignorance vis-à-vis de l’énergie est normale puisque celle-ci est invisible, impalpable, sans limites, sans frontières dans le temps et l’espace. En ce sens, croire que le mental peut la concevoir est un leurre. Il peut la connaitre au travers des sensations, des ambiances, en percevoir la nature, les lois, par expérience mais il ne peut pas comprendre son caractère infini. 
C’est à travers les émotions, les sensations l’effet miroir, la loi de cause à effet, qu’il peut en percevoir le sens, la force, la texture, les lois. Cela demande de lâcher le mode de perception binaire puisque le monde de l’énergie est régi par des lois qui dépassent le cadre du mental.

A mesure que le calme mental revient, par l’écriture, je vois que ce que je reproche le plus à ces médicaments, c’est qu’ils me font réagir de façon impulsive. N’est-ce pas finalement une bonne chose puisque l’équilibre interne, la manifestation de l’amour, se trouve dans l’abandon du jugement et l’accueil des émotions ? 
Sans ces médocs, je ne serais même pas consciente d’exercer un contrôle sur les émotions tellement cette stratégie a été utilisée depuis l’enfance au point de devenir un aspect de la personnalité. Et là, c'est clair que j'aurais été submergée par la vague de trouille. Connaissant l'effet de la peur sur l'organisme, je vois peu à peu la stratégie de survie en l’occurrence, ces médocs qui ont eu pour effet de calmer la panique, comme une stratégie qui me maintient en vie et qui n'est donc pas si stupide. 

Même si l'accueil émotionnel permet de lâcher prise et de changer de vision, d'état d'être lorsqu'on a pris l'habitude de se couper de ses émotions, il y a intérêt à y aller mollo. Comme je le disais hier, ça demande juste quelques secondes d’attention portée au centre ou au-delà du mental, l’attention portée sur l’état du corps physique, sur sa capacité à se détendre en quelques respirations profondes. Mais vouloir accueillir à tout prix, c'est une forme de manipulation interne, on est encore dans le contrôle.




Revoilà les vertiges ! C’est carrément flippant ! Tu as peur de quoi ? De perdre connaissance, de perdre le contrôle, de mourir. Respire par le ventre, détends-toi. Tout se mélange, envie de pleurer, de crier, mais rien ne sort, c’est la panique ! C’est ça la mort ? Perdre le contrôle, perdre conscience ? 
Pas de réponse mais à la place, une faim qui se manifeste. 
Là encore, c’est une réaction à la peur de la mort ? Reviens à la respiration ventrale, ne t’occupes pas des questions si légitimes soient-elles. Prends un bout de cachet et sent l’effet apaisant. Oui mais ça ne résout rien. Il ne s’agit pas de résoudre un problème mais de laisser les énergies s’équilibrer. Je n’en peux plus ! Mais peu à peu, ça va mieux. Déjà parce que le mental ne se pose plus de questions. Ah, un petit rayon de soleil !

Il faut vraiment que j’arrête de porter mon attention sur le monde, du moins sur les accusations liées à l’ingérence du gouvernement si légitimes soient-elles parce que ça me maintient dans le rôle de victime, la lutte, le sentiment d’impuissance, la sensation d’être hypersensible et d’en souffrir.
Avant quand j’écrivais de façon spontanée donc de mon point de vue, quand la conscience neutre s’exprimait, je vivais une situation qui m’amenait à en faire l’expérience dans la journée. Maintenant, c’est simultané ! C’est comme si l’âme s’ajustait à la conscience neutre, comme si le mouvement de la conscience se focalisait au centre, comme si ces deux points de vue se rejoignaient.
Pas de hasard, voici une vidéo qui tombe pile poil :
 J'ARRÊTE DE LUTTER AVEC MON CORPS - Dr Jean-Christophe SEZNEC
Et la méthode pratique qui suit :
Dr.Seznec "Thérapie A.C.T, la matrice expliquée"

C’est exactement ce dont je prends conscience et partage ici. Il s’agit juste d’être conscient de ce qui se vit en soi. J’essaie d’appliquer cela à la clope et réduit ainsi ma consommation sans trop en souffrir puisque derrière cela, l’idée de me compliquer la vie parce que j’arrive bientôt au bout de mon stock de tabac, vient motiver ce choix d’être davantage consciente. Pour le coup ce besoin d'être libre vient peser dans la balance. Mais il ne s'agit pas de forcer, de s'obliger, juste apprendre à devenir plus conscient et se laisser guider pour agir. 

