jeudi 5 février 2015

« Plus le monde est chaotique et plus je cultive la joie intérieure », Clefs de sagesse commentées & film « Bruce tout puissant »





Je ne sais pas combien de degrés il fait dehors mais le poêle peine à réchauffer l’appart ! 
Le vent violent et glacial dissuade quiconque de mettre le nez dehors d’autant que ce genre de rafales fait voltiger tout un tas d’objets. 
Il me tarde que le printemps revienne et que je puisse retourner au jardin. 
Je commence à saturer d’être enfermée à longueur de temps ! J’ai essayé de regarder « Matrix » sans succès. On m’a prêté le DVD depuis samedi dernier mais j’ai bien du mal à m’y coller ! Le scénario, l’ambiance, les bruits, tout me parait trop humain et surtout c’est encore une forme de dualité exprimée par des cerveaux totalement influencés par la notion de bien et de mal. 
L’idée que nous sommes manipulés est une réalité mais on se trompe de cible et ça n’est pas non plus une fatalité. 
Non seulement ça n’est pas une obligation mais il n’y a pas besoin de recourir à des techniques sophistiquées pour se libérer de la peur. 
Parce que c’est elle qui peut manipuler un humain. Il n’y a pas besoin d’extra-terrestres malveillants, de magiciens, de prêtres, de politiciens pour être manipulé ! Nous nous laissons manipuler par nos propres peurs en les croyant, en les nourrissant.


Je retenterais l’expérience juste pour libérer ce que ça éveille en moi parce que la violence des images m’insupporte. Je n’ai jamais pu regarder des films de guerre, de super-héros, de science fiction, tellement c’est infantile et barbare ! Puis comme je n’aime pas trop parler d’une chose que je n’ai pas vue entièrement, j’arrête là.

Malgré la violence de la nature, les températures extrêmes, les rafales glaciales, les éléments donnent toujours une chance à l’humain de "sauver sa peau". La capacité d’adaptation, de prévoyance lui permettent de se protéger et quand les éléments se déchainent on revient à l’humilité, à la conscience que notre pouvoir bien que tout puissant au niveau subtil, se heurte à celui de la nature. 
C’est une bonne chose qui remet chacun à sa juste place, ramène à la responsabilité unique qui incombe à chacun, celle de protéger, d’aimer ce corps physique et tout ce qui le constitue. 
En ce sens, les excès ou agressions de la nature sont plus justes que ceux de l’humain qui lui ne donne aucun espoir de secours à ses ennemis.
Puis le fait que le cinéma, surtout celui qui sort de la fabrique Hollywoodienne, est une arme de propagande, un outil de manipulation des masses qui prépare les cerveaux à gober les vérités que l’élite, les lobbies, nous assènent à longueur de publicité, de slogan politiques, de journaux télévisés…me pousse à prendre du recul face à ce genre de film.

Je comprends mal l’engouement pour tout ce qui amplifie la dualité, la division, l’idée que l’autre est un ennemi, les scénarios compliqués capilo-tractés qui en fait, une fois libérés du superflu, du spectaculaire, s’avèrent totalement infantiles. On continue de s’accrocher à l’idée qu’il y a les bons d’un côté et les mauvais de l’autre ! 
Personne n’est ou tout blanc ou tout noir ! Et comme on est tous le con de quelqu’un, c’est un cercle infernal et infini de bêtise.

Pourtant, quand on écoute son cœur et qu’on fait confiance à l’amour inconditionnel TOUT PUISSANT, on ne peut imaginer que les sphères de lumière puissent vivre dans la dualité enfin dans le conflit. 
Je ne peux supposer que l’intelligence des êtres de lumière se rabaisse au niveau de la dimension de la dualité conflictuelle. La sagesse et l’expérience de l’amour vrai, ne peuvent amener à penser que la dualité se traduise systématiquement par le conflit.

Ce n’est pas parce que la vie sur terre passe par la division cellulaire qu’il faut interpréter cela comme un combat. C’est la vision du mental mais pas celle de l’amour pour qui ce principe est perçu comme une danse des forces masculine et féminine. 
Déjà, depuis le cœur, la mort n’a plus le même sens que lorsqu’elle est perçue par le mental seulement puisque dans le cœur, la peur étant absorbée, la mort apparait plutôt comme un passage. Pas non plus une échappatoire bien que par moment ce soit tentant mais plutôt comme un autre niveau de conscience, plus large parce non limité par les croyances et plus proche de notre vraie nature, notre essence divine, notre âme.

