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03 Ce matin, après une longue nuit de sommeil, c’est l’explosion. La colère
envers la façon criminelle et inconsciente du gouvernement de ‘gérer’ cette
crise me renvoie invariablement à mes propres élans destructeurs.
Même si je
peux voir les choses d’un autre point de vue par moments, il est important que
toute cette colère, que ce sentiment d’impuissance et d’incompréhension face
aux multiples incohérences intérieures et extérieures se manifestent librement.
Et je constate que le calme revient enfin lorsque les larmes coulent.
Ce qui
m’amène dans tous mes états, c’est de voir chaque matin depuis 5 jours, le ciel
complètement gris. Cela amène tant de frustrations, de colère, qu’elle finit
par exploser enfin après que j’aie pu voir les stratégies d’évitement, les
nombreuses façons de s’accommoder à la situation plus proche du déni que de la
réalité intérieure.
Oui, il y a cet espace de paix, ce sentiment de sécurité
mais pour l’atteindre, ça demande d’extérioriser tout ce qui est relatif aux
anciens modes de fonctionnement. Les pensées de colère face à la façon de fuir,
de nier la réalité, de feindre l’acceptation et la sensation que non seulement
le monde est insensée mais que j’y participe allégrement par mon comportement.
Là, c’est la culpabilité qui est à voir et accueillir au travers de larmes.
J’ai demandé pardon à mon corps physique de le traiter avec tant de violence
par l’usage de clopes et de médicaments mais à chaque fois, je reviens à l’idée
que c’est le moyen choisi par l’âme pour justement apprendre à amplifier
l’amour.
C’est clair que ce comportement suscite beaucoup de colère, de
frustration, de tristesse et même si c’est insensé pour le mental rationnel, il
finit par admettre que cette situation l’empêche de demeurer en mode jugement,
lui permet d’avoir plus de compassion pour ceux qui rament, plus d’humilité
en général.
Même
si en théorie je peux voir que ce manque de lumière, de soleil est une
invitation à se tourner vers le soleil intérieur, ou à ‘respirer dans l’amour’
ça suscite encore beaucoup de réactions.
Et c’est une bonne chose puisque c’est
en abandonnant la lutte intérieure que la paix rayonne, en lâchant la
culpabilité que l’amour grandit.
Même si c’est inconfortable mentalement et
physiquement, émotionnellement, c’est de cette façon qu’on apprend à revenir à
l’équilibre en conscience, par choix.
Et les réactions en chaine suivent.
Il faut vivre ce processus à chaque
fois qu’on est en mode jugement, qu’on sent une vague émotionnelle monter, pour
que l’habitude soit prise.
Les réactions en chaine sont aussi l’abandon des
croyances, l’équilibre énergétique, la vibration qui s’élève et la légèreté
face aux évènements, aux situations du quotidien.
Et ça passe par des coups de gueule envers la
conscience qu’on perçoit comme une manipulatrice, l’âme comme une entité
supérieure qui se fout de la matière, de la chair. Puis peu à peu, on revient à
une vision plus équilibrée, un calme psycho-émotionnel, une confiance sans
objet juste parce que le calme est revenu.
Se détacher peu à peu des interprétations,
des réactions de culpabilité et donc du mode binaire, amène à porter
l’attention sur le présent.
« Fais
chier, j’ai l’impression que je vais tomber dans les pommes tellement c’est
violent à l’intérieur. Il y a eu les sensations étranges au niveau de la
couronne comme si on me trépanait et maintenant ces vertiges flippants. A ce
stade, je me dis à quoi bon s’accrocher à la vie si en plus c’est pour mourir
un jour, maintenant ?
Derrière ça il y a la sensation très désagréable de perte totale
de contrôle, d’être une marionnette dans ce jeu qu’on appelle la vie.
La nature
au jardin est en suspends, les deux jasmins ont produit des boutons en pagaille
qui ne s’ouvrent toujours pas à cause de la baisse de température due aux
épandages.
