vendredi 5 avril 2013

Fin de soirée calme, "Conversations avec Dieu" le film d'après le livre de Neale Donald Walsch



 
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Cette journée a vraiment été très spéciale. Elle a commencé avec beaucoup de tristesse que l’amour de soi, par le non jugement et l’acceptation de pensées et émotions négatives a rendu plus douce. Beaucoup de larmes ont coulé et plutôt que de chercher à comprendre, je me suis contentée de maintenir mon humeur égale en laissant aller la peine, la tristesse et en me disant de temps en temps, "je libère". Puis j’ai suivi mon envie, celle de ne rien faire de ce que j’avais prévu, dans un premier temps et en écoutant le moindre de mes désirs sans me tracasser. J’ai regardé un dessin animé après m’être allongée au calme sans même chercher à faire quoi que ce soit, pas de cohérence cardiaque, pas de focalisation, de visualisation, pas de questions...
Rien, juste manger, et ne pas nourrir les pensées négatives et le manque de joie que le temps gris et humide suscitaient. J’ai lu un peu puis j’ai somnolé devant l’écran. 
J’ai eu de drôles de sensation d’ouverture de conscience, d’infini, de quelque chose d’inconnu à peine identifiable et descriptible.

Une après midi de calme, sans joie ni tristesse, sans colère ni dialogue intérieur assourdissant. Ce qui me confirme une progression, c’est déjà le fait de beaucoup moins réagir à ce qui s’en vient mais aussi les petites douleurs auxquelles je m’étais presque habituée ne sont pas apparues. 
Mon poignet qui guérit de jour en jour, les douleurs aux épaules et au genou, disparues. La raideur les tensions habituelles à peine repérées, sont parties en respirant calmement, sans forcer.
Finalement, ce soir, j’ai la forte impression d’avoir franchit un cap. D’avoir libéré beaucoup d’énergies lourdes sans même avoir eu à intervenir. Simplement en laissant faire en confiance, sans attentes. Je fini par me demander si le plus simple ne serait pas de vivre chaque journée comme ça. Il est vrai que je préfère l’action mais en fait en gardant cet état d’esprit, même en faisant quelque chose, il doit être possible de ressentir le même lâcher prise. J’ai pris exemple sur les animaux qui ont roupillé toute la journée, calmes attendant seulement que la pluie cesse, se laissant porter par le rythme du temps.
J’aurais pu m’angoisser à me dire que l’année dernière à la même époque, le jardin était tout désherbé, que j’avais repiqué des salades, semé des graines...J’ai suffisamment d’énergie emmagasiné et de confiance en la nature pour faire les choses au moment venu.
Je vais regarder le film « conversation avec dieu » et le mettrais en ligne.

"Conversation avec Dieu"
 D'après le livre de Neale Donald Walsch





Là encore, sortez vos mouchoirs !
Gratitude et envie d’aimer encore plus, voilà ce que m’inspire ce film.
 

J’ai repéré qu’il y avait le livre en version audio, je l’écouterais parce que je pense qu’il y aura plus matière à réflexion. Les passages du film où il converse avec lui-même, en fait, enfin son dieu intérieur, sont trop rapides. Pour un film américain, c’est assez réaliste. 
Il y a aussi une conférence donnée en France. A suivre...