Je libère peu à peu les peurs relatives à ma propre mort parce que même si ça ne représente pas une perte pour moi, et comme je n’ai personne derrière moi, pas d’enfants, bien qu’elle ne m’effraie pas, j’ai envie de voir comment l’amour agit sur moi-même, sur l’humanité et comment les choses vont évoluer. 
Même si je peux supposer que ça va aller en empirant, je persiste à croire que l’issue de ce jeu sera bénéfique. Je demande de temps en temps, à mon âme et ma présence divine de me donner le courage de poursuivre ma route, quand je suis face à des comportements injustes ou violents mais déjà, je n'ai plus trop besoin d'aide en matière de gestion émotionnelle. Même si je suis consciente que ça n'est pas ma compréhension qui créé la guérison mais que c'est le divin qui agit, je n'ai plus besoin d'aide pour me calmer, respirer profondément au lieu de résister à ce qui est.
J’ai encore fait un tour sur le site de Monique Mathieu, http://ducielalaterre.org et ce que j’ai pioché me donne à penser qu’effectivement, il reste encore des peurs en moi et bien évidemment, celle qui revient souvent, c’est la peur de manquer.



Clef 413
« Les points principaux nécessaires à votre évolution sont : travailler sur votre émotionnel sur vos peurs, sur votre paix intérieure et surtout ouvrir votre cœur à la joie.
Vous ne pourrez pas intégrer et comprendre ce qu’est l’Amour Universel si vous n’avez pas fait la paix en vous, si vous n’avez pas ressenti cette énergie de joie qui vous transporte. »

Il semble que cette peur du manque conditionne totalement ma façon d’être et il est clair que tant qu’elle persistera, l’abondance peinera à s’installer dans ma vie. Je n’ai pas non plus à me plaindre parce que je ne manque de rien mais c’est toujours limite. Même si ce serait beaucoup plus simple de faire totalement confiance en l’amour, le mental a besoin de cohérence et de compréhension. Une confiance aveugle est fragile aussi parce que le moindre évènement douloureux peut être déstabilisant si on ne saisit pas l’enseignement qu’il y a derrière. Il ne s’agit pas de devenir des marionnettes de l’invisible, si lumineux soit-il, mais d’unifier les corps afin que le point de vue soit lucide et bienveillant. Il s’agit de devenir conscient. D’associer les corps, de réintégrer tous les aspects de l’être éparpillés afin de devenir complet, intègre et souverain de sa maison.

Clef 911
« Comment reconnaître le vrai Amour de l'illusion de l'Amour ? 
Le vrai Amour n'attend rien, le Vrai Amour offre, le Vrai Amour élève, le Vrai Amour est généreux, le Vrai Amour est don de soi-même, le Vrai Amour est attentif aux autres, le Vrai Amour est pardon, le Vrai Amour est joie, le Vrai Amour se manifeste dans la vie de celui qui le vit vraiment. » 

Hier, comme le temps m’empêchait d’aller dehors, j’ai honoré l’enfant intérieur en faisant ce qu’il aime. Enfin j’en fais maintenant le constat parce que je me suis contentée de suivre l’élan du moment. J’ai confectionné des choux à la crème agrémentés de quelques framboises du jardin que j’avais mises au congélateur.

Plus le monde est chaotique et plus je suscite la joie intérieure
J’ai été inspirée à méditer deux fois dans la journée pour trouver la paix et le spectacle des couleurs en mouvement m’a encore ravie. 
Depuis que je fais confiance à mes élans, la vie est beaucoup plus simple, facile et joyeuse. C’est très reposant de ne plus se poser systématiquement des questions à propos de tout et de revenir au cœur, au calme, quand ça se bouscule à l’intérieur.

Maintenant, je ne doute plus de la pertinence de mes choix même si je n’en comprends pas le sens dans l’instant. Je sais que tout ce qui arrive est pour mon évolution et même si parfois, il me faut un certain temps pour accepter, peu à peu en libérant les émotions qu’une situation suscite, la clarté vient en même temps que la paix et la joie.

L’élan de l’instant émane du cœur et c’est l’interprétation de la montée de l’énergie sexuelle. Cette énergie est la vie elle-même, celle de la création qui se manifeste par des désirs. Quand on en retire les étiquettes associées à la sexualité, on perçoit alors l’aspect purement créatif de cette énergie de vie. J’expérimente le feu intérieur au travers des bouffées de chaleur de la ménopause. Je les traite de la même façon que les émotions et non seulement elles durent peu de temps mais elles semblent me donner un regain de force, de vitalité. 