Je n’en peux plus de cette menace continuelle qui m’empêche de
sortir librement.
Là encore il y a des leçons à tirer mais si j’essaie de
comprendre mentalement selon le mode de raisonnement habituel, ancestral, ça
cafouille tellement que je lâche l’affaire ».
Je
me demande si le sale goût que j’aie dans la bouche, les lèvres qui boudinent
au bout de quelques minutes à être dehors sont des effets de la peur ou une
réalité extérieure.
Là encore, le même schéma de pensée est à l’œuvre, celui de
la victime impuissante qui accuse l’extérieur de son mal être. Puis je penche
tour à tour pour l’effet de la culpabilité liée à l’usage de clope et médocs et
l’effet de la peur qui génère du stress et produit des substances amères comme
l’adrénaline, le cortisol.
Je
viens de me faire piquer par une bestiole dans l’appart ! J’ai poussée une
gueulante et l’aie écrasée.
Là
encore je peux me dire que les réactions violentes ne sont pas toujours
mauvaises et qu’elles sont incontrôlables. La peur et la culpabilité sont les
poisons de l’humanité parce qu’ils mènent à la violence mais il y a une force
supérieure, celle de l’amour.
Inutile de s’attendre à ressentir
quelque chose de spécial qui ressemblerait à de la tendresse parce que dans sa
version énergétique, c’est un flux puissant capable de submerger, d’engloutir,
de brûler ou de consumer. C’est une sensation qui me vient subitement
et me renvoie aux sensations physiques dont j’ai parlé un peu plus haut.
Se
défaire des définitions habituelles au sujet de l’amour est aussi nécessaire
parce qu’on parle de l’énergie de vie, celle qui crée des univers et quand on
pense au big bang, on a une petite idée de sa force.
J’en
reviens donc à l’idée qui s’installe peu à peu, l’amour est la volonté
d’équilibre des forces issues de la même source et manifestées en mode
polarisé. Polarisé ne veut pas dire nécessairement conflictuel même si c’est de
cette façon qu’on le vit en soi, dans le monde.
Les relations homme/femme
basées sur la domination de l’un sur l’autre qui évoluent peu à peu vers un
partage de cette domination qui s’exerce tour à tour par l’un et l’autre. La
femme qui domine psychologiquement, qui manipule l’homme en sachant que sont
point faible, c’est le besoin sexuel et l’homme qui domine par la force,
l’enfermement, tout cela s’inverse, évolue mais on reste dans le rapport de
force.
J’en
reviens à la lutte interne entre les pulsions qui poussent à prendre une clope,
un bout de médocs et les jugements qui s’ensuivent. C’est clair que la volonté
de contrôle sur le geste entretient la vibration guerrière et par-dessus tout,
ce geste compulsif est généré par le corps lui-même. Ce qui rend la question
délicate parce que même si les stratégies qui sont derrières sont
inconscientes, elles me permettent tout de même de clamer l’intensité des
vagues émotionnelles. Et c'est clair que c'était puissant!
Et tout ce cirque juste parce que je dois aller chercher
de l’eau à la source, donc aller dehors sous les chemtrails, en période de confinement ! Cela amène des peurs soulevées par la situation
extérieure qui me renvoie à la façon de gérer les énergies, les pensées, les
émotions, c’est le serpent qui se mord la queue.
Là
aussi, le confinement ne change rien à ma façon de vivre mais le seul fait que
ce soit imposé amène des frustrations et le sentiment d’être contrainte,
enfermée.
Selon le positionnement intérieur, selon que j’aborde les
choses par le raisonnement lui-même basé sur la mémoire, un logiciel répétitif
qui amène les mêmes réponses aux mêmes questions, ça tourne en rond, ou si je
me pose au centre sans faire attention aux pensées, peu à peu la confiance
revient.
Je reviens à l’évidence, l’idée que je me fais des choses influencent
directement mon état d’être, ma vision. Combien de temps ce
schéma doit être vécu, répété, pour qu’il s’inscrive de façon automatique ? Je
parle ici de l’abandon du jugement, du lâcher prise face aux pensées de
jugements, du positionnement au centre quand ça remue émotionnellement.