Encore une fois, ce qui apparait comme un geste négatif peut être considéré comme un moyen, un outil de connaissance de soi, de régulation. Et connaissant la force des croyances qui se fondent sur la représentation qu’on a de soi, d’une situation, en devenir davantage conscient révèle tout autant le piège dans lequel on est que le potentiel qu’il y a derrière. 
On commence par changer la représentation qu’on se fait de la situation par l’observation des stratégies automatiques d’évitement de ce qui est considéré comme un problème et peu à peu le détachement s’opère en douceur. Un détachement vis à vis de la représentation qu'on se fait des gestes dits compulsifs.
Juste parce qu’on se désidentifie des stratégies et de l’image qu’on se fait de celles-ci. 
Tout comme le fait de savoir que l’émotion est une indicatrice de besoin non assouvis et donc en même temps de ce qui fait sens pour soi, aide à pouvoir l’accueillir, le détachement des stratégies mentales/inconscientes nous aide à nous identifier davantage à l’observateur. Mais ça ne peut pas être forcé, sinon c'est le mental qui veut imposer une nouvelle stratégie et qui de ce fait lutte contre le corps physique. C'est clair qu'il a une 'vision' beaucoup plus large que le mental puisqu'il sait gérer des systèmes, des dimensions, des énergies dans l'harmonie. Et de plus, il est connecté à la nature, à l'intelligence de la terre capable elle aussi d'harmoniser ses règnes, ses éléments, son environnement et donc de s'harmoniser aux fréquences cosmiques. 

Thérapie de l'acceptation et de l'engagement
Changer sa perspective en étant dans l’observation neutre révèle ces choses, la valeur des émotions qui sont des infos, l’intelligence du corps physique qui sait ce qui est bon pour l’ensemble des corps, mental compris, la force des croyances, l’émotion messagère et carburant qui permet de passer de à l’action, de l’idée à la manifestation dans la matière.

J’ai suivi l’élan à aller chercher de l’eau à la source et je peux sentir comment le seul fait d’avoir bougé à équilibré les énergies. Quand c’est trop intense à l’intérieur, le mouvement, le fait de bouger, aide les corps mental, émotionnel et physique. D’où une fois de plus l’importance d’apprendre à faire confiance aux élans spontanés.




Dans le désir de transparence, je reviens sur ce qui me dérange dans ce confinement volontaire qui ne change rien à ma façon de vivre si ce n’est le fait que ce soit imposé renvoyant à l’idée que la représentation qu’on se fait des choses influence notre état d’être, c’est l’idée que par ce choix de vie j’avais le sentiment de me distinguer. Et comme cet état est généralisé, je perds ma spécificité. Un pan de l’image de soi, de l’attachement au personnage, qui s’écroule. 
On se construit une personnalité autant par la façon qu’on a de réagir aux évènements de la vie que par notre signature vibratoire particulière, celle qui détermine où on va naitre. Parce que si on considère les choses par la biais de l’énergie, de la vibration et les lois de résonance et d’attraction, il semble logique de penser que nous sommes attirés par un milieu, des gènes et des parents qui vont nous aider à manifester notre essence, notre signature vibratoire spécifique. Elle-même composée d’un certain degré d’ouverture de conscience lui-même lié autant à l’environnement ou au degré de conscience de l’époque, qu’à l’âme dont nous sommes issus.
J’observe mon comportement face au vertige de tout à l’heure, ça génère un remplissage compulsif par la bouche, les oreilles, jusqu’à saturation et quand j’arrive à ce stade, le silence devient nécessaire.   

L'idée maitresse de cette expérience, c'est de ne rien forcer et d'apprendre juste à observer sans remettre en question les gestes compulsifs qui ont leur raison d'être. Parce que si on observe les pensées de jugements qui émanent, on va constater que c'est encore lié aux conditionnements et croyances. "Alors donnes-toi le temps, c'est aussi ça l'amour"

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr  Photos privées