En toute logique, cette énergie qui autrefois venait donner l’étincelle de vie à l’ovule, le principe de division cellulaire dans la danse du masculin et du féminin, n’a plus cette fonction mais ça n’enlève pas son caractère intrinsèque. 
Cette énergie peut être canalisée et en général en l’amenant au cœur, elle se traduit par un désir. Elle donnera une impulsion à agir, à aimer et comme mon objectif actuel est de continuer d’amplifier l’amour intérieur, elle nourrit cette intention première et se concrétise par des gestes tendres envers mon corps physique, une attention bienveillante envers l’enfant intérieur.

Je n’ai pas encore osé la faire monter dans le chakra de la couronne enfin, je dis oser mais c’est juste que je n’y pense pas. Je l’ai amenée jusqu’en mon troisième œil afin qu’il soit nettoyé. Je sens qu’il y a une certaine résistance à utiliser cet organe interne mais je laisse faire le divin en moi à ce niveau là. Libérer, libérer et encore libérer la peur…
Le caractère infini de cet ouvrage ne me perturbe plus trop maintenant que je sais, sans aucun doute, que seul l’amour peut élargir la conscience d’une façon respectueuse de soi-même et des autres.  

Les quelques réminiscences de la période de l’Atlantide, ont ravivés mes convictions profondes au sujet de la connaissance qui ne s’acquiert pas par l’intellect et des dérives qu’entraine un esprit fort et développé mais dépourvu d’amour et de conscience. 
L’identification au mental, à l’intellect, amène à considérer le monde avec froideur lorsqu'on contrôle ses émotions. Les facultés de l’intellect qui sont perçues comme le summum en matière de pouvoir humain sont largement exploitées et tant que l’humanité croira que l’intelligence est relative au mental, il continuera de détruire tout ce qui fait obstacle à ses ambitions. 

Concernant l'énergie sexuelle, je ne cherche pas à savoir par les livres ou par Internet, je laisse venir l'inspiration, les images symboles et libère la honte, les émotions qui découlent de fausses croyances à ce sujet. 
C'est tellement tabou et distorsionné qu'il faut déjà libérer tout le poids des souffrances accumulées dans la zone du bas ventre. Là encore, j'ai confiance, je sais que tout viendra en son temps et d’ailleurs, le manuscrit de Marie Madeleine est venu à propos, confirmant mon ressenti. J'ai la certitude d'avoir déjà expérimenté la sexualité sacrée et les connaissances acquises dans ce domaine seront restituées à mesure que je lâcherais les illusions à ce sujet.

Clef 914
« Vous êtes beaucoup plus avancé sur le chemin que vous le pensez ! Votre seul frein est souvent celui du mental. Vous voulez comprendre et percevoir avec vos cinq sens ce que vous ne pouvez comprendre et percevoir qu’avec les yeux de l’âme ! » 

Je pioche les clefs au fur et à mesure que j’écris et là encore, c’est une belle synchronicité qui m’est offerte gracieusement par ces êtres de lumière. Il est clair que la vision depuis le cœur est la seule qui permette d’avoir une vue globale et neutre des choses. Ce cœur dont la porte s’ouvre sur la dimension de l’âme, est le seul organe qui donne un regard à la fois lucide et bienveillant. En s’y logeant en toute confiance, on reçoit ce dont nous avons besoin pour avancer, comprendre et s’épanouir, dans l'instant, le moment présent.

Clef 50
« Il faut que vous ayez du respect pour vous-mêmes, pour tout ce que vous êtes, du respect pour vos pensées même si elles ne sont pas toujours charitables, du respect pour vos attitudes quelles qu’elles soient, du respect pour ceux qui vous entourent et du respect pour la Vie. »

Bien que ça soit illogique pour le mental, l’amour inconditionnel de soi, le lâcher prise, permettent d’évoluer, de gagner en confiance en soi, de se fortifier par l’unité intérieure. 
Je remarque que ma façon de "prier", d’appeler à l’aide, change à mesure que j’acquiers cette confiance en soi. 