Ce qui
veut dire de laisser sortir ce qui demande à l’être et revenir à l’équilibre
sans avoir besoin de cette étape de lâcher prise mental.
Je dis ça parce que je
viens encore de voir le réveil afficher 10 : 01. Je ne compte plus le
nombre de fois où je vois ces nombres miroirs et même si sur le moment ça me
rassure dans le sens où je me dis que je ne suis pas seule, que je suis
soutenue…ça fait léger face à l’intensité des vagues énergétiques.
D’un autre côté, comment apprendre à être autonome
affectivement, psycho-émotionnellement, comment apprendre à revenir à la
vibration alignée à l’amour si je ne vis pas ce processus.
C’est comme un enfant
qui veut apprendre à marcher, au début, les parents lui tiennent la main et
quand ceux-ci sont plus confiants, ils le lâchent.
C’est étonnant que j’écrive
cela comme ça parce que je pensais plutôt que l’enfant pour apprendre à marcher
doit tomber et se relever, pour sentir qu’il peut se lancer, qu’il est capable
mais en fait il agit par impulsion, motivé par l’élan de vie et n’a pas besoin
d’être en confiance. Cela est du domaine de l’adulte, la confiance chez un tout
petit n’est pas nécessaire puisqu’il l’incarne et même si c’est inconscient
chez lui, si l’adulte pense que c’est de l’inconscience c’est une vision
conditionnée des choses.
La pulsion de vie est confiance, désir d’être et de
perdurer et elle stimule l’enfant suscitant des peurs chez ses parents.
Finalement, c’est le parent qui a besoin d’être en confiance pour lâcher la
main de son enfant et ça me ramène à l’idée que l’âme sait quand nous sommes
capables de devenir autonomes.
Ce qu’on perçoit comme un abandon, une perte de
soutien est au contraire le signal que nous pouvons ou que nous sommes
capables. Capable de devenir autonome mais cela demande d’intégrer la notion de
permissivité dont parle Abraham dans le livre au sujet de la loi d’attraction.
Il dit que collectivement nous avons compris la loi d’attraction, de résonance et
que nous sommes en train d’intégrer la loi de la permissivité.
C’est clair qu’on
ne peut devenir autonome, co-créateur conscient si on pense que l’extérieur
doit changer pour qu’on se sente bien. Penser que le monde
doit changer pour qu’on se sente en sécurité, en paix, c’est l’expression de
l’ignorance, la négation de notre propre pouvoir intérieur.
Et en ce sens
apprendre à être responsable de ses propres vibrations, émanations si c’est
perçu au travers de la vision binaire, on va tourner en rond, on va se sentir
impuissant dès que la réalité ne correspondra pas à nous attentes, on va se
sentir coupable si on croit que la vérité est limitée à la notion de bien et de
mal. Il y a une part d’ignorance vis-à-vis de l’énergie, de la façon dont se
forme la vibration, comment elle évolue, comment elle se constitue et comment
cela se manifeste à l’intérieur/extérieur. On parle de foi mais là il s'agit plutôt d'en faire l'expérience et de sentir le sens de a manifestation, l'effet des fréquences que nous vibrons.
L’ignorance
vis-à-vis de l’énergie est normale puisque celle-ci est invisible, impalpable,
sans limites, sans frontières dans le temps et l’espace. En ce sens, croire que
le mental peut la concevoir est un leurre. Il peut la connaitre au travers des
sensations, des ambiances, en percevoir la nature, les lois, par expérience mais
il ne peut pas comprendre son caractère infini.
C’est à travers les émotions,
les sensations l’effet miroir, la loi de cause à effet, qu’il peut en percevoir
le sens, la force, la texture, les lois. Cela demande de lâcher le mode de
perception binaire puisque le monde de l’énergie est régi par des lois qui
dépassent le cadre du mental.
A
mesure que le calme mental revient, par l’écriture, je vois que ce que je
reproche le plus à ces médicaments, c’est qu’ils me font réagir de façon
impulsive. N’est-ce pas finalement une bonne chose puisque l’équilibre interne,
la manifestation de l’amour, se trouve dans l’abandon du jugement et l’accueil
des émotions ?
Sans ces médocs, je ne serais même pas consciente d’exercer
un contrôle sur les émotions tellement cette stratégie a été utilisée depuis
l’enfance au point de devenir un aspect de la personnalité. Et là, c'est clair que j'aurais été submergée par la vague de trouille. Connaissant l'effet de la peur sur l'organisme, je vois peu à peu la stratégie de survie en l’occurrence, ces médocs qui ont eu pour effet de calmer la panique, comme une stratégie qui me maintient en vie et qui n'est donc pas si stupide.
Même si l'accueil émotionnel permet de lâcher prise et de changer de vision, d'état d'être lorsqu'on a pris l'habitude de se couper de ses émotions, il y a intérêt à y aller mollo. Comme je le disais
hier, ça demande juste quelques secondes d’attention portée au centre ou
au-delà du mental, l’attention portée sur l’état du corps physique, sur sa
capacité à se détendre en quelques respirations profondes. Mais vouloir accueillir à tout prix, c'est une forme de manipulation interne, on est encore dans le contrôle.
Revoilà les
vertiges ! C’est carrément flippant ! Tu as peur de quoi ? De
perdre connaissance, de perdre le contrôle, de mourir. Respire par le ventre,
détends-toi. Tout se mélange, envie de pleurer, de crier, mais rien ne sort,
c’est la panique ! C’est ça la mort ? Perdre le contrôle, perdre
conscience ?
Pas de réponse mais à la place, une faim qui se manifeste.
Là
encore, c’est une réaction à la peur de la mort ? Reviens à la respiration
ventrale, ne t’occupes pas des questions si légitimes soient-elles. Prends un
bout de cachet et sent l’effet apaisant. Oui mais ça ne résout rien. Il ne
s’agit pas de résoudre un problème mais de laisser les énergies s’équilibrer.
Je n’en peux plus ! Mais peu à peu, ça va mieux. Déjà parce que le mental
ne se pose plus de questions. Ah, un petit rayon de soleil !
Il
faut vraiment que j’arrête de porter mon attention sur le monde, du moins sur
les accusations liées à l’ingérence du gouvernement si légitimes soient-elles
parce que ça me maintient dans le rôle de victime, la lutte, le sentiment
d’impuissance, la sensation d’être hypersensible et d’en souffrir.
Avant
quand j’écrivais de façon spontanée donc de mon point de vue, quand la
conscience neutre s’exprimait, je vivais une situation qui m’amenait à en faire
l’expérience dans la journée. Maintenant, c’est simultané ! C’est comme si
l’âme s’ajustait à la conscience neutre, comme si le mouvement de la conscience
se focalisait au centre, comme si ces deux points de vue se rejoignaient.
Pas
de hasard, voici une vidéo qui tombe pile poil :
J'ARRÊTE
DE LUTTER AVEC MON CORPS - Dr Jean-Christophe SEZNEC
Et
la méthode pratique qui suit :
Dr.Seznec
"Thérapie A.C.T, la matrice expliquée"
C’est
exactement ce dont je prends conscience et partage ici. Il s’agit juste d’être
conscient de ce qui se vit en soi. J’essaie d’appliquer cela à la clope et
réduit ainsi ma consommation sans trop en souffrir puisque derrière cela,
l’idée de me compliquer la vie parce que j’arrive bientôt au bout de mon stock
de tabac, vient motiver ce choix d’être davantage consciente. Pour le coup ce besoin d'être libre vient peser dans la balance. Mais il ne s'agit pas de forcer, de s'obliger, juste apprendre à devenir plus conscient et se laisser guider pour agir.