Je ne demande plus à ce que les choses arrivent mais affirme qu’elles sont déjà là. 
C’est comme acquiescer, reconnaitre que tout est parfait, que je suis déjà libérée de la lourdeur de la dualité, que mon corps physique est divinement conçu, que mon corps mental peut être le porte parole de l’âme, de la conscience, que je suis tout et par le fait, que je ne manque de rien. Et j’en reçois la confirmation par le ressenti, la sensation d’être en sécurité, à ma juste place, au bon moment et au bon endroit. 
Parce que seul le mental croit qu'il faut évoluer, changer et gagner l'attention du divin mais il s'agit juste de le reconnaitre en soi. Ce qui veut dire non seulement qu'il est présente en tout temps mais qu'il n'y a rien d'autre à faire que d'ôter les voiles qui nous empêchent de le percevoir. 
Les émotions et pensées négatives, celles qui s'opposent à l'amour, telles que le honte, la culpabilité, la peur, le déni de soi, le rejet..., toutes les pensées limitantes, restrictives, forment ces voiles.

Clef 392
« Quoiqu’il arrive, il est important que vous n’ayez aucune crainte ! Sachez que si vous devez vivre tel ou tel évènement, qu’il soit personnel ou collectif, vous aurez une aide très importante de vos Frères de Lumière et également de vos frères galactiques ! »

Avant, quand je lisais ce genre de message, je n’allais pas au bout tellement ça suscitait de peur quand à l’avenir. Maintenant que je n’ai plus d’attentes spécifiques, dans la forme, puisque je sais qu’en établissant la paix, en amplifiant l’amour intérieur, l’extérieur le manifestera, la peur du lendemain s’atténue. 
D’ailleurs, je n’ai pas parlé de l’aide des voisins concernant le bois ! Je ne demande rien à personne mais chaque fois que je libère la peur du manque, enfin une couche de cette peur profondément ancrée puisque les stratégies de l’ego se sont fondées sur elle, la vie me fait un cadeau. 
Ce n’est pas non plus anodin que cette aide « tombée du ciel » parvienne au travers d’hommes. Là encore, l’accueil des vieilles croyances à propos du masculin, change ma relation aux hommes. 
J’apprécie d’autant plus parce que ce bois offert vient combler le manque supposé. 
Il est vrai que le tas de bois à pris une grosse claque mais le sentiment de sécurité ressenti dans la connexion à la terre Mère, tempère la peur du lendemain. 
Quand je l’amène au cœur, déjà, la paix que je sens me rassure et les idées fusent. 
Je peux voir avec plus d’objectivité et lister tous les atouts en ma faveur; J’ai une voiture qui roule malgré son âge, je n'ai pas de handicap physique, j’ai tout mon temps et je peux aller en forêt me réapprovisionner. Je n’ai pas encore pu y aller à cause de la pluie et du vent très violent, au point que j’aie fermés les volets hier soir et rentrées les plantes. 

Je sais que la seule chose à faire, en toutes choses, c’est d’amplifier l’amour et la confiance en soi. Cette unique connaissance suffit à me rendre la vie belle et à avoir de l’espoir! 
Puis concernant l’aide des frères galactiques, je n’en doute pas même si je ne les vois pas, la logique mais surtout le ressenti, me confirment cette réalité. 
Après avoir demandé plusieurs fois à les voir, peu à peu j’ai fini par accepter les règles du jeu et la répartition des rôles et fonctions spécifiques des différents corps. 
Chaque demande recevait une réponse appropriée m’amenant à prendre conscience de mes peurs et fausses croyances. 
J’ai fini par réaliser que je n’étais pas prête à voir un être dont la forme serait autre qu’humaine. 
Puis j’ai appris le caractère illusoire des visions, de l’apparence et la faculté de projection de la psyché qui associe la pensée à l’émotion de même vibration et comment celles-ci peuvent surpasser l’intention !
Tant que l’inconscient prévaut, les visions peuvent être très perturbantes et surtout faussées. Et la seule façon de se libérer de l’emprise de l’inconscient, c’est de devenir conscient. Puis pour ne pas souffrir démesurément de ce que l’on perçoit, il n’y a qu’un endroit où aller ; le cœur. Son regard est commun avec celui de la conscience et celui de l’âme.
Je ne demande donc plus à voir l’invisible puisqu’en plus ce que me montrera ma conscience, ce sont mes propres peurs, je me contente de les libérer pour le moment. 
La vue des couleurs, énergies en mouvement, comme si elles me pénétraient, suffit à satisfaire la curiosité du mental, et le besoin d’émerveillement de l’enfant intérieur. 