Encore une fois,
ce qui apparait comme un geste négatif peut être considéré comme un moyen, un
outil de connaissance de soi, de régulation. Et connaissant la force des croyances qui se
fondent sur la représentation qu’on a de
soi, d’une situation, en devenir davantage conscient révèle tout autant le
piège dans lequel on est que le potentiel qu’il y a derrière.
On commence par
changer la représentation qu’on se fait de la situation par l’observation des
stratégies automatiques d’évitement de ce qui est considéré comme un problème
et peu à peu le détachement s’opère en douceur. Un détachement vis à vis de la représentation qu'on se fait des gestes dits compulsifs.
Juste parce qu’on se
désidentifie des stratégies et de l’image qu’on se fait de celles-ci.
Tout comme
le fait de savoir que l’émotion est une indicatrice de besoin non assouvis et
donc en même temps de ce qui fait sens pour soi, aide à pouvoir l’accueillir,
le détachement des stratégies mentales/inconscientes nous aide à nous
identifier davantage à l’observateur. Mais ça ne peut pas être forcé, sinon c'est le mental qui veut imposer une nouvelle stratégie et qui de ce fait lutte contre le corps physique. C'est clair qu'il a une 'vision' beaucoup plus large que le mental puisqu'il sait gérer des systèmes, des dimensions, des énergies dans l'harmonie. Et de plus, il est connecté à la nature, à l'intelligence de la terre capable elle aussi d'harmoniser ses règnes, ses éléments, son environnement et donc de s'harmoniser aux fréquences cosmiques.
Thérapie
de l'acceptation et de l'engagement
Changer
sa perspective en étant dans l’observation neutre révèle ces choses, la valeur
des émotions qui sont des infos, l’intelligence du corps physique qui sait ce
qui est bon pour l’ensemble des corps, mental compris, la force des croyances, l’émotion
messagère et carburant qui permet de passer de à l’action, de l’idée à la
manifestation dans la matière.
J’ai
suivi l’élan à aller chercher de l’eau à la source et je peux sentir comment le
seul fait d’avoir bougé à équilibré les énergies. Quand c’est trop intense à
l’intérieur, le mouvement, le fait de bouger, aide les corps mental, émotionnel
et physique. D’où une fois de plus l’importance d’apprendre à faire confiance
aux élans spontanés.
Dans
le désir de transparence, je reviens sur ce qui me dérange dans ce confinement
volontaire qui ne change rien à ma façon de vivre si ce n’est le fait que ce
soit imposé renvoyant à l’idée que la représentation qu’on se fait des choses
influence notre état d’être, c’est l’idée que par ce choix de vie j’avais le
sentiment de me distinguer. Et comme cet état est généralisé, je perds ma
spécificité. Un pan de l’image de soi, de l’attachement au personnage, qui
s’écroule.
On se construit une personnalité autant par la façon qu’on a de
réagir aux évènements de la vie que par notre signature vibratoire
particulière, celle qui détermine où on va naitre. Parce que si on considère
les choses par la biais de l’énergie, de la vibration et les lois de résonance
et d’attraction, il semble logique de penser que nous sommes attirés par un
milieu, des gènes et des parents qui vont nous aider à manifester notre
essence, notre signature vibratoire spécifique. Elle-même composée d’un certain
degré d’ouverture de conscience lui-même lié autant à l’environnement ou au
degré de conscience de l’époque, qu’à l’âme dont nous sommes issus.
J’observe
mon comportement face au vertige de tout à l’heure, ça génère un remplissage
compulsif par la bouche, les oreilles, jusqu’à saturation et quand j’arrive à ce
stade, le silence devient nécessaire.
L'idée maitresse de cette expérience, c'est de ne rien forcer et d'apprendre juste à observer sans remettre en question les gestes compulsifs qui ont leur raison d'être. Parce que si on observe les pensées de jugements qui émanent, on va constater que c'est encore lié aux conditionnements et croyances. "Alors donnes-toi le temps, c'est aussi ça l'amour"
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« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr Photos privées