J’ai choisi de faire confiance à mon âme et à ma conscience pour gérer ce qui appartient à leur monde, aux sphères invisibles. Je suppose que je pourrais me fier à ce que je vois quand les derniers vestiges de la peur seront libérés. 
Je ne doute pas des visions que j’aie eues à propos de mes vies passées mais je ne m’y accroche pas plus. Je n’en fais pas une vérité absolue mais juste des pistes de réflexion qui m’amènent toujours à pardonner, à me pardonner. 
A accepter les conditions de l’incarnation, les choix de mon âme mais aussi ceux des autres. Accepter le comportement des autres pour plusieurs raisons. 

On ne peut pas obliger quelqu’un à devenir conscient, ni à aimer et à acquérir la sagesse par la contrainte ou la peur. J’ai dû revisiter la notion de liberté qui n’a en fait rien à voir avec l’extérieur, les conditions de vie ou le comportement d’autrui.

La seule vraie liberté, c’est celle que l’on s’offre dans la relation à soi, avant toutes choses ! Toutes les frustrations qu’engendre le contrôle vont se manifester par un caractère prompt au jugement et à l’accusation. 
Quand on s’autorise à suivre ses élans quels qu’ils soient, on goûte la vraie liberté. 
La peur de mal faire est absorbée dans l’énergie du cœur, associée à l’insouciance de l’enfant qui donnera l’audace de suivre son cœur. 
Il est clair que certains désirs émanent de la peur mais en les accueillant dans le calme du cœur, le désir s’ajuste à la fréquence de l’amour. Ce qui ne veut pas dire que l’issue sera favorable ou que ce sera un élan de génie ! Parce qu’au niveau des attentes, il y a aussi du ménage à faire !...

J’ai regardé ce film dont j’avais entendu parler et j’ai bien aimé le pitch, le scénario qui permet de réfléchir à la notion de dieu, de pouvoir…Bien qu’il date un peu il est toujours d’actualité. 
« Bruce tout puissant ». 


Le seul bémol, c’est le rôle de la femme qui joue un peu trop les faire valoir. Mais il est tout de même montré que c’est par l’amour avec cette femme qu’il prend conscience de son égoïsme et de son enfermement mental.

Puis pour en revenir aux êtres de lumière, à moins d’avoir bien allégé les corps mental et émotionnel, l’interprétation sera humaine et ça donnera des choses comme : « nous allons être emportés dans des vaisseaux de la confédération galactique »…
Ce genre de scénario est la projection mentale de la peur et de l’impuissance. Si on admet que l’étincelle divine brille en chacun ou sans utiliser un vocabulaire « spirituel », si on admet que chacun est doté d’une conscience, d’un cœur et que la vie sur terre est éphémère, quel besoin d’être sauvé et de quoi ?


Clef 744
 « Il ne faut absolument faire de la boulimie spirituelle ! Lorsque vous absorbez de la nourriture solide, il faut un temps de la digestion. Avant de prendre un deuxième repas, il est nécessaire que vous ayez digéré le premier ! Au niveau de la spiritualité il en est exactement de même, sauf que les énergies ne sont pas quelque chose de solide comme les aliments que vous absorbez ».  

Tout à fait d’accord avec ça ! C’est sûr que le mental s’impatiente, qu’il est avide de connaissances mais quand il comprend que ce qui importe c’est la capacité à accueillir ses pensées et émotions sombres et que les révélations personnelles en découlent, ça le calme ! 
Quand on comprend que nous sommes créateurs de notre propre monde, par nos émanations et que l’état d’être intérieur conditionne notre vie, il devient évident que le travail essentiel, c’est d’épurer les corps émotionnel et mental. Ce nettoyage intime et profond permet de créer avec humilité et d’éviter les excès, les extrêmes et les souffrances.  
L’intégration des énergies demande du temps. 
Il varie selon l’individu, selon la capacité à être vrai et le degré d’inconscience mais pour tout le monde, la patience est essentielle et formatrice. Je limite le nombre des publications pour ne pas accaparer votre temps et poste les messages comme des pistes de réflexions qui, même si je les affirme avec certitude, restent ma propre interprétation de ce qui est.
Puis concernant son rythme d’intégration, il suffit de s’écouter, de faire confiance à ses élans et de les suivre pour être dans son propre tempo.
 

Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr  et ces trois lignes. Merci